Pascal Gauchon — Wikipédia

Pascal Gauchon
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Fonctions
Président
Antéios (d)
-
Gil Mihaely (d)
Directeur
Prépasup (d)
-
Éric Duquesnoy (d)
Secrétaire général
Parti des forces nouvelles
-
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (74 ans)
Pseudonyme
Pascal YagueVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Partis politiques
Membre de

Pascal Gauchon, né le à Paris[1], est un éditeur et géopolitologue français. Ancien homme politique d'extrême droite, il est dans sa jeunesse secrétaire général du Parti des forces nouvelles (1974-1978). Il devient par la suite directeur de Prepasup, directeur de collection aux Presses universitaires de France et auteur d'une trentaine d'ouvrages de géopolitique[2].

Après une classe préparatoire littéraire au lycée Louis-le-Grand[3], il est admis à l'École normale supérieure en 1970[4] et obtient l'agrégation d'histoire en 1973[5].

En 1974, il prépare une thèse de doctorat sur « l'Italie contemporaine »[1], finalement non achevée.

Jeunesse politique (1972-1981)

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À l'ENS, il milite au Groupe union défense[6]. Sous le pseudonyme « Pascal Yague », il collabore à la Revue d'histoire du fascisme[7] jusqu'en 1974[8].

Membre du groupuscule néofasciste Ordre nouveau[9],[10], il sert d'interprète lors des rencontres entre les dirigeants du groupe et ceux du Mouvement social italien[11]. En 1972, il participe à la rédaction de l'ouvrage doctrinal d'ON, portant le même nom[12], puis intègre le conseil national[11]. Il est encore candidat suppléant sous ces couleurs lors des élections législatives de mars 1973, avant d'intégrer brièvement le secrétariat permanent[11] jusqu'à la dissolution du mouvement en . Il anime ensuite les Comités faire front à Paris, et préside un temps le Front de la jeunesse[11]. Il s'associe en au Comité d'initiative pour la construction d'un parti nationaliste (CICPN) — avec François Brigneau, Jean-François Galvaire, Roland Gaucher, Jack Marchal, Alain Robert notamment[13] — puis devient en novembre secrétaire général du Parti des forces nouvelles (PFN), parti d’extrême droite d’inspiration néofasciste[14],[15]. Il continue à cette époque à soutenir le MSI, estimant dans un article de 1974[a] que l'Italie et la France « vivent au même rythme politique »[8],[16].

En , il appelle de ses vœux la constitution d'une « nouvelle droite » pour faire pièce à la « vieille droite »[17]. En avril de la même année, avec une cinquantaine de membres du PFN, il s'introduit dans les locaux de l'UNESCO (occupant plusieurs heures le 8e étage)[18] pour protester dans une lettre ouverte à l'ONU contre la rupture des accords de Paris par le Nord-Vietnam.

Aux élections municipales de 1977 à Paris, il soutient la candidature de Jacques Chirac qui est élu face à Michel d'Ornano[19].

Il est candidat aux élections législatives de mars 1978 dans la 12e circonscription de Paris[20]. Il devient ensuite rédacteur en chef de Défense de l'Occident, revue du « socialisme national » de Maurice Bardèche, après l'assassinat de François Duprat le [21],[22],[15]. Pierre-André Taguieff estime qu'il « renouvelle [son] équipe rédactionnelle », « en y amenant de jeunes universitaires »[23], tandis que Pauline Picco relève que sa prise de responsabilité amène « une multiplication des articles portant sur l'extrême droite italienne »[8].

En 1979, il fait paraître aux Presses universitaires de France, avec Thierry Buron (également membre du PFN)[21] un ouvrage de synthèse sur Les Fascismes[24], que Pierre Milza estime « très favorable au phénomène étudié »[25]. En mai, il participe, en 4e position, derrière Michel de Saint Pierre, Jean-Louis Tixier-Vignancour et Jean-Marie Le Pen, à la tentative de liste commune PFN/FN pour les premières élections européennes, nommée Union française pour l'Eurodroite des patries (UFEP), avant de déposer sa propre liste sous l'appellation Union française pour l'Eurodroite (UFE), conduite par Jean-Louis Tixier-Vignancour, Alain Robert et Joseph Ortiz[26]. Cette liste ne recueille qu'1,31 % des voix[27].

En , il participe sur Antenne 2 à un débat sur le coup d'État du 11 septembre 1973 au Chili, au cours duquel il prend la défense d'Augusto Pinochet[28]. En mai, convaincu du chef de « recel de document volé », il est condamné par le tribunal correctionnel de Paris à deux mois de prison avec sursis pour avoir fait publier dans Initiative nationale, l'organe du PFN, un texte dérobé dans les locaux de la Ligue des droits de l'homme[29]. Cette condamnation n'est pas inscrite à son casier judiciaire, il peut en novembre de la même année, être candidat à l'élection législative partielle dans la 4e circonscription de la Gironde[30].

En septembre, il prend part avec Jacques Médecin et Philippe Malaud au comité français de soutien à Ronald Reagan présidé par Alain de Sancy[31].

En concurrence avec Jean-Marie Le Pen[32], sous étiquette du PFN[9], il ne parvient pas à réunir les parrainages nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle de 1981[33] (Roland Hélie dirigeait sa pré-campagne)[34]. Le , il appelle donc à soutenir Jacques Chirac[35] au premier tour et à voter contre François Mitterrand au second tour[36].

Candidat aux élections législatives de 1981 dans la 5e circonscription de Paris[37], avec comme suppléant Pierre Jonquères d'Oriola[38], il recueille 3,26 % des voix[39] et se retire de la direction du PFN à l'issue.

Le , le PFN acte sa rupture avec Pascal Gauchon et Jean-Louis Tixier-Vignancour lors d'une réunion publique à la Mutualité[14].

Parcours professionnel

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En 1975[40], il enseigne d'abord l'histoire et la géographie dans une classe « composée uniquement d'enfants de travailleurs immigrés », à Aulnay-sous-Bois[41]. Il a aussi été officier de réserve[42].

Après les élections de 1981, âgé de 31 ans, il se consacre à l'enseignement et à l'édition. Il ouvre en novembre la librairie Vastra, 9 rue Surcouf, dans le septième arrondissement de Paris[43]. De 1985 à 2011, il est directeur de Prépasup, un institut privé spécialisé dans les classes préparatoires aux grandes écoles commerciales (ESSEC, HEC, ESCP Europe, EM Lyon, EDHEC) et aux instituts d'études politiques[44]. Il assure un cours d'histoire, de géographie et de géopolitique en troisième année de classes préparatoires à Ipesup.

Après avoir écrit plusieurs ouvrages chez Ellipses pour préparer les concours aux grandes écoles, il est nommé en 1992, par Michel Prigent directeur de la collection « Major » aux Presses universitaires de France[45], malgré l'opposition puis la démission, « au nom des valeurs républicaines »[46], d'Olivier Duhamel et de Jean-Luc Parodi[21],[47].

En 2008, il crée la société Anteios qui publie un rapport annuel et qui décerne le prix du festival de géopolitique de Grenoble, manifestation dont il a été à l'initiative avec Jean-Marc Huissoud et Jean-François Fiorina[48]. Il préside toujours la remise du Prix du meilleur livre de géopolitique lorsqu'il passe sous l'égide de la société Axyntis [49],[50].

En 2012, il fait partie du comité de parrainage [51] du projet Notre antenne, qui donnera naissance à la web-tv d'extrême-droite TV Libertés en 2014, dont il n'intègre pas l'équipe[52],[53].

Le , il lance un trimestriel consacré aux questions internationales, Conflits, rangé par La Lettre A parmi les « nouveaux médias de droite » [54].

En 2018, il est membre du comité scientifique[9] de l'Institut des sciences sociales, économiques et politiques, fondé et dirigé jusqu'en mai 2022 par Marion Maréchal[55],[15].

Depuis 2020, il enseigne dans une nouvelle classe préparatoire parisienne appelée Autrement et fondée par Christophe Cadet, proche de Tiphaine Auzière, ce qui crée une polémique[56],[15].

Publications

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  • Propositions pour une nation nouvelle, Parti des forces nouvelles, 1974 (BNF 34558257) ;
  • Avec Thierry Buron, Les Fascismes, PUF, 1979 (ISBN 2-13-035796-2) ;
  • La Droite en mouvements, nationaux et nationalistes, 1962–1981 (avec Philippe Vilgier), Paris, Vastra, 1981 ;
  • OAS : histoire de la Résistance française en Algérie (avec Patrick Buisson, préf. Pierre Sergent), Jeune pied-noir, 1984 ;
  • Méthodologie de la dissertation (avec Maxime Lefebvre), Ellipses-Marketing, 1990 ;
  • Se préparer à l'oral (avec Maxime Lefebvre), Ellipses-Marketing, 1990 (ISBN 2-7298-9030-0) ;
  • L'Épreuve de cartographie : classes préparatoires HEC, entrée en AP Sciences po, classes de terminales, Ellipses, 1991 (ISBN 2-7298-9118-8) ;
  • La Dissertation d'histoire à l'entrée de Sciences Po (sous sa direction), Ellipses, 1992 (ISBN 2-7298-9212-5) ;
  • L'Épreuve de questions multiples d'histoire à l'entrée de Sciences Po (sous sa direction), Ellipses, 1992 (ISBN 2-7298-9213-3) ;
  • La Genèse du nouvel ordre mondial : de l'invasion de l'Afghanistan à l'effondrement du communisme (avec Maxime Lefebvre et Dan Rotenberg, préf. Patrick Wajsman), Ellipses, 1992 (ISBN 2-7298-9203-6).
  • Les Capitalismes américain, européen et japonais en compétition, PUB, 1997 (ISBN 2-13-048510-3) ;
  • Vocabulaire d'actualité économique : acteurs, espaces et enjeux économiques contemporains, Ellipses, 1998 ;
  • Histoire et géographie économiques : se préparer à l'oral, Ellipses Marketing, 1998 ;
  • Mondialistes et Français toujours ? : le monde, les États-Unis et nous, PUF, Major, 2000 ;
  • La Triade dans la nouvelle économie mondiale (avec Dominique Hamon et Annie Mauras), PUF, Major, 2002 ;
  • L'Exception américaine, PUF, Major, 2004 ;
  • Le Nouveau Monde : géopolitique des Amériques (avec Yves Gervaise), PUF, 2005 ;
  • Géopolitique du développement durable (avec Cédric Tellenne), PUF, 2005 ;
  • Le Modèle français depuis 1945, PUF, Que sais-je ?, 2006 ; rééd. 2019 ;
  • Inde, Chine à l'assaut du monde, PUF, 2006 — rapport Anteios annuel ;
  • Les Grandes Puissances du XXIe siècle (avec Jean-Marc Huissoud), PUF, 2008 — rapport Anteios annuel ;
  • Le Monde : manuel de géopolitique et de géoéconomie (sous sa direction, avec Patrice Touchard), PUF, 2008 ;
  • 1001 fautes à éviter en arabe (sous sa direction), PUF, « Major », 2008 ;
  • Un monde d'entreprises, PUF, « Major », 2009 — rapport Anteios annuel ;
  • Les 100 lieux de la géopolitique (avec Jean-Marc Huissoud), PUF, Que sais-je ?, 2009 ; rééd. 2021 ;
  • Les 100 mots de la géopolitique (avec Jean-Marc Huissoud), PUF, Que sais-je ?, 2010 ; rééd. 2019 ;
  • Vive la France quand même ! : les atouts de la France dans la mondialisation (sous sa direction, avec Jean-Marc Huissoud), PUF, « Major », 2010 — rapport Anteios annuel ;
  • Dictionnaire de géopolitique et de géoéconomie, PUF, « Major », 2011 ;
  • Géopolitique de la France : plaidoyer pour la puissance, PUF, « Major », 2012.

Notes et références

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  1. « Alfredo Oriani, précurseur du fascisme », Défense de l'Occident, no 118, p. 10-11.

Références

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  1. a et b Le Monde, « M. Pascal Gauchon est élu secrétaire général du Parti des forces nouvelles » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  2. « https://www.marianne.net/culture/pascal-gauchon-apotre-de-la-geopolitique ».
  3. « Pascal Gauchon, Normalien, agrégé d'histoire, directeur de la collection Major aux PUF, fondateur du festival de géopolitique lance une nouvelle revue de géopolitique », sur guilainedepis.blogspirit.com (consulté le ).
  4. « L'annuaire », sur ens.fr (consulté le ).
  5. « Pascal Gauchon : biographie et actualités sur EducPros », sur letudiant.fr (consulté le ).
  6. Philippe Boggio et Philippe Boggio, « Le GUD veut désormais se présenter comme un syndicat Les barres de fer aux orties » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  7. (it) Pino Rauti et Rutilio Sermonti, Storia del fascismo: Le interpretazioni e le origini, Rome, Centro editoriale nazionale, , p. 160.
  8. a b et c Picco 2016, p. 198.
  9. a b et c « L'Issep : Jacques de Guillebon, Pascal Gauchon, Charles Beigbeder, Patrick Louis », sur Libération (consulté le ).
  10. StreetPress, « Hervé d’Argent de Deux Fontaines, officier de gendarmerie le jour, journaliste d’extrême droite la nuit », sur StreetPress (consulté le )
  11. a b c et d Picco 2016, p. 266.
  12. BNF 35163252.
  13. Joseph Algazy, L'extrême-droite en France de 1965 à 1984, Éditions L'Harmattan, 1989, p. 199-200 (ISBN 2-7384-0229-1).
  14. a et b « Parti des Forces Nouvelles (PFN) », sur france-politique.fr (consulté le ).
  15. a b c et d « Polémique autour de l’école privée présidée par la belle-fille d’Emmanuel Macron », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. Andrea Mammone, Transnational Neofascism in France and Italy, New York, Cambridge University Press, 2015, p. 10-11.
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  19. « https://www.lemonde.fr/archives/article/1979/07/30/le-p-f-n-et-la-nouvelle-droite-nous-sommes-de-la-meme-famille-et-de-la-meme-generation-souligne-m-pascal-gauchon_3055264_1819218.html ».
  20. J.-M. Colombani, « Paris La recherche des " rééquilibrages " : II. - Du Xe au XIVe arrondissement » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  21. a b et c « Pascal Gauchon, du PFN aux PUF », sur lemonde.fr, .
  22. Philippe Lamy (sous la dir. de Claude Dargent), Le Club de l'horloge (1974-2002) : évolution et mutation d'un laboratoire idéologique (thèse de doctorat en sociologie), Paris, université Paris-VIII, , 701 p. (SUDOC 197696295, lire en ligne), p. 283.
  23. Pierre-André Taguieff, Sur la Nouvelle Droite : jalons d'une analyse critique, Paris, Descartes et Cie, (ISBN 2-910301-02-8), p. 146.
  24. « Buron (Thierry), Gauchon (Pascal) — Les fascismes. — Paris, Presses universitaires de France, 1979, 18 cm, 175 p. Bibliogr. (Documents histoire.) », Revue française de science politique, vol. 30, no 2,‎ , p. 426 (lire en ligne).
  25. Pierre Milza, Les Fascismes, Paris, Le Seuil, coll. « Points : histoire » (no 147), (ISBN 2-02-012863-2), p. 549.
  26. Joseph Algazy, op. cit., p. 208-209.
  27. Résultats des élections européennes de 1979.
  28. M. N., « La colère et les regrets » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  29. Le Monde, « M. Pascal Gauchon est condamné pour recel de document volé » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
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  37. Alain Rollat, « Extême droite : marginalité confirmée » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  38. Alain Rollat, « Extrême droite : la zizanie en vase clos » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  39. « Le Front national et l'extrême droite », sur lemonde.fr, .
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  41. Alain Rollat, « Un entretien avec M. Pascal Gauchon " C'est à M. Giscard d'Estaing de mériter les voix de la droite " » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
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  43. « Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales », .
  44. Site d'Ipésup
  45. Site des Presses universitaires de France
  46. Alain Beuve-Méry, « Michel Prigent », sur lemonde.fr, .
  47. « La polémique sur la nomination de Pascal Gauchon à la tête d'une collection pédagogique. Remous aux Presses universitaires de France », sur lemonde.fr, .
  48. Philippe Cohen - Marianne, « Pascal Gauchon, apôtre de la géopolitique », Marianne,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  49. https://www.festivalgeopolitique.com/coin-litteraire.
  50. https://www.festivalgeopolitique.com/sites/default/files/medias/editions_precedentes/communique_de_presse_finalistes_des_prix_2017_du_meilleur_livre_de_geopolitique._presentation_ok.pdf.
  51. Fabien Lécuyer, « Vers une « télévision patriotique française » ? », sur 7seizh.info, .
  52. « A l'extrême droite, TV Libertés », sur lalettrea.fr, .
  53. Margaux Baralon, « École de Marion Maréchal : 50 nuances de droites extrêmes », sur europe1.fr.
  54. « https://www.lalettrea.fr/medias_presse-ecrite/2018/06/18/nouveaux-medias-de-droite--qui-sont-les-financiers-de-l-ombre,108313934-ge0 »
  55. Challenges.fr, « Marion Maréchal lance son école de sciences politiques à Lyon », Challenges,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  56. le figaro, « La fille de Brigitte Macron ouvre un lycée privé à Paris », sur Le Figaro Etudiant (consulté le ).

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • « Pascal Gauchon », dans Pauline Picco (préf. Michelle Zancarini-Fournel), Liaisons dangereuses : les extrêmes droites en France et en Italie (1960-1984) (thèse de doctorat en histoire remaniée), Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 978-2-7535-4866-4), p. 266.

Liens externes

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