Cocumont — Wikipédia

Cocumont
Cocumont
La mairie (déc. 2009).
Blason de Cocumont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Val de Garonne Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Luc Armand (PRG)
2020-2026
Code postal 47250
Code commune 47068
Démographie
Gentilé Cocumontais
Population
municipale
1 088 hab. (2021 en évolution de −1,98 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 59″ nord, 0° 01′ 37″ est
Altitude 135 m
Min. 33 m
Max. 148 m
Superficie 25,44 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Marmande
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marmande-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cocumont
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Cocumont
Liens
Site web http://www.cocumont.fr

Cocumont est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Cocumont village gascon, ses paysages son vignoble, ses fêtes ...

La commune de Cocumont se situe dans l'extrême ouest du département de Lot-et-Garonne, en limite du département de la Gironde, à 67 km au nord-ouest d'Agen, chef-lieu du département, à 15 km au sud-ouest de Marmande, chef-lieu d'arrondissement.

Communes limitrophes

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Cocumont est limitrophe de huit autres communes dont deux en Gironde. Les communes limitrophes sont Meilhan-sur-Garonne, Grignols, Sigalens, Guérin, Marcellus, Montpouillan, Romestaing et Saint-Sauveur-de-Meilhan.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 805 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-Curton à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 867,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Cocumont est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,6 %), terres arables (22,4 %), cultures permanentes (21,6 %), forêts (15,1 %), prairies (9,4 %), zones urbanisées (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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La route départementale D 3 qui traverse le village mène vers le nord à Sainte-Bazeille et vers le sud à Romestaing et au-delà à Grignols.

Du village, la route départementale D 264 mène vers le nord-ouest à Saint-Sauveur-de-Meilhan puis Meilhan-sur-Garonne. Vers l'est, la route départementale D 289 mène à Samazan puis au Mas-d'Agenais tandis que la route départementale D 147 conduit vers le sud-est à Bouglon puis à Casteljaloux.

Cocumont se situe à égale distance (11 à 12 km) de l'accès no 4, dit de La Réole, au nord-ouest, et l'accès no 5, dit de Marmande, à l'est, de l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse).

La gare SNCF la plus proche est, à 16 km vers le nord-est, celle de Marmande sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Cocumont est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Sérac. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009 et 2018[16],[14].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cocumont.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

La graphie du nom de la commune est identique en gascon.

Ses habitants sont appelés les Cocumontais[20].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Gilbert Thoumazeau    
1947 mars 1965 Gilbert Claverie    
mars 1965 juin 1995 Roger Boyance    
juin 1995 mars 2008 Joseph Lorenzon    
mars 2008
(réélu en mai 2020[21])
En cours Jean-Luc Armand PRG Enseignant
Président de la fédération PRG de Lot-et-Garonne (depuis 2020)
Conseiller régional depuis 2021

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[22].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 1 088 habitants[Note 3], en évolution de −1,98 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5281 5501 5721 5701 6761 7221 6641 7321 706
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6511 7081 6941 6621 6751 5941 4711 4351 435
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4391 4001 3501 1521 1671 1741 1921 1941 152
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1421 1411 0221 0229378889349471 078
2018 2021 - - - - - - -
1 0661 088-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste de style néogothique, construite du XIXe siècle, se situe dans le centre du village.
  • Église Saint-Jean de Vidailhac de Cocumont. Au lieu-dit Vieille Église, se trouve, au milieu d'un cimetière encore en usage, l'église Saint-Jean de Vidailhac de style roman datant du XIIe siècle, souvent réaménagée et restaurée au cours des siècles suivants, aujourd'hui fermée, en état de relatif délabrement et inutilisée. Elle est classée monument historique depuis 1927[27].
  • Église Saint-Martin de Goux de Cocumont. Au lieu-dit Gouts (ou Goutz, Goux ou Goutx) l'église romane de Gouts du XIIe siècle dédiée à saint Martin, remaniée au XVIIIe siècle, appelée également église Goux de Loutrange, est classée monument historique depuis 1965[28].
  • Église Saint-Jean-Baptiste de Cocumont. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[29].
  • Église Saint-Gervais de Cocumont. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[30].
  • Une église romane du XIIe siècle dédiée à saint Jean de Vidalque puis à saint Gervais existait au lieu-dit Briolet ; elle a été classée en 1927[31] mais, en très mauvais état, elle a quasiment disparu depuis 1970 et il n'en reste que des ruines portant des peintures murales inventoriées[32] et une cloche datant de 1578 classée à l'inventaire des monuments historiques en 1910[33].
  • Une ancienne église du XIVe siècle dite Saint-Sylvestre-de-Loutrange a existé au lieu-dit Saint-Sylvestre mais, vendue comme bien national à la Révolution, elle est aujourd'hui entièrement transformée en maison et grange.
  • De nombreux « objets » (cloches, bénitiers et autres mobiliers) abrités par les églises Saint-Jean-Baptiste, Saint-Jean-de-Vidailhac et Saint-Martin de Gouts sont répertoriés à l'inventaire du ministère de la Culture[34]. Une cloche de l'église Saint-Jean-Baptiste a été offerte par la confrérie des Pénitents blancs de Cocumont[35].

Personnalités liées à la commune

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Noms des rues

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  • Une grande partie des noms de rues sont issus des vignes. Le bourg regroupe les cépages à vin rouge tandis que les lotissements se partagent les cépages blancs. Par exemple :
    • Place des Vignerons : anciennement place de la Mairie ou place du Marché
    • Rue des Bouilleurs de cru : rappelle l'activité passée d'un distillateur à cet endroit jusque dans les années 1960.

Commune au nom burlesque

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De par sa toponymie, le village de Cocumont fait partie de l'association des communes de France aux noms burlesques et chantants.
À ce titre, Cocumont a organisé la troisième rencontre en 2005.

Héraldique

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Blason de Cocumont Blason
D'or à la montagne de chênes de sinople, au chef d'azur chargé de trois abeilles d'or[36].
Détails
Créé en 1863.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Cocumont et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Cocumont ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marmande », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Cocumont », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. Nom des habitants de Cocumont sur habitants.fr, consulté le 5 juillet 2011.
  21. , « Jean-Luc Armand réélu pour son troisième mandat », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
  22. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Classement MH de l'église Saint-Jean-de-Vidailhac », notice no PA00084096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Classement MH de l'église Goux de Loutrange », notice no PA00084097, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Eglise paroissiale Saint-Gervais », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Classement MH de l'église Saint-Gervais de Briolet », notice no PA00084096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Images des peintures murales de l'église Saint-Gervais », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  33. « Classement MH de la cloche de l'église Saint-Gervais de Briolet », notice no PM47000102, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  34. « Inventaire des objets de Cocumont », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  35. A. Veilhon, La Compagnie des Pénitents blancs de Cocumont aux XVIIe et XVIIIe siècles, p. 396-402, Revue de l'Agenais, 1925, tome 52 (lire en ligne), et p. 56-65, Revue de l'Agenais, 1926, tome 53 (lire en ligne)}
  36. Armorial de France