Labouheyre — Wikipédia
Labouheyre | |||||
La poste. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Landes | ||||
Arrondissement | Mont-de-Marsan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur Haute Lande | ||||
Maire Mandat | Jean-Louis Pédeuboy 2020-2026 | ||||
Code postal | 40210 | ||||
Code commune | 40134 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bouheyrotes | ||||
Population municipale | 2 839 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 79 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 12′ 48″ nord, 0° 55′ 05″ ouest | ||||
Altitude | Min. 57 m Max. 84 m | ||||
Superficie | 36,13 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Labouheyre (ville isolée) | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Haute Lande Armagnac | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Landes Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine | |||||
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Labouheyre (/la.bu.ɛjʁ./) (La Boèira, en occitan[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont appelés Bouheyrots et Bouheyrotes
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Labouheyre est une commune située dans la forêt des Landes, elle fait partie du Parc naturel régional des Landes de Gascogne.
Elle est située à vol d'oiseau à 25km à l'est de Mimizan, 30km de la côte landaise, 28 km au sud-ouest de Biscarrosse, 54km au sud-ouest d'Arcachon, 75km de Bordeaux, 49km au nord-ouest de Mont-de-Marsan et 57 au nord de Dax.
Ancien carrefour entre les routes D626 et N10 (contournée depuis 2013 par l'A63), la commune contient également une gare sur la ligne ferroviaire Bordeaux-Irun.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Commensacq, Liposthey, Lüe, Pissos, Solférino et Ychoux.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le plan d'eau du Barit est un étang d'agrément de 2 ha. Le plan d'eau du parc de Peyre est un étang artificiel de 9 ha. Le Canteloup prend sa source dans la commune.
- Plan d'eau du Barit.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Littoral charentais et aquitain » et « Aquitaine, Gascogne »0[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 121 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pissos à 16 km à vol d'oiseau[6], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 031,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Labouheyre est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Labouheyre[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (52,7 %), forêts (20,1 %), terres arables (10,6 %), zones urbanisées (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies
[modifier | modifier le code]133 odonymes recensés à Labouheyre au | |||||||||||||||
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Allée | Avenue | Bld | Chemin | Cité | Impasse | Parvis | Place | Quai | Rd-point | Route | Rue | Square | Villa | Autres | Total |
0 | 0 | 0 | 4 [N 1] | 2 [N 2] | 28 | 0 | 4 [N 3] | 0 | 0 | 9 | 80 [N 4] | 0 | 0 | 6 [N 5] | 133 |
Notes « N » |
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Sources : rue-ville.info & OpenStreetMap |
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Labouheyre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Labouheyre est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[18],[19].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 298 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009, 2013 et 2020 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2013 et par des mouvements de terrain en 1999.
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme Le Boere en 1254[23],[24],[25].
Dans une première approche, la commune tirerait son nom du gascon hava (fève)[26] ou du latin bovaria, « étable à bœufs » puis « petite ferme »[25].
Rappelons qu'en gascon, Labouheyre s'écrit La Bohèira.
Histoire
[modifier | modifier le code]Labouheyre entre dans le patrimoine de la Maison d'Albret par l'intermédiaire de Mathe d'Albret. Au début de la guerre de Cent Ans, à la fin de 1337 ou au début de 1338, Mathe d'Albret conclut un accord avec le roi d'Angleterre Édouard III, duc d'Aquitaine[27],[28]. Elle lui cède la garde de ses seigneuries de Gensac, Miremont (lieu probablement situé dans la seigneurie de Gensac), Castelmoron et Montcuq (commune de Pomport) pour la durée de la guerre, en s'en réservant l'usufruit. Elle lui donne les seigneuries de Bergerac (qu'en fait elle ne possède pas) et de Montignac. Elle reçoit en échange les seigneuries de Montendre, Condat (manoir dans la commune actuelle de Libourne), Labouheyre, le pays de Brassenx, la prévôté de Born et de Mimizan, en possession perpétuelle. Cet accord est particulièrement profitable à Bernard Ezi V d'Albret, qui, à la mort de sa sœur Mathe est son héritier et récupère ainsi des terres proches de sa seigneurie de Labrit, comme Labouheyre[27],[29].
Une partie des terres de la commune est achetée par Napoléon III pour constituer son domaine impérial de Solférino, qui devient une commune à part entière en 1863.
Le record de vitesse sur rail du a été enregistré sur le territoire de la commune, la CC 7107 avait atteint la vitesse de pointe de 330,8 km/h.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement : D'azur au château donjonné d'or ouvert du champ, ajouré et maçonné de sable, les deux tours des flancs couvertes, posé sur une terrasse de sinople et surmonté d'une étoile aussi d'or[30] |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[33].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36]. En 2021, la commune comptait 2 839 habitants[Note 2], en évolution de +4,38 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Édifices et sites
[modifier | modifier le code]- Installée dans les murs de la maison dans laquelle mourut Félix Arnaudin, c'est une propriété de la commune de Labouheyre qui a voulu en faire, avec l'aide du conseil général des Landes, un lieu de diffusion et d'aide à la création photographique en Aquitaine.
- Son portail Renaissance est orné de coquilles et de fleurs de lys.
- Étang du parc de Peyre.
- Villa Mazagan, retraite de style mauresque construite par l'ethnologue et orientaliste Claude Cornut en référence à la citadelle d'El-Jadida, inspirée du Casino mauresque d'Arcachon.
Galerie
[modifier | modifier le code]- Mairie de Labouheyre.
- Maison de Félix Arnaudin, dans le quartier de Monge.
- Église Saint-Jacques de Labouheyre.
- Lavoir gascon.
Sports
[modifier | modifier le code]- Rugby à XV
Le Jeunesse sportive de Labouheyre qui fusionne en 2020 avec le Parentis sport sous le nom de Rugby club Nord Landes, engagé en championnat de France de rugby à XV de 3e division fédérale 2020-2021.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Félix Arnaudin, ethnographe et photographe de la Haute-Lande, écrivain, né et mort à Labouheyre (1844-1921). La maison dans laquelle il mourut est actuellement la Maison de la Photographie de Landes.
- Pierre Tarricq, ancien joueur de rugby à XV, né en 1929.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprise
[modifier | modifier le code]- Smurfit Rol Pin : 39 M€ de CA selon le journal du net
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Diccionari toponimic occitan de las Lanas e deu Baish Ador », sur locongres.org (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Labouheyre et Pissos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pissos » (commune de Pissos) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pissos » (commune de Pissos) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Labouheyre », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Labouheyre ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Labouheyre », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur landes.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- [Lespine 2004] Monique Lespine, « La microtoponymie de Labouheyre », Actes des colloques de la Société française d'onomastique, colloque du Teich, septembre 2003, no 12 « Onomastique et patrimoine », , p. 155-167 (lire en ligne [sur persee]).
- « Labouheyre - Énigme toponymique », sur landesenvrac.blogspot.com, Landes en vrac. Souvenirs et témoignages du passé et petit patrimoine landais (consulté en ).
- Stéphane Gendron, Animaux et noms de lieux, Éditions Errance, , p. 144.
- Fénié, Toponymie des Pays Occitans.
- Jean Bernard Marquette, Les Albret. L'ascension d'un lignage gascon (XIe siècle - 1360), Pessac, Ausonius, coll. « Scripta Mediaevalia » (no 18), , 702 p. (ISBN 9782356130389, présentation en ligne), p. 178-181, 260.
- Robert Avezou, « Les comtes de Périgord et leur domaine au XIVe siècle », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, vol. 52 et 53, 1925 et 1926, p. 135-138 (lire en ligne).
- Jean Bernard Marquette, « Un castelnau en terre de franchise au XIIIe siècle : Labouheyre », Annales du Midi, vol. 102, no 189, , p. 85–96 (DOI 10.3406/anami.1990.3304, lire en ligne, consulté le ).
- Banque du blason.
- Notice DUVIOL Jules, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
- https://reader.cafeyn.co/fr/1980760/21599605
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
- www.afccre.org Annuaire des villes jumelées.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Maison de la photographie des Landes
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- www.hautelande.fr Communauté de communes de la Haute Lande
- www.photolandes.fr Maison de la photographie des Landes