Monterrein — Wikipédia

Monterrein
Monterrein
L'Église Saint-Malo.
Blason de Monterrein
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Code postal 56800
Code commune 56138
Démographie
Gentilé Monterrinois, Monterrinoise
Population 392 hab. (2016 en évolution de +1,29 % par rapport à 2010)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 52′ 52″ nord, 2° 21′ 24″ ouest
Altitude 101 m
Min. 59 m
Max. 126 m
Superficie 7,01 km2
Élections
Départementales Ploërmel
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Ploërmel
Localisation
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Monterrein

Monterrein [mɔ̃tɛʁɛ̃] est une ancienne commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne, devenue, le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Ploërmel[1].

Géographie

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Évolution du territoire

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De 1793 au , les deux communes de Ploërmel et Monterrein sont autonomes. Le , la commune nouvelle de Ploërmel est créée en lieu et place des communes de Monterrein (56138) et de Ploërmel (56165)[2].

Avant 2019
Depuis le

La commune étant désormais une commune déléguée de la commune nouvelle Ploërmel, les éléments géographiques caractéristiques de cette ancienne commune peuvent être consultés dans cet article.

Le nom de la localité est mentionné sous la forme Mousterin en 1187[3], Monterrin en 1793, Monterrein en 1801[4].

Du vieux breton mouster désignant un monastère, dans ce cas une chapelle rurale, auquel serait associé le nom du saint Rin (que l'on retrouve dans le nom de la commune de Plourin par exemple), mais plus probablement, du relief de la commune. En effet, le territoire de la commune comprend deux collines. Sur la plus élevée se dresse le château de la Haute-Touche à 1 kilomètre à l'ouest du bourg. Sur l'autre colline, située à l'est, se dressent les ruines des moulins de la Haute-Touche. Le mot Touche vient de Tuchenn qui indique un tertre, une éminence, un mont. Le mot Tuchenn vient lui-même de Torgenn. Associé à « Mont » (mot récent, synonyme de l'ancien Torgenn), on obtient Montorgenn puis Montorien puis Monterrin et enfin Monterrein.[réf. nécessaire]

Selon A. Marteville et P. Varin, le nom proviendrait peut-être de mons terrenus, nom d'un tumulus voisin, situé à l'ouest du bourg, dans la lande de Saint-Méen[5].

Préhistoire et Antiquité

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De la période préhistorique, il reste quatre menhirs sur le territoire communal.

Une enceinte fortifiée, de forme elliptique, fut découverte par l'abbé Marot[Note 1] près du village de Piperay[5]. Selon Joseph-Marie Le Mené, elle serait d'époque romaine. La voie romaine allant de Ploërmel à Rieux, passait par le nord-est de la commune de Monterrein et par la Ville-au-Vy[6].

Moyen-Âge et Temps modernes

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Monterrein serait issu du démembrement de l'ancienne paroisse de Ploërmel[7].

Petite commune du Morbihan, Monterrein était une ancienne trève de la paroisse de Saint-Abraham.

Deux seigneuries existaient à Monterrein : la Haute-Touche, possédée successivement par les familles Bérard (en 1427), de Kervignac (en 1637) et du Boisbaudry (en 1750) et la seigneurie de Rumfort[7].

Révolution française

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Monterrein est érigée en commune en 1790. Depuis 1801, elle appartient au canton de Malestroit. Et elle acquiert en 1802, après le Concordat, le titre de paroisse.

Le 19 floréal an IV () une colonne de soldats républicains forte de 1 200 à 1 500 hommes, commandée par les adjudants généraux Simon et Crublier, se heurta à une bande de Chouans composée de 700 à 800 hommes au château de la Bourdonnaye ; n'osant pas les attaquer de suite et en ayant perdu la trace ensuite, Simon et Crublier laissèrent leurs soldats se livrer sur les communes de Caro et Monterrein à un pillage qui dura deux jours. D'après Angélique de la Marnière[Note 2], épouse de François du Boisbaudry[Note 3], les dégâts et pillages faits au château de la Haute-Touche se montaient à 1 977 livres[8].

Le XIXe siècle

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A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Monterrein en 1853 :

« Monterrein : commune formée de l'ancienne trève de ce nom ; aujourd'hui succursale. (..) Principaux villages : le Quebois, Piperay, la Mohanais, la Brosselais, la Haute-Touche, le Tertre. Superficie totale 697 hectares 33 ares dont (..) terres labourables 238 ha, prés et pâturages 115 ha, bois 23 ha, châtaigneraies 12 ha, vergers et jardins 11 ha, landes et incultes 280 ha (..). Moulin de la Haute-Touche. Maison notable : la Haute-Touche. Presque tout le territoire de cette commune se compose de la colline dite des Moulins de la Haute-Touche et forme deux coteaux. L'un, exposé au sud, est rocailleux et aride, excepté à la porte du bourg ; l'autre, exposé au nord, est sur un sol argileux qui va en décroissant de valeur à mesure que l'on gagne la base de la colline. Les terres sont en général mal cultivées, mais les prairies sont bonnes et fertiles, parce que les pluies d'orage les dotent sans cesse des particules les plus fines du sol qui les dominent. (..) Géologie : terrain schisto-argileux. On parle le français [en fait le gallo][5]. »

Le , Raoul du Boisbaudry, maire de Monterrein, fut suspendu de ses fonctions pendant deux mois « pour avoir publiquement et avec violence, (..) attaqué les lois et le gouvernement » à l'occasion de la distribution des prix de l'école publique de Roc-Saint-André[9].

Le Journal du Midi écrit en 1894 que la commune de Monterrein, qui n'a alors que 392 habitants, a été contrainte en raison des lois de laïcisation de construire une école publique des filles et un logement pour l'institutrice, que celle-ci n'a aucun élève (l'école privée en a 70)[10].

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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En 1904 l'école tenue par les Sœurs de Saint-Jacut est fermée sur décision du gouvernement en vertu de la loi sur les congrégations[11].

En 1907 le journal L'Ouest-Éclair déplore l'arrièration des pratiques agricoles dans la région : « Que de landes encore, du côté de Campénéac par exemple, et comme les paysans sont routiniers par là. À Malestroit c'est pis encore ; de Saint-Marcel au Roc-Saint-André, par Sérent, de Réminiac à Monterrein, par Caro, comptez les terrains incultes, à peine plantés de maigres sapins. (..) Pourquoi alors ces progrès si lents qui paraissent nuls ? Pourquoi le sol de Sérent ou de Ménéac ne produiraient-ils pas aussi bien que celui de Bréhan ? Ces terrains sont trop maigres, dira-t-on. (..) La faute n'est pas à la terre, elle n'est pas plus au manque de bras, elle est au manque d'initiative, au manque d'influences compétentes »[12].

Un décret du Président de la République en date du , attribue à la commune de Monterrein, à défaut de bureau de bienfaisance, les biens ayant appartenu à la fabrique de l'église de Monterrein et actuellement placés sous séquestre[13].

La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Monterrein porte les noms de 22 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale; parmi eux 2 sont morts en BelgiqueConstant Robert dès le à Maissin et ]Jean Guilloux le à Coxyde) ; Joseph Gilard est mort des suites de ses blessures le à Alexandrie (Égypte) ; Alexandre Naël est mort de maladie le alors qu'il était en captivité en Allemagne ; tous les autres sont morts sur le sol français[14].

L'Entre-deux-guerres

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La Deuxième Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Monterrein porte les noms de 4 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale : Eugène Mesle, tué à l'ennemi au printemps 1940 lors de la Bataille de France ; Léon Davalo (mort de maladie en 1940) ; Ange Duval, mort en 1944 lors d'un bombardement alors qu'il était en captivité en Allemagne ; Jean Evain, mort aussi en captivité en Allemagne, le [14].

L'après Deuxième Guerre mondiale

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Un soldat originaire de Monterrein, René Doudard, est mort pour la France le pendant la Guerre d'Algérie[14].

Depuis 1993, un monument symbolisant « La Paix » réalisé en schiste du pays, constitué de six colonnes laissant apparaître une colombe s'élançant dans le ciel. Ce monument s'intégrant dans l'enceinte de l'église est à la mémoire des enfants de Monterrein morts pour la France.

Le XXIe siècle

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Monterrein est passé de l'arrondissement de Vannes à l'arrondissement de Pontivy le .

La commune fusionne avec la commune de Ploërmel au sein de la commune nouvelle de Ploërmel le et devient une commune déléguée[15].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2014 2018 Marcel Benoît[Note 4]   directeur d'un cabinet d'expertise comptable en retraite. Époux de Marie-Paule Benoît, maire entre 1989 et 1999[16].
1999 2014 Jean-Noël Jossé   Fait maire honoraire en 2016[17].
1989 1999 Marie-Paule Benoit[Note 5]    
1959 1989 Alain Du Boisbaudry (fils)[Note 6]   Fils d'Alain du Boisbaudry, maire entre 1929 et 1947.
1947 1959 Joseph Robert[Note 7]   Menuisier.
1929 1947 Alain du Boisbaudry (père)[Note 8]   Fils d'Amédée du Boisbaudry, maire entre 1884 et 1925.
1925 1929 Louis de la Foye[Note 9]   Comte. Gendre d'Amédée du Boisbaudry, maire entre 1884 et 1925.
1884 1925 Amédée du Boisbaudry[Note 10]   Fils d'Hippolyte du Boisbaudry, maire entre 1872 et 1877. Conseiller général.
1881 1883 Raoul du Boisbaudry[Note 11]   Il a aussi été maire d' Augan entre 1900 et 1929. Frère d'Henri du Boisbaudry, maire précédent.
1877 1880 Henri du Boisbaudry[Note 12]   Comte. Fils d'Hippolyte du Boisbaudry, maire précédent. Capitaine dans l'armée territoriale. Son oraison funèbre par l'abbé Louis Barré, recteur de Monterrein, a été éditée[18].
1872 1877 Hippolyte du Boisbaudry[Note 13]   Comte.
1865 1872 Pierre-Marie Chamaillard    
1852 1865 Constant Robert[Note 14]   Maître menuisier.
1850 1852 M. Druais    
1835 1850 Jean-Guillaume Taupinel    
1799 1835 Jean-François Peschart[Note 15]    
1796 1798 Jean Taupinet   Agent
1795 1796 M. Noblet    
1792 1795 Julien Druais    
1790 1792 Louis Jocet   Vicaire

La création de la commune nouvelle de Ploërmel entraîne la création d'une commune déléguée représentée par un maire délégué :

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1er janvier 2019 2020 Marcel Benoît -  

Démographie

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La localité de Monterrein est située à 5 km de la voie rapide Rennes-Lorient et à proximité de la voie rapide Nantes-Vannes. Au carrefour de ces grands axes, la population de cette commune est en constante croissance.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

En 2016, la commune comptait 392 habitants[Note 16], en évolution de +1,29 % par rapport à 2010 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
230292328384293308318318319
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
326325357342336344363362345
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
339338358346321344339327340
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
320328366333298308348352387
2015 2016 - - - - - - -
391392-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Équipements et commerces

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La commune possède une école primaire Saint-Joseph, associée depuis 1996 avec l'école de Caro, une commune voisine, ainsi qu'une bibliothèque.

Deux commerces/restauration et plus de dix associations proposent des activités variées et dynamisent la vie de la commune.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • 4 menhirs, rappelés sur le blason communal :
    • « La Roche Longue », menhir échancré en quartz du IVe siècle av. J.-C. de 4,20 m de haut, à proximité du village de Piprais ;
    • « La Grenouille », menhir en schiste du IVe siècle av. J.-C. long de 2,60 m, au pied du précédent ;
    • « Le Fuseau », à une centaine de mètres de ces derniers ;
    • « La Quenouille » (dit aussi de la Maison Neuve), menhir haut de 3,50 m près du village de la Morhannais.

Le château actuel, inscrit aux Monuments historiques depuis 2001[28], est un bâtiment de 1760, mais sur le lieu existe des vestiges des XVIe et XVIIe siècles. Excepté le principe des cuisines en sous-sols, adopté depuis longtemps dans la région de Malestroit, la construction du bâtiment se rapproche plutôt du type des malouinières. Les anciens bâtiments des XVIe et XVIIe siècles servent de communs. Le portail et sa ferronnerie font partie des embellissements effectués au début du XXe siècle par l'architecte rennais Jobbé-Duval. Ces embellissements comprenaient aussi des douves, jardins à la française, nouveau perron, .. À cette époque, une nouvelle chapelle a été construite, qui fait pendant à un colombier du XIIIe siècle[29].

Héraldique

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Les armoiries de Monterrein se blasonnent ainsi :

Parti : 1) d’azur à une colombe contournée volante d’argent – 2) de sinople à un menhir entaillé au sommet d’or – au chef d’argent chargé de trois croix de sable.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Abbé Pierre Marot, né en 1791 à Mohon, ordonné prêtre en 1816, passionné d'archéologie, recteur de Rochefort-en-Terre où il est décédé en 1865.
  2. Angélique Perrine de la Marnière de Guer, née le à Rennes, décédée le à Rennes.
  3. François du Boisbaudry, né le à Montmédy (Meuse), décédé le à Ploërmel.
  4. Marcel Benoît; né vers 1940.
  5. Marie-Paule Benoît, décédée en 1999.
  6. Alain du Boisbaudry, né le à Cossé-le-Vivien (Mayenne), décédé le .
  7. Joseph Robert, né le à Monterrein, décédé le à Monterrein.
  8. Alain du Boisbaudry, né le au Rheu (Ille-et-Vilaine), décédé le à Monterrein.
  9. Louis de la Foye, né le à Rennes, décédé le à Rennes.
  10. Amédée du Boisbaudry, né le à Monterrein, décédé le à Monterrein.
  11. Raoul du Boisbaudry, né le à Monterrein, décédé le à Ploërmel.
  12. Henri du Boisbaudry, né le à Monterrein, décédé le à Vittel (Vosges).
  13. Hippolyte du Boisbaudry, né le à Monterrein, décédé le à Monterrein.
  14. Constant Robert, né le à Monterrein, décédé le à Monterrein.
  15. Peut-être Jean-François Peschart, né vers 1778, probablement à Ploërmel, marié le à Ploërmel avec Marie Ménage.
  16. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

Références

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  1. Arrêté de création de la commune nouvelle de Ploërmel, 21 décembre 2018.
  2. « Métadonnées de la commune de Ploërmel », sur insee.fr (consulté le ).
  3. Société archéologique du Finistère - 1980 - Bulletin de la Société archéologique du Finistère - Volumes 108 à 109 - page 132.
  4. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  5. a b et c A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), p. 48.
  6. René Kerviler, Étude critique sur la géographie de la presqu'île armoricaine au commencement et à la fin de l'occupation romaine, Saint-Brieuc, L. Prud'homme, (lire en ligne), p. 93.
  7. a et b « Étymologie et histoire de Monterrein », sur infobretagne.com (consulté le ).
  8. Jacques-Marie Le Claire, L'ancienne paroisse de Guer, Hennebont, (lire en ligne), p. 387 et 388.
  9. « Monterrein, 28 août », L'Intransigeant,‎ 30 aoũt 1883, p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
  10. « Proposition libérale », Le Journal du Midi,‎ , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
  11. « Les écoles congréganistes qui vont être fermées », L'Univers,‎ , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Ploërmel. L'agriculture », L'Ouest-Éclair,‎ , p. 4 (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Décret n° 15 », Journal officiel de la République française,‎ , p. 1826 (lire en ligne, consulté le ).
  14. a b et c « Ploërmel (commune nouvelle). Monument aux Morts [Monterrein] (Relevé n° 64295) », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  15. Arrêté portant création de la commune nouvelle de Ploërmel (publié le 28 décembre 2018)
  16. « Marcel Benoit à Monterrein », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. Ludivine Ageon, « Monterrein : Jean-Noël Josse devient maire honoraire https://actu.fr/bretagne/ploermel_56165/monterrein-jean-noel-josse-devient-maire-honoraire_5426465.html », Le Ploermelais,‎ .
  18. Abbé Louis Barré, Oraison funèbre de M. Marie-Henri Cte du Boisbaudry, prononcée en l'église de Monterrein, le 11 septembre 1880; / par M. l'abbé L. Barré,..., Rennes, (lire en ligne)
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
  22. « Église paroissiale Saint-Malo (Monterrein fusionnée en Ploërmel en 2019) », sur patrimoine.bzh, 1984 et 2010 (consulté le ).
  23. « Encensoir, église Saint-Malo (Monterrein fusionnée en Ploërmel en 2019) », sur patrimoine.bzh, 1992 et 2010 (consulté le ).
  24. « Confessionnal, église Saint-Malo (Monterrein fusionnée en Ploërmel en 2019) », sur patrimoine.bzh, 1992 et 2010 (consulté le ).
  25. « Poutre de gloire, église Saint-Malo (Monterrein fusionnée en Ploërmel en 2019) », sur patrimoine.bzh, 1992 et 2010 (consulté le ).
  26. « Croix », notice no PA00091450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. « Cimetière », notice no PA00091449, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  28. « Château et parc de la Haute-Touche », notice no PA56000053, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. « Château, la Haute Touche (Monterrein fusionnée en Ploërmel en 2019) », sur patrimoine.bzh, 1986 et 2001 (consulté le ).

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Articles connexes

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Liens externes

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