Melania Trump — Wikipédia
Melania Trump | ||
Portrait officiel de Melania Trump en tant que Première dame des États-Unis en 2017. | ||
Fonctions | ||
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Première dame des États-Unis | ||
À partir du – | ||
Président | Donald Trump | |
Prédécesseur | Jill Biden | |
– (4 ans) | ||
Président | Donald Trump | |
Prédécesseur | Michelle Obama | |
Successeur | Jill Biden | |
Biographie | ||
Nom de naissance | Melanija Knavs | |
Date de naissance | ||
Lieu de naissance | Novo mesto, Slovénie (Yougoslavie) | |
Nationalité | Slovène Américaine | |
Conjoint | Donald Trump | |
Enfants | Barron Trump | |
Profession | Mannequin | |
Religion | Catholicisme | |
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Premières dames des États-Unis | ||
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Melania Trump, née Melanija Knavs (nom germanisé en Melania Knauss[1],[2]) le à Novo mesto (Slovénie), est un ancien mannequin slovéno-américain. Elle est depuis 2005 l'épouse de Donald Trump. À la suite de l'élection de celui-ci à la présidence des États-Unis, elle est la Première dame des États-Unis, du au , et le redeviendra le du fait de l’élection de son mari, Donald Trump, le 5 novembre 2024.
Biographie
[modifier | modifier le code]Jeunesse
[modifier | modifier le code]Melanija Knavs naît le dans la localité de Novo mesto, en Slovénie (alors en Yougoslavie).
Son père, Viktor Knavs, originaire de Radeče, gère des concessions de voitures et de motos pour un constructeur automobile d’État.
Sa mère, Amalija Ulčnik, qui vient d'un village aux alentours de Sevnica, est employée d'un fabricant de vêtements pour enfants, pour lequel elle dessine des motifs textiles[3] ; elle meurt le 10 janvier 2024 à l'âge de 78 ans[4].
Melanija Knavs a une sœur aînée du nom d'Ines[5] et un demi-frère, né d'une relation de jeunesse de son père[6] et qu'elle ne connaît pas[7].
Son père était membre de la Ligue des communistes de Slovénie, qui prônait une politique d'athéisme d'État[8],[9]. Cependant, il fit baptiser secrètement ses filles selon le rite catholique, comme le faisaient de nombreux Slovènes[10].
Au début de son enfance, Melanija vit avec sa famille dans un appartement modeste, mais alors qu'elle est adolescente, ils s'installent dans un pavillon d'un quartier résidentiel (une maison à deux étages, près de Sevnica). Ils possèdent toujours cette maison en 2018, mais vivent à New York[11].
Elle défile pour la première fois, en présentant des vêtements pour la fabrique où travaille sa mère. Elle souhaitait devenir styliste et fait un premier pas dans le monde de la mode en posant en 1987 pour le photographe de mode Stane Jerko, qui la repère dans la rue pour sa beauté juvénile et lui offre ses premières séances de photos[5].
Elle maîtrise le slovène, l'anglais[12],[13], le serbo-croate parlé en ex-Yougoslavie et a des notions de français, d'italien et d'allemand[14],[15]. En anglais, elle s’exprime avec un accent slovène[16].
Carrière de mannequin
[modifier | modifier le code]Après avoir fait une année d’études en design et architecture à l'université de Ljubljana[17], Melanija Knavs participe à un concours de mannequinat organisé par le magazine féminin slovène Jana en 1992, où elle échoue en finale[3], ce qu'elle vit extrêmement mal. Elle obtient cependant ses premiers contrats et abandonne la faculté[18].
En 1993, la marque slovène « Mura » la met en scène dans une campagne télévisée en la présentant comme la « première dame de la mode », avec des gardes du corps, une limousine, un avion et la faisant asseoir dans un bureau ovale[5]. Elle comprend cependant que la Slovénie est un trop petit pays pour ses ambitions et qu'elle n'y sera pas repérée internationalement. Elle profite de la chute du communisme en Europe de l'Est, intervenue quelques années plus tôt, pour partir vers l'Ouest[18].
Elle travaille ensuite comme mannequin, sous le nom de Melania Knauss[1], pour plusieurs grandes marques à Milan et à Paris avant de partir poursuivre sa carrière à New York en 1996. Travaillant avec des photographes comme Helmut Newton, Patrick Demarchelier et Mario Testino, elle apparaît en couverture de plusieurs magazines comme Vogue, Vanity Fair, GQ ou encore Elle, mais elle ne fait pas une grande carrière[5] comme ses collègues Carla Bruni ou Cindy Crawford[18]. En 1996, elle pose nue pour le photographe Alé de Basseville ; en 2016, celui-ci revend les clichés au New York Post, qui les republie[19].
Elle apparaît dans plusieurs publicités télévisées, dont une pour la compagnie d'assurances Aflac. Elle crée une ligne de bijoux, ainsi que des produits cosmétiques[3].
Mariage avec Donald Trump
[modifier | modifier le code]En 1998, elle rencontre l’homme d’affaires Donald Trump à un défilé de mode[3],[20] au Kit Kat Club de Manhattan[18]. Sa notoriété augmente lorsqu’elle apparaît avec Trump à l’émission The Howard Stern Show, où ils mettent en avant leur vie sentimentale. En couple avec celui-ci, elle continue sa carrière de mannequin tout en s’impliquant dans des œuvres de bienfaisance[21]. Sa relation avec Trump est de nouveau mise en avant dans l’émission de téléréalité The Apprentice, présentée par celui-ci. Leur relation est alors tumultueuse, oscillant entre ruptures et réconciliations[18]. Elle obtient une carte de résidente permanente aux États-Unis en 2001 et la nationalité américaine en 2006[3].
Elle se fiance avec Donald Trump en 2004, puis l'épouse l'année suivante, le , dans une église de Palm Beach, en Floride[20], Bill et Hillary Clinton figurant parmi les invités. Elle porte une robe Dior à 100 000 dollars[18]. Le , le couple a un garçon né à New York et portant le nom de Barron William Trump. Elle consacre son temps à l'éducation de son fils, tout en poursuivant quelques activités de mannequin[20]. Ses parents vivent alors comme elle dans la Trump Tower à New York[5].
Lors de la convention nationale républicaine de 2016, elle prononce un discours plagiant plusieurs passages de celui de Michelle Obama à la convention démocrate de 2008[22]. Malgré quelques apparitions, elle reste médiatiquement très discrète durant la campagne présidentielle de son mari, contrairement à d'autres épouses de candidats, qui traditionnellement s'impliquent davantage[18].
Première dame des États-Unis
[modifier | modifier le code]Débuts
[modifier | modifier le code]Lors de la cérémonie d'investiture de Donald Trump comme 45e président des États-Unis, elle tient les deux bibles sur lesquelles Donald Trump prête serment : la bible d'Abraham Lincoln et celle de son mari offerte par sa mère, Mary Anne MacLeod Trump. Melania Trump choisit ses vêtements en boutique comme chez Polo Ralph Lauren, par exemple[23] et collabore pour certaines tenues avec le styliste d'origine française Hervé Pierre[24],[25],[26],[27].
À la suite de l'investiture de son mari, elle devient Première dame des États-Unis (First Lady). Elle est la deuxième First Lady d'origine étrangère après Louisa Adams et la première à avoir été naturalisée américaine[28]. Elle est par ailleurs la première née dans un pays communiste[3],[20].
Elle décide de ne pas emménager immédiatement à la Maison-Blanche, continuant de résider dans la Trump Tower jusqu'à la fin de l'année scolaire de son fils, en . Ivanka Trump, la fille du président, occupe ainsi officieusement le rôle de Première dame. Une pétition est lancée afin que Melania Trump rejoigne la Maison-Blanche ou prenne en charge elle-même les frais liés à sa sécurité et à celle de son fils, estimés entre 127 000 et 146 000 dollars par jour[29]. Elle s'installe à la Maison-Blanche avec Barron le [30]. Elle élève son fils sans avoir recours à une nourrice[31].
Rôle
[modifier | modifier le code]Interrogée pendant la campagne présidentielle de 2016, elle indique : « Je serai très traditionnelle, comme Betty Ford ou Jackie Kennedy »[32]. Elle ne souhaitait initialement pas occuper ce rôle, préférant le train de vie de femme de milliardaire, loin de l'attention médiatique : ainsi, selon le journaliste Michael Wolff, elle aurait pleuré de tristesse le soir de la victoire de son mari[31].
Considérée comme énigmatique, elle est beaucoup plus en retrait que ses prédécesseures, se consacrant essentiellement à l’éducation de son fils et à la rénovation de la Maison-Blanche (notamment la roseraie en 2020[33]), s'exprimant à de très rares occasions et ne réagissant pas aux allégations sur les infidélités présumées de son mari, même si elle refuse plusieurs fois de lui prendre la main en public, ce que la presse interprète comme une marque de défiance à son égard[31],[34],[35]. En , elle réclame 150 millions de dollars en dédommagements à des médias qui suggérent qu’elle a eu des activités de call girl avant de rencontrer Donald Trump, ses avocats plaidant le préjudice commercial pour la marque Mélania Trump (vêtements, accessoires, bijoux, cosmétiques)[36].
En , lors d'une visite au Vatican, elle révèle qu'elle est catholique, ce qui fait d'elle la première First Lady catholique aux États-Unis depuis Jacqueline Kennedy[37]. Lors de ce déplacement, elle aurait convaincu le pape François, peu enthousiaste, de serrer la main de Donald Trump[31]. En , elle effectue son premier voyage officiel non accompagnée du président. Durant cinq jours, elle prend part à plusieurs évènements et rencontres diplomatiques sur le continent africain (Égypte, Ghana, Kenya)[38].
Sa popularité augmente de façon continue durant la présidence de son époux, atteignant quelque 60 % en 2018, ce qui en fait la plus populaire de la famille Trump. En 2019, elle est même classée troisième femme la plus admirée des États-Unis[16].
À une semaine de l'élection présidentielle américaine de 2020, elle anime un meeting dans l'État-clé de Pennsylvanie en soutien à son mari[39]. Selon CNN, après l’annonce de la quasi-totalité des résultats du scrutin, elle conseille à Donald Trump de concéder sa défaite face à Joe Biden, tout comme Jared Kushner, tandis que les fils adultes de Donald Trump, Donald Trump, Jr. et Eric Trump, lui conseillent l'inverse[40]. Sur Twitter, Melania Trump apporte cependant son soutien à son mari, écrivant que « le peuple américain mérite des élections justes »[41].
Engagements
[modifier | modifier le code]En , elle se lance dans un combat contre les addictions aux opiacés en menant une table ronde sur le sujet[42].
Comme annoncé pendant la campagne présidentielle, elle présente, en , un programme pour la protection de l'enfance dont elle sera la marraine[35],[43]. Intitulé Be Best, ce programme entend notamment lutter contre le cyberharcèlement[44],[45]. Des médias, dont The New York Times, révèlent que le programme est un plagiat d'un document de la Federal Trade Commission de 2014[46].
Fin , alors que la séparation des migrants et de leurs enfants suscite la polémique, Melania Trump se rend à la rencontre d'enfants sans-papiers. Dans un communiqué, elle indique à propos de la séparation des enfants immigrés de leurs parents : « Je déteste cette situation »[31]. De l'aveu du président, elle joue un rôle dans l'adoption d'un décret mettant fin à ces séparations. Elle-même immigrée, elle a pris contact en 2018 avec un célèbre avocat, membre du Parti démocrate, afin d'aider ses parents et sa sœur dans leurs démarches vis-à-vis de l'administration ; celui-ci indique que de ce fait ce sujet lui tient particulièrement à cœur[31].
Entre les deux présidences Trump
[modifier | modifier le code]Assez discrète après son départ de la Maison-Blanche, Melania Trump continue de s'investir dans des associations et suit les études de son fils. Elle assiste en 2023 aux funérailles de Rosalynn Carter, épouse de l'ex-président Jimmy Carter, aux côtés de toutes les Premières dames encore en vie (Jill Biden, Michelle Obama, Laura Bush et Hillary Clinton)[47].
Son absence dans les meetings de son mari en vue de sa candidature pour l'élection présidentielle de 2024 ou lors des comparutions juridiques de ce dernier est régulièrement évoquée dans la presse[48].
En , elle publie en pleine campagne présidentielle, ses mémoires, Melania, qui ressemblent « moins à un confessionnal qu'à un CV », selon le résumé du New York Times[49]. Le passage le plus extraordinaire révélé par The Guardian est sur sa défense de l'avortement, point de vue interprété comme au service de son époux[50] ou aux antipodes de celui des conservateurs qui soutiennent leur candidat aux présidentielles[51].
Retour à la Maison-Blanche
[modifier | modifier le code]Elle redeviendra Première dame le , la première depuis Frances Cleveland.
Au cinéma
[modifier | modifier le code]Elle est l'un des personnages du film d'animation Royal Corgi (2019).
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Mehreen Kasana, « Melania Trump Used To Spell Her Name Differently & The Change Is So Subtle », sur Bustle, (consulté le )
- Cette germanisation du nom de famille slovène en Knaus date de la seconde guerre mondiale, époque où le pays a été occupé par l’Allemagne nazie. Son père Viktor Knavs, enregistré « Waldemar Knaus » à sa naissance en 1941, a utilisé cette graphie notamment en 1991 (fin du socialisme yougoslave, quand des commerces de particuliers ont pu ouvrir) lorsque, à Ljubljana, il a fondé la société « Knaus-Haus » qui commercialisait principalement des bicyclettes et leurs pièces de rechange. D’après : Bojan Požar, Melania Trump. The Inside Story. Ombo, Ljubljana, 2016. p. 57, 61-64, 70.
- Lauren Collins, « Le mystère Melania Trump », Vanity Fair no 38, août 2016, pages 56-65.
- « Décès de la mère de Melania Trump, ex-Première dame des Etats-Unis », L'Obs, (lire en ligne, consulté le ).
- Pauline Delassus, « Melania Trump - Une First Lady venue de l'Est », Paris Match, semaine du 17 au 23 novembre 2016, pages 52-59.
- (en) Julia Ioffe, « Melania Trump on Her Rise, Her Family Secrets, and Her True Political Views: “Nobody Will Ever Know” », GQ (magazine), (lire en ligne, consulté le )
- (en) Mickey Rapkin, « Lady and the Trump », Du Jour, (lire en ligne, consulté le )
- (en) David Martosko, « Melania Trump reveals she is Catholic: The First Lady shares her faith with the world after meeting the Pope as the first Catholic to live in White House since JFK », Daily Mail, (lire en ligne, consulté le )
- (en) Elizabeth Wellington, « Melania Trump only the second Catholic first lady to meet a pope », The Inquirer - Philadelphia Media Network, (lire en ligne, consulté le )
- (en) Inma Alvarez and Marko Vombergar, « Melania Trump was baptized Catholic, confirms Slovenian Cardinal Franc Rodé », Aleteia, (lire en ligne, consulté le )
- « Etats-Unis : l'enfance slovène de Melania Trump », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le )
- (en) Emily Schultheis, « Five Things to Know About Melania Trump », CBS News, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- « 10 choses surprenantes que vous ne savez pas sur Melania Trump », sur journaldemontreal.com, (consulté le ).
- John Aravosis, « Is Melania Trump really fluent in five languages? (Melania Trump parle-t-elle couramment cinq langues ?) », sur americablog.com, (consulté le )
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- « Présidentielle américaine : Melania, le discret atout de Donald Trump », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Melania Trump aurait menti sur son passé », sur Le Journal de Montréal, (consulté le ).
- Jean-Marc Gonin, « Melania Trump, épouse model », Le Figaro Magazine, semaine du 30 septembre 2016, p. 70-73.
- Lisa Vignoli, « Le Frenchie par qui le scandale Melania Trump arrive », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- Jean-Philippe Louis, « Melania Trump, la mystérieuse nouvelle première dame des Etats-Unis », Les Échos.fr, (lire en ligne)
- (en) « News de Melania Knauss » (consulté le ).
- « Melania Trump a bien plagié le discours de Michelle Obama », Les Échos.fr, (lire en ligne)
- Julien Neuville, « Y a-t-il un créateur pour habiller Melania Trump ? », Le Monde, (lire en ligne)
- (en) Bridget Foley, 20 janvier 2017, Melania Trump Wears Hervé Pierre to Inaugural Balls, Women's Wear Daily.
- (en) Amber Graafland, Melania Trump wows in stunning Inaugural Ball dress she helped design - in second echo of Jackie Kennedy, Daily Mirror, 21 janvier 2017.
- (en) First Lady Melania Trump Wears Hervé Pierre Dress for Eiffel Tower Dinner, sur WWD.
- (en) Melania Trump Meets the Queen In Iconic Herve Pierre Hat, 3 juin 2019, sur Mediahard.
- Olivia B. Waxman, « Meet the Only First Lady Before Melania Trump Not to Have Been Born in the U.S. », Time, (lire en ligne).
- « États-Unis : pétition pour que Melania Trump s'installe à la Maison-Blanche... ou paie sa sécurité », Europe 1, (lire en ligne, consulté le )
- Thierry Noisette, « Melania et Barron Trump s'installent enfin à la Maison-Blanche », L'Obs, (lire en ligne, consulté le )
- Olivier O'Mahony, « Melanie Trump ne fait plus banquette », Paris Match, semaine du 28 juin au 4 juillet 2018, p. 44-51.
- (en-GB) Hadley Freeman, « Melania Trump wants to be a 'traditional' first lady like Betty Ford. Good luck with that », The Guardian, (ISSN 0261-3077, lire en ligne, consulté le )
- Pascaline Potdevin, « Arbres abattus, bowling, véranda : comment les First Ladies redécorent la Maison-Blanche », sur Le Figaro Madame, (consulté le ).
- Maurin Picard, « Les petites indocilités de Melania et Ivanka envers Donald Trump », Le Figaro, samedi 23 / dimanche 24 juin 2018, p. 17.
- « Melania Trump critique l'utilisation négative des réseaux sociaux devant son mari », sur BFMTV (consulté le )
- Nicole Bacharan et Dominique Simonnet, « Mystérieuse Melania », Paris Match, Hors Série : la fabuleuse histoire des premières dames, , p. 44-54.
- (en-US) Cavan Sieczkowski, « Melania Trump Will Be The First Catholic To Live At The White House Since JFK », Huffington Post, (lire en ligne, consulté le )
- Olivier O'Mahony, « Tapis rouge pour Melania », Paris Match, semaine du 11 au 17 octobre 2018, p. 56-61.
- « Présidentielle américaine: premier meeting de campagne en solo pour Melania Trump », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- (en) Kaitlan Collins, Kate Bennett, Jeremy Diamond, Kevin Liptak, « Jared Kushner, Melania Trump advise Trump to accept election loss », sur cnn.com, (consulté le ).
- « Melania Trump s'exprime publiquement », sur lepoint.fr, (consulté le ).
- Kahina Sekkai, « Melania Trump s'implique dans la guerre contre l'addiction aux opiacés », Paris Match, (lire en ligne, consulté le ).
- « VIDEO. Melania Trump dénonce le cyber-harcèlement, Internet ressort les tweets de son mari », 20minutes.fr, 4 novembre 2016.
- « Melania Trump s’est trouvé une cause à défendre », La Parisienne, (lire en ligne, consulté le )
- Sandrine Delorme, « Melania Trump lance "Be Best" contre le cyber-harcèlement », sur euronews, (consulté le )
- Nicole Bacharan et Dominique Simonnet, First Ladies, Paris, Tempus, Perrin, , 512 p. (ISBN 978-2-262-08782-1), p. 401
- « Melania Trump, Jill Biden et Michelle Obama réunies pour un dernier hommage à Rosalynn Carter », Paris Match, (lire en ligne).
- « Présidentielle américaine 2024 : mais où est passée Melania Trump ? », sur ladepeche.fr (consulté le )
- Hélène Vissière, « Les étranges mémoires de l'étrange Melania Trump », sur lefigaro.fr,
- « Une du jour. Melania Trump, une “militante pour l’avortement” au service de son mari ? », sur courrierinternational.com,
- « États-Unis: Melania Trump défend le droit à l'avortement en pleine campagne de son mari », sur rfi.fr,
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (en) Bojan Pozar et Igor Omerza, Melania Trump. The Inside Story, 2016.
- (en) Kate Bennett, Free, Melania, St Martin's Press, 2019.
- (en) Mary Jordan, The Art of Her Deal : The Untold Story of Melania Trump, Simon & Schuster, 2020.
- (en) Stephanie Winston Wolkoff, Melania and me, Gallery Books, 2020.
- (en) Melania Trump, Melania, Skyhorse, 2024.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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