Sauvillers-Mongival — Wikipédia
Sauvillers-Mongival | |||||
Monument aux morts. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Montdidier | ||||
Intercommunalité | CC Avre Luce Noye | ||||
Maire Mandat | Vincent Wable 2020-2026 | ||||
Code postal | 80110 | ||||
Code commune | 80729 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sauvillois | ||||
Population municipale | 183 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 43′ 32″ nord, 2° 28′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 49 m Max. 111 m | ||||
Superficie | 5,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ailly-sur-Noye | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Somme Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.mairie-sauvillers-mongival.fr/ | ||||
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Sauvillers-Mongival est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le village de Sauvillers-Mongival est situé sur la route départementale D 83 entre Ailly-sur-Noye, Moreuil et Montdidier.
Il est traversé par le chemin de grande randonnée GR 123.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Aubvillers, Braches, Grivesnes, Mailly-Raineval et Thory.
Mailly-Raineval | Braches | |||
Thory | N | |||
O Sauvillers-Mongival E | ||||
S | ||||
Grivesnes | Aubvillers |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 694 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Sauvillers-Mongival est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76 %), forêts (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %)[10]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 77, alors qu'il était de 78 en 2013 et de 77 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 86,9 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 11,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,3 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sauvillers-Mongival en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,2 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,4 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Sauvillers-Mongival[I 2] | Somme[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 86,9 | 83,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,2 | 8,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,9 | 8,4 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le village est desservi un des routes secondaires, mais est aisément accessible depuis les anciennes routes nationales RN 320 et RN 35 (France) (actuelles RD 920 et 935).
Il comprend six rues :
- la rue Raoul-Barbier ;
- la rue du 87e régiment d'infanterie ;
- la rue de Moreuil ;
- la rue d'Aubvillers ;
- la rue de Mailly-Raineval ;
- la rue de Braches.
La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Moreuil, desservie par des trains TER Hauts-de-France, express ou omnibus, qui effectuent des missions entre les gares d'Amiens et de Compiègne.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Sorviller (1146) ; Souviller (1185) ; Solviler (1208) ; Souvillez (1377) ; Sauvillers (1710) ; Souviler (1243) ; Sauviller (1728) ; Sauville (1761) ; Sauviller-Mongival (1744) ; Sauvillers-Mongival (1801)[11].
Mongival était jadis un hameau, un ancien fief annexé à la paroisse de Sauviller, attesté sous la forme Mongival en 1733, avec la mention « ruinée » (G. Delisle)[12]. Son nom vient du lieu ruiné par les Espagnols durant le siège de Corbie en 1636.
En 1178, la cité portait le nom de Serpenti viler[11].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen-Âge
[modifier | modifier le code]Le village est devenu une cité à partir du XIIe siècle[réf. nécessaire]. La seigneurie fut achetée en 1393 par le sire de Raineval et suivit alors le sort de la châtellenie[11].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]- Première Guerre mondiale
Le village se trouve à l'arrière, lors de la bataille de la Somme de 1916[13],[14], et dans la zone des combats de l'offensive du printemps 1918 puis de la bataille d'Amiens[15],[16],[17].
À la fin de la Première Guerre mondiale, le village est considéré comme détruit[18],[19],[20],[21],[22], seules trois maisons demeurèrent debout.
En , le village est libéré par les forces françaises du 87e régiment d'infanterie[23]. Il est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [24].
Le bois, les céréales, la betterave, le fourrage ainsi que la chasse ont fait naguère vivre les Sauvillois. En 1938, on dénombrait onze fermes et deux cafés[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1801 du canton d'Ailly-sur-Noye[25], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [26], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[27], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[28],[29]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[30] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [31] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [32], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Les enfants de la commune sont scolarisés depuis 2018 au sein d'un regroupement pédagogique concentré (RPC) bipolaire, qui accueille les enfants de Mailly-Raineval, Sauvillers-Mongival, Aubvillers, Thory, Louvrechy et Rouvrel dans deux sites, à Louvrechy pour la moitié des élèves, soit une soixantaine de la petite section de maternelle au CP, les autres étant scolarisés à Rouvrel.
La construction des nouveaux locaux a lieu en 2017-2018 et l'ancienne école, qui ne comptait qu'une classe, est transformée pour servir de cantine et de cuisine[38],[39],[40]. Ce RPC a succédé à un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) afin de prendre en compte la croissance des effectifs.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].
En 2021, la commune comptait 183 habitants[Note 3], en évolution de +3,39 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festives
[modifier | modifier le code]La fête communale a lieu le second dimanche de juin[réf. nécessaire].
Économie
[modifier | modifier le code]Sauvillers-Mongival est un village rural à vocation essentiellement agricole. Une coopérative agricole existe toujours.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Martin, dont la statue en bois créée en 1752 se trouve à l'intérieur de l'édifice religieux, datait du XIXe siècle[44]. Elle fut démolie pendant la Première Guerre mondiale et reconstruite en 1918. Elle contient une statue d'un saint évêque en bois peint de 1752[45]
En , le village a été libéré par les forces françaises du 87e régiment d'infanterie. Depuis 1959, une plaque commémorative a été apposée sur un des murs du clocher afin de rappeler le sacrifice des soldats du 87e régiment d'infanterie qui ont libéré le village à la fin de la Première Guerre mondiale.
D'autres monuments ont été édifiés en souvenir de ceux qui sont tombés au cours de la Première Guerre mondiale. C'est ainsi que le monument aux morts, édifié à la suite de la décision du conseil municipal du par le sculpteur Marius Giot[46], comporte les noms de quatorze militaires sauvillois et d'une victime civile Il est orné d'une statue allégorique d'un mitrailleur, également de Marius Giot[47].
Entre Sauvillers-Mongival et Mailly-Raineval, une stèle a été édifiée en souvenir de trois militaires français morts pour la France. Il s'agit du sous-lieutenant Jean de Séganville, du sergent René Antoine et de Léon Hochet. Tous trois faisaient partie du 29e bataillon de chasseurs à pied.
Le cimetière civil abrite cinq sépultures dédiées à des soldats anglais abattus avec leur bombardier Lancaster le à proximité de Sauvillers-Mongival[48].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Sauvillers-Mongival (80729) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Sauvillers-Mongival » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Sauvillers-Mongival ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sauvillers-Mongival - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sauvillers-Mongival - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Somme - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sauvillers-Mongival et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 306 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 67 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
- Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Revue du 219e régiment d'infanterie après ses combats devant Deniécourt. Le lieutenant-colonel Le Gallois félicitant ses officiers », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Revue du 219e régiment d'infanterie après ses combats devant Deniécourt ; au premier plan lieutenant-colonel Le Gallois », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival (près). Avion allemand abattu dans nos lignes ; dans les débris, cadavres des deux aviateurs », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Dans les ruines ; poste de commandement et poste de secours du 87e régiment d'infanterie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : La Faloise. Un coin du village. Partie du butin conquis pendant les attaques sur Mailly-Raineval, Sauvillers, Mongival et Aubvillers », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village, le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village, le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Sauvillers-Mongival. Les ruines après la reprise du village, le 23 juillet », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- « Gilles Peltiez candidatà un nouveau mandat de maire à Sauvillers-Mongival », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Gilles Peltiez a annoncé qu'il se représentait aux élections du printemps prochain. « Après deux mandats de maire, je me représente à nouveau, avec une partie de l'équipe actuelle et des nouveaux qui nous rejoignent. Le moment n'est pas venu de faire campagne, ni de faire des promesses, nous verrons cela en temps voulu ».
- Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
- Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- « Les maires de Sauvillers-Mongival », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Avis de décès de Christiane DEPENTIS DECAUX », sur avis-de-deces.net, (consulté le ).
- [xls] « Liste des maires de la Somme »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Louvrechy (80) Ici, on vote contre la création d'une classe : Face au nombre d'enfants toujours en hausse dans le regroupement pédagogique, la commune a été choisie pour créer une classe en plus. Mais six conseillers ont voté contre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Thierry Griois, « Le regroupement scolaire lancé : Le premier coup de pioche a été donné lundi à Louvrechy, qui accueillera maternelles et CP. À Rouvrel, où étudieront les écoliers du CE1 au CM2, ce sera le mois prochain », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Que deviendra l'ancienne école du village ? », Le Bonhomme picard, édition de Montdidier Roye, no 3533, , p. 16 « À également été rappelé le regroupement scolaire avec Louvrechy et Rouvrel qui a beaucoup occupé le conseil municipal à la veille de la rentrée. Il va maintenant falloir réfléchir au devenir du bâtiment de l'ancienne école, maintenant vide ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Sauvillers-Mongival, d'après nature, 13 juin 1876. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Statue d'un saint évêque », notice no PM80002307, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA80000025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue : le mitrailleur », notice no IM80000064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- (en) « Commonwealth War Graves Sauvillers-Mongival », sur tracesofwar.com (consulté le ).