Felis silvestris — Wikipédia

Chat sauvage

Felis silvestris
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Chat sauvage adulte
Classification
Règne Animalia
Sous-embr. Vertebrata
Super-classe Tetrapoda
Classe Mammalia
Cohorte Placentalia
Ordre Carnivora
Sous-ordre Feliformia
Famille Felidae
Sous-famille Felinae
Genre Felis

Espèce

Felis silvestris
Schreber, 1777[1]

Synonymes

  • Catus catus[2]
  • Catus ferox Martorelli, 1896[2]
  • Felis catus ferus Erxleben, 1777[2]

Statut de conservation UICN

( LC )
LC  : Préoccupation mineure

Statut CITES

Sur l'annexe II de la CITES Annexe II , Rév. du 04/02/1977

Répartition géographique

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Sous-espèces selon une étude de 2007[3]

Le Chat sauvage[4] (Felis silvestris) est une espèce de félins du genre Felis présent dans divers types d'habitats. Son aire de répartition couvre l’Europe, l’Asie occidentale et l’Afrique. Il est de taille moyenne à petite, son aspect est très variable selon les sous-espèces, mais en général sa robe est beige avec des rayures foncées.

En 2007, une étude a ramené le nombre de ses sous-espèces à six, dont la plus commune est le chat domestique, contre plus d'une vingtaine auparavant[5].

Dénominations

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Le terme « chat sauvage » est aussi utilisé dans certaines régions pour désigner plus largement un animal non domestique ressemblant à un chat mais n'appartenant pas forcément à l’espèce Felis silvestris. Au Canada français, le terme « chat sauvage » désigne indistinctement, dans le langage populaire, le lynx gris[réf. nécessaire], le Lynx roux[10] ou un raton laveur[11].

Le Chat sauvage appartient au genre Felis. Il partage un ancêtre commun avec les quatre autres félins de son clade : le Chat de la jungle, le Chat à pieds noirs, le Chat des sables et le Chat domestique. Des travaux effectués sur l'ADN en 2006 et 2007, effectués sur les chromosomes sexuels et l'ADN mitochondrial de toutes les espèces de félins, conjugués à des recherches paléontologiques, ont révélé que la lignée du genre Felis a divergé de celle des genres Otocolobus et Prionailurus il y a 6,9 Ma et que leur ancêtre commun daterait d'il y a 3,4 Ma, au Pliocène, dans les déserts et les forêts denses du bassin méditerranéen[12].

Arbre phylogénétique du genre Felis[12] :

Sous-espèces

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La taxinomie de cette espèce reste très discutée : à titre d'exemple, selon les auteurs, le Chat domestique et le Chat de Biet peuvent prendre le statut de sous-espèces de Felis silvestris ou d'espèces séparées. L'espèce Felis silvestris peut ainsi regrouper jusqu'à une vingtaine de sous-espèces[13],[5], tandis que d'autres auteurs ne reconnaissent que deux sous-espèces sauvages (Felis silvestris silvestris et Felis silvestris lybica)[14]. Cependant, une étude menée en 2007 a conduit au regroupement de ces multiples divisions en six sous-espèces bien distinctes[3], à présent reconnues par diverses références scientifiques telles que l'UICN ou NCBI :

Le statut de certaines sous-espèces est toutefois toujours débattu, notamment Felis silvestris bieti pour lequel des études complémentaires (génétiques notamment) doivent être mises en œuvre. On considère également que Felis silvestris lybica est monophylétique avec Felis silvestris catus.

Le chat domestique est d'ailleurs bien souvent mis à l'écart, peut-être parce qu'il ne s'agit pas d'une sous-espèce naturelle, mais des phénomènes d'hybridation, introgression et pollution génétique sont à prendre en compte et commencent à pouvoir l'être par les progrès de la génomique de ces espèces.

Le chat domestique (Felis silvestris catus)

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À ces sous-espèces naturelles, il faut ajouter le chat domestique, Felis silvestris catus.

On a donné aux chats domestiques le nom scientifique de Felis catus au XVIIIe siècle, avant le développement de la biologie évolutive. Avec l'apparition de celle-ci, l'étroite relation entre races domestiques et sauvages a été reconnue. À ce titre, le statut scientifique des « espèces » domestiques a été remis en cause et beaucoup de biologistes ne les considèrent plus désormais que comme des formes domestiquées des espèces sauvages originelles.

En effet, selon Ernst Mayr « une espèce est une communauté reproductive de populations (isolée au plan reproductif d'autres communautés)[15] ». Or, les « espèces » domestiques se croisent avec leur espèce parente quand elles en ont l'occasion. Ainsi, « vu que, du moins en ce qui concerne les races d'animaux domestiques primitives, celles-ci constitueraient, en règle générale, une entité de reproduction avec leur espèce ancestrale, si elles en avaient la possibilité, la classification d'animaux domestiques en tant qu'espèces propres n'est pas acceptable. C'est pourquoi on a essayé de les définir comme sous-espèces[16] ». On a alors proposé le nom scientifique de Felis silvestris catus.

Certains biologistes sont même réticents à utiliser la notion de sous-espèces pour un groupe domestiqué. D'un point de vue évolutif, l'idée d'espèce ou de sous-espèce est en effet liée à l'idée de sélection naturelle et non de sélection artificielle. Du fait de cette réticence et « depuis 1960 environ, on utilise de plus en plus la désignation forma, abrégée f, qui exprime clairement qu'il s'agit d'une forme d'animal domestique qui peut éventuellement remonter jusqu'à diverses sous-espèces sauvages[16] ». Il faut alors parler de Felis sylvestris forma catus.

Au-delà de ces questions de terminologie, les chats domestiques et les chats sauvages font partie de la même espèce, puisqu'ils se croisent sans problème, du moins quand ils fréquentent les mêmes territoires, ce qui peut être le cas avec des chats domestiques retournés à la vie sauvage, dits « chats harets » ou chats marrons.

Le chat forestier (Felis silvestris silvestris)

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Chat sauvage d'Europe (Felis silvestris silvestris) dans le parc national de la forêt Bavaroise, Allemagne.

Le chat sauvage d'Europe habite dans les forêts d'Europe de l'Est, d'Europe centrale et d'Europe de l'Ouest, aussi bien en Écosse qu'en Turquie. Il n'est cependant pas présent, ni en Scandinavie, ni en Islande, ni en Angleterre, ni au Pays de Galles, ni en Irlande. Il est plus grand que le chat d'Afrique ou le chat domestique. Sa fourrure épaisse et sa taille permettent de le distinguer, il ne devrait normalement pas être confondu avec un chat domestique.

Les chats sauvages étaient nombreux en Europe au Pléistocène ; quand la glace a disparu, ils se sont révélés adaptés à une vie dans les forêts denses. Contrairement aux chats domestiques, ils sont en activité pendant la journée.

Chat sauvage d'Europe dans un zoo

Les chats sauvages sont extrêmement farouches. Ils évitent de s'approcher des humains. Ils vivent en solitaire et tiennent un territoire d'environ 3 km2 chacun. Ils sont devenus très rares dans les pays européens. Bien qu'étant des animaux protégés, ils sont encore pris pour cibles par des chasseurs qui les confondent avec des chats harets. En Écosse, le croisement avec des chats domestiques est également une menace pour la population de chats sauvages[17].

Le chat sauvage a l'habitude de marquer son territoire à l'aide de ses griffes sur des troncs d'arbres ou d'arbustes debout ou couchés. Il choisit généralement des arbres à l'écorce fibreuse. Si le sureau noir a souvent sa préférence, il ne dédaigne pas les jeunes résineux et les lilas. L'écorce est dilacérée sur une hauteur de 30 à 40 cm et s'effiloche au fil du temps car le chat revient régulièrement au même endroit. Il est important que ses griffes restent aiguës et tranchantes, c'est pourquoi la partie externe de l'enveloppe cornée s'exfolie. En observant bien au pied de l'arbre lacéré, on peut trouver des morceaux de griffes.

Le chat forestier est considéré comme menacé au niveau européen et, depuis les années 1970, c'est une espèce protégée sur l'ensemble de son aire de répartition. Pour conserver le chat sauvage, il faut protéger l'ensemble de son habitat : forêts, bosquets, haies et prairies.

L'animal n'est pas facile à observer car il évite de s'approcher des humains.

Le chat ganté (Felis silvestris lybica)

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Chat sauvage d'Afrique (Felis silvestris lybica).

Le Chat sauvage d'Afrique ou Chat ganté se rencontre dans des déserts et des savanes de l'Afrique et de l'Arabie. Il est plus petit que la sous-espèce européenne et a une fourrure plus courte. On pense que le Chat sauvage d'Afrique est l'ancêtre du chat domestique, puisqu'il est plus docile que les chats sauvages d'Europe, et en activité la nuit.

Bien que certaines découvertes laissent à penser que la domestication des chats a eu lieu dès 9000-9500 av. J.-C., seule la présence du chat chez les Égyptiens depuis 4000 av. J.-C. a été prouvée indiscutablement. Cependant, une découverte, en 2004, à ShillourokambosChypre) donne la preuve d'un apprivoisement (sinon d'une domestication) du Chat sauvage 7500 ans av. J.-C.

À partir de 2008, notamment à l'occasion de captures, une petite population de chats génétiquement proches du Chat ganté est découverte et étudiée par les services de l'Office national des forêts français dans le département de la Haute-Corse, le Chat sauvage corse, dont le statut taxonomique reste à établir[18].

Aspect, pelage

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Si les chats domestiques présentent une grande diversité d'aspects et de couleurs, les chats sauvages sont beige avec des rayures noires.

Ils mesurent de 50 à 80 centimètres de long, et pèsent de 3 à 6 kilogrammes.

La sous-espèce africaine tend à être plus petite et de pelage plus clair.

Le chat forestier recule là où la forêt régresse et reconstitue généralement ses populations avec la reforestation[19]. Il a cependant besoin de forêts non homogènes. Les études télémétriques montrent que son lieu de chasse le plus fréquent est la lisière intérieure (clairières) ou extérieure des forêts. Il y chasse des petits mammifères, des oiseaux et d'autres créatures de taille voisine[19].

Répartition

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Il occupait autrefois vraisemblablement toute l'Europe, mais son aire de distribution s'y est réduite et est désormais fragmentée[19].

Sur le territoire français métropolitain « L'espèce semble avoir été très largement répartie depuis l’Holocène jusqu’au Moyen Âge où ses populations ont commencé à décliner (Say et al., 2011). ». Il a failli disparaître au XXe siècle, puis la courbe de ses populations a lentement remonté[19].

En 2012, selon le Muséum national d'histoire naturelle de Paris, sa présence est établie de façon certaine dans 44 départements métropolitains mais il est très rare dans 9 d'entre eux (Léger et al., 2008). Il est moins rare dans les Vosges et le Jura[19].

En Corse, une population de la sous-espèce F. s. lybica a été introduite au Néolithique. Elle est désormais localement connue sous le nom corse de ghjattuvolpe, ou « chat-renard » en français, à cause de son pelage roux[20]. En France continentale, le Chat sauvage est (en 2012) présent dans deux aires disjointes : dans le grand quart nord-est du pays d'une part, et dans la zone pyrénéenne d'autre part (où il n'est cependant régulièrement et significativement observé que dans les piémonts et jusqu'à 1 700-1 800 mètres d'altitude) ; la même population se prolongeant plus au sud en Espagne et Portugal)[19].

Un reliquat de population semble survivre dans le Var (Massif de l'Esterel (ZNIEFF 83189100 de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur)[19]. En 2022, il réapparait dans le massif des Bauges (Savoie) après un siècle d'absence[21].

Des populations de chat sauvage sont présentes dans la chaîne du Jura. Il est protégé depuis 1963. Après une phase de diminution des effectifs, il semble à nouveau en augmentation ou en stabilisation. Il vit dans des forêts de feuillus ou des forêts mixte dans le Jura à une altitude modérée, de préférence dans de grands massifs forestiers avec des lisières où des clairières pour chasser le campagnol, son gibier favori. Il vit principalement au sol, mais grimpe aux arbres pour faire la sieste ou en cas d'alerte; il loge dans des trous, terriers de blaireaux ou tas de bois. De caractère craintif, timide et discret, il prend la fuite plutôt qu'attaquer en cas de confrontation[22]. Selon l'association ProNatura, on ignore si cette espèce a vraiment frôlé l'extinction, si elle est revenue de France ou par des lâchers effectués par des particuliers ou des services officiels[23].

Au XXIe siècle, il apparaît dans de nouveaux lieux, par exemple sur les rives du lac de Neuchâtel[24]. La répartition et les effectifs sont évalués à l'aide de pièges à poils : des piquets enduit de Valériane sont plantés dans des habitats potentiels, les poils triés et analysés. Sur 655 échantillons de poils, 525 proviennent de chats, dont 136 de chats sauvages. Des photos complètent l'investigation, 716 portraits, dont 268 de chats sauvages où leur ressemblant[25]. Ces résultats mettent en évidence le problème de cohabitation étroite de populations de chats forestiers avec des chats domestiques et leurs hybridations. Il est estimé que 15 à 20% des chats du Jura sont hybrides[26]. L'hybridation avec les chats domestiques menace à long terme la spécificité génétique du chat forestier[27].

Articles connexes

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Bibliographie

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  • Ariagno D. & Erome G. (2009). Le chat forestier, Felis silvestris, Schreber, 1775 en région Rhône-Alpes (France) et aires limitrophes. Le Bièvre. Numéro 22. Pages 17–30.
  • Arthur C.-P. (2011). Le chat forestier. In : Jacquot E. (coord) (2011). Atlas des Mammifères sauvages de Midi-Pyrénées. Livret 3 - Carnivores. Coll. Atlas naturalistes de Midi-Pyrénées. Édition Nature Midi-Pyrénées. 96 pages.* Hainard R. (1997). Mammifères sauvages d’Europe. Édition Delachaux et Niestlé. Paris. 670 pages.
  • Lüps P. (1995). Felis silvestris Schreber, 1777. Pages 412-416. In : Hausser J. (1995). Mammifères de la Suisse : Répartition Biologie Écologie. Birkhäuser Verlag. Bâle-Boston-Berlin. 501 pages. (ISBN 3-7643-5194-2).
  • Kraft S. (2008). Relevé de la présence du Felis s. silvestris (Schrteber, 1777) dans le Kaiserstuhl et les forêts rhénanes limitrophes. À l’aide de la méthode des pièges à poils. Mémoire de fin d’études d’ingénieur forestier de l’ENGREF AgroParisTech. 142 pages.
  • Leger F., Stahl P., Ruette S. & Wilhelm J.-M. (2008). La répartition du chat forestier en France : évolutions récentes. Faune sauvage no 280. Pages 24–39.
  • Lozano J., Virgo E., Malo A.-F., Huertas D.-L. & Casanovas J.-G. (2003). Importance of scrub–pastureland mosaics for wildliving cats occurrence in a Mediterranean area : implications for the conservation of the wildcat (Felis silvestris) ; Biodiversity and conservation. Numéro 12. Pages 921–935.
  • Lustrat P. (1997). Le chat sauvage en forêt de Fontainebleau. La Voix de la forêt. Numéro 2. Pages 24–25.
  • Lustrat P. (2002). Nouvelle observation de chat sauvage Felis silvestris en forêt de Fontainebleau. La Voix de la forêt. Numéro 2. Pages 28–29.
  • Lustrat P. & Vignon V. (1991). Nouvelles données concernant la répartition du chat sauvage (Felis sylvestris) en limite ouest de son aire de répartition. Bulletin mensuel de l’Office national de la chasse. Numéro 160. Pages 34–35.
  • Mac Donald D.-W. & Barrett P. (2005). Guide complet des mammifères de France et d’Europe. Édition Delachaux et Niestlé. Paris. 304 pages* Mölich T., Höstermann M., Klar N. & Vogel B. (date inconnue). Biotope networks in Germany : the wildcat corridor map – a strategic instrument of nature conservation. 20 pages.
  • Say L., Devillard S., Leger F., Pontier D. & Ruette S. (2011). Distribution and spatial genetic structure of European wildcat in France. Animal Conservation. Pages 1–10. DOI : 10.1111/j.1469-1795.2011.00478.x.
  • Schauenberg P. (1981). Éléments d'écologie du chat forestier d'Europe. La Terre et la Vie. Numéro 35. Pages 3–36.
  • Sordello, Romain., Le chat forestier ou chat sauvage (Synthèse bibliographique sur les déplacements et les besoins de continuités d'espèces animales), MNHN-SPN, janvier 2012, PDF, 8 pages.
  • Stahl P. (1986). Le chat forestier d’Europe (Felis silvestris, Schreber 1777) – Exploitation des ressources et organisation spatiale. Thèse/Université de Nancy 1 pour obtenir le grade de Docteur de l’Université de Nancy. 357 pages.
  • Stahl P. & Leger F. (1992). Le chat sauvage d’Europe. Encyclopédie des carnivores de France. Société française d’étude et de protection des mammifères. 50 pages.

Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Taxinomie :

Statut de conservation :

Autres sites :

Notes et références

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  1. a et b Integrated Taxonomic Information System (ITIS), www.itis.gov, CC0 https://doi.org/10.5066/F7KH0KBK, consulté le 19 juin 2017
  2. a b et c BioLib, consulté le 19 juin 2017
  3. a et b « The Near Eastern Origin of Cat Domestication », Science, 29 juin 2007. : Résumé. Auteurs : Carlos A. Driscoll et al. (M. Menotti-Raymond, A.L. Roca, W.E. Johnson et S.J. O'Brien du National Cancer Institute à Frederick, MD ; C.A. Driscoll, N. Yamaguchi et D. Macdonald de l’Université d’Oxford à Oxford, Royaume-Uni ; A.L. Roca de la société SAIC-Frederick, Inc. à Frederick, MD ; K. Hupe du Jagd Einrichtungs Büro à Fürstenhagen, Allemagne ; E. Geffen de l’Université de Tel Aviv à Tel Aviv, Israël ; E. Harley de l’Université du Cap, Afrique du Sud ; M. Delibes du CSIC à Séville, Espagne ; D. Pontier de l’UMR-CNRS 5558 à Villeurbanne, France ; D. Pontier de l’Université Claude Bernard Lyon I à Villeurbanne, France ; A.C. Kitchener du National Museums of Scotland en Écosse, Royaume-Uni.).
  4. Annexes au Journal officiel des Communautés européennes du 18 décembre 2000. Lire en ligne.
  5. a et b (en) Driscoll, Carlos A. et al., « The Near Eastern Origin of Cat Domestication », Science, vol. 317,‎ , p. 519-523 (lire en ligne)
  6. a et b (en) Murray Wrobel, Elsevier's Dictionary of Mammals : in Latin, English, German, French and Italian, Amsterdam, Elsevier, , 857 p. (ISBN 978-0-444-51877-4, lire en ligne)
  7. Nom en français d'après l'Inventaire National du Patrimoine Naturel, sur le site Inventaire National du Patrimoine Naturel (INPN)
  8. Nom en français d'après l'UICN sur le site de la liste rouge de l'UICN
  9. a b c d et e Meyer C., ed. sc., 2015, Dictionnaire des Sciences Animales. [lire en ligne]. Montpellier, France, Cirad. [12/05/2015].
  10. (fr) Peter Jackson et Adrienne Farrell Jackson (trad. Danièle Devitre, préf. Dr Claude Martin, ill. Robert Dallet et Johan de Crem), Les Félins : Toutes les espèces du monde, Turin, Delachaux et Niestlé, coll. « La bibliothèque du naturaliste », , 272 p., relié (ISBN 978-2603010198 et 2-603-01019-0). « Lynx roux, Lynx bai », p. 195
  11. (fr) Chat sur le site du CNRTL
  12. a et b Stephen O'Brien et Warren Johnson, « L'évolution des chats », Pour la science, no 366,‎ (ISSN 0153-4092) basée sur W. Johnson et al., « The late Miocene radiation of modern felidae : a genetic assessment », Science, no 311,‎ et C. Driscoll et al., « The near eastern origin of cat domestication », Science, no 317,‎
  13. (en) Référence Mammal Species of the World (3e  éd., 2005) : Felis silvestris Schreber, 1777
  14. Jean Étienne, « Le chat domestique à l'origine de la civilisation ? », page 3, 28/12/2007, sur futura sciences
  15. Ernst Mayr, 1989, cité dans l'article « À propos de la notion d'espèce », de Louis Allano et Alex Clamens, Bulletin de l'APBG (Association des Professeurs de Biologie et de Géologie) no 3, 1996, Pages 471-472.
  16. a et b « Instruction CITES pour le service vétérinaire de frontière », Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, 20 décembre 1991, PDF.
  17. Touch Not the Cat But A Glove by Dr Christina Smith, January 2001 (en)
  18. Sciences et Avenir avec AFP, « Le "chat-renard", probable nouvelle espèce de félin recensée en Corse », Sciences et Avenir,‎ (lire en ligne).
  19. a b c d e f et g Romain Sordello., Le chat forestier Felis silvestris. MNHN-SPN. Janvier 2012.
  20. J. Arrighi et M. Salotti, « Le chat sauvage (Felis silvestris Schreber, 1777) en Corse: confirmation de sa présence et approche taxonomique », Mammalia, De Gruyter, vol. 52, no 1,‎ , p. 123-125 (ISSN 0025-1461 et 1864-1547).Voir et modifier les données sur Wikidata
  21. « Savoie. Le chat sauvage fait son retour dans le massif des Bauges, une première depuis un siècle », sur Ouest-France, .
  22. Paul Schauenberg, « Le chat sauvage démystifié », Musées de Genève,‎ , p. 3-6
  23. « Le chat sauvage est l’Animal de l’année 2020 », sur Pro Natura (consulté le )
  24. « Le chat forestier à la reconquête de la Suisse », sur 20 minutes, (consulté le )
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  27. (en) Claudio S. Quilodrán, Beatrice Nussberger, David W. Macdonald et Juan I. Montoya-Burgos, « Projecting introgression from domestic cats into European wildcats in the Swiss Jura », Evolutionary Applications, vol. 13, no 8,‎ , p. 2101–2112 (ISSN 1752-4571, PMID 32908607, PMCID PMC7463310, DOI 10.1111/eva.12968, lire en ligne, consulté le )