Bazac — Wikipédia

Bazac
Bazac
Puits près de l'église.
Blason de Bazac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Philippe Pellissier
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16034
Démographie
Population
municipale
147 hab. (2022 en évolution de −0,68 % par rapport à 2016)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 13′ 55″ nord, 0° 03′ 01″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 121 m
Superficie 4,92 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bazac
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Bazac
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Bazac
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Bazac

Bazac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation et accès

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Bazac est une commune située à l'extrémité sud du département de la Charente. Elle est limitrophe avec le département de la Dordogne et à 3,5 km de la Charente-Maritime.

Elle est située à 4,7 km au sud de Chalais, le chef-lieu de son canton, et à 48 km d'Angoulême. Elle est aussi à 9 km de La Roche-Chalais, 7 km de Saint-Aulaye, 10 km d'Aubeterre-sur-Dronne, 23 km de Ribérac, 65 km de Bordeaux[1].

La route la plus importante est la D 674, route d'Angoulême à Libourne, qui traverse la commune du nord au sud et passe à l'ouest du bourg à 1 km. Le bourg est aussi desservi par la D 78 qui longe la rive droite de la Dronne en direction d'Aubeterre au nord et Saint-Aigulin au sud[2].

La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

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Le bourg de Bazac, assez petit, touche le hameau du Rouchard. Plus à l'ouest, sur la route d'Angoulême à Libourne, on trouve la Chebrolerie jouxtant le hameau du Grélis (commune de Saint-Avit).

Le hameau de Matignon est situé au sud de la commune, qui compte aussi de nombreux lieux-dits et fermes : Caillaud, la Sicaudrie, le Logis de Chamberlane où est situé le cimetière, le Moulin de Chamberlane sur la Dronne, la Font de Bazac, Périchon, Baudin, Cybard, Rebet, Château-Guyon, etc., ainsi que le château de Bellevue au nord[2].

Communes limitrophes

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Bazac est limitrophe de quatre autres communes, dont une dans en Dordogne. Au nord-ouest, le territoire communal n'est distant que d'environ 200 mètres de la commune de Rioux-Martin.

Géologie et relief

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La partie nord de la commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux qui occupe une grande partie du Sud Charente. Cette formation est toutefois recouverte par des alluvions anciennes, sable et galets parfois enrobés d'argile comme au bourg, datant du Quaternaire. Les vallées (Tude et Dronne) sont occupées par des alluvions plus récentes (partie inondable, et basses terrasses)[3],[4],[5].

Le relief de la commune est celui d'un plateau parfois pentu compris entre les vallées de la Tude et de la Dronne, qui se termine en vallée commune et allongée jusqu'à leur confluent. Le point culminant est à une altitude de 121 m, situé à l'extrémité nord de la commune en haut du bourg de Saint-Avit. Le point le plus bas est à 25 m, situé au confluent. Le bourg de Bazac, dominant la vallée de la Dronne, est à 75 m d'altitude[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleurs présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Bazac.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Dronne, la Tude, un bras de la Dronne, le riou Basset et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Dronne borde la commune à l'est et constitue la limite départementale avec le département de la Dordogne. D'une longueur totale de 200,56 km, elle prend sa source en Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette dans l'Isle en Gironde à Sablons, après avoir traversé 51 communes[8].

La Tude, d'une longueur totale de 43,3 km, prend sa source dans la commune de Boisné-La Tude et se jette dans la Dronne à Parcoul-Chenaud, après avoir traversé 15 communes[9]. Elle constitue une limite séparative avec la commune de Médillac. Le confluent marque l'extrémité sud de la commune.

Gestion des cours d'eau

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[6] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Limite dialectale

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La commune est dans la langue d'oïl, et marque la limite avec le domaine occitan (à l'est)[12].

Milieux naturels et biodiversité

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Natura 2000

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Bordé à l'ouest par la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées[13],[14].

Seize espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[13].

Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.

À Bazac, les vallées de la Dronne et de son affluent la Tude font partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[15],[16].

Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[15] :

Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[15].

Au , Bazac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18] et hors attraction des villes[19],[20].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38 %), prairies (27,8 %), terres arables (11,6 %), forêts (8,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,1 %), zones urbanisées (5,7 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bazac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bazac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 131 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 131 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2012 et 2021. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

Une forme ancienne du lieu est attestée est au Moyen Âge sous la forme Bezaco[27],[28].

Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine basée sur *Batius (anthroponyme qui n'est pas attesté, variante hypothétique de Battius), nom de personne latin, suivi du suffixe -acum d'origine gauloise indiquant la propriété, d'où le sens global de « domaine de Batius »[29],[28].

Remarque : il existe un élément gaulois -bata / bat- que l'on rencontre dans le nom d'un type de gladiateur Andabata et dans batoro- « combattant » ?, c'est-à-dire *batoros « combattant », littéralement « batteur » que l'on rattache à la racine du latin battuō, -ere « battre » qui serait lui-même un emprunt au gaulois[30].

Le château de Bellevue (Saint-Avit), en limite de commune, était la demeure de la famille des comtes de Poncharail (ou Poncharal) de Pouillac dont plusieurs eurent leur part dans l'histoire de France. Sa châtellenie englobait une partie de Bazac et toute l'actuelle commune de Saint-Avit, et avait droit de haute, moyenne et basse justice[31].

Le fief de Chamberlane (alors orthographié Chamberlanne) fut concédé en 1479 par les princes de Chalais en faveur de Jean Dorciagne, et passa ensuite aux descendants de ce dernier, les de Jaubert, qui le possédèrent très longtemps. Aux élections de mars 1789, pour les États généraux à Saintes, l'un des descendants qui avaient émigré représentait le prince de Chalais, qui habitait Paris[32].

Administration

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Mairie de Bazac
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Gilbert Lucas    
2008 mars 2014 Catherine Constanty SE Secrétaire
mars 2014 En cours Philippe Pellissier    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2022, la commune comptait 147 habitants[Note 1], en évolution de −0,68 % par rapport à 2016 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
381364369376395400433433427
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
449452457452440448396418406
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
461439367355333350341283283
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
260233158159150169169158149
2020 2022 - - - - - - -
145147-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,3 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 75 hommes pour 69 femmes, soit un taux de 52,08 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
0,0 
10,5 
75-89 ans
13,0 
23,7 
60-74 ans
30,4 
21,1 
45-59 ans
18,8 
19,7 
30-44 ans
13,0 
14,5 
15-29 ans
7,2 
9,2 
0-14 ans
17,4 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

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La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[39].

Après l'incendie de l'ancien moulin à blé de Chamberlanne, une minoterie a été construite en 1848. Après son arrêt vers 1970 elle a été transformée en atelier de fabrication de produits pour l'alimentation animale.

La minoterie située au moulin de Parcoul date, elle, du début du XXe siècle et a été transformée en logements[40].

Équipements, services et vie locale

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Martin.
  • L'église paroissiale Saint-Martin est romane et date du XIIe siècle. Initialement en forme de croix latine, elle fut équipée par la suite de deux bas-côtés par suite d'une forte fréquentation. L'ensemble a été restauré au XIXe siècle, en particulier un rehaussement de la nef, du clocher et des bas-côtés. Un fronton triangulaire coiffe la façade[41].
  • Le château de Bellevue (en limite de commune).

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Bazac Blason
Écartelé : au 1er d'or à un croissant de gueules, aux 2e et 3e d'azur à une jumelle d'argent à une roue à aubes d'or brochant sur le tout, au 4e d'or à un croissant de sable.
Détails
Sous l'Ancien Régime, le territoire de la commune actuelle était composé de deux fiefs : celui de Bazac sous l'autorité de la famille des comtes de Poncharail et le fief de Chamberlane en faveur des de Jaubert (ces deux familles ont un croissant sur leurs armes). Au pied du village de Bazac se trouvent quatre sources et deux moulins sur les bords de la rivière, la Dronne.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bazac » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le ).
  6. a et b « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Bazac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « la Dronne »
  9. Sandre, « la Tude »
  10. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur eau-grandsudouest.fr (consulté le ).
  12. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  13. a et b [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  14. Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  15. a b et c [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  16. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  18. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bazac », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bazac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  27. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 393
  28. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 60.
  29. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  30. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Errance, , 2e éd., 440 p. (ISBN 2-87772-237-6, ISSN 0982-2720), p. 68 - 69
  31. Jean-Marie Ouvrard, « Poncharal », Blasons de la Charente, (consulté le ).
  32. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 76
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bazac (16034) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  39. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  40. « Moulin de Parcoul », notice no IA00066141, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 66.

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Catillus Carol, « Bazac », (consulté le )