Quiry-le-Sec — Wikipédia
Quiry-le-Sec | |||||
Puits communal. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Montdidier | ||||
Intercommunalité | CC Avre Luce Noye | ||||
Maire Mandat | Roseline Demorsy 2020-2026 | ||||
Code postal | 80250 | ||||
Code commune | 80657 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 315 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 40′ 24″ nord, 2° 22′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 100 m Max. 157 m | ||||
Superficie | 6,88 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ailly-sur-Noye | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Somme Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.quirylesec.fr/ | ||||
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Quiry-le-Sec est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Esclainvillers | ||||
Folleville | N | Coullemelle | ||
O Quiry-le-Sec E | ||||
S | ||||
Rouvroy-les-Merles Oise | Rocquencourt Oise |
Description
[modifier | modifier le code]Par la route, Quiry se trouve à 11 km d'Ailly-sur-Noye, 15 km de Montdidier et 27 km d'Amiens.
La commune, située dans la Somme, est limitrophe du département de l'Oise.
En 2019, le village est desservi par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 41, Montdidier - Ailly-sur-Noye - Amiens)[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,2 | 1,1 | 2,6 | 3,9 | 7,2 | 10 | 12 | 12 | 9,5 | 7,3 | 4,2 | 1,8 | 6,1 |
Température moyenne (°C) | 3,9 | 4,4 | 7 | 9,5 | 12,9 | 16 | 18,2 | 18,2 | 15,1 | 11,5 | 7,2 | 4,4 | 10,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,6 | 7,7 | 11,5 | 15,2 | 18,6 | 21,9 | 24,5 | 24,5 | 20,6 | 15,6 | 10,3 | 7 | 15,3 |
Record de froid (°C) date du record | −18,6 07.01.09 | −12,9 07.02.12 | −11,5 13.03.13 | −6,6 07.04.21 | −3,2 03.05.21 | −2 05.06.1991 | 2,3 04.07.1990 | 2,1 08.08.1990 | −1,3 30.09.18 | −6,2 28.10.03 | −10,8 24.11.1998 | −17,2 18.12.10 | −18,6 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record | 15,2 27.01.03 | 20 24.02.1990 | 24,3 31.03.21 | 27,1 19.04.18 | 30,8 27.05.05 | 36,4 18.06.22 | 41,5 25.07.19 | 39,7 06.08.03 | 34,7 08.09.23 | 29,2 01.10.11 | 20,1 01.11.14 | 17 07.12.00 | 41,5 2019 |
Précipitations (mm) | 52,4 | 42,9 | 46,1 | 43,2 | 57,4 | 54,2 | 59,7 | 58,1 | 49,1 | 57,8 | 57,2 | 69,8 | 647,9 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Quiry-le-Sec est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,4 %), forêts (5,4 %), zones urbanisées (5,2 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Cuiry est la première mention, relevée dans le dénombrement de la terre de Nesle en 1230. Puis, Kieri de 1231 à 1331 dans le cartulaire noir de Corbie. Dans le cartulaire Nehémias de Corbie, l'orthographe de Quiery se rapproche de la forme actuelle, en 1238. Quiry-le-Sec figure dans les coutumes de Montdidier en 1567[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]- Première Guerre mondiale
Le village a subi des destructions pendant la Première Guerre mondiale[14].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1801 du canton d'Ailly-sur-Noye[15], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [16], et qui succédait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[17], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[18],[19]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[20] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [21] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [22], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2021, la commune comptait 315 habitants[Note 3], en évolution de −3,37 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]En 2011, la commune fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal réunissant 9 communes. Les classes de maternelle sont implantées à Quiry-le-Sec et Coullemelle ; les classes élémentaires à Grivesnes et Sourdon.
Pour l'année scolaire 2018-209, 52 élèves sont scolarisés à Quiry-le-Sec[31].
En 2024, seules les communes de Coulemelle, Grivesnes, Quiry-le-Sec et Sourdon possèdent une école. Le RPI accueille 120 élèves ; la cantine est rénovée dans la salle des fêtes de Coullemelle[32].
La communauté de communes gère la compétence pour les transports scolaires.
Les collégiens se rendent à Ailly-sur-Noye, Montdidier ou Moreuil et les lycéens à Montdidier ou Amiens.
Sports
[modifier | modifier le code]Le jeu de longue paume est une véritable institution dans le village. L'équipe locale a été championne de France. Elle a remporté jusqu'à 20 coupes en une année[33].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Quiry-le-Sec[34]. Datée du XVe siècle, elle possède une décoration caractéristique du gothique finissant[35].
- Elle contient des fonts baptismaux du XVe siècle[36]. Son autel en forme de tombeau et le tabernacle sont du XVIIIe siècle[37]. On peut également noter des lambris dans le chœur de style Louis XV et des bancs à balustres[38]. Des œuvres d'art sacré sont inscrites aux monuments historiques.
- Le terrain de longue paume, situé à l'entrée du village côté Coullemelle, a été conservé et entretenu.
- Jardin du château[39].
- Histoire locale.
- L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
- Façade de l'église.
- Détail du portail de l'église.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Charles Viollette (1823-1897), professeur et chimiste.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Quiry-le-Sec sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Quiry-le-Sec (80657) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Quiry-le-Sec » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Quiry-le-Sec et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Quiry-le-Sec ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du département de la Somme, Jacques Garnier, tome 2, p. 200, Archives départementales de la Somme, Amiens, Lire en ligne, sur le site des Archives, vue 103/267.
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
- Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2008-2014 : [xls] « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Thierry Griois, « Les vœux sans le maire du village, parti travailler en Belgique : Patrice Dalrue, maire de Quiry-le-Sec, village du sud de la Somme habite en Belgique depuis 2017 et revient, épisodiquement, gérer les affaires courantes. Il ira jusqu'au bout de son mandat », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Ses colistiers de 2014 s'attendaient donc à ce qu'il démissionne mais il n'en a rien été… La loi le, lui, permet, en effet (lire ci-contre). « Le maire ne revient organiser un conseil municipal qu'une fois par trimestre, comme la loi le lui oblige, et Roselyne Demorsy, la première adjointe, suit les affaires courantes tandis que je m'occupe des dossiers à traiter en conseil », détaille Patrick Lambert, le deuxième adjoint ».
- « Compte-rendu du conseil municipal du 23 mai 2020 » [PDF], Comptes rendus, Mairie de Quivry (consulté le ).
- « Quiry-le-Sec 80250 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale », sur gouv.fr (consulté le ).
- « La cantine complètement rénovée », Courrier picard, , p. 12.
- Panneau d'informations locales.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Quiry-le-Sec, canton d'Ailly-sur-Noye, d'après nature, 1867 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Patrimoine », sur quirylesec.fr (consulté le ).
- « Les fonts baptismaux », notice no PM80001100, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'autel majeur et le tabernacle sculpté représentant les Pèlerins d'Emmaüs », notice no PM80002292, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Lambris du chœur époque Louis XV et bancs à balustre », notice no PM80002295, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Jardin d'agrément du château de Quiry », notice no IA80000656, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.