Phalsbourg — Wikipédia
Phalsbourg | |
La place d'Armes, avec, au fond, la mairie. À droite, la statue de Georges Mouton, maréchal-comte de Lobau. | |
Blason | Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Sarrebourg-Château-Salins |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Phalsbourg |
Maire Mandat | Jean-Louis Madelaine 2020-2026 |
Code postal | 57370 |
Code commune | 57540 |
Démographie | |
Gentilé | Phalsbourgeois |
Population municipale | 4 683 hab. (2021 ) |
Densité | 356 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 46′ 07″ nord, 7° 15′ 33″ est |
Altitude | Min. 200 m Max. 384 m |
Superficie | 13,15 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Phalsbourg (ville-centre) |
Aire d'attraction | Phalsbourg (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Phalsbourg (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | phalsbourg.fr |
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Phalsbourg (allemand : Pfalzburg) est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du pays de Sarrebourg.
Ses habitants sont appelés les Phalsbourgeois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Ville d'environ 4 800 habitants, fondée en 1570 par le comte palatin Georges-Jean de Palatinat-Veldenz à qui elle doit son nom, cédée au duc de Lorraine en 1590 puis, à l'époque de l'occupation Française, fortifiée par Vauban, Phalsbourg, annexée par la France en 1661, se situe à la frontière de la Lorraine et de l'Alsace.
Linguistiquement la commune est coupée en deux : étant à l'ouest en zone francique et à l'est en zone alémanique.
Localisation
[modifier | modifier le code]Phalsbourg est distante de 42 km de Strasbourg, de 80 km de Nancy, de 88 km de Metz et de 360 km de Paris (distance orthodromique)[1].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Phalsbourg fait partie du parc naturel régional des Vosges du Nord et de la réserve de biosphère transfrontalière des Vosges du Nord-Pfälzerwald.
- Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Écarts et lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Buchelberg au nord,
- Les Maisons Rouges (Rothhäuser) à l’ouest,
- La Roulette (Rollweiler) à l’est,
- Bois de Chênes (Eichwälder ou Eichbaracken),
- Trois-Maisons (Dreihäuser) au sud.
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone de sismicité 3 modérée[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Nesselbach, le ruisseau Charbonnerie, le ruisseau de Brunnenthal, le ruisseau Fond de Fouquet et le ruisseau Hesselgraben[Carte 1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Vilsberg | ||||
Mittelbronn | N | Danne-et-Quatre-Vents | ||
O Phalsbourg E | ||||
S | ||||
Dannelbourg | Lutzelbourg |
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 942 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 10,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Phalsbourg_sapc », sur la commune de Danne-et-Quatre-Vents à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 864,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,7 | −0,3 | 2,5 | 5,5 | 9,2 | 12,5 | 14,5 | 14,4 | 10,8 | 7,2 | 3,1 | 0,2 | 6,6 |
Température moyenne (°C) | 1,6 | 2,6 | 6,2 | 10,2 | 14 | 17,4 | 19,4 | 19,3 | 15,2 | 10,6 | 5,5 | 2,5 | 10,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 4 | 5,5 | 10 | 14,8 | 18,7 | 22,4 | 24,3 | 24,1 | 19,6 | 13,9 | 7,9 | 4,7 | 14,2 |
Record de froid (°C) date du record | −18,6 12.01.1987 | −22 10.02.1956 | −13,7 01.03.05 | −5,5 08.04.03 | −1,8 06.05.1957 | 3 02.06.1989 | 4,9 04.07.1962 | 4,7 13.08.1949 | 0,4 27.09.1972 | −6 29.10.12 | −10,3 22.11.1988 | −16,9 20.12.09 | −22 1956 |
Record de chaleur (°C) date du record | 17,1 01.01.23 | 19,6 24.02.21 | 24,3 31.03.21 | 28,8 28.04.12 | 31,8 27.05.05 | 34,7 18.06.02 | 37 24.07.19 | 38,1 12.08.03 | 32,3 06.09.1949 | 27,8 13.10.23 | 21,5 02.11.20 | 18,7 16.12.1989 | 38,1 2003 |
Précipitations (mm) | 68,2 | 64,3 | 66,8 | 53,9 | 81,2 | 68,9 | 71,6 | 72,7 | 72,2 | 83,1 | 75,3 | 86,7 | 864,9 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
4 −0,7 68,2 | 5,5 −0,3 64,3 | 10 2,5 66,8 | 14,8 5,5 53,9 | 18,7 9,2 81,2 | 22,4 12,5 68,9 | 24,3 14,5 71,6 | 24,1 14,4 72,7 | 19,6 10,8 72,2 | 13,9 7,2 83,1 | 7,9 3,1 75,3 | 4,7 0,2 86,7 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Phalsbourg est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Phalsbourg[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Phalsbourg, dont elle est la commune-centre[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (27,7 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones urbanisées (22,2 %), forêts (18 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,6 %), terres arables (3,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La communauté de communes est devenue Autorité organisatrice de la mobilité (AOM).
Voies routières
[modifier | modifier le code]Phalsbourg est traversée par la route nationale 4 (qui devient la route départementale 604 entre l'entrée ouest de la commune et la limite entre les départements de la Moselle et du Bas-Rhin), l'autoroute A4 et la route départementale 38 ; elle constitue également l'origine de la route départementale 661 (ancienne route nationale 61).
Voies ferrées
[modifier | modifier le code]La gare de Phalsbourg était située sur l'ancienne ligne à voie métrique de Lutzelbourg à Drulingen aujourd'hui déclassée et déposée. Une autre gare se trouvait à l'ouest de la commune au lieu-dit Maisons-Rouges. Le quartier La Horie disposait d'un embranchement ferroviaire qui le reliait à la ligne de Réding à Drulingen.
La gare ouverte au service voyageurs la plus proche est celle de Lutzelbourg.
La commune est traversée, au nord, par la ligne à grande vitesse Est européenne.
Toponymie
[modifier | modifier le code]- Phalsbourg : du germanique Pfalz « palais / dignité de comte palatin » et Burg « place forte du prince palatin »[16]: Pfalzburg (1576), Pfaltzbourg (1591), Pfalzburgum et Pfalzburg (1751), Pfalzburg (1871-1918) ;
- En allemand : Pfalzburg[17]. En francique lorrain : Phalsburch ou Polsbuerj[18] ;
- Buchelberg : Spiegelberge (XVe siècle), Buchel (1719), Pigelberg (Cassini). Bichelberj en francique lorrain[18] ;
- Les Trois-Maisons : Drej Hiser en francique lorrain[18].
- Les Baraques du Bois de Chênes : Eich-Baracken (1845)[19]. Eich-Baraques en francique lorrain[18].
Sobriquet
[modifier | modifier le code]- Surnoms à propos des Phalsbourgeois : Les Ramp-pis / Les Ramp-chis[20]. Ramp est une abréviation de rempart, Pis et Chis sont des abréviations évoquant une besogne dégoûtante.
Histoire
[modifier | modifier le code]Époque moderne
[modifier | modifier le code]La ville de Phalsbourg est créée en 1570 par le comte palatin Georges-Jean de Veldenz, prince protestant, grâce à la dot de son épouse Anna-Maria, fille du roi de Suède Gustave Ier Vasa. La fondation est motivée par l’accueil des réformés et huguenots persécutés en France, alors indésirables dans le très catholique duché de Lorraine. Le comte palatin possède déjà le château d'Einartzhausen dans son comté de la Petite-Pierre, enclavé en Lorraine. Il fait tracer à proximité de ce château le plan d’une ville nouvelle, en damier, symbole alors d’ordre et de modernité, et accorde des franchises aux nouveaux habitants qui viennent peupler la ville. La création de Phalsbourg est reconnue le par l’empereur Maximilien II du Saint-Empire. La ville prend le nom de Pfalzburg, « Pfalz » signifiant Palatinat et « Burg », forteresse.
Toutefois, par manque d’argent, la ville est cédée au duc de Lorraine dès 1590 et les tentatives d’expulsion des réformés se multiplient, non sans se heurter à une farouche résistance de la population. Le comte palatin Georges-Gustave, fils aîné et héritier de Georges-Jean, fonde alors Lixheim en 1608, qui connaît le même sort que Phalsbourg en 1623.
Phalsbourg et Lixheim forment une éphémère principauté de 1629 à 1660, au profit de Henriette de Lorraine, sœur du duc Charles IV de Lorraine, et de ses maris successifs, au premier rang desquels Louis de Guise, baron d'Ancerville.
De 1634 à 1697, la Lorraine est occupée presque sans discontinuer par les troupes françaises. Les fortifications de la ville sont remaniées et complétées par Vauban qui fait reconstruire la ville en partie détruite lors de la guerre de Trente Ans[Note 5]. La commune est annexée au royaume de France en 1661 via le traité de Vincennes. Par la suite, le bailliage et la prévôté de Phalsbourg dépendent de la généralité de Metz. À la suite de la Révolution française, la ville est intégrée au département de la Meurthe en 1790 et devient alors chef-lieu de canton[21].
XIXe siècle
[modifier | modifier le code]Au XIXe siècle, Phalsbourg voit la naissance du maréchal Mouton, comte de Lobau, ainsi que la rencontre entre les deux auteurs régionalistes Émile Erckmann et Alexandre Chatrian.
La ville subit trois sièges (1814, 1815 et 1870), lui valant le surnom de « Pépinière des Braves ».
De 1870 à 1945
[modifier | modifier le code]Le , lors de la guerre franco-prussienne, Phalsbourg est défendue par le 63e régiment d'infanterie de ligne et le 1er bataillon de la garde nationale mobile de la Meurthe sous le commandement de Pierre Taillant. Elle est assiégée jusqu'au , date à laquelle les défenseurs succombent sous le nombre.
Après le traité de Francfort le , la ville est annexée à l’Empire allemand. Rebaptisée Pfalzburg, elle est alors rattachée à l'arrondissement de Sarrebourg, nouvel arrondissement du Reichsland Elsass-Lothringen. Durant la période allemande, une première ligne de chemin de fer est mise en service le avec l'ouverture de la section Lutzelbourg - Phalsbourg de la ligne de Lutzelbourg à Drulingen. En 1914, les conscrits phalsbourgeois, comme la plupart des Alsaciens-Lorrains, se battent sous les couleurs de l'Empire.
En 1918, après la fin de la Première Guerre mondiale et la signature du traité de Versailles, Phalsbourg redevient française comme le reste de l'Alsace-Lorraine, et fait désormais partie du nouveau département de la Moselle. Le , le président de la République Raymond Poincaré vient décerner à Phalsbourg la croix de chevalier de la Légion d’honneur pour son comportement héroïque lors du siège de 1870.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville est de nouveau annexée, cette fois par le IIIe Reich allemand. Son nom redevient Pfalzburg et elle est rattachée au Gau Westmark.
Le [22], malgré la combativité des troupes allemandes qui s'accrochent en Lorraine depuis septembre, la ville est prise par la 7e armée américaine. Un odonyme local (rue du 23-Novembre) rappelle cet évènement.
Depuis 1945
[modifier | modifier le code]En 1953, l’United States Air Forces in Europe entreprend la construction de la base aérienne de Phalsbourg-Bourscheid à trois kilomètres à l'ouest de la commune. Une cité comportant une quarantaine de pavillons est construite route de Trois-Maisons pour loger une partie des militaires américains et leurs familles. En 1959, elle prend le nom de cité Clark en mémoire du colonel Walter E. Clark mort en service aérien le 30 avril 1958.
La base de Phalsbourg est utilisée par les Américains jusqu’en 1967, date du retrait de la France du commandement intégré de l’OTAN. Le site est alors renommé quartier La Horie et devient une base d'hélicoptères de l'Aviation légère de l'Armée de terre.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2022
[modifier | modifier le code]En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :
- total des produits de fonctionnement : 4 932 000 €, soit 990 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 4 553 000 €, soit 916 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 1 356 000 €, soit 275 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 2 172 000 €, soit 437 € par habitant ;
- endettement : 4 124 000 €, soit 830 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 18,74 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 25,48 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 53,70 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 200 €[26].
Sécurité
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une brigade de gendarmerie.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[27] :
- Médecins à Phalsbourg, Dannelbourg, Saverne, Monswiller, Gottenhouse, Arzviller,
- Pharmacies à Phalsbourg, Lutzelbourg, Garrebourg, Saverne,
- Hôpitaux à Phalsbourg, Saverne, Niderviller, Reutenbourg, Sarrebourg.
L'ancien hôpital de Phalsbourg a fermé fin 1991. Il est transformé en centre soins-études pour adolescents géré par la Fondation Vincent de Paul.
Garnison
[modifier | modifier le code]Le groupe d'aviation légère du 1er corps d'armée (GALCA 1) est formé au quartier La Horie le . Il devient le 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) le .
La base accueille aussi le groupement de soutien de la base de défense de Phalsbourg (GSBdD), l'unité de soutien de l'infrastructure de la Défense de Phalsbourg (USID), la 42e antenne médicale, une antenne du Service industriel de l'aéronautique (SIAé) et un dépôt des essences (DEALAT).
Autres unités ayant tenu garnison à Phalsbourg :
- 1er régiment de chasseurs, 1969-1976 ;
- 68e régiment d'artillerie, 1976-1984 ;
- 6e régiment d'artillerie, 1984-1993 ;
- 2e et 3e escadrilles du 4e régiment d'hélicoptères de commandement et de manœuvre, 1985-1999 ;
- 9e régiment de soutien aéromobile, 1987-1999 ;
- 6e régiment du matériel, 1999-2005 ;
- 15e base de soutien du matériel, 2005-2014.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture et élevage
[modifier | modifier le code]- Élevage de vaches laitières.
- Élevage d'autres bovins et de buffles.
- Culture et élevage associés.
- Élevage d'autres animaux.
- Élevage d'ovins et de caprins.
- Aquaculture en eau douce.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Hôtels.
- Restaurants.
- Gîtes de France.
Commerces
[modifier | modifier le code]Commerces et services de proximité.
Depuis 1976, Phalsbourg accueille le siège du groupe FM Logistic et ses 300 employés[28].
L'usine de fabrication de panneaux de particules Depalor, qui comptait une centaine de salariés, a été détruite par un incendie le . En novembre de la même année, le groupe Swiss Krono, propriétaire de l'usine, décide de fermer définitivement le site[29].
La zone d'activité Maisons-Rouges, à l'entrée ouest de la commune, regroupe une trentaine entreprises et plus de 500 emplois[30].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2021, la commune comptait 4 683 habitants[Note 6], en évolution de −0,97 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[34] :
- École primaire du centre ;
- Collège et lycée Erckmann-Chatrian, fondé en 1803 et connaissant diverses dénominations au cours de son histoire ;
- Collège et lycée privés Saint-Antoine, fondé en 1933.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Archiprêtré de Phalsbourg Communauté St Jean Baptiste des Portes d'Alsace[35] Communauté St Jean Baptiste des Portes d'Alsace, Diocèse de Metz.
- Culte protestant[36],[37].
- Culte israélite[38].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]En 2017, Cédric Jung a créé l'application mobile « Découvrir Phalsbourg » permettant de faire découvrir la commune à ses visiteurs[39].
Vie culturelle
[modifier | modifier le code]Le théâtre et la littérature ont droit de cité à Phalsbourg. La commune accueille en effet depuis plus de trente ans un festival consacré au théâtre[40]. La ville a également un lien privilégié avec la littérature. Le Tour de la France par deux enfants, livre de lecture pour l'école primaire, première édition en 1877, par G. Bruno, commence à Phalsbourg, dans la province perdue cédée à l'Empire allemand en 1870. Les romans d’Erckmann-Chatrian mettent parfois en scène Phalsbourg : c’est entre autres la ville natale du soldat de l'Histoire d’un conscrit de 1813.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Édifices civils
[modifier | modifier le code]- Musée historique et Erckmann-Chatrian[41] ;
- Les portes de France[42] et d’Allemagne[43] (les fortifications ont été complétées par Vauban[44] à partir de 1679)[45] ;
- Château d'Einartzhausen[46], le premier château fondé en 1390 par le comte Henri de Lutzelstein fut construit afin de commander le passage des cols vosgiens. En 1568, le comte Georges-Jean de Veldenz fit reconstruire le château dans le style Renaissance. Vendu en 1588 au duc de Lorraine Charles III de Lorraine (ISMH) ;
- Hôtel de Ville - ancien corps de garde (ISMH)[47],[48] ;
- Ensemble des maisons de la place d’Armes (ISMH)[49],[50],[51],[52],[53],[54],[55],[56],[57],[58],[59],[60],[61],[62],[63],[64],[65] ;
- Maison - 2 rue du Collège ;
- Maison - 1 rue du Général-Micheler ;
- La place d’Armes (Site inscrit du "Sol de la Place d'Armes", par arrêté ministériel du 26.02.1936) ;
- Immeuble - 2 rue Lobau (ISMH)[66] ;
- Immeuble - 202 rue Castelnau[67] ;
- Immeuble - 201 rue du Maréchal-Foch[68] ;
- Caserne Lobau ;
- Ancien cimetière militaire, créé vers 1750 ;
- Le char Bourg-la-Reine, situé à l'entrée ouest de la commune[69], ce char Sherman faisait partie de la 2e division blindée. Il a été touché par plusieurs tirs d'obus de 88 mm le lors de la libération de l'Alsace-Moselle, le premier tir causant la mort de son pilote le brigadier-chef Lucien Barrau[70].
- Le monument des 3 sièges[71].
- Le Grognard dit Soldat de l'An 2[72].
- La Fée de la Forêt[73].
- Lavoirs[74].
- La statue Lobau (Maréchal Mouton) sur la place d’Armes[75].
- Monument Erckmann-Chatrian.
- Porte de France.
- Porte d'Allemagne.
- Ancienne caserne Lobau.
- Nid de cigognes à Phalsbourg.
- Ancien cimetière militaire.
- Le char Bourg-la-Reine.
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame-de-l'Assomption, 1876, néo-gothique. La façade sur la place d'Armes est inscrite sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques[76],[77],[78],[79],[80] ;
- Église de l'Immaculée-Conception, à Trois-Maisons ;
- Chapelle Saint-Jean[84],[85] ;
- Chapelle du collège Saint-Antoine ;
- Chapelle moderne de l'hôpital ;
- Église luthérienne[86], rue du Collège, ancienne salle de danse désaffectée qui servit de salle de prière, construction du XVIIe siècle. Celle-ci fut transformée en lieu de culte en 1822, clocheton avec deux cloches en 1835, un orgue en 1844, l'autel en 1857 ;
- Église néo-apostolique, rue de la Gare ;
- Synagogue[87], rue Alexandre-Weill, reconstruite en 1857 sur l'emplacement d'une ancienne datant de 1772, désaffectée en 2008[88],[89] ;
- Vieux cimetière israélite, lieu-dit Schlossbrunnen. Présence d'une communauté juive dès la fin du XVIIe siècle[90]. Important rabbinat pendant le XIXe siècle. Le cimetière, créé en 1796, agrandi entre 1867 et 1871, également utilisé par les juifs de Mittelbronn (auparavant, le secteur dépendait de Saverne). Comporte plus de 500 tombes, ainsi que des rangées de stèles du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle[91].
- Monuments aux morts[92] : Conflits commémorés : 1870-1871- 1914-1918[93] - 1939-1945.
- Grotte de Lourdes[94],[95].
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
- Orgues sur tribune.
- Église de l'Immaculée-Conception de Trois-Maisons.
- Église luthérienne.
- Synagogue (désaffectée).
- Chapelle du collège Saint-Antoine.
- Chapelle de l'hôpital.
- Chapelle Saint-Jean.
- Église néo-apostolique.
- Grotte de Lourdes.
- Monument aux morts de 14-18 et 39-45.
Espaces verts
[modifier | modifier le code]Le sentier botanique du Brunnenthal[96],[97], d'une longueur d'environ 4 kilomètres, compte une trentaine de panneaux permettant de découvrir les principales essences des Vosges du Nord.
Personnalités de la commune
[modifier | modifier le code]Personnalités nées à Phalsbourg
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à Phalsbourg
[modifier | modifier le code]- Alexandre Chatrian (1826-1890), écrivain.
- Augustin Schoeffler (1822-1851), prêtre missionnaire des Missions étrangères de Paris, a étudié à Phalsbourg.
- Charles-Joseph Parmentier (1765-1843), homme politique français, maire de Phalsbourg.
- David David-Weill (1871-1952), banquier.
- Georges-Jean de Palatinat-Veldenz (1568-1590), fondateur de Phalsbourg.
- Henriette de Lorraine (1605-1660) (1606-1660), princesse de Saint-Avold, Lixheim et Phalsbourg.
- Joseph Victorin Nevinger (1736-1808), général français de la Révolution et de l’Empire.
- Lazare Isidor (1813-1888), rabbin de Phalsbourg, grand rabbin de France.
- Mathilde Salomon (1837-1909), pédagogue et pionnière de l’éducation féminine.
- Nicolas Krick (1819-1854), prêtre de Phalsbourg, puis missionnaire des Missions étrangères de Paris.
- Sébastien Le Prestre de Vauban.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Parti : au 1er de sable à la croix d'argent, au 2e d'azur à la fleur de lis d'or. | |
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Détails | La ville de Phalsbourg utilise ces armoiries depuis le début du XVIIIe siècle. Elle adopta par erreur ce blason qui figurait dans l'armorial de la généralité d'Alsace de 1696 sous le nom de Philisbourg alors qu'il s'agissait en réalité de Philippsbourg, dans le pays de Bade[99]. | |
Alias | D'azur, à la forteresse donjonnée d'argent, sur le sommet de laquelle flotte un panonceau d'or, chargé d'un alérion de gueules. Les anciennes armoiries de Phalsbourg, c'est-à-dire les armes de 1608, sont un écu sur lequel on voit un château donjonné, surmonté d'un drapeau chargé d'un alérion. Les couleurs font défaut, mais il semble possible de les rétablir de cette manière[98]. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Phalsbourg comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Phalsbourg est parfois présentée comme une ville créée par Vauban, ce qui est faux au sens strict du mot.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Pour avoir été le berceau d’un nombre impressionnant de généraux.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Phalsbourg » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Distances mesurées grâce à Google Earth.
- Didacticiel de la réglementation parasismique
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Phalsbourg et Danne-et-Quatre-Vents », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Phalsbourg_sapc », sur la commune de Danne-et-Quatre-Vents - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Phalsbourg_sapc », sur la commune de Danne-et-Quatre-Vents - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 de Phalsbourg », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Phalsbourg ».
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France 2, volume 2, p. 725.
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, 1862.
- Geoplatt
- Administration générale des postes, Dictionnaire des postes aux lettres, Paris, Imprimerie Royale, 1845.
- Passé-Présent : La Moselle dévoilée, n° 4, novembre-décembre 2011.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994, p. 15.
- Recherches de Robert Depardieu
- Marie Gall, « Jean-Louis Madelaine officiellement maire : "L'heure est à l’action" », Le Républicain Lorrain, (lire en ligne)
« Jean-Louis Madelaine, tête de la liste victorieuse au soir du 2e tour des municipales, a été élu maire de Phalsbourg lors de la séance d’installation du conseil municipal. » - Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Professionnels et établissements de santé
- « FM Group se déploie », article des DNA du 29 septembre 2015.
- « Les Depalor saisissent les Prud’hommes », article Le Républicain Lorrain du 22 juillet 2015.
- Les zones d’activités sur le site de la commune (consulté le 10 octobre 2017).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Archiprêtré de Phalsbourg
- Cultes à Phalsbourg
- Paroisse luthérienne de Phalsbourg
- Les Juifs à Phalsbourg
- « Cédric Jung fait découvrir la place d’Armes de Phalsbourg au monde avec son appli », Le Républicain Lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- Le festival de théâtre sur phalsbourg.fr.
- Monument Erckmann-Chatrian
- Porte de France
- Porte d'Allemagne
- « Plan des fortifications de Vauban », notice no AP71P00314, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Porte de France, façade ouest », notice no MHR44_20225700031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Château d'Einartzhausen (ancien). Façade sud, vue générale », notice no MHR44_20215700035, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Hôtel de ville », notice no PA00106937, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- L'Hôtel de ville, ancien corps de garde
- « Immeuble 52 place d'Arme », notice no PA00106938, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 54 place d'Armes », notice no PA00106940, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 55 place d'Armes », notice no PA00106941, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 56 place d'Armes », notice no PA00106942, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 57 place d'Armes », notice no PA00106943, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 58 place d'Armes », notice no PA00106944, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 61 place d'Armes », notice no PA00106946, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 62 place d'Armes », notice no PA00106947, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 77 place d'Armes », notice no PA00106948, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 81 place d'Armes », notice no PA00106952, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 117 place d'Armes », notice no PA00106953, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 118 place d'Armes », notice no PA00106954, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 119 place d'Armes », notice no PA00106955, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 120a place d'Armes », notice no PA00106956, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 121 place d'Armes », notice no PA00106957, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 122 place d'Armes », notice no PA00106958, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 123 place d'Armes », notice no PA00106959, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble 129 rue Lobau », notice no PA00106965, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble - 202 rue Castelnau », notice no PA00106963, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble - 201 rue du Maréchal-Foch », notice no PA00106968, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Le char "Bourg la Reine"
- Phalsbourg : Sherman "Bourg-la-Reine" sur le site Matériels Terrestres 39/45 (consulté le 24 novembre 2017).
- Le monument des 3 sièges
- Le Grognard dit Soldat de l'An 2
- La Fée de la Forêt
- Circulaire des Lavoirs - Phalsbourg
- Le général Mouton, Comte de Lobau
- « Église », notice no PA00106934, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- L'église Notre Dame de L'Assomption de Phalsbourg (extérieur)
- Eglise de Phalsbourg (intérieur)
- L'église aux 26 rosaces
- Les vitraux du chœur de l'église
- « Orgue de tribune, vue partielle », notice no AP57W02168, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- Notice no PM57000750, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureOrgue de tribune
- Orgue Andreas Müller (1719) - Charles Wetzel (1879) - François Delangue (1988)
- La chapelle Saint-Jean
- La Chapelle St Jean Baptiste de Phalsbourg
- Le temple protestant
- « Synagogue. Façade sur rue, vue générale », notice no MHR44_20215700040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- La Communauté de Phalsbourg
- La Synagogue
- « Vieux cimetière israélite. Vue générale du cimetière », notice no MHR44_20215700036, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- Histoire du judaïsme en Alsace-Lorraine.
- Monuments aux morts
- Monument aux morts de 14-18
- Liste de répliques de la grotte de Lourdes
- La grotte de Lourdes
- Sentier botanique du Brunnenthal
- Érigé en 1796, le cimetière juif de Phalsbourg est le point de départ de ce sentier circulaire
- Constant Lapaix, Armorial des villes, bourgs et villages de la Lorraine, du Barrois et des Trois-Évêchés, Nancy, Chez l'auteur
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Henri Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique, volume 2, Nancy, 1853, « Phalsbourg » p. 273 à 287. (BNF 36386877)
- Arthur Benoît, Le blocus de Phalsbourg : histoire du 9e bataillon des gardes nationaux d'élite du département de la Meurthe (armée du Rhin, 1815), Metz, 1868 lire en ligne sur Gallica
- Arthur Benoît, « Nouvelles recherches historiques sur Phalsbourg et ses environs », dans Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, 1871, p. 130-158 (lire en ligne)
- Charles Hollender, Siège de Phalsbourg en 1870, Paris, 1899 lire en ligne sur Gallica
- Le cimetière de Phalsbourg, sur www.lieux-insolites.fr/
- Parc naturel régional des Vosges du Nord. Les châteaux forts, Clermont-Ferrand, A.R.P.E.G.E, , 223 p.Itinéraires 20 : L’ouvrage fait partie de la collection des guides naturels de France et présente 33 châteaux-forts (sur les 35 du parc) qui vous accueillent, avec en introduction : L’histoire, L’architecture, La vie quotidienne, Jardins et plantes cultivées, Le démantèlement des châteaux, Le château fort dans notre environnement : Einhardshausen, p.203
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Moselle
- Liste des communes du Parc naturel régional des Vosges du Nord
- Département de la Moselle
- Liste des villes créées par Vauban
- Base aérienne de Phalsbourg-Bourscheid
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Mairie de Phalsbourg Histoire www.phalsbourg.fr
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie