La Chanson du souvenir (film, 1937) — Wikipédia

La Chanson du souvenir

Réalisation Douglas Sirk
Serge de Poligny
Scénario Douglas Sirk
Franz Wallner-Basté
Paul Verhoeven
Toni Impekoven
Acteurs principaux
Sociétés de production UFA, ACE
Pays de production Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Drapeau de la France France
Genre comédie romantique
Sortie 1937

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

La Chanson du souvenir est un film franco-allemand réalisé par Douglas Sirk et Serge de Poligny, tourné en français, sorti en 1937.

Dans une petite principauté d’Europe centrale, au milieu du XIXe siècle, la jolie chanteuse Christine Holm est invitée à chanter au concert de cour du Prince. Le charme de Christine séduit le lieutenant Walter d'Arnegg, fils du ministre d'État de son Altesse. Mais leur liaison fait scandale et Christine doit partir. Elle en est d'autant plus désolée qu'elle pensait découvrir l'identité de son père dont elle ne sait rien, dans ce petit État où sa mère, chanteuse elle aussi, était venue chanter bien des années auparavant. Apprenant l'annulation de son concert, le Prince la fait rappeler et demande à la connaître. Charmé à son tour, le Prince promet de l'aider dans ses recherches sur son père. Le seul indice dont dispose Christine est une chanson que chantait sa mère à l'homme qu'elle aimait. Le Prince reconnaît la chanson et se souvient de son aventure amoureuse avec une belle chanteuse, 25 ans auparavant : Christine est sa fille, elle chantera le soir au concert de cour, et épousera le lieutenant Walter.

Fiche technique

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Distribution

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Autour du film

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Le film La Chanson du souvenir a été simultanément tourné en allemand sous le titre Du même titre, réalisation de Douglas Sirk.

Appréciation critique

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« Ce film est proche parent des multiples opérettes qui évoluent dans une petite principauté germanique. On retrouve dans ce joli film pimpant l'atmosphère du Congrès s'amuse. Mais le goût, la gentillesse et le tact de cette nouvelle comédie musicale méritent que le public y prenne autant de plaisir que celui qui semble avoir animé tous les collaborateurs de cette gracieuse opérette. »

— La Cinématographie française, no 367, mai 1937

Liens externes

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