Première circonscription du Bas-Rhin — Wikipédia
Pays | France |
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Région | Grand Est |
Département | Bas-Rhin |
Cantons | 4 + 1 partiel |
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Communes | 1 |
Député | Sandra Regol |
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Législature | XVIe (Cinquième République) |
Groupe parlementaire | ÉCO |
Date de création |
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La première circonscription du Bas-Rhin est l'une des neuf circonscriptions législatives françaises que compte le département du Bas-Rhin. Elle regroupe les quartiers du centre et de l'ouest de la ville de Strasbourg.
Description géographique
[modifier | modifier le code]De 1958 à 1962
[modifier | modifier le code]La première circonscription du Bas-Rhin était composée des :
(Source : Journal Officiel du 14-15 Octobre 1958).
De 1962 à 1988
[modifier | modifier le code]Elle était composée des cantons suivants :
Strasbourg I, Strasbourg II, Strasbourg IV et Strasbourg V (Robertsau).
De 1988 à 2012
[modifier | modifier le code]Elle comprenait les anciens cantons suivants :
- canton de Strasbourg I (correspondant au quartier du centre-ville)
- canton de Strasbourg II (correspondant aux quartiers de la Gare, des Halles, de Finkwiller)
- canton de Strasbourg IV (correspondant au quartier du Conseil des XV)
- canton de Strasbourg IX (correspondant aux quartiers de Koenigshoffen, Montagne Verte, Elsau).
Depuis 2012
[modifier | modifier le code]A ces 4 cantons s'est rajoutée une partie du canton de Strasbourg VI (partie située au sud d'une ligne définie par l'axe de la route d'Oberhausbergen et à l'ouest d'une ligne définie par l'axe de la voie de chemin de fer de Hausbergen à Graffenstaden)[1].
Description sociologique
[modifier | modifier le code]Ville de tradition protestante luthérienne, Strasbourg est depuis le XIXe siècle plus nettement catholique, et cela dans l'ensemble des quartiers de la ville. La communauté juive est très présente dans le centre-ville, Strasbourg ayant la quatrième communauté juive de France. La communauté musulmane, constituée à la suite des mouvements migratoires des années 1960-70, est aussi présente, particulièrement dans les quartiers périphériques.
La diffusion de l'alsacien dans la première circonscription est la plus faible d'Alsace mais le dialecte reste assez répandu à Koenigshoffen ainsi que dans certaines parties du centre-ville, particulièrement dans les couches les plus âgées de la population. Globalement, le français s'est assez rapidement répandu à Strasbourg après son retour à la France en 1919.
Description politique
[modifier | modifier le code]Circonscription urbaine partagée entre les quartiers centraux et « bourgeois » de l'Orangerie et du centre-ville et les quartiers plus « populaires » et périphériques de la gare et de Koenigshoffen ; la première circonscription a longtemps été considérée comme un fief de la droite gaulliste, mais a choisi quatre fois un député de la gauche depuis 1997. Auparavant, elle avait cependant été considérée, entre 1919 et 1939, comme la circonscription des maires de Strasbourg, élisant Jacques Peirotes (SFIO) de 1928 à 1932, puis le communiste autonomiste Charles Hueber en 1936. À cette époque le clivage droite-gauche était par ailleurs nettement brouillé par la question autonomiste, qui avait provoqué l'implosion du parti communiste alsacien.
De 1958 à 1978, le député gaulliste René Radius y fut réélu, souvent au premier tour, avec des majorités considérables contre les candidats démocrates-chrétiens proches du maire de Strasbourg Pierre Pflimlin. On assistait au cours des années 1960 à une importante dichotomie entre les élections nationales, où la circonscription privilégiait le candidat gaulliste et votait pour le général de Gaulle en 1965 à plus de 71 % ; et les élections locales où elle renouvelait largement sa confiance au maire et conseillers généraux démocrates-chrétiens, comme Gilbert Jost.
À partir de l'élection de Valéry Giscard d'Estaing, la circonscription affirma un vote légitimiste de droite, cette fois au profit des candidats démocrates-chrétiens proche du nouveau président. En 1976 René Radius fut battu par un socialiste dans le canton de la Robertsau, ce qui provoqua un choc certain et le conduisit à ne pas se représenter. La deuxième étape du renversement de la domination gaulliste intervint en 1978. La circonscription bascula alors entre les mains du candidat CDS Emile Koehl, qui battit le RPR Robert Grossmann. Émile Koehl fut réélu – malgré de nombreuses contestations à l'intérieur même de l'alliance UDF-RPR – en 1981, 1986 et 1988, sans problèmes réels. Il occupa par ailleurs des responsabilités importantes au sein de la municipalité strasbourgeoise de 1983 à 1989. Son implantation dans le canton de Strasbourg IX, non dépendant de la première circonscription jusqu'en 1988, explique la modification de la carte électorale de Strasbourg en 1986. Cela n'empêcha cependant pas son échec en 1993. Émile Koehl, contesté et victime d'une certaine usure, fut alors battu à la surprise de beaucoup par un candidat indépendant proche de l'UDF, Harry Lapp, qui mettait en avant la nécessité de renouveau de la droite dans cette circonscription. Il réalisa plus de 64 % des voix au second tour. Harry Lapp fut pourtant battu d'une très courte tête par Catherine Trautmann (PS) en 1997 (50,1 %), le député sortant ralliait le canton « bourgeois » de Strasbourg IV et le canton populaire de Strasbourg IX. En 2002 le député sortant Armand Jung (PS), ancien suppléant de Catherine Trautmann, réussit à battre, là encore d'une courte tête, le maire adjoint Robert Grossmann (50,2 %). Il l'emportait dans les cantons de la Gare et de Koenigshoffen, dont il est par ailleurs conseiller général.
Lors de sa formation en 1986 la première circonscription était considérée comme la plus à droite des circonscriptions strasbourgeoises. On note cependant, depuis 1993, une grande instabilité des électeurs de la circonscription. Depuis 1997, la gauche a considérablement progressé, au point de gagner alors et surtout de conserver en 2002 la circonscription. La mutation électorale du canton de Strasbourg I (Centre-Ville) issue de la « gentrification » du centre-ville qui renforce la gauche, explique pour partie la progression des candidats socialistes. Le recul de la droite est particulièrement marqué dans les cantons I et II, aujourd'hui assez nettement à gauche. Le canton IV de l'Orangerie reste nettement à droite, et il fut détenu par un conseiller général proche de l'UMP jusqu'au élections cantonales de 2008. Le canton de Koenigshoffen, le plus « populaire » de la circonscription, ancien fief d'Émile Koehl, est passé aux mains du député (PS) Jung, mais il est marqué par un fort vote pour le FN et une remontée certaine de la droite en 1997 et 2002. Marque supplémentaire de cette dichotomie, lors des municipales de 2001, les cantons I et II votaient encore pour Catherine Trautmann, alors que les cantons IV et IX choisissaient nettement Fabienne Keller. La circonscription est aujourd'hui donc passée d'une qualification « sûre à droite » à incertaine. De manière générale il s'agit de la circonscription où la gauche réalise ses meilleures performances alsaciennes, et le FN ses plus mauvais scores régionaux.
Lors des élections nationales l'orientation à droite de la circonscription reste assez nette, même si elle s'est tassée depuis 1988. En 1988 elle votait pour Jacques Chirac contre François Mitterrand (53 %). En 1995 elle plaçait Lionel Jospin (25,7 %) en tête, devant Édouard Balladur (23,1 %), Jacques Chirac (19,5 %) et Jean-Marie Le Pen (15,7 %). Au second tour elle choisissait Jacques Chirac assez nettement (55,5 %). En 2002 elle plaçait Jacques Chirac (18,5 %) en tête, devant Lionel Jospin (17,8 %), Jean-Marie Le Pen (13,6 %) et François Bayrou (12,5 %).
Les élections présidentielle et législatives de 2007 ont apporté quelques modifications. Aux élections présidentielles d'avril-mai Nicolas Sarkozy arrivait en tête au premier tour avec 32,7 %, devant Ségolène Royal (29,1 %), François Bayrou (22,8 %) et Jean-Marie Le Pen (6,5 %). On assistait – à l'instar de l'ensemble de l'Alsace – à une forte baisse du FN, notamment dans le canton IX, principalement au profit de Nicolas Sarkozy. Celui-ci réalisait ses plus forts résultats à l'Orangerie et au Centre-ville, dépassant largement le score de Jacques Chirac en 2002. Ségolène Royal réalisait ici son meilleur résultat alsacien, et arrivait en tête dans le canton II. Enfin François Bayrou réalisait une performance en net progrès, assez proche de sa moyenne alsacienne, ses « fiefs » recoupaient assez largement ceux de Nicolas Sarkozy. Au second tour Nicolas Sarkozy l'emportait d'une courte tête (51,07 %), devançant son adversaire facilement à Strasbourg I et largement à Strasbourg IV. Ségolène Royal confirmait sa bonne performance, ne l'emportant cependant que dans le canton de Strasbourg II. Le canton IX présentait une particularité intéressante, plaçant les deux candidats à égalité.
Dans ce contexte de victoire courte du candidat UMP dans cette circonscription tenue par le PS les élections législatives ont cependant confirmé la dichotomie entre le vote de la circonscription aux élections nationales et élections locales. Le député sortant Armand Jung a en effet été facilement réélu au second tour (56,2 %) contre son adversaire peu connue Frédérique Loutrel (43,7 %), l'emportant dans l'ensemble des cantons et réalisant son meilleur score dans le canton II. Les résultats du premier tour plaçait le candidat PS (32,9 %) et la représentante de l'UMP (31,1 %) au coude à coude, Armand Jung arrivant en tête à Strasbourg II et IX, Frédérique Loutrel dans les cantons de Strasbourg IV et I. La candidate UMP, fortement contestée au premier tour par Martine Calderoli-Lotz (DVD) qui avait obtenu 8,5 %, ainsi que par la candidate Modem Chantal Cutajar (11,7 %) n'a pas réussi à réunir les voix de droite et du centre majoritaires, au second tour.
La géographie électorale de la circonscription n'est pas fortement modifiée par les dernières échéances. Le canton de la gare reste le fief de la gauche, Ségolène Royal y a obtenu son meilleur score strasbourgeois à la présidentielle et Armand Jung son plus fort résultat ; à l'inverse le quartier de l'Orangerie reste assez nettement marqué à droite (56,6 % pour Nicolas Sarkozy le ), même s'il a élu Armand Jung d'une courte tête le (51 %). Les cantons I et IX continuent d'adopter un comportement électoral changeant, favorables à Nicolas Sarkozy à la présidentielle puis à Armand Jung aux législatives. De manière générale, la gauche réalise ici ses meilleures performances alsaciennes, et le FN est descendu ici à un niveau très faible.
Historique des députations
[modifier | modifier le code]Législature | Début de mandat | Fin de mandat | Député | Parti politique | Observations
|
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Ire | René Radius | UNR | Adjoint au maire de Strasbourg Mandat écourté à la suite d'une dissolution parlementaire décidée par Charles de Gaulle. | ||
IIe | René Radius | UNR-UDT | Conseiller général de Strasbourg V | ||
IIIe | René Radius | UDVe | Conseiller général de Strasbourg V Mandat écourté à la suite d'une dissolution parlementaire décidée par Charles de Gaulle. | ||
IVe | René Radius | UDR | Conseiller général de Strasbourg V | ||
Ve | René Radius | UDR puis RPR | |||
VIe | Émile Koehl | UDF-CDS | Conseiller général de Strasbourg IX (1976-1988) Mandat écourté à la suite d'une dissolution parlementaire décidée par François Mitterrand. | ||
VIIe | Émile Koehl | UDF-CDS | Conseiller général de Strasbourg IX (1976-1988) | ||
VIIIe | Émile Koehl | UDF-CDS | Conseiller général de Strasbourg IX (1976-1988) Proportionnelle par département, pas de député par circonscription. Mandat écourté à la suite d'une dissolution parlementaire décidée par François Mitterrand. | ||
IXe | Émile Koehl | UDF-CDS | |||
Xe | Harry Lapp | UDF | Conseiller général de Strasbourg I (1994-2001) Mandat écourté à la suite d'une dissolution parlementaire décidée par Jacques Chirac. | ||
XIe | Catherine Trautmann | PS | Ministre de la Culture (1997-2000) Maire de Strasbourg (1989-1997/2000-2001) | ||
Armand Jung | PS | ||||
XIIe | Armand Jung | PS | |||
XIIIe | Armand Jung | PS | |||
XIVe | Armand Jung | PS | Adjoint au maire de Strasbourg et conseiller départemental du canton de Strasbourg-2 | ||
Éric Elkouby | PS | ||||
XVe | Thierry Michels | REM |
| ||
XVIe | 20 juin 2022 | 20 juin 2027 | Sandra Regol | EELV | Elue avec l'étiquette Nouvelle Union populaire écologique et sociale Mandat écourté à la suite d'une dissolution parlementaire décidée par Emmanuel Macron. |
Historique des élections
[modifier | modifier le code]Élections de 1958
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
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Voix | % | Voix | % | ||||
René Radius élu | UNR | 9 947 | 30,19 | 13 727 | 41,66 | ||
Charles Arbogast | MRP | 9 483 | 28,78 | 12 434 | 37,74 | ||
Robert Weil | SFIO | 3 468 | 10,53 | 3 056 | 9,28 | ||
Charles Metzger | Modérés | 2 684 | 8,15 | Retrait | |||
Alphonse Boosz | PCF | 2 256 | 6,85 | 2 238 | 6,79 | ||
Édouard Schmitter | CR | 1 789 | 5,43 | 1 492 | 4,53 | ||
Roger Lance | Radsoc | 1 685 | 5,11 | Retrait | |||
Roger Lance | Modérés | 1 636 | 4,97 | Retrait | |||
Inscrits | 54 620 | 100,00 | 54 606 | 100,00 | |||
Abstentions | 20 865 | 38,2 | 21 175 | 38,78 | |||
Votants | 33 755 | 61,8 | 33 431 | 61,22 | |||
Blancs et nuls | 807 | 2,39 | 484 | 1,45 | |||
Exprimés | 32 948 | 97,61 | 32 947 | 98,55 |
Jacques Rothenbach, avocat au barreau de Strasbourg, était le suppléant de René Radius.
Élections de 1962
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
René Radius sortant réélu | UNR-UDT | 14 422 | 47,3 | 18 495 | 64,58 | ||
Théo Braun | MRP | 6 921 | 22,7 | 10 145 | 35,42 | ||
Gaston Pernot | Divers droite (gaulliste) | 2 830 | 9,28 | Retrait | |||
Robert Weil | SFIO | 2 491 | 8,17 | Retrait | |||
Alphonse Boosz | PCF | 2 371 | 7,78 | Retrait | |||
Alexandre Jesel | CNIP | 1 453 | 4,77 | ||||
Inscrits | 53 360 | 100,00 | 53 360 | 100,00 | |||
Abstentions | 22 226 | 41,65 | 23 584 | 44,2 | |||
Votants | 31 134 | 58,35 | 29 776 | 55,8 | |||
Blancs et nuls | 646 | 2,07 | 1 136 | 3,82 | |||
Exprimés | 30 488 | 97,93 | 28 640 | 96,18 |
Le suppléant de René Radius était le Docteur Ernest Schneegans.
Élections de 1967
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | ||||||
René Radius sortant réélu | UD-Ve | 21 300 | 55,98 | ||||
Antoine Pfirsch | CD (PDM) | 8 097 | 21,28 | ||||
Robert Weil | FGDS (SFIO) | 5 394 | 14,18 | ||||
Alphonse Boosz | PCF | 3 259 | 8,57 | ||||
Inscrits | 54 507 | 100,00 | |||||
Abstentions | 15 497 | 28,43 | |||||
Votants | 39 010 | 71,57 | |||||
Blancs et nuls | 960 | 2,46 | |||||
Exprimés | 38 050 | 97,54 |
Le Docteur Rolf Schellenberg était le suppléant de René Radius.
Élections de 1968
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | ||||||
René Radius sortant réélu | UDR (URP) | 21 415 | 59,36 | ||||
Marcel Rudloff | CD (PDM) | 6 726 | 18,64 | ||||
François Schoeller | FGDS (CIR) | 3 101 | 8,6 | ||||
Marcel Rosenblatt | PCF | 2 215 | 6,14 | ||||
Jean-Pierre Garel | PSU | 1 673 | 4,64 | ||||
Martin Schussler | Régionaliste | 945 | 2,62 | ||||
Inscrits | 51 670 | 100,00 | |||||
Abstentions | 14 996 | 29,02 | |||||
Votants | 36 674 | 70,98 | |||||
Blancs et nuls | 599 | 1,63 | |||||
Exprimés | 36 075 | 98,37 |
Philippe Ritter, chargé de mission auprès du secrétaire d'état à l'Intérieur était le suppléant de René Radius.
Élections de 1973
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
René Radius sortant réélu | UDR (URP) | 15 056 | 45,23 | 16 468 | 49,32 | ||
Raymond Leissner | Rad (MR) | 9 278 | 27,87 | 9 264 | 27,74 | ||
Alain Noël | PS (UGSD) | 5 534 | 16,62 | 7 658 | 22,94 | ||
René Jeanvoine | PCF | 2 356 | 7,08 | ||||
Germaine Bauer | LO | 1 064 | 3,2 | ||||
Inscrits | 48 169 | 100,00 | 48 169 | 100,00 | |||
Abstentions | 14 116 | 29,31 | 14 214 | 29,51 | |||
Votants | 34 053 | 70,69 | 33 955 | 70,49 | |||
Blancs et nuls | 765 | 2,25 | 565 | 1,66 | |||
Exprimés | 33 288 | 97,75 | 33 390 | 98,34 |
Robert Grossmann, enseignant, membre du Conseil Économique et social, était le suppléant de René Radius.
Élections de 1978
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Émile Koehl élu | UDF (CDS) | 11 819 | 32,36 | 23 972 | 66,18 | ||
Robert Grossmann | RPR | 8 712 | 23,85 | Retrait | |||
Marc Brunschweiler | PS | 7 746 | 21,21 | 12 251 | 33,82 | ||
Françoise Menrath | Écologie 78 | 2 975 | 8,14 | ||||
René Jeanvoine | PCF | 1 968 | 5,39 | ||||
Ernest Rickert | diss. RPR | 1 791 | 4,9 | ||||
Alain Marx | MRG | 629 | 1,72 | ||||
Germaine Bauer | LO | 399 | 1,09 | ||||
Charles Zind | Divers droite | 314 | 0,86 | ||||
Marie-Claude Richez | LCR | 174 | 0,48 | ||||
Inscrits | 47 709 | 100,00 | 47 709 | 100,00 | |||
Abstentions | 10 618 | 22,26 | 10 694 | 22,42 | |||
Votants | 37 091 | 77,74 | 37 015 | 77,58 | |||
Blancs et nuls | 564 | 1,52 | 792 | 2,14 | |||
Exprimés | 36 527 | 98,48 | 36 223 | 97,86 |
Jean-Pierre Foltzer, secrétaire général adjoint de la Chambre de commerce, était le suppléant d'Émile Koehl.
Élections de 1981
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Émile Koehl sortant réélu | UDF (CDS) | 12 548 | 42,65 | 17 653 | 58,58 | ||
Roland Ries | PS | 8 838 | 30,04 | 12 482 | 41,42 | ||
François Bilger | Divers droite | 4 946 | 16,81 | ||||
François Joseph | MÉP | 1 441 | 4,90 | ||||
Françoise Olivier-Utard | PCF | 872 | 2,96 | ||||
Jean-Michel Hornus | PSU | 470 | 1,60 | ||||
Charles Zind | Régionaliste | 123 | 0,42 | ||||
Joseph Rennemann | Divers droite | 99 | 0,33 | ||||
Ernest Meyer | Divers droite | 85 | 0,29 | ||||
Inscrits | 47 655 | 100,00 | 47 654 | 100,00 | |||
Abstentions | 17 889 | 37,54 | 16 909 | 35,48 | |||
Votants | 29 766 | 62,46 | 30 745 | 64,52 | |||
Blancs et nuls | 344 | 1,16 | 610 | 1,98 | |||
Exprimés | 29 422 | 98,84 | 30 135 | 98,02 |
Le suppléant d'Émile Koehl était Jean-Pierre Foltzer.
Élections de 1988
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Émile Koehl sortant réélu | UDF (CDS) | 9 258 | 32,89 | 16 482 | 56,1 | ||
Claude Truchot | PS | 8 140 | 28,92 | 12 900 | 43,9 | ||
Jean Waline | RPR | 4 477 | 15,91 | ||||
Jean-Michel Schaetzel | FN | 3 377 | 12 | ||||
Jean Dock | Divers centre | 1 270 | 4,51 | ||||
Henriette Acker | Extrême gauche | 883 | 3,14 | ||||
Yolande Rosenblatt | PCF | 503 | 1,79 | ||||
Pascal Dupaix | CNIP | 239 | 0,85 | ||||
Alain Golfier | Régionaliste | 0 | 0 | ||||
Édouard Buhler | Divers droite | 0 | 0 | ||||
Inscrits | 49 515 | 100,00 | 49 515 | 100,00 | |||
Abstentions | 20 972 | 42,35 | 19 303 | 38,98 | |||
Votants | 28 543 | 57,65 | 30 212 | 61,02 | |||
Blancs et nuls | 396 | 1,39 | 830 | 2,75 | |||
Exprimés | 28 147 | 98,61 | 29 382 | 97,25 |
Le suppléant d'Émile Koehl était Gérard Schmaltz, directeur de sociétes et adjoint au maire de Strasbourg.
Élections de 1993
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Émile Koehl sortant | UDF (CDS) | 6 708 | 22,73 | 7 258 | 35,15 | ||
Harry Lapp élu | diss. UDF (PRV) | 5 884 | 19,93 | 13 388 | 64,85 | ||
Roland Ries | PS | 5 719 | 19,37 | ||||
Andrée Buchmann | Les Verts (EÉ) | 4 353 | 14,75 | ||||
Jean-Louis Feuerbach | FN | 3 249 | 11,01 | ||||
Jacques Cordonnier | Régionaliste | 1 264 | 4,28 | ||||
Danielle Junique | LT-LNÉ | 869 | 2,94 | ||||
Olivier Gebuhrer | PCF | 758 | 2,57 | ||||
Antonio Gomez | LCR | 382 | 1,29 | ||||
Pascal Dupaix | CNIP | 201 | 0,68 | ||||
Gilles Pichois | PLN | 131 | 0,44 | ||||
Inscrits | 49 477 | 100,00 | 49 478 | 100,00 | |||
Abstentions | 18 932 | 38,26 | 24 253 | 49,02 | |||
Votants | 30 545 | 61,74 | 25 225 | 50,98 | |||
Blancs et nuls | 1 027 | 3,36 | 4 579 | 18,15 | |||
Exprimés | 29 518 | 96,64 | 20 646 | 81,85 |
Le Docteur Hubert Yvorra était le suppléant d'Harry Lapp.
Élections de 1997
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Catherine Trautmann élue | PS | 11 880 | 39,3 | 15 964 | 50,16 | ||
Harry Lapp sortant | UDF (CDS) | 9 493 | 31,41 | 15 865 | 49,84 | ||
Jean-Pierre Riegert | FN | 4 236 | 14,01 | ||||
Marie-Dominique Dreyssé | Les Verts | 1 008 | 3,33 | ||||
Jean Paillot | LDI (MPF) | 701 | 2,32 | ||||
Claude Kugler | LO | 684 | 2,26 | ||||
Liliane Huder | PCF | 578 | 1,91 | ||||
Hugues Geiger | MÉI | 493 | 1,63 | ||||
Daniel Plotkin | GÉ | 370 | 1,22 | ||||
Yvelise Sciard | US4J | 259 | 0,86 | ||||
Antonio Gomez | LCR | 241 | 0,8 | ||||
Didier Webanck | LT-LNÉ | 237 | 0,78 | ||||
Bernadette Pichois | PLN | 47 | 0,16 | ||||
Inscrits | 48 268 | 100,00 | 48 269 | 100,00 | |||
Abstentions | 17 242 | 35,72 | 15 308 | 31,71 | |||
Votants | 31 026 | 64,28 | 32 961 | 68,29 | |||
Blancs et nuls | 799 | 2,58 | 1 132 | 3,43 | |||
Exprimés | 30 227 | 97,42 | 31 829 | 96,57 |
Élection de 2002
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Robert Grossmann | UMP (UDF) | 11 492 | 37,30 | 14 060 | 49,79 | ||
Armand Jung sortant réélu | PS | 10 333 | 33,54 | 14 181 | 50,21 | ||
Geneviève Auvray | FN | 2 193 | 7,12 | ||||
Laurent Fritz | Les Verts | 1 221 | 3,96 | ||||
Patrick Beaufrère | diss. UDF | 1 078 | 3,50 | ||||
Marie-Laurence Forrer | Divers droite | 943 | 3,06 | ||||
Luc Gwiazdzinski | Divers gauche | 739 | 2,40 | ||||
Jacques Cordonnier | Régionaliste (ADA) | 616 | 2,00 | ||||
Frédérique Riedlin | LCR | 379 | 1,23 | ||||
Christine Kling-Moreau | Pôle républicain | 318 | 1,03 | ||||
Jean-Louis Amann | MÉI | 317 | 1,03 | ||||
Jean-Paul Probst | Divers droite | 297 | 0,96 | ||||
Christian Grosse | PCF | 274 | 0,89 | ||||
Hubert Whitechurch | PT | 204 | 0,66 | ||||
Jean Paillot | MPF | 202 | 0,66 | ||||
Pierrette Morinaud | LO | 155 | 0,50 | ||||
Bernard Prigent | Divers | 50 | 0,16 | ||||
Inscrits | 49 330 | 100,00 | 49 330 | 100,00 | |||
Abstentions | 18 231 | 36,96 | 20 414 | 41,38 | |||
Votants | 31 099 | 63,04 | 28 916 | 58,62 | |||
Blancs et nuls | 288 | 0,93 | 675 | 2,33 | |||
Exprimés | 30 811 | 99,07 | 28 241 | 97,67 |
Élection de 2007
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Armand Jung sortant réélu | PS | 9 718 | 32,96 | 15 994 | 56,27 | ||
Frédérique Loutrel | UMP | 9 191 | 31,17 | 12 428 | 43,73 | ||
Chantal Cutajar | UDF–MoDem | 3 461 | 11,74 | ||||
Martine Calderoli-Lotz | diss. UMP | 2 489 | 8,44 | ||||
Laurent Fritz | Les Verts | 1 426 | 4,84 | ||||
Bernadette Brenner | FN | 939 | 3,18 | ||||
Antonio Gomez | LCR | 673 | 2,28 | ||||
Françoise Werckmann | MÉI | 416 | 1,41 | ||||
Christian Grosse | PCF | 345 | 1,17 | ||||
Sonia J. Fath | Divers | 214 | 0,73 | ||||
Jean-Luc Schaffhauser | Divers | 190 | 0,64 | ||||
Jacques Barthel | Divers | 157 | 0,53 | ||||
Pierrette Morinaud | LO | 140 | 0,47 | ||||
Stéphanie Brasseur | MNR | 125 | 0,42 | ||||
Inscrits | 52 670 | 100,00 | 52 672 | 100,00 | |||
Abstentions | 22 931 | 43,54 | 23 708 | 45,01 | |||
Votants | 29 739 | 56,46 | 28 964 | 54,99 | |||
Blancs et nuls | 255 | 0,86 | 542 | 1,87 | |||
Exprimés | 29 484 | 99,14 | 28 422 | 98,13 |
Élection de 2012
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Armand Jung sortant réélu | PS | 13 830 | 41,89 | 18 926 | 61,61 | ||
Anne Hulné | UMP | 9 256 | 28,03 | 11 792 | 38,39 | ||
Marie-Christine Aubert | FN | 3 103 | 9,40 | ||||
Josiane Nervi-Gasparini | FG (PG) | 2 326 | 7,04 | ||||
Sandra Regol | EÉLV | 2 188 | 6,63 | ||||
Jean-Marcel Brule | MoDem | 1 094 | 3,31 | ||||
Maurice Hoffmann | Pirate | 419 | 1,27 | ||||
Camille Abgrall | AÉI | 316 | 0,96 | ||||
Sophie Coudray | NPA | 183 | 0,55 | ||||
Arthur Hanon | Divers | 105 | 0,32 | ||||
Norbert Dumas | S&P | 99 | 0,30 | ||||
Pierrette Morinaud | LO | 98 | 0,30 | ||||
Inscrits | 63 978 | 100,00 | 63 979 | 100,00 | |||
Abstentions | 30 681 | 47,96 | 32 540 | 50,86 | |||
Votants | 33 297 | 52,04 | 31 439 | 49,14 | |||
Blancs et nuls | 280 | 0,84 | 721 | 2,29 | |||
Exprimés | 33 017 | 99,16 | 30 718 | 97,71 |
Élection partielle de 2016
[modifier | modifier le code]Le , le député Armand Jung (PS) annonce qu’il démissionne de son mandat à la suite de multiples problèmes de santé l’empêchant d’exercer correctement son mandat[2]. Refusant de laisser son siège vacant pendant plus d’un an jusqu’en 2017, sa démission prend effet à partir du 1er mars et rend nécessaire une élection législative partielle dans les trois mois. Cette élection se tient les 22 et .
Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Éric Elkouby élu | PS | 4 288 | 30,48 | 6 469 | 53,77 | ||
Jean-Emmanuel Robert | LR | 2 673 | 19,00 | 5 560 | 46,23 | ||
Andréa Didelot | FN | 1 469 | 10,44 | ||||
Simon Baumert | EÉLV | 1 303 | 9,26 | ||||
Laurent Py | UDI | 1 076 | 7,64 | ||||
Guillaume d'Andlau | Divers | 840 | 5,97 | ||||
Daniel Gerber[3] | Divers | 598 | 4,25 | ||||
Julien Ratcliffe | FG (PCF) | 540 | 3,83 | ||||
Jean Faivre | Régionaliste (UL) | 538 | 3,82 | ||||
Murat Yozgat | Divers | 421 | 2,99 | ||||
Salah Keltoumi | LO | 179 | 1,27 | ||||
Pacha Mobasher | Divers gauche | 143 | 1,01 | ||||
Francis Meynier | Divers | 0 | 0,00 | ||||
André Kornmann | Extrême droite | 0 | 0,00 | ||||
Inscrits | 64 322 | 100,00 | 64 322 | 100,00 | |||
Abstentions | 49 988 | 77,72 | 51 258 | 79,69 | |||
Votants | 14 334 | 22,28 | 13 064 | 20,31 | |||
Blancs et nuls | 266 | 1,86 | 1 035 | 7,92 | |||
Exprimés | 14 068 | 98,14 | 12 029 | 92,08 |
Élections de 2017
[modifier | modifier le code]Député sortant : Éric Elkouby (Parti socialiste).
Premier tour
| Second tour
| ||||
Nombre | % des inscrits | Nombre | % des inscrits | ||
Inscrits | 61 032 | 100,00 | 61 033 | 100,00 | |
Abstentions | 30 640 | 50,20 | 36 446 | 59,72 | |
Votants | 30 392 | 49,80 | 24 587 | 40,28 | |
% des votants | % des votants | ||||
Bulletins blancs | 171 | 0,56 | 1 731 | 7,04 | |
Bulletins nuls | 78 | 0,26 | 670 | 2,73 | |
Suffrages exprimés | 30 143 | 99,18 | 22 186 | 90,23 | |
Candidat Étiquette politique (partis et alliances) | Voix | % des exprimés | Voix | % des exprimés | |
---|---|---|---|---|---|
Thierry Michels La République en marche | 10 644 | 35,31 | 13 301 | 59,95 | |
Éric Elkouby (député sortant) Parti socialiste (Parti radical de gauche) | 4 190 | 13,90 | 8 885 | 40,05 | |
Jean-Marie Brom La France insoumise | 4 067 | 13,49 | |||
Elsa Schalck Les Républicains (Union des démocrates et indépendants) | 3 892 | 12,91 | |||
Abdelkarim Ramdane Europe Écologie Les Verts | 2 158 | 7,16 | |||
Andréa Didelot Front national | 1 912 | 6,34 | |||
Sabine Hervault Régionaliste (Unser Land) | 664 | 2,20 | |||
Salah Koussa Divers | 457 | 1,52 | |||
Saber Hajem Divers (Parti égalité et justice) | 414 | 1,37 | |||
Agnès Lopez Divers (#MaVoix) | 347 | 1,15 | |||
Hülliya Turan Parti communiste français | 334 | 1,11 | |||
Marie-Françoise Hamard Divers (Parti animaliste) | 297 | 0,99 | |||
Salomé François-Wilser Écologiste (Mouvement écologiste indépendant - Confédération pour l'homme, l'animal et la planète) | 252 | 0,84 | |||
Pascale Hirn Divers (Union populaire républicaine) | 193 | 0,64 | |||
Christophe Leprêtre Divers (Mouvement 100 % - Parti Antispéciste Citoyen pour la Transparence et l'Éthique) | 164 | 0,54 | |||
Salah Keltoumi Lutte ouvrière | 99 | 0,33 | |||
Pacha Mobasher Divers gauche | 31 | 0,10 | |||
Nina Hutt Divers (Allons enfants !) | 28 | 0,09 | |||
Source : Ministère de l'Intérieur - Première circonscription du Bas-Rhin |
Élections de 2022
[modifier | modifier le code]Les élections législatives françaises de 2022 se déroulent les dimanches 12 et .
Résultats des élections législatives des 12 et 19 juin 2022 de la 1re circonscription du Bas-Rhin[4] | |||||||
Candidat | Parti et coalition | Nuance | Premier tour | Second tour | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Sandra Regol[5],[6] | EELV (NUPES) | NUP | 11 976 | 38,07 | 15 569 | 51,47 | |
Alain Fontanel[7] | LREM (ENS) | ENS | 9 085 | 28,88 | 14 682 | 48,53 | |
Éric Elkouby | PS diss. | DVG | 3 062 | 9,73 | |||
Tamara Volokhova | RN | RN | 2 061 | 6,55 | |||
Audrey Rozenhaft | LR (UDC) | LR | 1 479 | 4,70 | |||
Elena Christmann | REC | REC | 1 111 | 3,53 | |||
Jamal Rouchdi[8] | ERS | DIV | 482 | 1,53 | |||
Nawal Hafed[9] | EAC | ECO | 397 | 1,26 | |||
Albéric Barret | E | DIV | 376 | 1,20 | |||
Jérémy Govi | SE | DVG | 310 | 0,99 | |||
Lionel Sauner[10] | PA | ECO | 270 | 0,86 | |||
Stéphanie Karmann[11] | UL (RPS)[a] | REG | 236 | 0,75 | |||
Yamina Grosjean | RES | DIV | 198 | 0,63 | |||
Frédéric Seigle-Murandi | Volt | DIV | 178 | 0,57 | |||
Louise Fève[12] | LO | DXG | 140 | 0,45 | |||
Elisa Blache | POID | DXG | 68 | 0,22 | |||
Sylvain Courcoux | SE | DIV | 30 | 0,10 | |||
Votes valides | 31 459 | 98,89 | 30 251 | 96,46 | |||
Votes blancs | 262 | 0,82 | 809 | 2,58 | |||
Votes nuls | 92 | 0,29 | 300 | 0,96 | |||
Total | 31 813 | 100 | 31 360 | 100 | |||
Abstention | 30 864 | 49,24 | 31 339 | 49,98 | |||
Inscrits / participation | 62 677 | 50,76 | 62 699 | 50,02 |
Élections de 2024
[modifier | modifier le code]Candidat | Parti et coalition | Nuances | Premier tour | Second tour | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Sandra Regol | LÉ (NFP) | UG | 20 631 | 47,60 | 23 414 | 58,81 | |
Étienne Loos | RE (ENS) | ENS | 10 513 | 24,26 | 16 399 | 41,19 | |
Hombeline Du Parc | RN | RN | 6 081 | 14,03 | |||
Irène Weiss | LR | LR | 2 787 | 6,43 | |||
Serge Oehler | DVG | 835 | 1,93 | ||||
Jamal Rouchdi | DIV | 472 | 1,09 | ||||
Luc Ménard | REC | REC | 436 | 1,01 | |||
Patrick Arbogast | EAC | ECO | 424 | 0,98 | |||
Odette Holtzer | UL (R&PS) | REG | 395 | 0,91 | |||
Albéric Barret | Équinoxe | ECO | 315 | 0.18 | |||
Louise Fève | LO | EXG | 146 | 0,34 | |||
Frédéric Seigle-Murandi | Volt | DVG | 107 | 0,25 | |||
Thomas Brant[13] | DNM | DIV | 77 | 0,18 | |||
Dan Benhamou | PT | EXG | 77 | 0,18 | |||
Thomas Schlund | DIV | 43 | 0,10 | ||||
0 | 0.00 | ||||||
Votes valides | 43 339 | 98,94 | |||||
Votes blancs | 321 | 0,73 | |||||
Votes nuls | 143 | 0,33 | |||||
Total | 43 803 | 100 | 100 | ||||
Abstention | 18 738 | 29,96 | |||||
Inscrits / participation | 62 541 | 70,04 |
Références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Soutenu par Alternative Alsacienne.
- Candidature retirée le 18 juin 2024 en faveur de Lutte ouvrière[14]
Références
[modifier | modifier le code]- « Tableau des circonscriptions électorales des départements (élection des députés) (Article Annexe tableau n° 1) », sur legifrance.gouv.fr, site du service public de la diffusion du droit en France (consulté le )
- « Le député Armand Jung démissionne, une élection dans les 3 mois », sur Dernières Nouvelles d'Alsace, (consulté le ).
- « Libération : couverture des résultats des législatives partielles de Strasbourg et Nice, affiche MaVoix, résultats 1re circo du Bas-Rhin », sur liberation.fr (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur, « Résultat 1re circonscription du Bas-Rhin »
- « Les candidats NUPES », sur Site officiel NUPES, (consulté le ).
- « Sandra Regol - 1ère circonscription du Bas-Rhin » (consulté le ).
- [1]
- « Législatives 2022. Circonscription de Strasbourg centre : Jamal Rouchdi contre « l’abandon des quartiers » », sur www.dna.fr (consulté le )
- « Léglislatives 2022. Circonscription de Strasbourg-Centre : Nawal Hafed appelle à une société nouvelle », sur www.dna.fr (consulté le )
- « Parti Animaliste - Liste des candidats » (consulté le )
- « Unser Land espère l’élection d’une députée autonomiste », sur lalsace.fr (consulté le )
- « Lutte Ouvrière - Candidats Legislatives 2022 », sur lalsace.fr (consulté le )
- 67 Bas-Rhin – 1ère circonscription, Thomas BRANT – Décidons Nous-Mêmes !
- « Communiqué de presse du NPA-Révolutionnaires : notre présence aux élections législatives », sur NPA Révolutionnaires (consulté le )