Lupsault — Wikipédia

Lupsault
Lupsault
Mairie de Lupsault.
Blason de Lupsault
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Jean-Louis Durand
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16194
Démographie
Gentilé Supisultins ou Lupsaultiens
Population
municipale
113 hab. (2021 en évolution de +20,21 % par rapport à 2015)
Densité 9,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 34″ nord, 0° 04′ 26″ ouest
Altitude Min. 75 m
Max. 139 m
Superficie 11,47 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Lupsault
Géolocalisation sur la carte : France
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Lupsault
Géolocalisation sur la carte : Charente
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Lupsault
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Lupsault
Liens
Site web lupsault.byethost3.com

Lupsault est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Supisultins ou les Lupsaultiens[1].

Géographie

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Localisation et accès

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Lupsault est une commune du nord-ouest du département de la Charente limitrophe de la Charente-Maritime et non loin des Deux-Sèvres, située à 9 km au nord-ouest d'Aigre, le chef-lieu de son canton, et 37 km au nord-ouest d'Angoulême.

Lupsault est aussi à 14 km de Villefagnan, 18 km de Rouillac, 23 km de Ruffec, et 34 km de Cognac et de Saint-Jean-d'Angély[2].

À l'écart des routes principales, la commune est desservie par la D 88 qui passe au bourg et se dirige vers Aigre, et la D 75 qui va du nord-est au sud-ouest[3].

La gare la plus proche est celle de Luxé à 15 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

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Lupsault ne comporte que deux hameaux : le Bouchet au sud-est, de taille légèrement plus grande que le bourg, et Sallerit au nord-ouest[3].

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Le Kimméridgien occupe plus particulièrement la surface communale. Des alluvions récentes du Quaternaire occupent toute la bordure nord-est[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'une plaine au nord et à l'est, se relevant en une colline au sud-ouest. Le point culminant est à une altitude de 139 m, situé sur la limite sud-ouest dans le Bois de Lupsault. Le point le plus bas est à 75 m, situé à l'extrémité orientale le long du Ruisseau de la Couture. Le bourg est à 95 m d'altitude[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lupsault.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de la Couture, le ruisseau du Gouffre des Loges, le fossé de la Levée et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le ruisseau du Gouffre des Loges, alimenté par la source du même nom, borde la limite au nord. Il est canalisé et coule d'ouest en est, depuis la commune de Chives (Charente-Maritime), et devient plus en aval le Ruisseau de la Couture, affluent de l'Aume et sous-affluent de la Charente.

La partie orientale de la commune est occupée par d'anciens marais qui ont été assainis. Le Fossé de la Levée et un ruisseau descendant du Bouchet et de deux fontaines rejoignent le Ruisseau de la Couture.

Une bassine servant à l'irrigation a été construite sur une légère hauteur à l'est du Bouchet[3].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Au , Lupsault est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,9 %), forêts (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lupsault est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lupsault.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 32,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 85 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 sont en aléa moyen ou fort, soit 2 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Les formes anciennes sont Lupisaltu en 1190[20], Lupi Salto[21], Lopsaut en 1213[22].

L'origine du nom de Lupsault remonterait au latin lupi saltus, qui signifie le « saut du loup »[23]. Lupus était aussi un nom propre d'homme romain[24].

La commune possède quelques sites archéologiques. Un site antique a été trouvé au XIXe siècle à Bellevue. D'autre part, on a dégagé en 1908 en face de la porte de l'église trois niveaux de sarcophages, dont le plus ancien doit être de l'époque mérovingienne. Cette nécropole se prolongeait à l'ouest[25].

Un souterrain-refuge a aussi été trouvé sous l'église en 1896.

Au Bouchet, un ancien logis datant de la Renaissance était le siège d'un fief qui appartenait au XVIIe siècle à la famille de Pindray d'Ambelle.

Le hameau de Gaillard, au nord du Bouchet, abritait un autre logis, appartenant en 1650 à Jean de Livenne[26].

Administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2014 Jacquy Payant SE Retraité
2014 En cours Jean-Louis Durand    

La fiscalité est d'un taux de 20,37 % sur le bâti, 55 % sur le non bâti, 7,39 % pour la taxe d'habitation et 11 % de taxe professionnelle (chiffres 2007).

La communauté de communes prélève 2,61 % sur le bâti, 6,06 % sur le non bâti, 1,09 % pour la taxe d'habitation et 1,45 % de taxe professionnelle.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 113 habitants[Note 1], en évolution de +20,21 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
281352332382383404401397381
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
389386364349299263238250237
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
238278257241250232172223250
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
22819215116013212612498102
2021 - - - - - - - -
113--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 51 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 45 hommes pour 57 femmes, soit un taux de 55,88 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
3,5 
13,3 
75-89 ans
21,1 
37,8 
60-74 ans
26,3 
17,8 
45-59 ans
15,8 
11,1 
30-44 ans
8,8 
11,1 
15-29 ans
14,0 
8,9 
0-14 ans
10,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

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L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[33].

Équipements, services et vie locale

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Cybard.

Le prieuré Saint-Cybard constitué d'un enclos et de l'église paroissiale date du XIe siècle mais a été très remanié après 1831. Alors que le chevet est du XIe siècle, le portail est du XIVe siècle, la façade occidentale a été remaniée au XVIIIe siècle et la voûte date de 1900[34]. Sa cloche en bronze, datant de 1635, est classée monument historique au titre objet depuis 1944[35].

Le château du Bouchet est antérieur à 1484. Il a été fortifié jusqu’au XVIIe siècle et très remanié au XVIIIe siècle ; une fenêtre est datée 1773[36].

La gentilhommière de Gaillard daterait aussi du XVe siècle. Sa tour ouest et son pigeonnier ont été détruits au XIXe siècle[37].

Les moulins de Loraud à Sallerit et de Petit Moulin sont du XIXe siècle même si l'habitation de Petit Moulin semble antérieure[38].

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Lupsault » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Aulnay », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Lupsault », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lupsault », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lupsault », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne)
  21. Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
  22. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 228
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 418.
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  25. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 40
  26. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 222
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lupsault (16194) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  33. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  34. « Prieuré Saint-Cybard », notice no IA00040827, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  35. « Cloche de l'église », notice no IM16002067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  36. « Château du Bouchet », notice no IA00040829, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. « Manoir de Gaillard », notice no IA00040828, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. « Lupsault », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

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Articles connexes

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Liens externes

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