Lus-la-Croix-Haute — Wikipédia
Lus-la-Croix-Haute | |||||
Hôtel de ville de Lus-la-Croix-Haute. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Diois | ||||
Maire Mandat | Laurent Bernard 2020-2026 | ||||
Code postal | 26620 | ||||
Code commune | 26168 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lussois, Lussoises | ||||
Population municipale | 526 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 39′ 59″ nord, 5° 42′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 971 m Max. 2 454 m | ||||
Superficie | 87,20 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Diois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Drôme Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
Liens | |||||
Site web | www.lus-la-croix-haute.fr | ||||
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Lus-la-Croix-Haute est une commune française située dans le département de la Drôme (en Dauphiné) en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Lus-la-Croix-Haute est la deuxième commune la plus vaste du département de la Drôme (87,2 km2), derrière Châtillon-en-Diois 110 km2.
Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située entre le massif du Dévoluy à l'est, le Trièves au nord, le Diois à l'ouest et le Pays du Buëch au sud. Elle est à mi-chemin entre Clelles et Aspres-sur-Buëch.
Elle est mitoyenne des départements de l'Isère et des Hautes-Alpes.
Glandage Lalley (Isère) | Lalley (Isère) Tréminis (Isère) | Tréminis (Isère) Dévoluy (Hautes-Alpes) | ||
Glandage | N | Dévoluy (Hautes-Alpes) | ||
O Lus-la-Croix-Haute E | ||||
S | ||||
Glandage Saint-Julien-en-Beauchêne (Hautes-Alpes) | Saint-Julien-en-Beauchêne (Hautes-Alpes) | Saint-Julien-en-Beauchêne (Hautes-Alpes) Dévoluy (Hautes-Alpes) |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Le bassin de Lus est situé à 1 000 m environ d'altitude). Le Rocher Rond, point culminant de la Drôme et du Parc Naturel Régional du Vercors, est à 2 453 m[1].
Sites particuliers :
- Aiglière (2 232 m) est un mont attesté en 1891. Il sépare la commune de celle d'Agnières (Hautes-Alpes)[2] ;
- les Aiguilles (ou la Crête-des-Aiguilles) (2 161 m) est un mont attesté en 1891. Il sépare la commune de celle de La Cluse (Hautes-Alpes)[3].
Géologie
[modifier | modifier le code]Le centre village de Lus est ses proches hameaux se situent au cœur d'un pli synclinal d'axe nord-sud composé par des calcaires crétacés. La cuvette, vaste val où se concentrent les constructions anthropiques et les cultures, est constituée par des formations de sables éocènes mais principalement par la molasse rouge oligocène[4].
Ces formations tertiaires sont en partie recouvertes au nord par des dépôts quaternaires d'origine glaciaire (moraines), vestiges d'une ancienne langue du glacier du Drac en provenance du Trièves lors de la période du Riss[réf. nécessaire].
Le ruisseau du Lunel, drainant les eaux du Bochaine septentrional depuis le col de la Croix-Haute, longe la bordure ouest des formations tertiaires pour confluer avec le Buëch au niveau des Glacières. Le Buëch quant à lui traverse la cuvette transversalement, en recoupant par deux fois les formations sénoniennes qui dessinent la fermeture méridionale de la cuvette : une première fois à l'est, dans les gorges du Trabuëch et une seconde fois au sud-ouest entre Pinier et le Saleyras[réf. nécessaire].
Au hameau de la Jarjatte, les Aiguilles de Lus constituent la terminaison méridionale du chaînon Nord-Sud de l'Obiou. La ligne de crête traversant du Chamousset au Rocher Rond définit une partie de la limite départementale entre Drôme et Hautes-Alpes. Très érodées, les pointes montagneuses de Chamousset, de la Tête de Garnesier, du Roc de Garnesier (aussi appelée Tête de la Plainie), de Haut Bouffet (aiguille Sud) et de la Tête de Vachère sont formées par le Sénonien qui repose en discordance sur le substratum Barrémien très plissé[5]. Le col des Aiguilles correspond à un pli synclinal d'axe Est-Ouest à cœur marneux apto-albien et encadré par le Barrémien composant Haut Bouffet et Serre Long[6].
Cette discordance, nommée « Discordance anté-Sénonienne de Dévoluy » est un site géologique remarquable de 276,91 hectares. En 2014, elle a été classée « trois étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[7].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]- Le Buëch a sa source sur la commune, en haut du vallon de la Jarjatte (fusion des ravins de Fleyrard, des Clausis et de la Chaumette)[1].
- Le ravin les Aiguilles est attesté en 1891. C'est un affluent du Buëch (dénommé Trabuech en 1891)[3].
- Le Ruisseau de Merdari prend sa source sur la commune. C'est un affluent du Lunel[1]
- Le Ruisseau du Fay prend sa source sur la commune. C'est un affluent du Lunel[1]
- Le ruisseau le Lunel prend sa source sur la commune. C'est un affluent du Buëch[1]
- Le ruisseau le Riou prend sa source sur la commune. C'est un affluent du Buëch[1]
- Les Amayères est un ruisseau attesté en 1891. C'est un affluent du Lunel. À cette époque, il a un cours de 3,4 km, une largeur moyenne de 6 mètres, une pente de 245,50 m, un débit ordinaire de 0,40 m3, extraordinaire de 25 m3[8].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 030 mm, avec 8,3 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 149,6 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −3,4 | −3,4 | −0,5 | 2,1 | 5,9 | 9,2 | 11,1 | 11 | 7,8 | 4,8 | 0,4 | −2,5 | 3,5 |
Température moyenne (°C) | 0,9 | 1,3 | 4,8 | 7,8 | 11,7 | 15,6 | 18 | 17,9 | 13,7 | 9,9 | 4,7 | 1,5 | 9 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,1 | 6 | 10,2 | 13,4 | 17,5 | 22 | 24,9 | 24,8 | 19,7 | 15 | 8,9 | 5,5 | 14,4 |
Record de froid (°C) date du record | −21 07.01.1985 | −22,8 12.02.1956 | −17,8 09.03.1955 | −13 07.04.1975 | −5,1 03.05.1979 | −2,2 04.06.1953 | 1,8 01.07.1980 | 1,7 31.08.1956 | −3,2 30.09.1974 | −7,2 31.10.1997 | −14,5 27.11.1985 | −20,9 25.12.1962 | −22,8 1956 |
Record de chaleur (°C) date du record | 19,4 01.01.22 | 21,6 27.02.19 | 24,5 18.03.1993 | 25,4 27.04.1947 | 30,8 22.05.22 | 34,8 26.06.19 | 35,6 30.07.1983 | 35,7 23.08.23 | 31,4 16.09.1987 | 28,2 09.10.23 | 22 02.11.20 | 18,3 18.12.1987 | 35,7 2023 |
Précipitations (mm) | 89,4 | 67,6 | 71,1 | 100,4 | 111,3 | 87,4 | 65 | 73,9 | 103,6 | 127,2 | 144,8 | 107,9 | 1 149,6 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le col de la Croix-Haute est le point de passage de l'ancienne route nationale 75 devenue RD1075, route reliant Marseille à Grenoble.
La commune dispose d'une gare ferroviaire sur la ligne Lyon-Perrache - Marseille-Saint-Charles (via Grenoble) desservie par les TER de la relation Grenoble - Gap.
Les habitants avaient manifesté en 2014 pour sauver leur gare[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lus-la-Croix-Haute est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,3 %), prairies (13,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), terres arables (1,1 %), zones urbanisées (0,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Cabane du Fleyrard
- Granges de Lus
- Grisail
- la Bessée
- la Caire
- la Croix Haute
- la Meyrie
- la Pépinière
- la Jarjatte
(ou la Jargeatte[20]) - Lauzier
- le Bel Hôte
- le Cheylar
- le Grand Logis
- les Amayères
- les Billons
- les Buis
- les Chaumets
- les Corréardes
- les Derbons
- les Fauries
- les Glacières,
- les Granges des Forêts
- les Lussettes
- les Marmottes
- les Miellons
- les Morlières
- les Oddolayes
- les Sièzes
- les Touches
- les Villageois
- le Trabüech
- Logis de l'Ours
- Mas Bourget
- Mas Rebuffat
- Serre Pouly
- Toussière
Autres sources :
- Le hameau de Toussière[20] (absent de la carte Géoportail).
- le Moulin de l'Ours[réf. nécessaire] (absent de la carte Géoportail).
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- les Amayères est un hameau attesté en 1891[21].
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Mise à jour du plan local d'urbanisme (mai 2012)[22].
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune se nomme Luns e la Crotz Nauta ou Lus-la Crous-Aut en provençal[réf. nécessaire].
Attestations
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[23] :
- 1022 : territorium quod nominantur Lunis, in comitatu Diense (cartulaire de Cluny, 3771) ;
- 1140 : mention de la vallée ou du mandement : vallis Lunis (cartulaire de Durbon) ;
- 1201 : Luns (cartulaire de Durbon) ;
- 1205 : mention de la vallée ou du mandement : vallis de Lus (cartulaire de Durbon) ;
- 1224 : castrum de Lunis (cartulaire de Die, 33) ;
- 1245 : mention du prieuré : prior de Lus (cartulaire de Durbon) ;
- 1272 : mention de l'église Saint-Étienne : ecclesia Sancti Stephani de Luns (cartulaire de Durbon) ;
- 1303 : homines de Lunnis (cartulaire de Durbon) ;
- 1304 : mention de la vallée ou du mandement : territorium et mandamentum de Lunis (cartulaire de Durbon) ;
- 1324 : mention de la paroisse : parrochia de Lunis (cartulaire de Durbon) ;
- (non daté) : mention de la paroisse : capella de Lunis (pouillé de Die) ;
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Lunis (pouillé de Die) ;
- 1509 : mention de l'église paroissiale Saint-Étienne : ecclesia parrochialis Sancti Stephani de Lunis (visites épiscopales) ;
- 1516 : mention de la paroisse : cura de Lunis (pouillé de Die) ;
- 1644 : Luz (visites épiscopales) ;
- 1788 : Lus (alman ; du Dauphiné) ;
- 1891 : Lus-la-Croix-Haute, commune du canton de Châtillon-en-Diois.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]Vers l'an mil, Lus-la-Croix-Haute appartenait à la seigneurie de Trièves, propriété des anciens comtes de Diois[réf. nécessaire].
La seigneurie[23] :
- Au point de vue féodal, Lus-la-Croix-Haute était une terre (ou seigneurie) du patrimoine des anciens comtes de Diois (puis des évêques de Die[20]).
- 1297 : une partie appartient aux Artaud ;
- 1344 : une partie appartient aux Montauban ;
- la totalité est acquise par Guillaume de Poitiers, seigneur de Barry ;
- 1464 : confisquée et donnée à François d'Eurre, favoris du roi Louis XI. En 1475, François se qualifie baron de Lus ;
- fin XVIe siècle : la terre appartient aux Armand ;
- elle passe (par mariage) aux Arbalestier ;
- milieu XVIIIe siècle : recouvrée par les Armand ;
- 1780 : passe aux Jarente, derniers seigneurs.
Présence d'un péage (supprimé au XVIIIe siècle)[20].
Les évêques de Die jouèrent un rôle considérable dans l'histoire de la région.
Parmi leurs vassaux les plus importants était la famille Odde de Bonniot, co-seigneurs dans le Vercors, famille chevaleresque originaire de Lus-la-Croix-Haute et de ses environs qui s'est déplacée dans le Vivarais, à Orange, dans le Velay et pendant les guerres de religion aux Pays-Bas. Leurs descendants habitent toujours la Commune[réf. nécessaire].
Avant 1790, Lus-la-Croix-Haute était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à saint Étienne, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Ruf dont le titulaire avait la collation de la cure et les dîmes[23].
La vallée ou mandement de Lus-la-Croix-Haute correspondait à la commune de ce nom[23].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]En 1790, Lus-la-Croix-Haute devient le chef-lieu d'un canton du district de Die, comprenant les municipalités de Bonneval, Boulc, Creyers, Glandage, Lus-la-Croix-Haute et Ravel. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Châtillon-en-Diois[23].
En 1848, fut planté un peuplier noir d'Italie comme arbre de la Liberté. Il est toujours là[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Les tendances politiques sont en faveur de La France Insoumise arrivée en tête lors du premier tours des deux dernières élections présidentielles en 2017[25] et 2022[26].
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2021, la commune comptait 526 habitants[Note 1], en évolution de −4,19 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
[modifier | modifier le code]- ADMR[réf. nécessaire].
- Agence postale[réf. nécessaire].
- Gendarmerie[réf. nécessaire].
- Météorologie nationale[20].
- Office national des forêts[réf. nécessaire].
- Sapeurs-Pompiers[réf. nécessaire].
Enseignement
[modifier | modifier le code]- La commune dispose d'une école primaire[réf. nécessaire].
Santé
[modifier | modifier le code]- cabinet Infirmier[réf. nécessaire],
- médecin[réf. nécessaire],
- ostéopathe[réf. nécessaire],
- psychologue[réf. nécessaire].
Animaux :
- vétérinaire[réf. nécessaire].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête votive (ou patronale) : en juillet (hameau de la Jarjatte)[20].
- Fête : le premier dimanche d'août[20].
Loisirs
[modifier | modifier le code]- Champignons[réf. nécessaire].
- Chasse (dont gros gibier)[réf. nécessaire].
- Pêche[20].
- Piscine[réf. nécessaire].
- Moto, ultra-trail, véhicule tout-terrain (quad, 4x4) [réf. nécessaire].
- Randonnées : la commune est traversée par les GR 93, GR 94, GR de Pays Tour du Buëch, GR de Pays Tour du Dévoluy[1].
Sports
[modifier | modifier le code]- Equitation (en 1992)[20].
- Escalade et Via Ferrara[32].
- Football[réf. nécessaire].
- Ski alpin, ski de piste, ski de fond[réf. nécessaire].
- Tennis[réf. nécessaire].
- Volley[réf. nécessaire].
Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : bois (sapin), pâturages, élevage[20]. En 2021 : polyculture, maraichage, élevage, apiculture (miel)[réf. nécessaire].
- Foire : premier week-end de septembre (en 1992)[20]. Elle semble avoir été supprimée depuis[réf. nécessaire].
Commerce
[modifier | modifier le code]- Alimentation (Proxy)[réf. nécessaire].
- Boucher[réf. nécessaire].
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Syndicat d'initiative (en 1992)[20] (office du tourisme).
- Station climatique d'été[20].
- Colonies de vacances « Saint-Augustin »[réf. nécessaire] et « Couleur Nature » à la Jarjatte[réf. nécessaire].
- Station de ski[20] de Lus-La Jarjatte) : randonnées en raquettes[réf. nécessaire].
Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château ruiné aux Corréardes[20].
- Château ruiné du Pignier[20].
- Tour de Grisail[réf. nécessaire].
- Fours banaux[réf. nécessaire].
- Chapelle des Templiers (d'origine XIIe siècle) au hameau de Toussière[20] (ruinée)[réf. nécessaire].
- Église (en partie du XIIIe siècle)[20].
- Église Saint-Étienne[réf. nécessaire].
- Église des Lussettes[20].
- Église Saint Roch (aux Lussettes)[réf. nécessaire].
- Chapelle du XVIIIe siècle : (vierge du XVIIe siècle) au hameau de la Jargeatte[20] (ou Jarjatte).
- Maisons avec voûtes intérieures[20].
- Fontaines[réf. nécessaire].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Environnement forestier de haute montagne[20].
- Forêt communale (sapins, hêtres, pins noirs, mélèzes)[20].
- Grottes[20].
- Vallon de la Jarjatte (site inscrit)[20] (ou Jargeatte[1]) : sa flore alpine[20] et sa magnifique cascade de Mougious[réf. nécessaire].
La commune fait partie du Parc naturel régional du Vercors et du Réseau Natura 2000.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Mathéo Jacquemoud (né en 1990 à Lus-la-Croix-Haute) : champion en ski-alpinisme.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Lus-la-Croix-Haute possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aiglière).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 3 (Les Aiguilles).
- « Lus-la-Croix-Haute », sur geol-alp.com (consulté le ).
- « Notice géologique - feuille de Mens 0844N ».
- « Aiguilles de Lus (versant ouest) », sur geol-alp.com (consulté le ).
- J. Chevalier, « DISCORDANCE ANTÉ-SÉNONIENNE DE DÉVOLUY » [PDF], sur carmen.carmencarto.fr.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Les Amayères, ruisseau).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lus La Croix Hte » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lus La Croix Hte » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Lus la Croix Haute : Les habitants se mobilisent pour la ligne de train...et la gare. », sur mediascitoyens-diois.blogspot.com (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Lus-la-Croix-Haute.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Les Amayères, hameau).
- 26168-po.pdf - Data gouvfiles.geo.data.gouv.fr › link-proxy › documents
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 200 (Lus-la-Croix-Haute).
- « Peuplier de la Liberté, Lus-la-Croix-Haute (Drôme) », sur Krapo arboricole, (consulté le ).
- « Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Résultats de l'élection présidentielle 2022 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « ViaFerrata-FR.net: La Berche / Lus la Croix-Haute (Dép. 26 Drôme) », sur viaferrata-fr.net (consulté le ).