Loxapine — Wikipédia
Loxapine | ||
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Formule topologique et modélisation de la molécule de loxapine. | ||
Identification | ||
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DCI | loxapine | |
Nom UICPA | 8-chloro-6-(4-methylpiperazin-1-yl)benzo[b][1,4]benzoxazepine[1] | |
No CAS | succinate); | ;|
No ECHA | 100.016.215 | |
No CE | 217-835-3 | |
Code ATC | N05 | |
DrugBank | DB00408 | |
PubChem | 3964 (molécule); 135650533 (substance). | |
ChEBI | 50841 | |
SMILES | ||
InChI | ||
Apparence | Solide, cristaux jaunâtres pâles (avec le solvant éther de pétrole)[1] | |
Propriétés chimiques | ||
Formule | C18H18ClN3O [Isomères] | |
Masse molaire[2] | 327,808 ± 0,019 g/mol C 65,95 %, H 5,53 %, Cl 10,82 %, N 12,82 %, O 4,88 %, | |
Propriétés physiques | ||
T° fusion | 109 à 110 °C[1] | |
Pression de vapeur saturante | 2,80×10-8 mmHg à 25 °C | |
Écotoxicologie | ||
DL50 | 65 mg·kg-1 (souris, per os)[1] | |
LogP | 3,6[3] | |
DJA | 600 mg (per os)[4]; | |
Données pharmacocinétiques | ||
Métabolisme | Hépatique[6] | |
Demi-vie d’élim. | 8 heures (per os)[6] | |
Excrétion | ||
Considérations thérapeutiques | ||
Classe thérapeutique | Système nerveux, Psycholeptiques, Antipsychotiques, Diazépines, oxazépines, thiazépines et oxépines. | |
Voie d’administration | per os, I.M., inhalation. | |
Grossesse | Précaution : traverse le placenta et est retrouvé dans le lait[7]. | |
Conduite automobile | Déconseillée[7] | |
Caractère psychotrope | ||
Catégorie | Antipsychotique de première génération (aussi appelé neuroleptique ou antipsychotique typique, classique ou conventionnel) | |
Composés apparentés | ||
Autres composés | Amoxapine (métabolite actif principal); clozapine, olanzapine, quétiapine, asénapine. | |
Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire. | ||
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La loxapine (DCI) est un médicament antipsychotique de première génération[8]. Aujourd'hui, cet antipsychotique, anciennement appelé neuroleptique, ou « tranquilisant majeur », est principalement utilisé comme tranquilisant en raison de ses puissantes actions sédatives, anxiolytiques et antipsychotiques (antihallucinatoires et antidélirantes)[9].
Elle est commercialisée en France depuis 1978 sous le nom de Loxapac[10],[11], et le fut également sous le nom de spécialité Adasuve en 2014, sous forme de poudre pour inhalation en récipient unique[12], qui fut retirée du marché français[13].
Il s'agit de l'un des antipsychotiques de première génération les plus utilisés en France, souvent dans un contexte d'urgence ou de troubles en phase aigue[14],[15],[16].
Classe chimique
[modifier | modifier le code]La loxapine est un dérive de la dibenzoxazépine[9]. Sa structure chimique est très proche de celle de la clozapine, un antipsychotique de seconde génération dérivé de la dibenzodiazépine (à ne pas confondre avec les benzodiazépines)[17]; Cependant, ces deux molécules n'agissent pas de la même façon et n'ont pas le même profil d'effets secondaires[18].

Indications
[modifier | modifier le code]En France
[modifier | modifier le code]Autorisation de mise sur le marché
[modifier | modifier le code]Ses AMM en France sont les états psychotiques aiguës ou chroniques (schizophrénie, paranoïa, psychose hallucinatoire chronique…), les états d’agitations dans le cadre des psychoses et des troubles de la personnalité (trouble de la personnalité borderline, trouble de la personnalité antisociale) pour une courte durée et ce à partir de l’âge de 15 ans[19],[20].
Utilisation
[modifier | modifier le code]La loxapine est particulièrement efficace pour traiter l'agitation, l'agressivité, l'anxiété et les comportements autodestructeurs associés à certains troubles psychiques, ainsi que les troubles du comportement liés aux psychoses et aux troubles de la personnalité, tels que les tentatives de suicide, la violence ou l'agitation incoercible. Elle est également utilisée dans le traitement des états psychotiques aigus et chroniques[9].
Cependant, pour le traitement à long terme des troubles chroniques, elle est souvent moins privilégiée au profit de médicaments plus récents, comme les antipsychotiques de seconde et de troisième génération. Ces derniers présentent un risque moindre d'effets secondaires extrapyramidaux, qui incluent des symptômes moteurs tels que la dystonie (spasmes musculaires involontaires), le parkinsonisme (raideur musculaire, tremblements et bradykinésie), l'akathisie (agitation et incapacité à rester immobile) et les dyskinésies tardives (mouvements involontaires répétitifs, souvent affectant la langue et le visage). Ces effets peuvent être aigus, apparaissant peu après le début du traitement, ou retardés, se manifestant après une exposition prolongée. Ces antipsychotiques plus récents sont ainsi préférés en raison de leur profil de tolérance neurologique et moteur amélioré[8],[11].
Pharmacologie
[modifier | modifier le code]Pharmacodynamique
[modifier | modifier le code]La loxapine est un antipsychotique « polyvalent » qui possède des propriétés anxiolytiques et sédatives lorsqu'il est consommé sur de courtes périodes et des propriétés antipsychotiques (ou « incisives ») lorsqu'il est consommé sur de longues périodes[8]. La loxapine est toutefois utilisée prioritairement pour ses propriétés sédatives.
Mécanisme d'action
[modifier | modifier le code]Il s'agit d'un antagoniste ayant une forte affinité pour les récepteurs dopaminergiques D2, D3 et D4, les récepteurs sérotoninergiques 5-HT2A, 5-HT2C et 5-HT6, le récepteur adrénergique α1 et le récepteur histaminergique H1[21],[22],[23].
Singularité
[modifier | modifier le code]Malgré le fait que la loxapine soit classifiée comme un antipsychotique de première génération, son affinité forte et son antagonisme liés aux récepteurs sérotoninergiques 5-HT2A la fait se comporter en clinique, à de faibles doses considérées comme sub-thérapeutiques, comme un antipsychotique de seconde génération[23],[24].
Pharmacocinétique
[modifier | modifier le code]Absorption
[modifier | modifier le code]La loxapine est rapidement et entièrement absorbée. Le temps d'atteinte du pic plasmatique ou Tmax est de 1,5 heure (1 à 3 heures); elle subit l'effet d'un premier passage hépatique[25].
Métabolisme et activité des métabolites
[modifier | modifier le code]Elle est métabolisée par le foie (notamment via ce premier passage hépatique) par déméthylation, N-oxydation et hydroxylation, par les cytochromes P450 CYP3A4, CYP2D6, CYP2C19, CYP2C8 et CYP1A2, formant les métabolites 8-hydroxy-loxapine et 7- hydroxy-loxapine (via hydroxylation), loxapine N-oxyde (via N-oxydation) et amoxapine (via déméthylation). La loxapine ne semble pas inhiber ni induire ces cytochromes (enzymes), ceci permettant que la métabolisation d'autres médicaments reste supposément inchangée[26].
Son métabolite actif principal est l'amoxapine, classé comme un antidépresseur tétracyclique[27], inhibiteur de la recapture de la noradrénaline, et de façon moins importante, de la sérotonine[28].
Excrétion
[modifier | modifier le code]Son élimination est essentiellement rénale (de l'ordre de 70 %), sous forme de métabolites conjugués. Sa demi-vie d'élimination plasmatique est de l'ordre de 8 heures[11] lors d'une prise per os.
Données scientifiques et études
[modifier | modifier le code]Une brève revue sur la loxapine n'a pas montré en définitive qu'elle était particulièrement efficace chez les patients avec une schizophrénie paranoïde[29].
Une méta-analyse menée en 2019, qui compare une large gamme d'antipsychotiques, montre que la loxapine présente une efficacité modérée pour améliorer les symptômes globaux de la schizophrénie (symptômes positifs, négatifs et cognitifs), en étant à la 13e place – en faveur de l'antipsychotique –, et étant plus efficace que la chlorpromazine, mais moins que l'halopéridol. En ce qui concerne la tolérance, évaluée à partir du taux de patients interrompant le traitement de manière imprévue, elle est également modérée, la loxapine étant à la 12e place[30].
Elle présente un risque élevé de provoquer des effets indésirables extrapyramidaux, de la sédation et des effets anticholinergiques par rapport aux autres antipsychotiques; ces effets secondaires sont dose-dépendants. Un traitement à base de loxapine accroît le risque pour le patient de se voir prescrire un correcteur anticholinergique, ceci menant à une polypharmacie[30].
La loxapine sous forme injectable intramusculaire aurait un effet plus rapide et une plus grande efficacité que l'halopéridol sous forme injectable intramusculaire sur l'agitation et l'agressivité de certains patients[21], et avec un profil de tolérance plus acceptable, notamment par rapport à un risque supposé faible d'allongement de l'intervalle QT à l'électrocardiogramme (ECG)[30],[31],[32],[33].
Efficacité
[modifier | modifier le code]Selon la HAS, le service médical rendu de la loxapine est important[34].
Effets secondaires
[modifier | modifier le code]Ses effets secondaires sont classés par système-organe, leur fréquence de survenue est indéterminée[35] :
Affections hématologiques et du système lymphatique
[modifier | modifier le code]Affections cardiaques
[modifier | modifier le code]Affections endocriniennes
[modifier | modifier le code]- Hyperprolactinémie (aménorrhée, galactorrhée, gynécomastie)
- Prise de poids
- Perte de poids
Affections oculaires
[modifier | modifier le code]- Trouble de l'accommodation (effet anticholinerqique)
- Rétinopathie pigmentaire
- Pigmentation lenticulaire
Affections gastro-intestinales
[modifier | modifier le code]- Sécheresse de la bouche (effet anticholinergique)
- Constipation (effet anticholinergique)
- Iléus paralytique (effet anticholinergique)
Troubles généraux et anomalies au site d’administration (lors d'une injection)
[modifier | modifier le code]Affections du système immunitaire
[modifier | modifier le code]Investigations
[modifier | modifier le code]- Anomalies du bilan hépatique
Affections du système nerveux
[modifier | modifier le code]- Sédation
- Dyskinésie précoce
- Torticolis spasmodique
- Crises oculogyres
- Trismus
- Dyskinésie tardive
- Syndrome extrapyramidal (tremblements, rigidité musculaire, bradykinésie, dystonie, dyskinésie, akathisie, hypomimie, troubles de la marche)
- Syndrome malin des neuroleptiques
- Convulsions
Affections du rein et des voies urinaires
[modifier | modifier le code]Affections des organes de reproduction et du sein
[modifier | modifier le code]Affections vasculaires
[modifier | modifier le code]Contre-indications
[modifier | modifier le code]La loxapine ne doit pas être administrée en cas de coma alcoolique, de coma barbiturique, chez l'enfant et l'adolescent de moins de 15 ans, ni chez les patients présentant une hypersensibilité à l'un de ses composants ou a la loxapine elle-même[9].
Précautions d'utilisation
[modifier | modifier le code]La loxapine est à utiliser avec précaution en cas d’allaitement, de démence sénile, d’antécédents ou de présence de symptômes extrapyramidaux, de glaucome, de grossesse, d’hépatopathie, de maladies cardiovasculaires, de maladie de Parkinson, de néphropathie, chez les nouveau-nés exposés in utero au médicament, ainsi que dans le cadre de pathologies cérébrovasculaires. Elle est également à utiliser avec parcimonie chez les sujets âgés, notamment ceux à risque d'accident thromboembolique, d'hypotension artérielle, de crise convulsive, de rétention urinaire, ainsi que pour les traitements prolongés[9].
Spécialités
[modifier | modifier le code]En France
[modifier | modifier le code]La loxapine, commercialisée sous le nom Loxapac en France, est disponible sous forme de :
En officine
[modifier | modifier le code]- Voie orale[11],[35]
- boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 25 mg de loxapine sous plaquettes ;
- boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 50 mg de loxapine sous plaquettes ;
- boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 100 mg de loxapine sous plaquettes ;
- boite de solution buvable concentrée à 25 mg·ml-1 de loxapine contenant un flacon de 30 ml avec une seringue pour administration orale graduée de 5 en 5 mg jusqu'à 25 mg (le flacon se conserve jusqu'à 30 jours après sa première ouverture).
À l'hôpital (modèles hospitaliers)
[modifier | modifier le code]- Voie orale[11],[35]
- boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 25 mg de loxapine sous plaquettes prédécoupées ;
- boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 50 mg de loxapine sous plaquettes prédécoupées ;
- boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 100 mg de loxapine sous plaquettes prédécoupées ;
- boite de solution buvable concentrée à 25 mg·ml-1 de loxapine contenant un flacon de 60 ml avec une seringue pour administration orale graduée de 5 en 5 mg jusqu'à 100 mg (le flacon se conserve jusqu'à 30 jours après sa première ouverture).
- Voie parentérale[36]
- boite de 10 ampoules de 2 ml de solution injectable pour injection intramusculaire concentrée à 25 mg·ml-1 de loxapine (50 mg·2 ml-1).
loxapine | |
Informations générales | |
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Princeps |
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Classe | Système nerveux, Psycholeptiques, Antipsychotiques, Diazépines, oxazépines, thiazépines et oxépines (ATC code N05 ) |
Forme | comprimés pelliculés à 2,5, 5, 10, 25, 50 et 100 mg, solution buvable à 25 mg·ml-1, solution injectable à 50 mg·2·ml-1, poudre pour inhalation en récipient unique 9,1 mg. |
Administration | per os, I.M., inhalation |
Sels | succinate |
Laboratoire | Alexza, Apotex, Bioprojet Pharma, Dominion, Eisai, Pendopharm (Pharmascience), Pharmel, Sandoz |
Statut légal | |
Statut légal |
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Identification | |
No CAS | |
No ECHA | 100.016.215 |
Code ATC | N05AH01 |
DrugBank | DB00408 |
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Statut légal et prescription
[modifier | modifier le code]En France
[modifier | modifier le code]La loxapine est une substance classée sur la liste I des médicaments, elle n'est donc disponible que sur ordonnance.
Les spécialités en contenant possèdent un taux de remboursement de 65 % et sont agréées aux collectivités dans les indications : « États psychotiques aigus » et « États psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques non schizophréniques : délires paranoïaques, psychoses hallucinatoires chroniques).
Elles ne sont pas remboursées ni agréées aux collectivités dans l'indication « États d'agitation, d'agressivité et anxiété associée à des troubles psychotiques ou à certains troubles de la personnalité à court terme et en alternative à la forme injectable »[26].
La spécialité de solution injectable de loxapine en ampoule pour injection intramusculaire est agréée aux collectivités ainsi que les modèles hospitaliers des formes per os[11].
Recherche
[modifier | modifier le code]La loxapine a été un des cinq antipsychotiques utilisés dans une étude sur la structure des neurones dans les parties du cerveau dont on pense qu'elles sont impliquées dans la schizophrénie. Seule la loxapine a été associée avec le développement de nouvelles connexions entre neurones (neurogenèse)[37].
Fait divers
[modifier | modifier le code]Le , il a été utilisé par malveillance contre des soignants de l'Hôtel-Dieu de Paris[38].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « COMPOUND SUMMARY - Loxapine », sur https://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/ (consulté le )
- ↑ Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 », sur www.chem.qmul.ac.uk.
- ↑ (en) « Loxapine », sur DrugBank, consulté le 27 juillet 2024.
- ↑ « Résumé des caractéristiques du produit - LOXAPAC 100 mg, comprimé pelliculé - Base de données publique des médicaments », sur base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr (consulté le )
- ↑ « LOXAPAC 50 mg/2 ml, solution injectable en ampoule (IM) - Résumé des caractéristiques du produit - Base de données publique des médicaments », sur https://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/ (consulté le )
- « LOXAPAC 25 mg, comprimé pelliculé - Résumé des caractéristiques du produit - Base de données publique des médicaments », sur https://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/ (consulté le )
- « Substance active loxapine », sur https://www.vidal.fr/ (consulté le )
- « Loxapine », sur pharmacomedicale.org (consulté le )
- Vidal, « Substance active loxapine, À propos de la substance »
, sur https://www.vidal.fr/ (consulté le )
- ↑ « *Antipsychotiques : Les points essentiels », sur pharmacomedicale.org (consulté le )
- « Résumé des caractéristiques du produit - LOXAPAC 25 mg, comprimé pelliculé - Base de données publique des médicaments », sur base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr (consulté le )
- ↑ David Paitraud, « ADASUVE : la loxapine désormais disponible sous forme inhalée »
, sur Vidal.fr, (consulté le )
- ↑ VIDAL, « Recherche « loxapine » »
, sur VIDAL.fr (consulté le )
- ↑ « Recommandations Agitation - VIDAL » [archive du ], sur VIDAL (consulté le )
- ↑ « Loxapine - Loxapac® - Urgences-Online », sur urgences-serveur.fr (consulté le )
- ↑ « Loxapac® ou Tercian® », sur ALIÉNISTE & ROCKOLOGUE, (consulté le )
- ↑ Vidal, « Substance active clozapine »
, sur Vidal.fr, (consulté le )
- ↑ (en) « Clozapine vs Loxapine Comparison », sur Drugs.com (consulté le )
- ↑ https://www.has-sante.fr/jcms/p_3433392/fr/loxapac-loxapine-traitement-des-etats-d-agitation-a-partir-de-15-ans
- ↑ « Inhaled loxapine for the treatment of agitation in borderline personality disorder », sur EM-Consulte (consulté le ).
- « Loxapine » in Le guide du prescripteur : psychopharmacologie essentielle, Médecine-sciences Flammarion p. 232
- ↑ Collège national de Pharmacologie Médicale, « Loxapine », sur pharmacomedicale.org, (consulté le ).
- « Loxapine », dans Prescriber's Guide: Stahl's Essential Psychopharmacology, Cambridge University Press, , 443–450 p. (ISBN 978-1-108-92127-5, lire en ligne)
- ↑ Florian Ferreri, Dominique Drapier, Emmanuelle Baloche et Mehemed Ouzid, « The in Vitro Actions of Loxapine on Dopaminergic and Serotonergic Receptors. Time to Consider Atypical Classification of This Antipsychotic Drug? », International Journal of Neuropsychopharmacology, vol. 21, no 4, , p. 355–360 (ISSN 1461-1457, DOI 10.1093/ijnp/pyx102, lire en ligne, consulté le )
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- ↑ (en) Cheung SW, Tang SW, Remington G, « Simultaneous quantitation of loxapine, amoxapine and their 7- and 8-hydroxy metabolites in plasma by high-performance liquid chromatography », Journal of Chromatography, vol. 564, no 1, , p. 213–21. (PMID 1860915, DOI 10.1016/0378-4347(91)80083-O)
- ↑ « Amoxapine : substance active à effet thérapeutique - VIDAL » [archive du ], sur VIDAL (consulté le )
- ↑ « Clozapine and loxapine for schizophrenia », Drug and Therapeutics Bulletin, vol. 29, no 11, , p. 41–2 (PMID 1747161)
- (en) Maximilian Huhn, Adriani Nikolakopoulou, Johannes Schneider-Thoma et Marc Krause, « Comparative efficacy and tolerability of 32 oral antipsychotics for the acute treatment of adults with multi-episode schizophrenia: a systematic review and network meta-analysis », The Lancet, vol. 394, no 10202, , p. 939–951 (ISSN 0140-6736, DOI 10.1016/S0140-6736(19)31135-3, lire en ligne [archive du ], consulté le )
- ↑ Scott R. Beach, Christopher M. Celano, Alan M. Sugrue et Caitlin Adams, « QT Prolongation, Torsades de Pointes, and Psychotropic Medications: A 5-Year Update », Psychosomatics, vol. 59, no 2, , p. 105–122 (ISSN 0033-3182, DOI 10.1016/j.psym.2017.10.009, lire en ligne, consulté le )
- ↑ Daniel A. Spyker, Polina Voloshko, Eugene R. Heyman et James V. Cassella, « Loxapine delivered as a thermally generated aerosol does not prolong QTc in a thorough QT/QTc study in healthy subjects », Journal of Clinical Pharmacology, vol. 54, no 6, , p. 665–674 (ISSN 1552-4604, PMID 24375070, DOI 10.1002/jcph.257, lire en ligne, consulté le )
- ↑ (en) Aimee Dietle, PharmD Assistant Professor of Pharmacy Practice MCPHS University Worcester Massachusetts, « QTc Prolongation With Antidepressants and Antipsychotics », sur www.uspharmacist.com (consulté le )
- ↑ HAS, Commission de la Transparence, Avis du 14 mars 2007
- « Résumé des caractéristiques du produit - LOXAPAC, solution buvable - Base de données publique des médicaments », sur base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr (consulté le )
- ↑ « Résumé des caractéristiques du produit - LOXAPAC 50 mg/2 ml, solution injectable en ampoule (IM) - Base de données publique des médicaments », sur base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr (consulté le )
- ↑ (en) Brennand Kristen, Anthony Simone, Jessica Jou, Chelsea Gelboin-Burkhart, Ngoc Tran, Sarah Sangar, Yan Li, Yangling Mu, Gong Chen, Diana Yu, Shane McCarthy, Jonathan Sebat & Fred H. Gage, « Modelling schizophrenia using human induced pluripotent stem cells », Nature, vol. 473, no 7346, , p. 221–5 (PMID 21490598, DOI 10.1038/nature09915)
- ↑ « Six membres du corps médical empoisonnés à l'Hôtel-Dieu », Le Parisien, (lire en ligne).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Antipsychotique (neuroleptique)
- Antipsychotique de première génération
- Sédatif
- Agitation
- Agressivité
- Anxiété
- Psychose
- Schizophrénie
- Trouble bipolaire
- Contention
Liens externes
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- Ressources relatives à la santé :
- (fr) Substance active loxapine, À propos de la substance, sur le Dictionnaire Vidal (vidal.fr) ;
- (fr) Monographie du produit sur la Base de données sur les produits pharmaceutiques de Santé Canada (produits-sante.canada.ca) ;
- (en-US) Loxapine, dans le Prescriber's Guide Stahl's Essential Psychopharmacology, p. 443-450.