Boën-sur-Lignon — Wikipédia

Boën-sur-Lignon
Boën-sur-Lignon
Blason de Boën-sur-Lignon
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Loire Forez Agglomération
Maire
Mandat
Anne Jouanjan
2023-2026
Code postal 42130
Code commune 42019
Démographie
Gentilé Boënnais[1]
Population
municipale
3 029 hab. (2021 en évolution de −8,43 % par rapport à 2015)
Densité 505 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 47″ nord, 4° 00′ 18″ est
Altitude Min. 374 m
Max. 557 m
Superficie km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Boën-sur-Lignon
(ville-centre)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boën-sur-Lignon
(bureau centralisateur)
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Boën-sur-Lignon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Boën-sur-Lignon
Géolocalisation sur la carte : Loire
Voir sur la carte topographique de la Loire
Boën-sur-Lignon
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Boën-sur-Lignon
Liens
Site web http://www.boen.fr/

Boën-sur-Lignon [bwɛ̃ syʁ liɲɔ̃], également désignée par son ancien nom Boën[2], est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes, faisant partie de Loire Forez Agglomération.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Carte
Situation de Boën-sur-Lignon
Communes limitrophes de Boën-sur-Lignon
Saint-Sixte Arthun
Leigneux Boën-sur-Lignon Sainte-Agathe-la-Bouteresse
Trelins

Située dans la plaine du Forez, la ville de Boën-sur-Lignon a vue sur les monts du Lyonnais à l'est et sur les monts du Forez à l'ouest. Commune de plus de 3 000 habitants, la petite ville de Boën occupe la rive gauche du Lignon, à l’endroit où il pénètre dans la plaine, au pied de la côte forézienne. Ce chef-lieu de canton est une ville étape au carrefour de la RN 89 (devenue RD 1089) et de la RD 8. Son économie repose sur la métallurgie, la mécanique, la transformation du bois et l’artisanat. Elle bénéficie de l’implantation de nombreux services publics. La gare de chemin de fer est sur la ligne Saint-Étienne - Clermont-Ferrand.

Boën.

Elle se situe à 17 kilomètres au nord de Montbrison[3], et à 58 km de la préfecture, Saint-Étienne[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 791 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 629,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records BOEN SUR LIGNON (42) - alt : 448m, lat : 45°45'22"N, lon : 4°00'26"E
Records établis sur la période du 01-01-1993 au 31-03-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,3 −0,1 2,3 4,9 8,6 12 13,8 13,5 10,1 7,3 3 0,3 6,3
Température moyenne (°C) 3,5 4,4 7,8 10,9 14,8 18,6 20,6 20,4 16,3 12,5 7,1 4,1 11,8
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,9 13,4 16,9 21 25,2 27,4 27,2 22,5 17,7 11,2 7,8 17,2
Record de froid (°C)
date du record
−13,9
13.01.03
−15,7
05.02.12
−15
01.03.05
−5,8
08.04.03
−0,1
15.05.1995
2,5
04.06.01
5,8
24.07.1999
4,1
30.08.1998
0,6
30.09.1995
−5,7
31.10.1997
−10,2
23.11.1993
−12,6
15.12.01
−15,7
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19
10.01.15
22,4
24.02.21
27,4
24.03.01
30,5
30.04.05
33,9
13.05.15
39
27.06.19
40,7
07.07.15
39,7
13.08.03
34,4
14.09.20
30
04.10.04
23,8
17.11.09
19,9
08.12.10
40,7
2015
Précipitations (mm) 31,3 27,1 28,2 44,2 75,8 65,1 73,2 73,2 59,6 58,7 59 34,1 629,5
Source : « Fiche 42019004 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Au , Boën-sur-Lignon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Boën-sur-Lignon[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (47,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (47,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,6 %), prairies (14,7 %), forêts (12,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'origine du nom est controversée. L’hypothèse de la fondation par le peuple gaulois des Boïens n’est guère fondée. Le nom de Bodenno ou Boenco apparaît dans le cartulaire de Savigny au XIe siècle. L’existence de quelques débris gallo-romains à l’Annet, la Chaux et la Garde suffit-elle à prouver l’existence du site au début de notre ère ? On peut supposer que dès avant l’an mil, une petite bourgade s’est installée sur les collines puis au bord de la rivière Lignon. C’est au XVIIe siècle que la forme Boën avec le tréma apparaît. En 1702, Louis XIV ayant besoin d’argent, Boën-sur-Lignon doit se doter d’un blason, moyennant finances. Il est d’or au chevron de gueules chargé d’une merlette d’or (oiseau sans bec ni pattes). Le chevron symbolise un pont (cf le site au bord d’un cours d’eau).

Boënnais, Boënnaises.

Déjà connu sous l'occupation romaine, ce bourg fut fortifié au XVe siècle. L'essor de Boen, à l'origine simple hameau de la paroisse de La Bouteresse, fut favorisé par ses seigneurs, les Damas de Couzan. Ils octroyèrent une charte de franchise à ses habitants en 1247, transportèrent le tombeau de leur famille dans son église, puis fortifièrent ce qui en 1314 fut l'une des treize villes à envoyer des délégués aux États du Forez. En 1320, Amédée de Couzan obtient du roi et du comte l’autorisation de clore la ville (11 tours et 4 portes ; une tour subsiste). En 1510, Louis XII autorisa un marché hebdomadaire le jeudi. En 1678, les religieuses trinitaires fondèrent la première école de filles (disparue) et l’hospice de Boën. En 1747, installation de l’Hôtel-Dieu rue du 8 mai 1945. La fin du XVIIIe siècle fut la période la plus prospère de la ville (2 500 habitants), avec le commerce : une halle occupait le centre-ville, il y avait un marché le jeudi et 2 foires annuelles, les cabaretiers nombreux exerçaient parfois le métier annexe de boucher. La Bouteresse fut détachée de Boën à la Révolution. Les hommes de loi étaient en nombre important : Boën était siège de justice avec juge, lieutenant et procureur fiscal, un greffier, deux huissiers, quatre procureurs et quatre notaires. Ville de Boen

Le château fut construit vers 1779.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Boën-sur-Lignon faisait partie de la communauté de communes du Pays d'Astrée de 1995 à 2016 puis a intégré Loire Forez Agglomération.

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Des élections municipales interviendront le dimanche 3 décembre 2023 afin de désigner de nouveaux conseillers municipaux du fait de la démission du maire élu et du manque d'élus[16].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juillet 1944 mars 1959 Joannès Ety    
mars 1959 mars 1977 Jean-Pierre Blanchet DVD Dentiste
Sénateur (1967-1974)
mars 1977 mars 1989 Lucien Moullier[17] PS Conseiller régional (1986-1989)
Conseiller général (1988-2015)
mars 1989 juin 1995 Pierre Giraud    
juin 1995 mars 2014 Lucien Moullier[18] DVG puis PRG Retraité
Conseiller régional (1992-1998)
Conseiller général (1988-2015)
mars 2014 9 décembre 2023 Pierre-Jean Rochette[19] DVD-Agir Chef d'entreprise
Vice-Président de Loire Forez agglomération (2020-2023)
Conseiller départemental (2015-2023)
Sénateur (2023-)
9 décembre 2023 En cours
(au 11 décembre 2023)
Anne Jouanjan[20]   Cheffe d'entreprise[21]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 3 029 habitants[Note 3], en évolution de −8,43 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2001 2201 4261 3991 4381 6161 6241 8491 898
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8391 8951 9932 0352 3992 3672 5042 5582 720
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 8082 8532 7682 6862 9332 9112 9803 0323 249
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 4103 6543 7663 6033 2563 1123 1293 1353 181
2015 2020 2021 - - - - - -
3 3083 0253 029------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]
  • Foire aux vins Produits du terroir (au mois d’avril)
  • Fête du livre et des fleurs (au mois de mai)
  • Fête patronale de la Saint-Jean (au mois de juin)
  • Fête de la truite (au mois de juillet)
  • Fête du boudin d'herbes (au mois de novembre). Une pâtisserie locale a créé dans les années 1960 le boudin pâtissier, constitué d'une génoise fourrée d'une crème chocolat, et entourée d'une pâte de chocolat, le tout ressemblant au boudin noir[26],[27].
  • Terrains de grands et petits jeux
  • Salle de sport
  • Terrain de tennis
  • Gymnase intercommunal
  • Stade Gauchon
  • Stade Giraud

Enseignement : la cité scolaire l'Astrée compte un collège qui accueille environ 650 élèves et un lycée qui accueille environ 300 élèves.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Château de Chabert.
Ce château a été construit au XVIIIe siècle par un architecte italien – Dalgabbio. Classé monument historique, il possède une magnifique et rare rotonde à l’italienne et des salles de réception à décor Louis XVI. Situé aux derniers étages du château, le musée des Vignerons du Forez retrace la vie des vignerons foréziens au début du XXe siècle : le travail de la vigne (la taille, les vendanges, le greffage), la vie quotidienne des vignerons grâce aux reconstitutions d’intérieurs (le bistrot forézien, la cuisine, la chambre à coucher, la loge de vigne)[28].
L'église est ornée de 12 vitraux de 1887 et 1914, réalisés par les ateliers Lorin de Chartres et répertoriés dans l'Inventaire général du patrimoine culturel (baies 9 à 20)[29],[30]
Église Saint-Jean-Baptiste.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Équipements culturels

[modifier | modifier le code]
  • Bibliothèque / Bibliobus / Médiathèque.
  • Cinéma L’Entract.
  • Château de Boën – musée des Vignerons du Forez, fréquenté par environ 3 000 visiteurs par an[31].
  • Gymnase intercommunal.
  • Pôle interassociatif avec une école de musique intercommunale et l'APIJ (Association de jeunes du territoire)

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Boën se blasonnent ainsi :

D’or au chevron de gueules chargé en chef d’une merlette de sable.

Attribué par D'Hozier (1702).

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Boën-sur-Lignon, il y a une ville-centre et six communes de banlieue.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Loire », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Décret no 2012-938 du 1er août 2012 portant changement du nom de communes
  3. « Distance par la route entre Boën-sur-Lignon et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  4. OpenStreetMap, « Distance par la route entre Aboën et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Boën-sur-Lignon » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Boën-sur-Lignon » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Boën-sur-Lignon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune de Boën-sur-Lignon ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Les élections municipales auront lieu le dimanche 3 décembre, Le Progrès, Charles-Edouard Chambon, 19 octobre 2023
  17. Son portrait sur le site de l'École normale de Montbrison
  18. Lucien Moullier reçoit la distinction de maire honoraire sur leprogres.fr
  19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  20. Élie Grillet, « Anne Jouanjan est la première femme à être élue maire de la commune », sur Le Progrès (consulté le ).
  21. Anne Jouanjan va prendre la tête de la mairie de Boën-sur-Lignon, If Saint-Étienne, Xavier Alix, 4 décembre 2023
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Le boudin pâtissier depuis les années 60, Le Progrès, 10 novembre 2016
  27. Le boudin pâtissier ou boudin au chocolat, Loire Forez tourisme
  28. Château de Boën et son musée des Vignerons du Forez
  29. « Ensemble de 10 verrières figurées : le Décalogue (baies 9 à 18) », notice no IM42000883, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  30. « Ensemble de 2 verrières figurées : Résurrection de Lazare, Baptême du Christ (baies 19, 20) », notice no IM42000884, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  31. « Une muséographie extraordinaire avec des outils modernes » , Le Progrès, 14 mars 2017

Sur les autres projets Wikimedia :

Article connexe

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]