Lempdes-sur-Allagnon — Wikipédia
Lempdes-sur-Allagnon | |||||
Vue aérienne de Lempdes-sur-Allagnon. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Auzon Communauté | ||||
Maire Mandat | Guy Lonjon 2020-2026 | ||||
Code postal | 43410 | ||||
Code commune | 43120 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lempdais | ||||
Population municipale | 1 307 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 126 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 23′ 10″ nord, 3° 16′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 425 m Max. 546 m | ||||
Superficie | 10,4 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Issoire (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Sainte-Florine | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
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Lempdes-sur-Allagnon est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune est située au cœur du Massif central, à la sortie des gorges de l'Alagnon et à l'entrée de la Limagne de Brioude.
Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Lempdes-sur-Allagnon se trouve à 440 mètres d'altitude dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 72 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 15 km de Brioude[2], sous-préfecture, et à 5 km de Sainte-Florine[3], bureau centralisateur du canton de Sainte-Florine dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Chambezon (2,2 km), Moriat (2,3 km), Frugerès-les-Mines (2,8 km), Charbonnier-les-Mines (3,7 km), Vergongheon (4,2 km), Sainte-Florine (4,3 km), Léotoing (4,5 km), Saint-Géron (5,2 km).
Lieux-dits
[modifier | modifier le code]Allard, Baraque d'Arvant, Besse, Congousse, Moulin Bas, Moulin Bossacra, Moulin du Grand Pont, Moulin Graveirat, Moulin Lagarde, Raffeyroux, Moulin de La Ribeyre.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 584 mm, avec 7,4 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Autrac », sur la commune d'Autrac à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lempdes-sur-Allagnon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Issoire, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), prairies (15,2 %), forêts (11,3 %), zones urbanisées (9,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), mines, décharges et chantiers (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 925, alors qu'il était de 879 en 2013 et de 847 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 72,6 % étaient des résidences principales, 6,1 % des résidences secondaires et 21,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,3 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lempdes-sur-Allagnon en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,1 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,6 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Lempdes-sur-Allagnon[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 72,6 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 6,1 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 21,3 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Lendano au IXe siècle. Il est issu du gaulois lindon désignant un étang ou des eaux stagnantes[15], même origine celtique que le nom de la ville irlandaise de Dublin, issu du *dubu-lindon, « étang noir ».
Il a été complété afin d'éviter la confusion avec la ville homonyme de Lempdes, dans le Puy-de-Dôme.
Histoire
[modifier | modifier le code]Époque gallo-romaine
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]- Co-seigneurie des d'Auzon.
- Église Saint-Géraud dépendant de Sauxillanges.
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Les Montaigut de Beaune et de Bouzols sont les derniers seigneurs de Lempdes (1661-1789)[16]. Lempdes a dépendu dans la plus haute ancienneté du château de Léotoing dont il relevait en fief, et les seigneurs de Lempdes étaient les vassaux de ceux de Léotoing. Aussi, c'est à ces derniers que les Lempdais d'alors payaient l’impôt. Les premiers seigneurs de Léotoing portaient le nom de leur terre. Ils furent seigneurs jusque vers 1250. À cette époque ils perdirent leur titre au profit des dauphins d'Auvergne qui n'habitaient jamais Léotoing, mais venaient de temps à autre et Hugues Dauphin était seigneur de Lempdes en 1716. Puis Lempdes est portée en dot au vicomte de Polignac, Armand IV, par Béatrice Dauphine. La terre de Lempdes passe ensuite de la branche des Polignac à la maison de Montravel, puis par le jeu des alliances, aux Monboissier-Canillac et aux Montaigut de Bonne.
L'emplacement du château à côté de l'église permet de supposer que l'église était primitivement la chapelle. Il y a un souterrain passant sous l'Allagnon le reliant au château de Moriat[réf. nécessaire]. Les habitants de Lempdes marquèrent toujours une certaine indépendance vis-à-vis de leurs maîtres, même s'ils étaient redoutables et vindicatifs, tels les Canillac. Aussi les habitants de Lempdes élisaient des syndics chargés de l'administration de 1661 à Antoine Henri de Montaigut par son mariage avec l’héritière des Montboissier-Beaufort-Canillac, l'ainée des trois filles de Maximilien de Montboissier-Beaufort-Canillac et Marguerite Félicité d'Auzon. L’addition des biens des deux familles donne une liste d'une vingtaine de fiefs. Le château était la résidence habituelle d'Antoine Henri de Montaigut, qui a régulièrement veillé à son entretien.
Les seigneurs de Lempdes ont largement tiré profit de la rivière très poissonneuse à l'époque : le 5 juin 1698, par exemple, Antoine Henri de Montaigut autorise Jean Barrier, meunier à qui sont baillés trois moulins dont un à chanvre, à faire un montant pour prendre les poissons en précisant que les saumons reviendront au seigneur. Le 19 février 1674, il passe un bail de prix fait avec Jean Passion et Jean Aigniel (marié à Isabeau Chalchat), maîtres maçons de Lempdes pour refaire à neuf le four à pain tenu en absence par Denis Rieuf (boulanger) et de resuivre son couvert.
Les seigneurs de Lempdes monopolisent les graviers en achetant le 30 septembre 1697 une gravière au Graveyrat (lieu-dit de Lempdes) à Jean Chalchat et Jean Aigniel.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Lempdes-sur-Allagnon est membre de la communauté de communes Auzon Communauté[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Auzon. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Sainte-Florine pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[18].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].
En 2021, la commune comptait 1 307 habitants[Note 4], en évolution de −1,66 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,3 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 665 hommes pour 669 femmes, soit un taux de 50,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]- L'entreprise SIEL, fondée en 1987, spécialisée dans le domaine de la signalétique et de l'enseigne, avec une compétence particulière dans le thermolaquage, a son siège social et deux unités de fabrication dans la commune, employant au total près de 100 salariés[23][réf. non conforme].
Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 639 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 1 340 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 970 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 9,9 % | 10,9 % | 9,8 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 763 personnes, parmi lesquelles on compte 75,7 % d'actifs (65,9 % ayant un emploi et 9,8 % de chômeurs) et 24,3 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Issoire, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 428 emplois en 2018, contre 493 en 2013 et 456 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 505, soit un indicateur de concentration d'emploi de 84,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,2 %[I 15].
Sur ces 505 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 113 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 85,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 7,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Géraud, du XIe siècle[24], inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [25].
- Halle, du XVIIIe siècle[26].
- Château.
- Église Saint-Géraud.
- Halles.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Emmanuel des Essarts (1839-1909), poète et professeur d'université, mort à Lempdes.
- Léonce Lagarde (1860-1936), diplomate, né à Lempdes.
- B. R. Bruss, de son vrai nom René Bonnefoy, écrivain, né à Lempdes[27].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Folklore
[modifier | modifier le code]Une légende orale parle de ce seigneur de Léotoing, Béraud, qui après une longue chasse au loup, arrive de nuit dans sa ville, se rendant en son château. Malgré les avertissements, il longe l'Alagnon et devant le lavoir du village, s'arrête en voyant une femme laver du linge. Il descend de cheval, s'approche pour lui demander la raison de sa présence à cette heure indue de la nuit. Lorsqu'elle se retourne, horreur: visage ridé et cheveux blancs, deux puits de ténèbres à la place des yeux, des horribles chicots sanglants, elle l'attrape par le bras et l'entraîne avec une force terrifiante dans le lavoir pour le noyer. C'est ainsi, dit-on, que le dernier seigneur de Léotoing disparu sans enfant.
Cet esprit malfaisant et terriblement inquiétant, qu'on nomme en Auvergne la Lavandière, se retrouve en réalité ailleurs en Europe : en Ecosse (Bean Nighe), en Bretagne (Kannerezed-noz), en Espagne ou en Sardaigne (Panas Partorienti). Elle occupe les vieux lavoirs la nuit ; le linge qu’elle lave est toujours taché de sang et symbolise votre mort ou celle d’un proche[28].
« Elles battent et tordent incessamment quelque objet qui ressemble à du linge mouillé, mais qui, vu de près, n’est qu’un cadavre d’enfant » (George Sand, Légendes rustiques, 1858).
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Justin Dorlhac, « Notice géologique sur un gisement de serpentine en blocs isolés dans du gneiss, près de Lempdes (Haute-Loire) », Annales de la Société d'agriculture, sciences, arts et commerce du Puy, (lire en ligne)
- F. Beinier, « Lempdes », Almanach de Brioude, Brioude,
- Marie-Renée, « La légende de Saint Géraud, patron de Lempdes-en-Brivadois », Almanach de Brioude, Brioude,
- Alphonse Vinatié et C. Panissaud, « Sites gallo-romains du val d'Allagnon entre Grenier-Montgon et Lempdes », Almanach de Brioude, Brioude,
- Alphonse Vinatié, « Remarques générales sur le peuplement gallo-romain de la région comprise entre Grenier-Montgon et Lempdes, de part et d'autre du val d'Allagnon », Almanach de Brioude, Brioude,
- Gabriel Fournier, « Lempdes (Haute-Loire) : Histoire et topographie », Almanach de Brioude, Brioude,
- Alphonse Vinatié, « Occupation gallo-romaine dans la région de Blesle entre Grenier-Montgon et Lempdes », Almanach de Brioude, Brioude,
- Alphonse Vinatié et Irénée Orceyre, « Sur la "via terrana" Augustonemetum - Anderitum - Segodunum, quatre habitats gallo-romains entre Lempdes et St-Beauzire », Almanach de Brioude, Brioude,
- André Brustel, « Lempdes : pourquoi la "rue d'enfer" s'est appelée "rue d'enfer" (hypothèse) », Almanach de Brioude, Brioude,
- André Brustel, « De la petite à la grande histoire : l'affaire Bosredon, Lempdes, 25 juin 1791 », Almanach de Brioude, Brioude,
- André Brustel, « Lempdes, ses derniers seigneurs : les Montaigut de Beaune et de Bouzols (1661-1791) », Almanach de Brioude, Brioude,
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Lempdes-sur-Allagnon ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lempdes-sur-Allagnon (43120) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Lempdes-sur-Allagnon et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lempdes-sur-Allagnon et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lempdes-sur-Allagnon et Sainte-Florine », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lempdes-sur-Allagnon », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lempdes-sur-Allagnon et Autrac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Autrac », sur la commune d'Autrac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Autrac », sur la commune d'Autrac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Issoire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Roger Brunet, Trésor du terroir. Les noms de lieux de la France, CNRS editions, (ISBN 978-2-271-09278-6, lire en ligne)
- André Brustel, « Lempdes, ses derniers seigneurs : les Montaigut de Beaune et de Bouzols (1661-1791) », Almanach de Brioude, Brioude,
- « communauté de communes Auzon Communauté - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- La Montagne, 25 juin 2012.
- Marie-Renée, « La légende de Saint Géraud, patron de Lempdes-en-Brivadois », Almanach de Brioude, Brioude,
- Notice no PA00092693, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Halle », notice no PA00092694, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jean Freyssinet, « Lettres brivadoises contemporaines: Roger Blondel, romancier », Almanach de Brioude, Brioude,
- Richard Ely et Frédérique Devos, Le Grand livre des Esprits de la Nature : fées, elfes, lutins, faune, sirènes, pixies, dryades et autres créatures des forêts, montagnes, rivières, océans et jardins, Slovénie, Véga, , 128 p. (ISBN 978-2-85829-758-0), p. 63.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :