Génissieux — Wikipédia
Génissieux | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat | Catherine Peltier 2023-2026 | ||||
Code postal | 26750 | ||||
Code commune | 26139 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 2 415 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 270 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 05′ 04″ nord, 5° 05′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 177 m Max. 303 m | ||||
Superficie | 8,93 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Romans-sur-Isère (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Romans-sur-Isère (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Romans-sur-Isère | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Drôme Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.genissieux.fr/ | ||||
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Génissieux est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants sont dénommés les Génissois(es).
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Génissieux se situe à cinq kilomètres de la ville de Romans-sur-Isère et dix-huit kilomètres de Valence. Elle se trouve également à 109 km de Lyon et à 75 km de Grenoble.
Peyrins | Geyssans | Triors | ||
N | Saint-Paul-lès-Romans | |||
O Génissieux E | ||||
S | ||||
Mours-Saint-Eusèbe | Romans-sur-Isère |
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 895 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romans_sapc »sur la commune de Romans-sur-Isère à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 876,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Génissieux est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,2 %), zones urbanisées (16 %), forêts (5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :
- 699 : Villa de Geniciaco (Spicileg., III, 318).
- 887 : Giniciacum (Spicileg., III, 362).
- 908 : Gineciacum villa (cartulaire de Romans, 10 bis).
- 995 : Giniciacum (cartulaire de Romans, 101).
- 995 : mention de l'ager : Giniacensis ager (cartulaire de Romans, 101).
- 1000 : mention de l'ager : Ager Giniacensis (cartulaire de Romans, 60).
- 1064 : mention de l'ager : Ager Giniciensis (cartulaire de Romans, 56).
- 1068 : mention de l'ager : Ager Giniciacensis (cartulaire de Romans, 14 bis).
- XIe siècle : Janaiseium (cartulaire de Romans, 183).
- XIe siècle : Janiciacum (cartulaire de Romans, 223).
- 1100 : mention de la paroisse Saint-Pierre : Parrochia Sancti Petri de Geneciaco (cartulaire de Romans, 172).
- 1100 : mention de la paroisse : Ecclesia de Giniceo (cartulaire de Romans, 164 ter).
- 1150 : mention de la paroisse : Decima de Genetiaco (cartulaire de Romans, 328).
- 1170 : mention de la paroisse : Decimis de Jeniceu (cartulaire de Romans, 332).
- 1444 : mention de la paroisse : Geneciacum (maladr. de Voley).
- XVe siècle : mention de la paroisse : Genicenum (archives de la Drôme, fonds de Saint-Paul-lès-Romans).
- XVe siècle : mention de la paroisse : Capella de Geniciaco (pouillé de Vienne).
- XVe siècle : mention de la paroisse : Parrochia de Geniceno (archives de la Drôme, fonds de Saint-Paul-lès-Romans).
- 1521 : mention de la paroisse : Ecclesia Geniciaci (archives de la Drôme, fonds de Saint-Paul-lès-Romans).
- 1550 : Genicieu (archives de la Drôme, E 3664).
- 1891 : Génissieux, commune du canton de Romans.
Étymologie
[modifier | modifier le code]L'origine du nom Génissieux est incertaine, trois hypothèses ont été avancées.
- La première serait que Génissieux soit une dérivation du nom de personne Genis (Géniès ou encore Genix). En Savoie, une commune s'appelait au XIe siècle Sanctus Genesius (Saint Genis).
- La deuxième serait que Génissieux vienne d'un radical celtique, gwen", qui signifie « blanc » en breton (gaulois vindo).
- La dernière serait que le nom soit lié à la végétation. En effet genistaceus est un terme latin pour désigner un lieu « couvert de genêts ».
- La première explication est de loin la plus vraisemblable, c'est celle de Jean-Claude Bouvier, spécialiste de toponymie nord-provençale[14].
Genesius est un nom porté par six saints dont trois nés en Auvergne[réf. nécessaire].
Histoire
[modifier | modifier le code]Protohistoire : les Celtes
[modifier | modifier le code]M. Pénelon, lors d'une partie de chasse, remarque une légère butte de terre. Avec l'aide d'un de ses amis, M. Boisse, il découvre une petite construction datant de l'époque gauloise, peut-être un tombeau[réf. nécessaire].
Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]Traces de l'époque romaine allant du IIe au IVe siècle[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La première trace historique de Génissieux date de 696 lorsque fut découvert le testament d'un abbé Ephibius. Ce dernier léguait Génissieux et l'ensemble de ses terres à l'église de Vienne : « Je lègue à Dieu et à ses saints, pour qu'elles servent dans l'église de Vienne, par notre seigneur l'évêque Cacold, la terre tout entière de Geniciacum avec tout ce qui lui appartient »[15].
- « [Je lègue] la terre toute [sic] entière de Génissieux, avec tout ce qui lui appartient, les serfs de l'un et de l'autre sexe, les terres, les bois, eaux, ports et districts et tout ce qui relève de ladite terre »[réf. nécessaire].
La seigneurie[13] :
- La terre est possédée par un certain abbé Ephibius.
- 697 : donnée à l'église archiépiscopale de Vienne.
- 856 : appartient à l'abbaye de Romans.
- 1339 : les Clermont-Chatte sont seigneurs de Génissieux.
- Génissieux devient terre domaniale.
- De 1528 à 1574, elle est engagée aux La Colombière.
- 1658 : elle est engagée aux Lionne qui acquirent en même temps certains droits appartenant aux Guigou de Chapolay, et dont les biens furent vendus en 1609 aux Chabod de la Serre.
- 1757 : les Lionne sont remplacés par les Bally de Bourchenu, derniers seigneurs.
L'ager de Génissieux comprenait, avec la commune de ce nom, celles de Geyssans, de Triors et parties des communes de Romans et de Saint-Paul-lès-Romans[13].
- En plus de son territoire actuel, Génissieux comprenait autrefois Triors, Le Chalon, une partie de Saint-Paul-lès-Romans et s'étendait jusqu'aux berges de l'Isère (Port d'Ouvey)[réf. nécessaire].
Avant 1790, Génissieux était une paroisse de la communauté de Peyrins et du diocèse de Vienne, dont l'église était sous le vocable de Saint-Pierre et dont les dîmes appartenaient au chapitre de Romans, qui présentait à la cure[13].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]Compris en 1790 dans la municipalité de Peyrins, Génissieux a fait partie de la commune de ce nom jusqu'au 26 juin-2 juillet 1873 ; il en a été distrait pour former une commune distincte du canton de Romans[13].
- Le , les Génissois présentèrent une première pétition en vue d'acquérir leur indépendance. Peyrins repoussa l'idée de la séparation. Les tractations durèrent 35 ans. Par la loi du , Génissieux devint une commune distincte de Peyrins. Le eurent lieu les premières élections municipales de Génissieux. Le , le conseil municipal était installé. Victor Brichet, dont le portrait orne actuellement la salle du conseil municipal, est proclamé premier maire de la Commune[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].
En 2021, la commune comptait 2 415 habitants[Note 2], en évolution de +15,88 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête patronale (en 1992) : 2 août[25].
- Fête communale (en 1992) : premier dimanche d'août[25].
- Le comité des fêtes de Génissieux organise un grand événement : la Saint-Vincent : chaque année, fin février-début mars (en 2008, les 1, 2 et )[réf. nécessaire].
Loisirs
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Services et équipements
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]En 1992 : céréales, vignes, vergers, caprins, bovins[25].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château Messance construit au XVIIIe siècle au centre du village. Débuté par M. Jomaron de Montchorel et achevé par Jean-Baptiste Maisonneuve et son fils François Benoît. Ce château fut acheté en 1828 par Hippolyte Charles qui fut l'amant de Joséphine de Beauharnais[réf. nécessaire].
- Château Giller du XVIe siècle avec quatre tours rondes, remanié au XVIIIe siècle[réf. nécessaire].
- Maison forte dit le Colombier, dans le quartier des Marais : une tour carrée massive[réf. nécessaire].
- Église Saint-Pierre de Génissieux XIXe siècle[25].
- Calvaires[25].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Vue étendue sur la plaine[25].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Isabelle de Brive, épouse de Gaste, dame de Génissieux au XVe siècle[réf. nécessaire].
- Le groupe Pep's compte plusieurs membres qui ont appris la musique dans l'école de Génissieux[réf. nécessaire].
- La troupe de théâtre La Génissoise, assez connue dans la région, dont la plupart des membres habitent le village[réf. nécessaire].
- Monique Rey, professeur et poète, chevalier de l'Ordre national du Mérite[réf. nécessaire].
- Béatrice, la chanteuse du groupe Tara King TH est originaire de Génissieux[réf. nécessaire].
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Génissieux possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Génissieux sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
- Ressources relatives à la géographie :
- Les croix du village.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Génissieux et Romans-sur-Isère », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Romans-sur-Isère », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 158.
- J.-C. Bouvier : Les noms de lieux du Dauphiné (Bonneton, 2002), p. 50.
- Henri Pouzin, Il était une fois ... Génissieux, Valence, E&R., , 11 p., Un testament d'une grande importance.
- Génissieux / Louis Paul Bossan, sur memoire-drome.com
- [PDF] La Lucarne de Génissieux n° 31, printemps 2018, p. 3
« Lors des élections municipales de mars 2008, vous nous avez confié la gestion de notre commune, et renouvelé cette confiance en mars 2014. ». - Génissieux sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 9 mars 2015).
- Les élus - Le maire, sur genissieux.fr
- Jérémy Perraud, « Génissieux. Catherine Peltier est élue maire de la commune », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Génissieux.