Loxapine — Wikipédia

Loxapine
Image illustrative de l’article Loxapine
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Formule topologique et modélisation de la molécule de loxapine.
Identification
DCI loxapine
Nom UICPA 8-chloro-6-(4-methylpiperazin-1-yl)benzo[b][1,4]benzoxazepine[1]
No CAS 1977-10-2;

27833-64-3 (succinate);
54810-23-0 (chlorhydrate).

No ECHA 100.016.215
No CE 217-835-3
Code ATC N05AH01
DrugBank DB00408
PubChem 3964 (molécule);
135650533 (substance).
ChEBI 50841
SMILES
InChI
Apparence Solide, cristaux jaunâtres pâles (avec le solvant éther de pétrole)[1]
Propriétés chimiques
Formule C18H18ClN3O  [Isomères]
Masse molaire[2] 327,808 ± 0,019 g/mol
C 65,95 %, H 5,53 %, Cl 10,82 %, N 12,82 %, O 4,88 %,
Propriétés physiques
fusion 109 à 110 °C[1]
Pression de vapeur saturante 2,80×10-8 mmHg à 25 °C
Écotoxicologie
DL50 65 mg·kg-1 (souris, per os)[1]
LogP 3,6[3]
DJA 600 mg (per os)[4];

300 mg (par voie I.M.)[5].

Données pharmacocinétiques
Métabolisme Hépatique[6]
Demi-vie d’élim. 8 heures (per os)[6]
Excrétion

Urine et fèces[6]

Considérations thérapeutiques
Classe thérapeutique Système nerveux, Psycholeptiques, Antipsychotiques, Diazépines, oxazépines, thiazépines et oxépines.
Voie d’administration per os, I.M., inhalation.
Grossesse Précaution : traverse le placenta et est retrouvé dans le lait[7].
Conduite automobile Déconseillée[7]
Caractère psychotrope
Catégorie Antipsychotique de première génération (aussi appelé neuroleptique ou antipsychotique typique, classique ou conventionnel)
Composés apparentés
Autres composés

Amoxapine (métabolite actif principal); clozapine, olanzapine, quétiapine, asénapine.


Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire.

La loxapine (DCI) est un médicament antipsychotique de première génération[8]. Aujourd'hui, cet antipsychotique, anciennement appelé neuroleptique, ou « tranquilisant majeur », est principalement utilisé comme tranquilisant en raison de ses puissantes actions sédatives, anxiolytiques et antipsychotiques (antihallucinatoires et antidélirantes)[9].

Elle est commercialisée en France depuis 1978 sous le nom de Loxapac[10],[11], et le fut également sous le nom de spécialité Adasuve en 2014, sous forme de poudre pour inhalation en récipient unique[12], qui fut retirée du marché français[13].

Il s'agit de l'un des antipsychotiques de première génération les plus utilisés en France, souvent dans un contexte d'urgence ou de troubles en phase aigue[14],[15],[16].

Classe chimique

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La loxapine est un dérive de la dibenzoxazépine[9]. Sa structure chimique est très proche de celle de la clozapine, un antipsychotique de seconde génération dérivé de la dibenzodiazépine (à ne pas confondre avec les benzodiazépines)[17]; Cependant, ces deux molécules n'agissent pas de la même façon et n'ont pas le même profil d'effets secondaires[18].

Formules topologiques de la loxapine et de la clozapine. Les différences entre les deux molécules sont affichées en bleu et en rouge.

Indications

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Autorisation de mise sur le marché

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Ses AMM en France sont les états psychotiques aiguës ou chroniques (schizophrénie, paranoïa, psychose hallucinatoire chronique…), les états d’agitations dans le cadre des psychoses et des troubles de la personnalité (trouble de la personnalité borderline, trouble de la personnalité antisociale) pour une courte durée et ce à partir de l’âge de 15 ans[19],[20].

Utilisation

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La loxapine est particulièrement efficace pour traiter l'agitation, l'agressivité, l'anxiété et les comportements autodestructeurs associés à certains troubles psychiques, ainsi que les troubles du comportement liés aux psychoses et aux troubles de la personnalité, tels que les tentatives de suicide, la violence ou l'agitation incoercible. Elle est également utilisée dans le traitement des états psychotiques aigus et chroniques[9].

Cependant, pour le traitement à long terme des troubles chroniques, elle est souvent moins privilégiée au profit de médicaments plus récents, comme les antipsychotiques de seconde et de troisième génération. Ces derniers présentent un risque moindre d'effets secondaires extrapyramidaux, qui incluent des symptômes moteurs tels que la dystonie (spasmes musculaires involontaires), le parkinsonisme (raideur musculaire, tremblements et bradykinésie), l'akathisie (agitation et incapacité à rester immobile) et les dyskinésies tardives (mouvements involontaires répétitifs, souvent affectant la langue et le visage). Ces effets peuvent être aigus, apparaissant peu après le début du traitement, ou retardés, se manifestant après une exposition prolongée. Ces antipsychotiques plus récents sont ainsi préférés en raison de leur profil de tolérance neurologique et moteur amélioré[8],[11].

Pharmacologie

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Pharmacodynamique

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La loxapine est un antipsychotique « polyvalent » qui possède des propriétés anxiolytiques et sédatives lorsqu'il est consommé sur de courtes périodes et des propriétés antipsychotiques (ou « incisives ») lorsqu'il est consommé sur de longues périodes[8]. La loxapine est toutefois utilisée prioritairement pour ses propriétés sédatives.

Mécanisme d'action

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Il s'agit d'un antagoniste ayant une forte affinité pour les récepteurs dopaminergiques D2, D3 et D4, les récepteurs sérotoninergiques 5-HT2A, 5-HT2C et 5-HT6, le récepteur adrénergique α1 et le récepteur histaminergique H1[21],[22],[23].

Singularité
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Malgré le fait que la loxapine soit classifiée comme un antipsychotique de première génération, son affinité forte et son antagonisme liés aux récepteurs sérotoninergiques 5-HT2A la fait se comporter en clinique, à de faibles doses considérées comme sub-thérapeutiques, comme un antipsychotique de seconde génération[23],[24].

Pharmacocinétique

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La loxapine est rapidement et entièrement absorbée. Le temps d'atteinte du pic plasmatique ou Tmax est de 1,5 heure (1 à 3 heures); elle subit l'effet d'un premier passage hépatique[25].

Métabolisme et activité des métabolites

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Elle est métabolisée par le foie (notamment via ce premier passage hépatique) par déméthylation, N-oxydation et hydroxylation, par les cytochromes P450 CYP3A4, CYP2D6, CYP2C19, CYP2C8 et CYP1A2, formant les métabolites 8-hydroxy-loxapine et 7- hydroxy-loxapine (via hydroxylation), loxapine N-oxyde (via N-oxydation) et amoxapine (via déméthylation). La loxapine ne semble pas inhiber ni induire ces cytochromes (enzymes), ceci permettant que la métabolisation d'autres médicaments reste supposément inchangée[26].

Son métabolite actif principal est l'amoxapine, classé comme un antidépresseur tétracyclique[27], inhibiteur de la recapture de la noradrénaline, et de façon moins importante, de la sérotonine[28].

Son élimination est essentiellement rénale (de l'ordre de 70 %), sous forme de métabolites conjugués. Sa demi-vie d'élimination plasmatique est de l'ordre de 8 heures[11] lors d'une prise per os.

Données scientifiques et études

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Une brève revue sur la loxapine n'a pas montré en définitive qu'elle était particulièrement efficace chez les patients avec une schizophrénie paranoïde[29].

Une méta-analyse menée en 2019, qui compare une large gamme d'antipsychotiques, montre que la loxapine présente une efficacité modérée pour améliorer les symptômes globaux de la schizophrénie (symptômes positifs, négatifs et cognitifs), en étant à la 13e place – en faveur de l'antipsychotique –, et étant plus efficace que la chlorpromazine, mais moins que l'halopéridol. En ce qui concerne la tolérance, évaluée à partir du taux de patients interrompant le traitement de manière imprévue, elle est également modérée, la loxapine étant à la 12e place[30].

Elle présente un risque élevé de provoquer des effets indésirables extrapyramidaux, de la sédation et des effets anticholinergiques par rapport aux autres antipsychotiques; ces effets secondaires sont dose-dépendants. Un traitement à base de loxapine accroît le risque pour le patient de se voir prescrire un correcteur anticholinergique, ceci menant à une polypharmacie[30].

La loxapine sous forme injectable intramusculaire aurait un effet plus rapide et une plus grande efficacité que l'halopéridol sous forme injectable intramusculaire sur l'agitation et l'agressivité de certains patients[21], et avec un profil de tolérance plus acceptable, notamment par rapport à un risque supposé faible d'allongement de l'intervalle QT à l'électrocardiogramme (ECG)[30],[31],[32],[33].

Efficacité

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Selon la HAS, le service médical rendu de la loxapine est important[34].

Effets secondaires

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Ses effets secondaires sont classés par système-organe, leur fréquence de survenue est indéterminée[35] :

Affections hématologiques et du système lymphatique

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Affections cardiaques

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Affections endocriniennes

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Affections oculaires

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Affections gastro-intestinales

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Troubles généraux et anomalies au site d’administration (lors d'une injection)

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Affections du système immunitaire

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Investigations

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Affections du système nerveux

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Affections du rein et des voies urinaires

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Affections des organes de reproduction et du sein

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Affections vasculaires

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Contre-indications

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La loxapine ne doit pas être administrée en cas de coma alcoolique, de coma barbiturique, chez l'enfant et l'adolescent de moins de 15 ans, ni chez les patients présentant une hypersensibilité à l'un de ses composants ou a la loxapine elle-même[9].

Précautions d'utilisation

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La loxapine est à utiliser avec précaution en cas d’allaitement, de démence sénile, d’antécédents ou de présence de symptômes extrapyramidaux, de glaucome, de grossesse, d’hépatopathie, de maladies cardiovasculaires, de maladie de Parkinson, de néphropathie, chez les nouveau-nés exposés in utero au médicament, ainsi que dans le cadre de pathologies cérébrovasculaires. Elle est également à utiliser avec parcimonie chez les sujets âgés, notamment ceux à risque d'accident thromboembolique, d'hypotension artérielle, de crise convulsive, de rétention urinaire, ainsi que pour les traitements prolongés[9].

Spécialités

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La loxapine, commercialisée sous le nom Loxapac en France, est disponible sous forme de :

  • Voie orale[11],[35]
    • boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 25 mg de loxapine sous plaquettes ;
    • boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 50 mg de loxapine sous plaquettes ;
    • boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 100 mg de loxapine sous plaquettes ;
    • boite de solution buvable concentrée à 25 mg·ml-1 de loxapine contenant un flacon de 30 ml avec une seringue pour administration orale graduée de 5 en 5 mg jusqu'à 25 mg (le flacon se conserve jusqu'à 30 jours après sa première ouverture).

À l'hôpital (modèles hospitaliers)

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  • Voie orale[11],[35]
    • boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 25 mg de loxapine sous plaquettes prédécoupées ;
    • boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 50 mg de loxapine sous plaquettes prédécoupées ;
    • boite de 30 comprimés pelliculés dosés à 100 mg de loxapine sous plaquettes prédécoupées ;
    • boite de solution buvable concentrée à 25 mg·ml-1 de loxapine contenant un flacon de 60 ml avec une seringue pour administration orale graduée de 5 en 5 mg jusqu'à 100 mg (le flacon se conserve jusqu'à 30 jours après sa première ouverture).
  • Voie parentérale[36]

loxapine
Informations générales
Princeps
Classe Système nerveux, Psycholeptiques, Antipsychotiques, Diazépines, oxazépines, thiazépines et oxépines (ATC code N05AH01)
Forme comprimés pelliculés à 2,5, 5, 10, 25, 50 et 100 mg, solution buvable à 25 mg·ml-1, solution injectable à 50 mg·2·ml-1, poudre pour inhalation en récipient unique 9,1 mg.
Administration per os, I.M., inhalation
Sels succinate
Laboratoire Alexza, Apotex, Bioprojet Pharma, Dominion, Eisai, Pendopharm (Pharmascience), Pharmel, Sandoz
Statut légal
Statut légal
  • Liste I (France)[7]
Identification
No CAS 1977-10-2 Voir et modifier les données sur Wikidata
No ECHA 100.016.215
Code ATC N05AH01
DrugBank DB00408 Voir et modifier les données sur Wikidata

Statut légal et prescription

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La loxapine est une substance classée sur la liste I des médicaments, elle n'est donc disponible que sur ordonnance.

Les spécialités en contenant possèdent un taux de remboursement de 65 % et sont agréées aux collectivités dans les indications : « États psychotiques aigus » et « États psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques non schizophréniques : délires paranoïaques, psychoses hallucinatoires chroniques).

Elles ne sont pas remboursées ni agréées aux collectivités dans l'indication « États d'agitation, d'agressivité et anxiété associée à des troubles psychotiques ou à certains troubles de la personnalité à court terme et en alternative à la forme injectable »[26].

La spécialité de solution injectable de loxapine en ampoule pour injection intramusculaire est agréée aux collectivités ainsi que les modèles hospitaliers des formes per os[11].

La loxapine a été un des cinq antipsychotiques utilisés dans une étude sur la structure des neurones dans les parties du cerveau dont on pense qu'elles sont impliquées dans la schizophrénie. Seule la loxapine a été associée avec le développement de nouvelles connexions entre neurones (neurogenèse)[37].

Fait divers

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Le , il a été utilisé par malveillance contre des soignants de l'Hôtel-Dieu de Paris[38].

Notes et références

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  1. a b c et d « COMPOUND SUMMARY - Loxapine », sur https://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/ (consulté le )
  2. Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 », sur www.chem.qmul.ac.uk.
  3. (en) « Loxapine », sur DrugBank, consulté le 27 juillet 2024.
  4. « Résumé des caractéristiques du produit - LOXAPAC 100 mg, comprimé pelliculé - Base de données publique des médicaments », sur base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr (consulté le )
  5. « LOXAPAC 50 mg/2 ml, solution injectable en ampoule (IM) - Résumé des caractéristiques du produit - Base de données publique des médicaments », sur https://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/ (consulté le )
  6. a b et c « LOXAPAC 25 mg, comprimé pelliculé - Résumé des caractéristiques du produit - Base de données publique des médicaments », sur https://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/ (consulté le )
  7. a b c d et e « Substance active loxapine », sur https://www.vidal.fr/ (consulté le )
  8. a b et c « Loxapine », sur pharmacomedicale.org (consulté le )
  9. a b c d et e Vidal, « Substance active loxapine, À propos de la substance » Accès libre, sur https://www.vidal.fr/ (consulté le )
  10. « *Antipsychotiques : Les points essentiels », sur pharmacomedicale.org (consulté le )
  11. a b c d e et f « Résumé des caractéristiques du produit - LOXAPAC 25 mg, comprimé pelliculé - Base de données publique des médicaments », sur base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr (consulté le )
  12. David Paitraud, « ADASUVE : la loxapine désormais disponible sous forme inhalée » Accès libre, sur Vidal.fr, (consulté le )
  13. VIDAL, « Recherche « loxapine » » Accès libre, sur VIDAL.fr (consulté le )
  14. « Recommandations Agitation - VIDAL » [archive du ], sur VIDAL (consulté le )
  15. « Loxapine - Loxapac® - Urgences-Online », sur urgences-serveur.fr (consulté le )
  16. « Loxapac® ou Tercian® », sur ALIÉNISTE & ROCKOLOGUE, (consulté le )
  17. Vidal, « Substance active clozapine » Accès libre, sur Vidal.fr, (consulté le )
  18. (en) « Clozapine vs Loxapine Comparison », sur Drugs.com (consulté le )
  19. https://www.has-sante.fr/jcms/p_3433392/fr/loxapac-loxapine-traitement-des-etats-d-agitation-a-partir-de-15-ans
  20. « Inhaled loxapine for the treatment of agitation in borderline personality disorder », sur EM-Consulte (consulté le ).
  21. a et b « Loxapine » in Le guide du prescripteur : psychopharmacologie essentielle, Médecine-sciences Flammarion p. 232
  22. Collège national de Pharmacologie Médicale, « Loxapine », sur pharmacomedicale.org, (consulté le ).
  23. a et b « Loxapine », dans Prescriber's Guide: Stahl's Essential Psychopharmacology, Cambridge University Press, , 443–450 p. (ISBN 978-1-108-92127-5, lire en ligne)
  24. Florian Ferreri, Dominique Drapier, Emmanuelle Baloche et Mehemed Ouzid, « The in Vitro Actions of Loxapine on Dopaminergic and Serotonergic Receptors. Time to Consider Atypical Classification of This Antipsychotic Drug? », International Journal of Neuropsychopharmacology, vol. 21, no 4,‎ , p. 355–360 (ISSN 1461-1457, DOI 10.1093/ijnp/pyx102, lire en ligne, consulté le )
  25. « Loxapine », sur pharmacomedicale.org (consulté le )
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  38. « Six membres du corps médical empoisonnés à l'Hôtel-Dieu », Le Parisien,‎ (lire en ligne).

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Articles connexes

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Liens externes

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