Jean-Luc Sokal — Wikipédia
Jean-Luc Sokal | ||
Biographie | ||
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Nationalité | Français | |
Naissance | Guise (France) | |
Taille | 1,86 m (6′ 1″) | |
Poste | Défenseur puis entraîneur | |
Parcours junior | ||
Années | Club | |
1972-1979 | US Guise | |
1979-1981 | US Valenciennes | |
Parcours senior1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1981-1985 | US Valenciennes-Anzin | 126 | (4)
1985-1986 | AS Monaco | 3 (0) |
1986-1987 | Stade lavallois | 20 (0) |
1987-1990 | Stade quimpérois | 98 (2) |
Parcours entraîneur | ||
Années | Équipe | Stats |
1990-1991 | Stade quimpérois | |
1991-1994 | RC Périgueux | |
1994-1996 | Trélissac FC B | |
1996-2000 | Trélissac FC | |
2000-2003 | FC Marmande | |
2004-2005 | Bergerac Foot | |
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve. Dernière mise à jour : 29 mai 2013 | ||
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Jean-Luc Sokal est un footballeur puis entraîneur français né le à Guise, dans le département de l'Aisne. Formé et révélé à l'US Valenciennes-Anzin, il a été défenseur en Division 1, notamment à l'AS Monaco et au Stade lavallois.
Carrière de joueur
[modifier | modifier le code]De 1979 à 1981, Jean-Luc Sokal est sous contrat stagiaire à l'US Valenciennes Anzin[1]. Il se révèle notamment face à Delio Onnis qu'il empêche de marquer lors d'un match[2]. Titulaire régulier avec l'US Valenciennes-Anzin, il signe en 1985 avec l'AS Monaco mais ne joue que peu lors de cette saison monégasque en équipe première et se retrouve surtout titulaire avec l'équipe réserve en troisième division[3]. Il décide alors d'être mis sur la liste des transferts pour tenter sa chance dans un autre club[2].
Il rejoint alors le Stade lavallois en 1986 pour y former la charnière centrale jugée prudente de Michel Le Milinaire et, malgré la concurrence du jeune international Jean-Luc Dogon, dispute près de vingt matches en division une dont la majorité comme titulaire[3].
Il signe ensuite à Quimper dès la saison suivante et y joue trois saisons pleines[4]. En 1988, le club breton parvient jusqu'aux quarts de finale de la Coupe de France, ne s'inclinant que contre le futur vainqueur de l'épreuve, le FC Metz. Il termine sa carrière professionnelle de défenseur en 1991 après une rupture des ligaments croisés de son genou droit[2].
- 1979-1985 : US Valenciennes (en Divisions 1 et 2)
- 1985-1986 : AS Monaco (en Division 1)
- 1986-1987 : Stade lavallois (en Division 1)
- 1987-1990 : Stade quimpérois (en Division 2)
Carrière d'entraîneur
[modifier | modifier le code]Le président du RC Périgueux, Alain Dessale, lui demande de venir entraîner son club et dès sa première saison (1991-1992), Jean-Luc Sokal fait monter le club périgourdin de Division d'honneur régionale (DHR) à Division d'honneur (DH)[2].
En mai 2005, il figurait sur la liste des entraîneurs contactés pour entraîner le club de Libourne-Saint-Seurin et éventuellement succéder à André Menaut[5].
Références
[modifier | modifier le code]- France Football Officiel, 13 août 1983.
- Cédric Teodomante, « « Petit, continue comme ça, t'iras loin » », La Dépêche du Midi, (lire en ligne)
- Jean-Michel Larqué, « Laval Prudence oblige », Onze, no 130, , p. 60-61
- « Jean-Luc Sokal », sur TangoFoot
- S.D., « Menaut : un maintien et puis s’en va », sur 20 minutes,
Liens externes
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