France : États généraux. Necker réussit à obtenir le doublement du Tiers état. Noblesse et clergé rejettent la vérification des mandats en commun et le vote par tête proposés par le Tiers. Les débats sont bloqués.
séance royale[3]. Le roi ordonne aux députés de siéger par ordre séparé, annule toutes les décisions du Tiers et propose un programme de réforme conforme aux pratiques de la monarchie consultative. À l’issue de la séance royale, le Tiers refuse de quitter la salle ;
apostrophe apocryphe de Mirabeau : « Nous sommes ici par la volonté du peuple et nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes »;
27 juin, France : le roi ordonne aux députés de la noblesse de rejoindre les élus du tiers état et du clergé. Le vote se fera par tête et non par ordre.
28 juin : premier numéro du Patriote français de Brissot.