Chalamont — Wikipédia

Chalamont
Chalamont
Ancienne mairie.
Blason de Chalamont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Arrondissement de Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté de communes de la Dombes
Maire
Mandat
Bruno Charvieux
Élections municipales de 2020 dans l'Ain 2020-2026
Code postal 01320
Code commune 01074
Démographie
Gentilé Chalamontais
Population
municipale
2 559 hab. (2021 en évolution de +6,31 % par rapport à 2015)
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 59′ 47″ nord, 5° 10′ 19″ est
Altitude Min. 269 m
Max. 330 m
Superficie 32,88 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Chalamont
(ville isolée)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ceyzériat
Législatives Quatrième circonscription de l'Ain Quatrième circonscription
Localisation
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Chalamont
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Chalamont
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Chalamont
Liens
Site web https://mairie-chalamont.fr/

Chalamont est une commune française située dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Depuis 2014, elle appartient au canton de Ceyzériat qui fait partie lui-même de l'arrondissement de Bourg-en-Bresse. Selon l'Insee, elle fait partie de l'aire urbaine de Lyon[1].

Les habitants de Chalamont s'appellent les Chalamontais.

Géographie

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Chalamont est une ville en plein cœur de la Dombes, à 10 km au nord de Meximieux, au croisement des routes Villefranche-sur-Saône - Ambérieu-en-Bugey et Meximieux - Bourg-en-Bresse. La ville est assise sur le plateau de la Dombes, et elle s'en proclame le point culminant. Elle est traversée par le Toison, affluent de l'Ain. Sur la commune de Chalamont, se trouve l'étang Magnenet, dans lequel la Veyle prend sa source.

La commune de Chalamont appartient au bassin de vie de Meximieux[2]. Elle est plus proche de Bourg-en-Bresse (26 km) que de Lyon distante d’une quarantaine de kilomètres. Néanmoins, la commune est à une vingtaine de kilomètres de Dagneux qui est limitrophe de l'unité urbaine de Lyon, et appartient à l'aire urbaine de Lyon[1].


Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 055 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 117,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Chalamont est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chalamont, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,3 %), eaux continentales[Note 2] (20,1 %), prairies (15,6 %), forêts (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), zones urbanisées (3,5 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Attestations anciennes

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Calomons, Coelomons, de Calamonte, de Chalamonte, Castelamont, Chalemont, Chalamons.

Plaque rendant hommage au courage du maire Antoine Lajoux en 1945.

Son nom est probablement un dérivé du patronyme Salomon, tout comme l'était le nom du Port de Chalamont devenu quai Saint-Antoine à Lyon.

Petite ville, qui est certainement une des plus anciennes de la Dombes, puisqu'elle donna son nom à un archiprêtré et que la création des archiprêtrés remonte au concile de Pavie de l'an 850, n'apparaît dans les documents qu'au XIe siècle. À cette époque, elle était possédée en franc-alleu par une puissante famille du nom et armes de Chalamont, qui y fit bâtir, près d'une poype, un château fort (château de Chalamont), dont on voit encore les traces.

En 1212[15], la seigneurie est acquise par Guichard IV de Beaujeu pour 1 000 sous forts d'Alard de Chalamont.

Le [15], Édouard II, sire de Beaujeu, donne la seigneurie à Louis II, duc de Bourbon.

La ville est détruite en 1595 par les Bressans.

L'ancien hôpital de cette ville ayant été ruiné par suite des guerres, le duc du Maine, par lettres du mois de , autorisa le nouvel hôpital, fondé par Mme Louise Saulnier, veuve de Jean-Baptiste Simonin. Il le prit même sous sa protection particulière et ordonna qu'on mît sur la grande porte ses armes accompagnées de cette inscription : Hôpital de Charité. Cet hôpital, qui ne comptait que quatre lits lors de sa fondation, en comptait huit en 1764 et douze en 1787.

Le même souverain de Dombes accorda la permission, le , à MM. Curtillat, docteur en théologie et archiprêtre de Dombes, et Noël Chomel, aussi docteur en théologie et curé de la paroisse Saint-Vincent de Lyon, « de fonder à Chalamont, sous le nom de Maison des Filles de l'Enfant-Jésus de Saint-Vincent, une maison de filles propres à instruire la jeunesse dans les principes de la religion et à leur enseigner à lire, à écrire, faire des dentelles, habits, linges, broderies et plusieurs autres ouvrages auxquels les jeunes filles doivent s'appliquer, même à fabriquer des droguets et boyettes, » et de les établir dans la maison qu'ils avaient achetée à cet effet, le .

En 1812, la commune de Ronzuel est absorbée par Chalamont.

L'église de Chalamont, d'abord sous le vocable de Notre-Dame et aujourd'hui de saint Roch, dépendait, dans le principe, des archevêques de Lyon. Ils la cédèrent, on ne sait à quelle époque, à l'abbaye de la Chaise-Dieu, à qui elle fut confirmée, en 1116, par l’archevêque Gauceran. Elle passa, peu après, à l’abbaye de Cluny, puis, en 1132, à celle d’Ambronay, qui conserva jusqu'en 1789 le droit de nomination à la cure. L'église de Notre-Dame était située sur le sommet de la colline et desservait à la fois la ville et le château. En 1158, elle fut visitée par les reliques de saint Taurin, portées par les moines de Gigny.

Par son testament du , Antoinette de Montazac, fille de Jacques de Montazac et femme de noble Claude de Brie, demanda à y être enterrée et lui légua « sa robe d'écarlate pour faire deux chasubles : l'une pour servir à l'autel de la Vierge, l'autre pour servir à la chapelle de Saint-Germain, fondée par ses pères. »

Au XVIIe siècle cette église fut remplacée par une autre, bâtie dans la ville, sous le vocable de saint Roch, et dont la construction commença le , ainsi que l'apprend l'inscription suivante, gravée au-dessus de la grande porte :

« AU NOM DE DIEU DU SAINCT SACRE ROSAIRE ET DE MONSIEUR SAINT-ROCH LA PRESENTE EGLISE A ETE DEDIEE EDIFIEE ET COMMENCEE LE 17e IOVR DE MAY 1629. »

Le revenu de la cure consistait dans le tiers de la dîme de Saint-Martin, dans les cinq douzièmes de celle de Chalamont, dans le produit de deux vignes et de quelques pies d'étangs.

Mansus de Armondes, mas dans l'ancienne paroisse de Ronzuel, aujourd'hui commune de Chalamont. Au mois d', Louis Ier de Beaujeu, sire de Beaujeu, concéda à Guy de Saint-Trivier toute justice sur ses habitants, sauf à en référer pour le supplice de mort[16].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Chalamont est membre de la communauté de communes de la Dombes, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Châtillon-sur-Chalaronne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[11]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Ceyzériat pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[11], et de la quatrième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[18].

Administration municipale

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Mairie.

Élections présidentielles

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Résultats des seconds tours :

Élections législatives

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Chalamont fait partie de la quatrième circonscription de l'Ain.

Résultats des seconds tours (excepté en 2007):

Liste des maires

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Six maires se sont succédé depuis 1945 :

Liste des maires depuis 1945[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 Antoine Lajoux    
1947 1959 Joseph Gromier    
1959 1965 Marcel Letoublon    
1965 1995 Louis Lamarche Radical puis
MRG puis
PRG
Négociant en produits agricoles - Conseiller général (1970-1994)
1995 2008 Georges Marguin   Artisan électricien
2008 2020 Ali Benmedjahed PRG Professeur, conseiller régional
2020 En cours Bruno Charvieux   Employé

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 2 559 habitants[Note 3], en évolution de +6,31 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2301 2519541 3491 4221 5921 5611 7141 824
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7481 6791 8661 8101 8951 9001 8881 8571 812
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6991 5911 7051 5211 3581 3631 2531 3011 167
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1841 1991 3071 4151 4761 6582 0122 3652 406
2021 - - - - - - - -
2 559--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Un ensemble de trois maisons du XVe siècle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [30],[31],[32] : la maison Maron, la maison Bolli et la maison Mingat. Elles sont toutes trois situées dans le quartier moyenâgeux.

Par ailleurs, on peut voir à Chalamont : les nombreux étangs ainsi que l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, le monument aux morts, les vestiges de l'enceinte urbaine ainsi que celles du château, qui fut centre de châtellenie. Le château fut bâti, sur motte ou poype, par les sires de Chalamont cité depuis le XIe siècle. En 1212, Alard de Chalamont cède ses droits sur la ville et le château au sire de Beaujeu. En 1308, Guichard de Beaujeu en fait aveu à l'archevêque de Lyon. En 1400, le château passe, avec tous les autres biens des Beaujeu à Louis de Bourbon[33].

  • Chapelle de Ronzuel.

Espaces verts et fleurissement

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En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[34].

Personnalités liées à la commune

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  • Antoine Marie Garin fut vicaire de la paroisse, de à 1837.
  • Frédéric Ozanam était le petit-fils de Pierre dit Benoît Ozanam, notaire royal, à Chalamont, à partir de 1755. Le fils de Pierre, Jean-Antoine-François (père de Frédéric) fut, pendant un temps, propriétaire des terres à Chalamont.
  • Victor Joseph Antoine Meunier, militaire français, est né dans la commune en 1848.

Littérature

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Le club de football de l'US Dombes est né en 1992 d'une fusion entre l'ES Rignieux-le-Franc et l'US Chalamont. L'US Dombes a joué en Honneur Régional au cours de la saison 2007-2008.

Héraldique

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Armes de Chalamont

Les armes de Chalamont se blasonnent ainsi[35] : D'or aux trois fasces de gueules, à la bordure du même.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b « Composition de l'aire urbaine 2010 de Lyon », sur insee.fr, (consulté le ).
  2. « Fiche communale INSEE de Chalamont », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Chalamont et Château-Gaillard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Chalamont », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Marie-Claude Guigue, Topographie historique du département de l'Ain, Bourg, Gromier Ainé, , 518 p. (BNF 30556006, lire en ligne), p. XXXVIII.
  16. Marie-Claude Guigue, Topographie historique du département de l'Ain, A. Brun, Lyon, 1873, p. 12 (lire en ligne).
  17. « communauté de communes de la Dombes - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  19. « Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « Résultats de l’élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur. », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  21. « Résultats de l’élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Résultats des élections législatives 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « Résultats des élections législatives 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Résultats des élections législatives 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur. », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  25. Dominique Saint-Pierre, Dictionnaire des hommes et des femmes politiques de l'Ain, Éditions Musnier-Gilbert, 2011.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Notice no PA00116359, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Notice no PA00116358, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Notice no PA00116357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 18 (cf. Chalamont).
  34. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  35. « Blason de Chalamont »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur labanquedublason2.com.

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Articles connexes

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Liens externes

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