Châteauneuf-Grasse — Wikipédia

Châteauneuf-Grasse
Châteauneuf-Grasse
Vue du village depuis le golf de la Bastide.
Blason de Châteauneuf-Grasse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis
Maire
Mandat
Emmanuel Delmotte
2020-2026
Code postal 06740
Code commune 06038
Démographie
Gentilé Châteauneuvois (ou Castelnevois)
Population
municipale
3 716 hab. (2021 en évolution de +15,44 % par rapport à 2015)
Densité 415 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 33″ nord, 6° 58′ 32″ est
Altitude Min. 221 m
Max. 658 m
Superficie 8,95 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Cannes - Antibes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valbonne
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Châteauneuf-Grasse
Liens
Site web ville-chateauneuf.fr

Châteauneuf-Grasse (dénommée localement Châteauneuf) est un village et une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Châteauneuvois ou Castelnevois.

Géographie

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Le village lui-même est situé au sommet d'une colline, mais le territoire de la commune inclut d'autres collines ainsi que le terrain plus plat de Pré-du-Lac, où habitations et commerces se sont développés dans les années 1980.

Les sources sont nombreuses sur le territoire de la commune (on trouve plusieurs lavoirs), et sont facilement repérables aux bosquets de platanes et de figuiers qui les entourent, comme au lieu-dit Fouan-Figuière.

Localisation

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Communes limitrophes de Châteauneuf-Grasse
Grasse
Le Bar-sur-Loup
Le Bar-sur-Loup Le Rouret
Grasse Châteauneuf-Grasse Opio
Grasse Valbonne Opio

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 990 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 15,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 920,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −3,3 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Châteauneuf-Grasse est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cannes - Antibes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (53,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (11,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (48,6 %), zones agricoles hétérogènes (19,9 %), forêts (18,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5 %), cultures permanentes (2,9 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Au printemps 1153, au moment d'une réconciliation entre l'évêque d'Antibes et les abbés de Lérins, le lieu est cité "Castello Novo", indépendant d'Opio. D'autres textes appellent le lieu "Castrum de Castello" et "Castro Novo".

La forme « Châteauneuf-de-Grasse » est aussi employée au lieu de la forme officielle Châteauneuf-Grasse. Ces appellations « satellisent » quelque peu la commune à la ville de Grasse, son chef-lieu d'arrondissement. La municipalité s’efforce donc de n’employer que la forme « Châteauneuf ».

Le village a été fondé au XIIe siècle par les seigneurs d'Opio. Ils ont construit un nouveau château sur le point culminant de leur seigneurie. Il s'y trouvait déjà un « catellaras », une enceinte datant de l'âge du fer.

Les habitants d'Opio vinrent ensuite s'établir dans ce Châteauneuf pour se protéger des incursions des Grassois et le site est devenu Châteauneuf d'Opio. Une période troublée a marqué la prise de contrôle de l'est de la Provence par les comtes de Barcelone devenus comtes de Provence. L'armée du comte de Provence commandée par Romée de Villeneuve a pris Opio en 1178. Châteauneuf d'Opio est pris en 1229. Châteauneuf d'Opio se détacha d'Opio en 1257.

En 1306, la seigneurie appartient à la famille de Grasse-Cabris, puis, à la suite d'un mariage, à la famille Lascaris de Vintimille en 1400, et au XVIIe siècle aux Puget de Saint-Marc.

Le village connaît une période de prospérité au XVIe siècle. Le haut du village est détruit par un incendie au XVIe siècle.

On note des conflits entre les habitants de Châteauneuf et ceux des villages voisins au sujet des pèlerinages au sanctuaire de Notre-Dame du Brusc, en particulier en août 1763.

En 1826, les habitants du hameau de Bergier demandent la séparation d'avec Châteauneuf parce « qu'ils sont privés de secours religieux et que les chemins les plus utiles sont impraticables ». En 1830, Bergier est rattaché à la commune du Rouret.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1945 ? Louis Mouton
(1881-1962)
   
mars 1977 juin 1995 Pierre Weiss[14]
(1931-2015)
  Kinésithérapeute, maire honoraire
juin 1995 mars 2014 Jean-Pierre Maurin UDI Retraité
Vice-président de la CA de Sophia Antipolis
Réélu en 2001 et 2008[15]
mars 2014 En cours Emmanuel Delmotte SE Directeur régional d'un CFA
Vice-président de la CA de Sophia Antipolis
Réélu pour le mandat 2020-2026

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

En 2021, la commune comptait 3 716 habitants[Note 3], en évolution de +15,44 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0621 1711 2091 234567615651652618
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
617666663604594550530522563
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
556668687675782936916863977
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1031 2781 6022 1282 8062 9683 1183 1603 154
2018 2021 - - - - - - -
3 6463 716-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Équipement de la commune

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Le commune a équipé le bâtiment qui abrite la cantine scolaire et des salles de sport d'une installation de valorisation des biodéchets et de génération d'électricité. Grâce à ce bâtiment à énergie positive et à une production d'électricité excédentaire, la commune se positionne en producteur d'électricité[20].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Notre-Dame du Brusc[21] : église ou chapelle du XIe siècle, classée monument historique en 1986, à la suite de sa restauration. Elle est construite sur les vestiges d'une basilique, elle-même construite sur les bases d'une église du Ve siècle. C'est devenu un lieu de concerts et de représentations théâtrales. L'église a été classée Monument historique le 20 août 1986[22].
  • Église Saint-Martin[23], dominant le village, a été construite au XVIIe siècle. L'église est à nef unique avec chapelles latérales, transept et chœur à chevet plat. Elle est voûtée en berceau avec une décoration de stucs et d'autels baroques. Le clocher de l'église a été refait en 1826.
  • Chapelle Saint-Sébastien romane dont il reste une abside en cul-de-four incluse dans un bâtiment d'habitation.
  • Chapelle de la Trinité[24], d'origine médiévale, construite sur un ancien fanum, au sud-ouest du village.

Personnalités liées à la commune

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  • Calouste Gulbenkian (1869-1955), financier arménien. Son fils Nubar Sarkis est enterré à Châteauneuf-Grasse depuis 1972.
  • Le roi Albert II de Belgique et la reine Paola de Belgique, y ont acheté une villa Les Romarins en 1991. Lorsqu'ils sont montés sur le trône en 1993, les mesures de sécurité ont été renforcées. Ils ont ensuite acheté deux villas voisines (une pour les gardes du corps et le personnel, et l'autre pour leurs invités). Le couple royal y séjourne durant les congés de Carnaval, de Pâques, d'été, de Toussaint et de Noël ; de nombreux arrêtés royaux sont signés à Châteauneuf-Grasse. Leur yacht Alpa est amarré au port d'Antibes. La presse n'a jamais été invitée dans leur demeure[réf. nécessaire].
  • L'actrice Magali Noël (1931-2015) a vécu à la maison de retraite de Châteauneuf et y est morte[25].
  • L'acteur allemand Anton Diffring (1918-1989) vient mourir à Châteauneuf[26].
  • L'humoriste Coluche y a habité à partir de mai 1986 jusqu'à son décès le 19 juin 1986[27].
  • L'ancien président du conseil italien Silvio Berlusconi y possède une maison[28].
  • Le grand-duc Henri de Luxembourg y réside occasionnellement[29].
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Le futur « Châteauneuf, canton du Bar » n’a pas été doté d’armes en 1696-1700 (Armorial général de France)[30].

En 1978, Pierre-Jean Ciaudo a proposé pour « Châteauneuf-de-Grasse » : D'argent au château de gueules, surmonté d'un bœuf du même, le château rappelant le toponyme (armes parlantes) et le bœuf étant emprunté à la famille du Puget[31].

Les armes de la commune adoptées le 7 décembre 1999 par une délibération du conseil municipal pour dépôt officiel auprès des Armoriaux de Provence et de France.

Blason de Châteauneuf-Grasse Blason
Coupé : au 1er parti au I d'or à l'aigle bicéphale de sable, au II d'azur à la fleur de lis d'or, au 2e de gueules au château donjonné d'argent ouvert et maçonné de sable.
Détails
Différences entre dessin et blasonnement : le château est dit donjonné mais n'est pas dessiné ainsi.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

La devise de la commune est Castellum novum, virtus antiqua. Au château « parlant », ces armes municipales rajoutent un élément de celles de la famille Lascaris de Vintimille (seigneur du lieu) et celles de la Provence.

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Châteauneuf-Grasse et Valbonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Valbonne-Sophia », sur la commune de Valbonne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cannes - Antibes », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Pierre Weiss, ancien maire, est décédé : On a appris avec tristesse le décès de Pierre Weiss, maire honoraire de la commune, survenu dimanche à l'âge de 84 ans. », Nice-Matin,‎ (lire en ligne).
  15. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes (consulté le 20 juin 2008).
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Énergie : dans les Alpes-Maritimes, une commune fait sa transition écologique.
  21. Châteauneuf-Grasse : Notre-Dame du Brusc
  22. « Église Notre-Dame du Brusc », notice no PA00080703, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  23. Châteauneuf-Grasse : Église
  24. Châteauneuf-Grasse : chapelle de la Trinité
  25. Sylvain Siclier, « Magali Noël », Le Monde,‎ , p. 18 (lire en ligne Accès payant)
  26. (en) « German actor Anton Diffring dies », Toronto Star,‎ , p. 18 (lire en ligne Accès payant)
  27. « 19 juin… on pense toujours a l’ami coluche… mort il y a déjà… 35 ans ! », sur Autonewsinfo (consulté le ).
  28. La rédaction, « "Dès qu'il s'agit de faire joujou avec son tuyau...": Silvio Berlusconi et un village des Alpes-Maritimes au cœur de la chronique de Charline Vanhoenacker », sur Nice-Matin, (consulté le ).
  29. Mathilde Frénois, « «Ils n’ont pas de conscience citoyenne» : dans les Alpes-Maritimes, la chasse aux VIP qui surconsomment une eau devenue rare », sur Libération (consulté le ).
  30. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Monein, Éditions Pyremonde/Princi Negue, (1re éd. 1866), 314 p. (ISBN 2-84618-581-6), p. 290.
  31. Pierre-Jean Ciaudo (ill. Georges Renevey), Armoiries et institutions des communes des Alpes-Maritimes, du comté de Nice et de la principauté de Monaco, Éditions Alp'Azur, , 313 p. (ISBN 2-902700-01-6), p. 143.

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Bibliographie

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  • Sylvain Gagnière, Châteauneuf de Grasse (Alpes-Maritimes), Gallia Préhistoire, IV, 1961, p. 378.
  • Lucien Aune, Châteauneuf en pays de Grasse, histoire d’un village du Moyen pays, Valbonne, L’Étoile du Sud, , 136 p. (lire en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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