Marc Cerrone — Wikipédia
Surnom | Cerrone |
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Naissance | Vitry-sur-Seine |
Activité principale | Batteur, compositeur, producteur, écrivain |
Activités annexes | Réalisateur artistique |
Genre musical | Disco, disco-funk, Musique électronique |
Années actives | Depuis 1972 |
Site officiel | cerrone.net |
Marc Cerrone, né le à Vitry-sur-Seine, est un compositeur et musicien français. Il est considéré comme le pilier du disco en France.
Biographie
[modifier | modifier le code]Jeunesse et formation
[modifier | modifier le code]Marc Cerrone est fils d'immigrés italiens, ayant fui le fascisme. À cinq ans, il est marqué par la séparation de ses parents, ses frères et lui sont alors mis en pension. Il vit à Vitry-sur-Seine.
Pour ses douze ans, sa mère, Liliane Cerrone, lui offre sa première batterie pour le canaliser, lui qui s'est fait renvoyer du collège[1]. Il devient batteur et est influencé par le rhythm and blues d'Otis Redding. Durant son adolescence, des groupes ou musiciens comme Chicago, Cream, Jimi Hendrix, Santana influencent Cerrone. À l'âge de 14 ans, il fonde son premier groupe et quitte l'école. Sur l'insistance de son père, il entame malgré tout des études de « coiffure pour le cinéma » dont il obtient un diplôme avec mention[1].
Son frère Jean-Pierre est un DJ plus connu sous le nom de scène Max Berlin.
Débuts
[modifier | modifier le code]Marc Cerrone qui ne souhaite plus être coiffeur, fugue de chez ses parents et se rend chez une amie à Saint Michel. Celle-ci est engagée au Club Med, lors d'une soirée, Cerrone persuade Gilbert Trigano, d'engager des groupes de rock pour les faire tourner entre chaque « village ». il devient alors directeur artistique[1] d'une quarantaine de clubs durant un temps.
Son premier véritable groupe est formé en 1972 « avec les meilleurs musiciens trouvés au Club Med[2] ». Il se nomme Kongas[3] et se produit pendant quatre ans. Il est repéré par Eddie Barclay qui l'engage au club de Saint-Tropez Le Papagayo[1],[4],[5] : « on a fait un carton en août au Papagayo »[2]. Eddie Barclay fait signer un contrat à Marc Cerrone et devient son premier producteur : il lui permet de produire son premier single, Anikana-O en . Malgré l'argent qu'il gagne avec le groupe[2], Cerrone se lasse, quitte le métier et décide de créer Import Musique, une chaîne de magasins de disques importés qui deviendra plus tard l'enseigne Nuggets[2]. Il en ouvre cinq la première année d'activité[6].
Période disco
[modifier | modifier le code]Avec l'aide de son ami Raymond Donnez (en), qui possède un studio sur l'avenue de la Grande-Armée à Paris, Marc Cerrone réalise une maquette, au début de l'année 1976. Cependant, il trouve qu'il est préférable de faire un album dans les studios de Londres. Il produit aux Studios Trident[n 1] lui même et enregistre Love in C Minor, un morceau d'une quinzaine de minutes, trop long pour les radios[7], composé de batterie, avec la grosse caisse mise en avant, et d'une piste sonore issue d'un film pornographique américain[6]. Aucune maison de disques ne veut l'engager, alors il fait fabriquer à ses frais puis distribue quelques exemplaires à ses connaissances[6]. Mais la pochette, où Cerrone pose avec une femme nue à genoux à côté de lui, fait que les magasins de disques restent hésitants à mettre le disque en avant[6]. Il précise qu'alors, « aucune radio locale ne me jouait, je n'avais pas de label, alors j'investissais dans la publicité, des affiches géantes qui reprenaient mes pochettes provocantes »[8].
Par le plus grand des hasards, Champs Disques[n 2] envoie à New York un carton de ses disques à la place d'exemplaires de Barry White défectueux. La pochette attire l’œil du distributeur qui le fait ensuite écouter à des disc jockeys : le titre arrive en radio et en discothèque[6]. Une version pirate, à base d'une reprise, est éditée chez Casablanca Records et passe assidûment dans les boîtes de nuit américaines ; lorsque Cerrone en est informé, il se précipite aux États-Unis et finit par se faire engager par Ahmet Ertegün[6] : « Ils m'ont laissé faire ce que je voulais. J'étais avec les Jackson Five, Quincy Jones, Ray Charles… Le seul blanc, c'était moi[2] ! »
Love in C Minor est récompensé d'un Grammy Award aux États-Unis en 1976[8]. Il s'installe à New York ; il précise : « je retournais à Paris très peu, pour trois ou quatre jours. »[6]. New York est pour lui la ville de tous les excès : sorties au Studio 54, drogue, femmes, sport, mais aussi des millions de disques vendus[9]. « La drogue était incontournable à l'époque. Et quand votre seul équilibre c'est la drogue, c'est fini […] J'ai mis des années pour m'en sortir »[2].
En 1976 également commence une collaboration avec Alain Wisniak, avec qui il va coécrire et coréaliser plusieurs albums[7] : Cerrone's paradise, Supernature, Cerrone V Agelina , Cerrone VI Panic, Cerrone VIII Back Track. Il reçoit beaucoup d'instruments en cadeau comme un ARP Odyssey[7] et expérimente pour trouver le son qui l’intéresse[10].
L'année suivant son Grammy Award, il sort deux albums à la suite : son deuxième album, Cerrone's paradise, réalisé en février et connaît un peu moins de succès. Par contre, le troisième, Supernature (Cerrone III), porté par le single éponyme qui reste son plus gros tube et Give me Love (au départ prévu pour n'être qu'une face B[2]), la bande originale du film Brigade mondaine[n 3], est un succès énorme, avec dix millions de disques vendus[8]. Supernature deviendra un des grands hymnes du disco[7].
Dès 1977, Cerrone produit des artistes comme Don Ray, Revelacion, troisième et dernier album de la formation Kongas. Il est nommé cette année-là cinq fois aux Grammy Awards, dont celui du meilleur artiste. Cerrone IV sort durant l'été 1978. À la fin de cette même année, il donne deux concerts au Pavillon de Paris, devant une pyramide comme décor[10].
Après un long passage à vide médiatique, durant lequel il produit tout de même une dizaine d'albums, son nom revient au devant de la scène, dès 2001 grâce à sa collaboration avec Bob Sinclar, qui publie l'album Cerrone by Bob Sinclar[10].
Sa composition Supernature est utilisée durant la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'été de 2024[11].
Discographie
[modifier | modifier le code]Albums Kongas
[modifier | modifier le code]- Anikana-O
- Pastel
- Right On Baby
- Kongas Fun
- Jungle
- Ring On The Bell
- Sea Wards Part I
- What Ever Happened
- Bungos Go
- Sweet Drums?
- Stop Fooling
- Africanism
- Gimme Some Lovin'
- Tatoo Woman
- Dr. Doo-Dah
- Don't Give A Damn
- Living It Up
- Tatoo Woman
- The Time Is Right
Albums studio Cerrone
[modifier | modifier le code]Cerrone a numéroté certains albums studio par son patronyme suivi d'un chiffre romain (ou arabe pour les albums 3 et 8)[12].
- Love In C Minor
- Black Is Black
- Midnite Lady
- Cerrone's Paradise
- Take Me
- Time For Love
- Cerrone's Paradise
- Supernature
- Sweet Drums
- In The Smoke
- Give Me Love
- Love Is Here
- Love Is The Answer
- Je suis music
- Rocket in The Pocket
- Look For Love
- Music of Life
- Rock Me
- Angelina
- Not Too Shabby
- Call me Tonight
- Living on Love
- Portrait of a Modern Man
- Panic
- Memory
- The Flash
- The Time Is Running Down
- Happiness Pill
- Rendez-vous
- 1982
- Portrait of a Modern Man
- Hooked on You
- My Look
- Letter to my Mother
- Some One to Love
- You Are The One
- Cherry Tree
- Took me so Long
- Way in
- Back Track
- Strollin' on Sunday
- Trippin' on The Moon
- Rendez-vous
- Anybody Can Do Anything
- Supernature
- Stop on By
- Way Out
- Workout
- Your Love Survived
- Back To Champs Élysées
- Get Your Lovin'
- What About You
- California
- Give Me Love
- Look For Love
- Call me Tonight
- Where Are You Now
- Interdit Song
- On The Air
- Sympathy
- Club Underworld
- Taxi in The Night
- The Collector Part I
- The Collector Part II
- The Collector Part III
- Where You Are
- Shame on You
- Forever
- Heart of Me
- Fire of Life
- Reach Out, I’ll Be There
- Light of Love
- Evolution
- Never Let a Day Go By
- Bruce
- Real World
- The Circle
- China
- Invitation
- Presentation
- One More Night
- The Search
- What Hit You
- I'm Not Sleeping
- Friendship
- Naked to You
- Invitation
- Building a Temple
- The Contract
- Living in The Real World
- Harmony
- The Beginning
- The Gift
- Meditation
- X-Xex
- Loved & Be Loved
- You, Him, Me
- Do You Like Watching ?
- Yes I Like Watching
- Woman in Love
- Fragrance of You
- Cry For Freedom
- It's a Rap
- Oh Johnny
- Perfect Circle
- X-Xex (reprise)
- Birth
- See me
- Mercy
- Aeration
- Fly Away
- Free Me
- Will Be
- Evasion
- Tibetan Feel
- Destiny
- Cerrone (Dub mix)
- The Only One
- Gonna Get You
- Hysteria, chanté par Bob Mitchell
- Love on The Dance Floor (avec Eve Angeli)
- It Had to Be You
- Wake The Beach
- Got to Have Lovin'
- 101
- Funky Love
- 38° and You
- That's Right
- Back Home
- Lie to Me (avec Barbara Tucker & D-Train)
- Laisser toucher (avec Ketherine Ellis)
- Love Ritual (avec Louie Vega)
- Misunderstanding (avec Sweet Connection)
- LoverBoy (avec Katherine Ellis)
- Ready For The Show (avec Jodie Elms)
- Disco King
- Not Too Shabby (avec Jamie Lewis)
- Sweet Violin
- Put My Name on the Walk of Fame
- My Hero (avec China)
- Dance Ritual (avec Louie Vega)
- African Woman (avec Wummi)
- Music of Life
- Dance to the Music
- Supernature Variations - Overture
- Supernature Variations - Act I
- Supernature Variations - Act II
- Supernature Variations - Act III
- Supernature Variations - Act IV
- Supernature Variations - Act V
- Supernature Variations - Act VI
- Supernature Drum Symphony - Act VII
- Supernature Impressions - Act VIII
- Supernature Variations - Act IX
- Supernature Variations - Act X
- Supernature Variations - Finale
- Supernature Impressions (Single Version) [Bonus]
- Supernature (avec Dax Riders) (Single Version) [Bonus]
- Supernature (avec Dax Riders) (Video) [Bonus]
- Therapy - avec James Hart
- Move Me - avec Brendan Reilly
- Illuminate Me - avec Sam Gray
- Ain’t No Party (like Monday Night) - Feat. Kiezsa
- Take Over - avec Brendan Reilly
- C’est bon - avec Aloe Blacc
- Red Lips - avec Wallace Turrell
- Kiss It Better - avec Yasmin
- You Only Live Once - avec Mike City
- Steal Your Love - avec Alexis Taylor
- Jane - avec Dax Riders
- I Want - avec Chelcee Grimes & Mike City
- Time Machine - avec Sam Gray
- 2nd Chance - avec Tony Allen EndFragment
- The Impact - 3:24
- Resolution - 4:03
- Air Dreaming - 4:46
- DNA - 5:31
- I've Got a Rocket - 4:13
- Let Me Feel - 4:09
- Close to the Sky - 3:34
- Experience - 4:06
- Prediction - 4:59
Compilations
[modifier | modifier le code]- Give Me Love
- Love in C Minor
- Supernature
- Cerrone's Paradise
- Je suis music
- You Are The One
- Look For Love
- Music of Life
- Living on Love
- The Collector
- Hysteria
- Hooked on You (Jamie Lewis Remix)
- Supernature Live
- Lie To Me
- It Had to be You
- Love Ritual
- Hooked on You
- Music of Life
- Wake The Beach
- X-Xex
- Mercy
- Love In C Minor
- Cerrone's Paradise
- 38° And You
- Woman in Love
- Back Home
- Not Too Shabby
Cerrone By
[modifier | modifier le code]- Love In C Minor (avec Johnny D & Nicky P)
- Major Sea
- C Major Outro
- Revelacion
- Kongas Fun (par le groupe Kongas)
- 1982
- Supernature
- Striptease
- Phonic
- Love Is The Answer (par Liquid People)
- Interlude
- Cerrone's Paradise
- Assassinat
- Standing In The Rain (par DonRay)
- Roller Coaster (Modjo)
- Living On Love
- Rocket In The Pocket
- Look For Love vs. I Feel For You (par Bob Sinclar)
- Music Of Life
- Give Me Love (House Mix)
- Supernature (Nu Soul Edit)
- The Only One (Main Mix)
- Not Too Shabby (Main Mix)
- Tattoo Woman (Sex On The Beach Remix)
- You Are The One (Main Mix)
- Love Ritual (Extended Mix)
- Hooked On You (Dub & Main Mix)
- Tattoo Woman (Science Fiction Robot Dub)
- 5th Symphony (Remix)
- Music Of Life (For The Love Of Music Remix)
- Give Me Love
- My Desire
- Got to Have Lovin'
- Look for Love
- The Only One
- Cerrone's Paradise
- Love in C Minor
- Je suis Music
- Standing in the Rain
- Call Me Tonight
- Took Me So Long
- The Impact
- Hooked on You
- You Are the One
- Striptease
- Supernature
- (Bonus) Non Chiamarmi Mai - Cerrone, Colapesce, Dimartino
Albums en concert
[modifier | modifier le code]- Gimme Some Lovin’ & Africanism
- Love In C Minor
- Living It Up
- Cerrone’s Paradise
- Je suis music
- Supernature
- Sweet Drums
- Rocket in The Pocket
- Audience
- Give Me Love
- Portrait of a Modern Man
- You Are The One
- Some One to Love
- Supernature
- Give Me Love
- Your Love Survived
- Baby Love
- Back Track
- Not Too Shabby
- Call me Tonight
- Strollin’ on Sunday
- Cycle’s Woman
- Give Me Love
- A New Age
- Evolution
- The Circle
- Earthalia
- Break The Wall
- The Real World
- Light Of Love
- Transformation
- The Decision
- Unity, Power and The Promise
- The Greatest World of All
- Ouverture
- The Only One
- Hooked On You
- Not Too Shabby
- Paradise
- Hysteria
- You Are The One
- Supernature
- Sunrise
- Got To Have It
- Love in C Minor
- Gonna Get You
- Africanism
- Percus & Drums Solo
- Je suis music
- Give Me Love
- Got To Have Lovin’
- Hooked On You
- Not Too Shabby
- You Are The One
- Most Precious Love
- Misunderstanding
- Love in C Minor
- Supernature
- Africanism
- Sweet Drums
- Je suis music
- Cerrone’s Paradise
- Give Me Love
- The Only One
Bandes originales
[modifier | modifier le code]- Give Me Love
- Phonic
- Cloé
- Deauville
- Expérience
- Générique début
- Générique fin
- The Loft
- Strip Tease
- Générique B.M. II
- Don’t Give a Damn
- Assassinat
- La Secte de Marrakesh
- La Corruption
- La Secte de Marrakesh (suite)
- Le Cachot
- Tiger Paper
- Vaudou aux Caraïbes
- Désertion
- Love in Vaudou
- Vaudou aux Caraïbes (suite)
- Désertion (suite)
- Look For Love
- Sommission
- Générique Vaudou aux Caraïbes
- Générique (suite)
- Désertion (suite)
- Confidence
- I’m Gonna Take Another Chance on You
- Nostalgie
- I Want Love
- Daphné
- Wake Up Your Love
- Night And Day
- Evolution
- Supernature
- Confusion
- On The Air
- Miss Wagner
- Out Of Sight
- The Parking
- Orange 5th BCO
- B Theme
- Saturday Electro
- Orange 9th
- The Kicker
- Duduk Theme
- 9th Symphony
- The Future PCO
- Saturday Night
- The Climat
- Orange 5th
- Space Time
- Hysteric Drums
Remixes
[modifier | modifier le code]- Planet (Todd Terry Tee's In The House Mix)
- You Are The One (DJ Duke Remix)
- Supernature (Kevin Saunderson Remix)
- Naked To You (PWL Remix Edit)
- I'm Not Sleeping (PWL Remix)
- Love And Be Loved (Kenji Eto Remix)
- Love In C Minor (Deep Soul Remix)
- Supernature (Danny Tenaglia Remix)
- Heart Of Me (Centory Remix)
- See Me (D. Sussman & DonRay Tribal Dub)
- Cerrone's Paradise (Justin Robertson Remix)
- Love In C Minor (David Morales Remix)
- Cerrone Dub Mix (David Morales)
- Mercy (David Morales 12" Version)
- Give Me Love (Franky Knucles Remix)
- Je suis music (Armand Van Helden Edit)
- Je suis music (Armand Van Helden Club Mix)
- Supernature (J. Garraud Remix Edit)
- Supernature (J. Garraud Club Remix)
- Laisser toucher (Daddy's Groove Remix Edit)
- Laisser toucher (Daddy's Groove Remix)
- Laisser toucher (Daddy's Groove Dub Mix)
- It Had to be You (Magic Island Club Mix)
- It Had to be You (Magic Island Radio Edit)
- It Had to be You (Magic Island Edit)
- Love Ritual (Original Version)
- Love Ritual (Jamie Lewis Edit)
- Love & Dance Ritual (Medley Edit)
- Love & Dance Ritual (M. Nocera & Monterani Edit)
- Love & Dance Ritual (Daddy's Groove Edit)
- Love & Dance Ritual (Jamie Lewis Club Mix)
- Love & Dance Ritual (Daddy's Groove Club Mix)
- Love & Dance Ritual (M. Nocera & Monterani Club Mix)
- Love & Dance Ritual (Version Originale)
- Tattoo Woman (Star Wars Edit)
- Tattoo Woman (Sex on the Beach Mix)
- Tattoo Woman (Star Wars Mix)
- Tattoo Woman (Science Fiction Robot Dub)
- Tattoo Woman (Transformers Dub)
- Tattoo Woman (Sex on the Beach Edit)
- Tattoo Woman (Sex on the Beach Instr.)
- Paradise (J. Negro Extended Mix)
- Paradise (J. Negro Full Club Mix)
- Paradise (J. Negro Edit)
- Paradise (J. Negro Soulful Dub)
- Paradise (J. Negro Drumless Mix)
- Paradise (J. Negro Disco Madness Dub)
- Single Version
- Club Mix
- Club Instrumental
- Adequate Mix
- Single Version
- Club Mix
- Dub Mix
- Club Instrumental
- Remix Edit (extract)
- Club Remix (extract)
- Dax Club Remix (extract)
- Tattoo Woman 2010 Mix
- Tattoo Woman 2010 Mix (instrumental)
- Single Version (extract)
- In Da House Edit (extract)
- In Da House Club (extract)
- Laisser toucher (Radio Edit)
- Laisser toucher (Club Mix)
- Laisser toucher (Club Instru.)
- Malligator Mix Edit
- Malligator Club Mix
- Mr. Magic Remix Edit
- Mr. Magic Club Remix
- Look For Love (Malligator Mix)
- Took Me So Long (Club Mix)
- Midnite Lady (In The House Club Mix)
- Cerrone's Paradise (Full Club Mix)
- Tatoo Woman (Club Mix)
- Laisser toucher (feat. Katherine Ellis) [Club Mix]
- Supernature Project (feat. Dax Riders) [Club Mix]
Publications
[modifier | modifier le code]En 1982 et 1984, Marc Cerrone publie deux romans policiers : Le Rat et Névrose. En 1990, il publie Dancing Machine, un roman aussitôt adapté pour le cinéma par Gilles Béhat, avec Alain Delon, Claude Brasseur et Patrick Dupond.
...Et Pourquoi Pas La Lune ! en 2004.
En , il publie son autobiographie sous le titre Paradise écrite par une journaliste belge, avec Bee Gordon[13],[14].
Décorations
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la musique :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à l'audiovisuel :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Studios où il enregistrera d'ailleurs nombre de disques par la suite.
- Champs Disques est un magasin célèbre situé à Paris sur les Champs-Élysées.
- Il fait la musique de trois adaptations de Brigade mondaine.
Références
[modifier | modifier le code]- Azoury Ghosn, p. 124.
- « Cerrone, souvenirs d'une vie "Supernature" », sur lexpress.fr,
- Les musiciens sont André Allet, Norbert Journo, Patrick Sesti, Raymond Donnez, Serge Tonini, Sylvain Claude — cf. (en) Kongas, sur discogs.com.
- « arte.tv/fr/cerrone-le-disco-se… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Cerrone », sur warr.org (consulté le ).
- Azoury Ghosn, p. 126.
- Jérôme Provençal, « Le mirifique Supernature de Cerrone resurgit plus stupéfiant que jamais », sur lesinrocks.com,
- Gilles Médioni, « Le disco enfièvre la France », L'Express, no 3449, , p. 84 à 86 (ISSN 0014-5270)
- Azoury Ghosn, p. 126 à 127.
- Azoury Ghosn, p. 127.
- « VIDÉO. Cerrone, le roi du disco, électrise cette station balnéaire, après avoir fait sensation à la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024 », sur France 3 Occitanie, (consulté le )
- (en) Discographie de Cerrone, sur discogs.com.
- « Cerrone, le boss de la French Touch », sur parismatch.be,
- « Cerrone : « La coke c’est illusoire. On a tous l’impression qu’on s’arrête quand on veut » », sur elle.fr,
- Décret du 13 juillet 2019 portant promotion et nomination
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Philippe Azoury et Joseph Ghosn, « Story Cerrone », Obsession, Le Nouvel Observateur, no 15, , p. 124 à 127.