Arbus (Pyrénées-Atlantiques) — Wikipédia

Arbus
Arbus (Pyrénées-Atlantiques)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées
Maire
Mandat
Didier Larrieu
2020-2026
Code postal 64230
Code commune 64037
Démographie
Gentilé Arbusiens
Population
municipale
1 245 hab. (2021 en évolution de +6,5 % par rapport à 2015)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 03″ nord, 0° 30′ 17″ ouest
Altitude Min. 125 m
Max. 284 m
Superficie 13,89 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Pau
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lescar, Gave et Terres du Pont-Long
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Arbus
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Arbus
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Arbus
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Arbus
Liens
Site web arbus.fr/

Arbus [aʁbys] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Arbus se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 14 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 8 km de Lons[3], bureau centralisateur du canton de Lescar, Gave et Terres du Pont-Long dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Siros (2,2 km), Artiguelouve (3,1 km), Aussevielle (3,1 km), Denguin (3,3 km), Parbayse (3,3 km), Poey-de-Lescar (3,5 km), Tarsacq (3,8 km), Cuqueron (4,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Arbus fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Artiguelouve, Abos, Aubertin, Denguin, Monein, Parbayse, Siros et Tarsacq.

Communes limitrophes d’Arbus[6]
Tarsacq,
Abos
Denguin Siros
Parbayse Arbus Artiguelouve
Monein Aubertin

Paysages et relief

[modifier | modifier le code]

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Arbus.

La commune est drainée par le gave de Pau, la Baïse de Lasseube, la Juscle, Ancien Canal du Moulin, un bras du gave de Pau, un bras du gave de Pau, le Arrious, le ruisseau le cazauran, le ruisseau Sibe, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-Gèdre et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il longe la commune sur son flanc nord-est et se jette dans l'Adour à Saint-Laurent-de-Gosse, après avoir traversé 88 communes[8].

La Baïse de Lasseube, d'une longueur totale de 40,6 km, prend sa source dans la commune de Gan et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Abidos, après avoir traversé 14 communes[9].

La Juscle, d'une longueur totale de 22,3 km, prend sa source dans la commune de Saint-Faust et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Bésingrand[10].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 201 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Monein à 6 km à vol d'oiseau[14], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 228,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[19],[Carte 2] :

  • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[20] et une au titre de la « directive Oiseaux »[19],[Carte 3] :
  • le « barrage d'Artix et saligue du gave de Pau », d'une superficie de 3 360 ha, une vaste zone allongée bordant les saligues du gave[Note 4], et incluant des terres agricoles et urbaines en amont d'un barrage[21].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[22],[Carte 4] : le « lac d'Artix et les saligues aval du gave de pau » (779,72 ha), couvrant 12 communes du département[23] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[22],[Carte 5] :

  • les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » (20 986,16 ha), couvrant 23 communes du département[24] ;
  • le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[25].

Au , Arbus est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pau[Note 7], une agglomération intra-départementale regroupant 55 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 8],[27],[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28],[29].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (50,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,1 %), prairies (24,6 %), terres arables (19,5 %), zones urbanisées (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

Lieux-dits et hameaux

[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 2, 229 et 804. Le réseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques y possède 3 arrêts (Mairie, Larribot et Clos Bédat), sur la ligne  Ligne 521, menant de Monein à Pau.

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Arbus est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Pau, regroupant 34 communes concernées par un risque de débordement du gave de Pau, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[34]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1800, crue la plus importante enregistrée à Orthez (H = 15,42 m au pont d'Orthez), du , exceptionnelle par son ampleur géographique, des 27 et , la plus grosse crue enregistrée à Lourdes depuis 1875, du , du (10,46 m à Orthez pour Q = 725 m3/s), du , du (3,40 m à Rieulhès pour Q = 504 m3/s) et du . Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[35]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 2009 et 2018[36],[32].

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arbus.

Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 67,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[39].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2015 et par des glissements de terrain en 1994[32].

Risque particulier

[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Arbus est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[40].

Le toponyme Arbus est mentionné en 1170[31] (titres de Barcelone[41]) et apparaît sous la forme Arbuus (1307[31], cartulaire d'Orthez[42]), Arbus (1385[43], censier de Béarn[44]) et Arbus sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[43]).

Selon Michel Grosclaude[43], il s'agit d'une racine aquitanienne, *arb-, signifiant « herbe » (a rapprocher de alpe), et d'un suffixe collectif -untz, donc, le nom signifierait « endroit où il y a de l'herbe ».

Alicq, toponyme désignant une ferme, est mentionné en 1863 par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[31].

Paul Raymond signal, en 1863, un écart du nom de Loubagnon, mentionné en 1775[31] sous la graphie Looubagnon (terrier d'Arbus[45]).

Saint-Mamet est un hameau d’Arbus signalé par le dictionnaire topographique de 1863[31].

Sibé est un hydronyme, désignant un tributaire de la Baïse de Lasseube.

Paul Raymond[31] note qu'en 1385, Arbus comptait quarante feux et dépendait du bailliage de Pau. La commune était une dépendance du marquisat de Gassion.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires d'Arbus
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 En cours Didier Larrieu PS Expert comptable

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune d'Arbus fait partie de sept structures intercommunales[46] :

  • la communauté d'agglomération de Pau Béarn Pyrénées ;
  • le SIVU pour l'aménagement et la gestion des cours d'eau du bassin des Baïses ;
  • le SIVU pour le service de soins infirmiers à domicile pour personnes âgées du canton de Lescar ;
  • le syndicat d'aménagement du bassin versant de la Juscle et de ses affluents ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d'eau et d'assainissement Gave et Baïse ;
  • le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Arbusiens[47],[48].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

En 2021, la commune comptait 1 245 habitants[Note 11], en évolution de +6,5 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
775673663751869847837900841
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
823776765730758712700636637
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
637614582568499494507445415
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
4694705376639651 0311 0761 0821 106
2017 2021 - - - - - - -
1 2051 245-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Arbus fait partie de l'aire d'attraction de Pau.

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école primaire[53].

La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn, et partiellement de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Mamer.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. a et b La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  8. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Pau comprend une ville-centre et 54 communes de banlieue.
  9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrologique d'Arbus » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Arbus », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Arbus », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Arbus », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  6. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Arbus et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Arbus et Lons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Arbus », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av et aw Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Arbus », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le gave de Pau ».
  9. Sandre, « la Baïse de Lasseube ».
  10. Sandre, « la Juscle ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Arbus et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arbus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR7212010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arbus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF le « lac d'Artix et les saligues aval du gave de pau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « Unité urbaine 2020 de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  31. a b c d e f g et h Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  32. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Arbus », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  34. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Pau », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  36. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  37. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  39. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  40. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  41. Titres publiés dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  42. Cartulaire d'Orthez, dit Martinet, manuscrit du XIVe siècle au XVIIe siècle - Archives de la mairie d'Orthez
  43. a b et c Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
  44. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  45. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  46. Cellule informatique préfecture 64, « Intercommunalité des Pyrénées-Atlantiques » (consulté le ).
  47. Gentilé sur habitants.fr
  48. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. L'école d'Arbus sur le site de la commune
  54. « L'église Saint-Mamer », notice no IA64000554, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. Forme nominale donnée par La Grande Encyclopédie
  56. Forme nominale donnée par le Trésor de Chronologie
  57. Date donnée par La Grande Encyclopédie et le Trésor de Chronologie
  58. Date donnée par le Trésor de Chronologie
  59. Page de la communauté de communes du Miey de Béarn
  60. Date donnée par La Grande Encyclopédie