Réseau routier de la Haute-Garonne — Wikipédia

Réseau routier de la Haute-Garonne
Carte du réseau routier national (autoroutes et routes nationales) dans le département de la Haute-Garonne
Carte du réseau routier national (autoroutes et routes nationales) dans le département de la Haute-Garonne
Géographie
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Superficie 6 309 km2
Population 1 434 367 hab. (2021)
Caractéristiques générales
Longueur totale 16 019 km (2017) [1]
Densité de réseau 2.5 km/km2
Densité de réseau 2 11 km/1 000 hab.
Consistance
Autoroutes 260 km (2017)
Routes nationales 73 km (2017)
Routes départementales 6 138 km (2017)
Voies communales 9 548 km (2017)
Accidentalité routière
Nombre d'accidents 996 (2017) [2] ,[a]
dont mortels 51 (2017)
Tués 53 (2017)
-20 % (2017/2010)
(France : - 14 %)
Blessés hospitalisés 399 (2017)
Blessés légers 819 (2017)

Cet article présente l'histoire, les caractéristiques et les événements significatifs ayant marqué le réseau routier du département de la Haute-Garonne en France.

Au , la longueur totale du réseau routier du département de la Haute-Garonne est de 16 019 kilomètres, se répartissant en 260 kilomètres d'autoroutes, 73 kilomètres de routes nationales, 6 138 kilomètres de routes départementales et 9 548 kilomètres de voies communales.

Avec 6138 kilomètres de routes départementales dont 500 se trouvent en montagne, le réseau est en 2018 le quatrième le plus long du pays[3].

Carte Levasseur du département de la Haute_Garonne (1847)

XVIIIe siècle

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De 1750 à 1784, l’ensemble du réseau routier est pour la première fois cartographié à grande échelle (au 86400e) et de manière complète par Cassini de Thury[4], à la demande de Louis XV. Ces cartes sont d’une grande richesse toponymique, mais d’une grande pauvreté quant à la figuration du relief et de l’altimétrie. De même, les chemins secondaires sont rarement représentés, du fait d’une part de leur état médiocre, d’autre part de leur faible importance économique.

XIXe siècle

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L’Atlas national illustré réalisé par Victor Levasseur[5] est un précieux témoignage du XIXe siècle, les cartes coloriées à la main sont entourées de gravures indiquant statistiques, notes historiques et illustrations caractéristiques des départements. Sur ces cartes sont représentées les routes, voies ferrées et voies d'eau. Par ailleurs, les départements sont divisés en arrondissements, cantons et communes.

XXe siècle

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Réforme de 1930

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Devant l'état très dégradé du réseau routier au lendemain de la Première Guerre mondiale et l'explosion de l'industrie automobile, l'État, constatant l'incapacité des collectivités territoriales à remettre en état le réseau routier pour répondre aux attentes des usagers, décide d'en prendre en charge une partie. L'article 146 de la loi de finances du prévoit ainsi le classement d'une longueur de l'ordre de 40 000 kilomètres de routes départementales dans le domaine public routier national[6].

En ce qui concerne le département de la Haute-Garonne, ce classement devient effectif à la suite du décret du [7].

Réforme de 1972

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En 1972, un mouvement inverse est décidé par l'État. La loi de finances du prévoit le transfert dans la voirie départementale de près de 53 000 kilomètres de routes nationales[8]. Le but poursuivi est[9] :

  • d'obtenir une meilleure responsabilité entre l'État et les collectivités locales en fonction de l'intérêt économique des différents réseaux,
  • de permettre à l'État de concentrer ses efforts sur les principales liaisons d'intérêt national,
  • d'accroître les responsabilités des assemblées départementales dans le sens de la décentralisation souhaitée par le gouvernement,
  • d'assurer une meilleure gestion et une meilleure programmation de l'ensemble des voies.

Le transfert s'est opéré par vagues et par l'intermédiaire de plusieurs décrets publiés au Journal officiel. Après concertation, la très grande majorité des départements a accepté le transfert qui s'est opéré dès 1972. En ce qui concerne le département de la Haute-Garonne, le transfert est acté avec un arrêté interministériel publié au journal officiel le [10].

XXIe siècle

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Réforme de 2005

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Une nouvelle vague de transferts de routes nationales vers les départements intervient avec la loi du relative aux libertés et responsabilités locales, un des actes législatifs entrant dans le cadre des actes II de la décentralisation où un grand nombre de compétences de l'État ont été transférées aux collectivités locales. Dans le domaine des transports, certaines parties des routes nationales sont transférées aux départements et, pour une infime partie, aux communes (les routes n'assurant des liaisons d'intérêt départemental)[11].

Le décret en Conseil d’État définissant le domaine routier national[12] prévoit ainsi que l’État conserve la propriété de 8 000 kilomètres d’autoroutes concédées et de 11 800 kilomètres de routes nationales et autoroutes non concédées et qu'il cède aux départements un réseau de 18 000 kilomètres[13].

Dans le département de la Haute-Garonne, le transfert est décidé par arrêté préfectoral signé le [14]. 224 kilomètres de routes nationales sont déclassées. La longueur du réseau routier national dans le département passe ainsi de 283 kilomètres en 2004 à 72 en 2006 pendant que celle du réseau départemental s'accroît de 6 433 à 6 658 kilomètres.

Déclassement de 2017

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En 2017, 500 kilomètres de routes départementales sont déclassées et deviennent routes métropolitaines[15].

Caractéristiques

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Consistance du réseau

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Le réseau routier comprend cinq catégories de voies : les autoroutes et routes nationales appartenant au domaine public routier national et gérées par l'État[16], les routes départementales appartenant au domaine public routier départemental et gérées par le Conseil général de la Haute-Garonne[17] et les voies communales[18] et chemins ruraux[19] appartenant respectivement aux domaines public et privé des communes et gérées par les municipalités. Le linéaire de routes par catégories peut évoluer avec la création de routes nouvelles ou par transferts de domanialité entre catégories par classement ou déclassement, lorsque les fonctionnalités de la route ne correspondent plus à celle attendues d'une route de la catégorie dans laquelle elle est classée. Ces transferts peuvent aussi résulter d'une démarche globale de transfert de compétences d'une collectivité vers une autre.

Au , la longueur totale du réseau routier du département de la Haute-Garonne est de 15 869 kilomètres, se répartissant en 260 kilomètres d'autoroutes, 73 kilomètres de routes nationales, 6 631 kilomètres de routes départementales et 8 905 kilomètres de voies communales. Il occupe ainsi le 15e rang au niveau national sur les 96 départements métropolitains quant à sa longueur et le 15e quant à sa densité avec 2,5 kilomètres par km2 de territoire[20].

Trois grandes réformes ont contribué à faire évoluer notablement cette répartition : 1930, 1972 et 2005.

L'évolution du réseau routier entre 2002 et 2017 est présentée dans le tableau ci-après.

Évolution du réseau routier entre 2002 et 2017[1]
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
Autoroutes 256 256 262 261 262 263 261 261 261 260 260 260 260 260 260 260
Routes nationales 282 282 283 72 72 63 59 74 74 73 73 73 73 73 73 73
Routes départementales 6 392 6 377 6 433 6 428 6 658 6 663 6 646 6 646 6 646 6 631 6 631 6 610 6 610 6 610 6 606 6 138
Voies communales 8 031 8 147 8 177 8 326 8 462 8 632 8 632 8 872 8 905 8 905 9 067 9 179 9 179 9 280 9 447 9 548
TOTAL 14 961 15 062 15 155 15 087 15 454 15 621 15 598 15 853 15 886 15 869 16 031 16 122 16 122 16 223 16 386 16 019
  • A61, du périphérique Est de Toulouse (fin de la A62 et échangeur avec la A68), au département de l'Aude, sur 46 km.
  • A62, du périphérique Est de Toulouse (fin de la A61 et échangeur avec la A68), au département de Tarn-et-Garonne, sur 30 km.
  • A64, du périphérique Ouest de Toulouse, au département des Hautes-Pyrénées, sur 99 km.
  • A66, de la A61 au niveau de Montesquieu-Lauragais, au département de l'Ariège, sur 26 km.
  • A68, du périphérique Est de Toulouse (jonction des A61 et A62), au département du Tarn, sur 46 km.

Autres voies rapides

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Périphérique de Toulouse :

  • A620, le périphérique Ouest de Toulouse, qui se raccorde au Nord à la A62 et au Sud à la A61, et est long de 19 km.
  • A621, du périphérique Ouest (A620) à l'aéroport de Blagnac, sur 3,5 km. Constitue une partie du Fil d'Ariane.
  • A623, du périphérique Ouest (A620) à la ex-RN113 au niveau de Ramonville-St-Agne, sur 1,5 km.
  • A624, du périphérique Ouest (A620) à la RN124 au niveau de Colomiers, sur 6,5 km.
  • D901, tronçon d'un kilomètre et demi entre la A624 et la A621, constitue l'autre partie du fil d'Ariane en direction de l'aéroport.
  • D980, dite rocade Arc-en-Ciel, du nom du logo du conseil général qui l'a financée. Cette seconde rocade au Sud-Ouest de Toulouse relie la A624 à la A64, sur une longueur de 8 km, dont seuls les 5 premiers sont aménagés en voie rapide. Le tronçon manquant nommé Boulevard Eisenhower ne sera finalement pas aménagé en voie rapide[21]. En 2017, avec le passage en responsabilité de Toulouse Métropole, ces cinq kilomètres de voie rapide voient la vitesse maximale harmonisée avec le reste du périphérique toulousain, à 90 km/h, afin de réduire la pollution aux particules fines, et l'accidentologie pour seulement 37 secondes de temps de parcours supplémentaire[22].

Autres :

Routes nationales

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Depuis la réorganisation du réseau routier national en 2006, les routes nationales se limitent à la portion nécessaire :

  • N124, route à chaussées séparées de type voie express ou autoroute, de Colomiers (fin de la A624), au département du Gers, sur 10 km.
  • N125, route bidirectionnelle, de l' A645 (Seilhan) à l'Espagne (Pont du Roi), sur 31 km, le réseau national étant créé avec une portion de départementale 33 devant être reclassée dans le domaine public routier national[23].
  • N224, route bidirectionnelle, de la D902 au niveau de Beauzelle, au département du Gers. Ce tronçon de l'Itinéraire à Grand Gabarit, destiné au transport des pièces de l'Airbus A380, mesure 21 km.

Routes départementales

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En 2020, la Haute-Garonne, compte 6 148 kilomètres de routes départementales bidirectionnelles; les deux tiers de ce réseau sont constitués de routes assez peu fréquentées, relativement étroites, dont les caractéristiques techniques et les multiples accès, agricoles, ou domestiques, les arrêts de transport scolaire ne sont pas compatibles avec une limitation de vitesse de 90 km/h[25]. 1 600 km du réseau structurant et de maillage sont des routes plus larges et plus fréquentées avec 373 kilomètres de sections de plus de 5 kilomètres. Ces sections ne peuvent pas être limitées à 90 km/h en raison de transports en commun, de carrefours non aménagés ou d'accès riverains, ou de glissières de sécurité "non compatibles" [25].

Anciennes Nationales

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Ces routes nationales ont été déclassées vu leur nature secondaire dans le réseau moderne.

Autres Départementales principales

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Numéro Type De Dessert A Longueur
D2 Bidirectionnelle D622 à Vaux Labastide-Beauvoir, Saint-Orens-de-Gameville, Toulouse, Blagnac, Grenade D26 à Aucamville (Tarn-et-Garonne) 64 km
D4 Bidirectionnelle D13 à Orgueil (Tarn-et-Garonne) Fronton, Bruguières, Toulouse, Lacroix-Falgarde, Saint-Sulpice-sur-Lèze D919 à Lézat-sur-Lèze (Ariège) 70 km
D5 Bidirectionnelle D618 à Sengouagnet Aspet, Miramont de Comminges, Saint-Gaudens, Boulogne sur Gesse (par D635) D635 à Montgaillard-sur-Save 42 km
D8 Bidirectionnelle D10 à Saint-Julien-sur-Garonne Le Fousseret, Aurignac, Saint-Gaudens A645/N125/D8ᴴ à Seilhan 63 km
D9 Bidirectionnelle D618 à Antichan-de-Frontignes Valentine, Saint-Gaudens, Blajan (par D633), Boulogne sur Gesse D128 à Mont-d'Astarac (Gers) 42 km
D14 Bidirectionnelle D4 à Saint-Alban Gratentour, Cépet, Villemur-sur-Tarn D999 à Le Born 35 km
D17 Bidirectionnelle D49 à Grisolles (Tarn-et-Garonne) Grenade, N224, Gers (D9), L'Isle-en-Dodon, Blajan D24 à Uglas (Hautes-Pyrénées) 25+47 km
D20 Bidirectionnelle D29 à Ondes Saint-Jory, Gragnague, Verfeil RN126 à Teulat (Tarn) 40+1 km
D33 Bidirectionnelle N125 à Valcabrère Rive droite de la Garonne N125 à Chaum 14 km
D45 Bidirectionnelle D29 à Castelnau-d'Estrétefonds Les alentours de Villeneuve-lès-Bouloc, Cépet, Gargas, Bazus D32 à Gragnague 21 km
D125 Bidirectionnelle N125 à Chaum Bagnères-de-Luchon Hospice de France (Bagnères-de-Luchon) 29 km
D902 ou
(Voie Lactée)
Autoroutière A621 (Fil d'Ariane) à Blagnac AéroConstellation D2 à Beauzelle 5,5 km

Routes de montagnes

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La Haute-Garonne dispose du quatrième réseau routier départemental national, constitué de 6 700 km de routes départementales dont 500 kilomètres de montagne[26].

Réalisations ou événements récents

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Cette section a pour objet de recenser les événements marquants concernant le domaine de la Route dans le département de la Haute-Garonne depuis 1990. Seront ainsi citées les déclarations d’utilité publique, les débuts de travaux et les mises en service. Seuls les ouvrages les plus importants soit par leur coût soit par leur impact (déviation de bourgs) seront pris en compte. De même il est souhaitable de ne pas recenser les projets qui n’ont pas encore fait l’objet d’une déclaration d’utilité publique.

Le tunnel de Saint-Béat, situé en Haute-Garonne a été creusé à l'occasion des travaux de déviation entre Saint-Béat et Arlos[27]. Le tunnel a une longueur de 1000 mètres (1011 creusé, 1100 couverte[28]); le pont d’Arlos est un ouvrage d'une longueur de 270 mètres ; ces travaux sont financés par l’Etat, le Conseil régional Midi-Pyrénées et le Conseil général de la Haute-Garonne[29].

Une fois le tunnel est achevé, il sera possible de le connecter à des routes en deux fois deux-voies pour le relier à la RN 125 de manière à fournir un itinéraire aux voitures et poids-lourds qui servira de déviation des villages de Saint-Béat et d'Arlos[27].

Ces travaux s'inscrivent dans l'axe Toulouse-Saragosse-Madrid par le Val d'Aran[30].

Sécurité et accidents

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L'accidentalité moyenne en Haute-Garonne est issue d'une composition composite:

  • la mortalité en métropole est comme dans les autres métropoles françaises relativement plus faible;
  • la mortalité hors métropole est plus élevée, à la manière des départements avoisinants.
Tués sur le réseau routier
Zone Année Population Tués Tués/population
Haute-Garonne 2012-2016 1,3 million 51 37
Métropole de Toulouse 2012-2016 760 127 12 17
Hors métropole toulousaine 2016 588 000 49 66
Haute-Garonne 2017 53[31]
Haute-Garonne 2018 53[31]
Haute-Garonne (provisoire) 2019 63[32]
Métropole de Toulouse 2015-2019 794 293 6 à 18 16 (dont 36% de 2RM)[33]
Haute-Garonne 2020 53[33]. 39
Routes départementales, hors métropole toulousaine 2020 23 [33]
Hors routes départementales, hors métropole toulousaine 2020 12 [33]

Type d'usagers accidentés

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Source gouvernementale[34].

Type d'usagers tués

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Source gouvernementale pour 2012 et 2014[34].
Source départementale pour 2019[35]

Usagers motorisés tués

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Source gouvernementale pour 2012 et 2014[34].
Source départementale pour 2019[35]

Sur 18 motards tués, 16 concernent une moto de plus de 125 cm3 et 2 concernent un scooter entre 50 et 125 cm3. Parmi les causes d'accidents, la vitesse excessive intervient dans 7 accidents; 6 motards se sont tués seuls; 3 accidents sont liés à une manœuvre dangereuse effectuée par le motard; 3 sont liées à l’absorption d'alcool par le motard; un motard n'avait pas attaché son casque[34].

Usagers vulnérables tués

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Source gouvernementale pour 2012 et 2014[34].
Source départementale pour 2019[35]

L'année 2018 se solde par le décès de 14 piétons et 8 cyclistes (soit 22 sur 12 mois, presque 2 par mois), l'année 2019 s'achève avec un bilan de 10 piétons et 5 cyclistes tués (environ 1,25 tués par mois).

Dans les deux derniers mois de 2019, il est recensé au moins trois accidents mortels de piétons (Cazères[36], Villefrance-de-Lauragais[37] ou Auterive[38]).

A la date du , il est décompté au moins quatre décès de personnes vulnérables sur le réseau.

Usagers blessés

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Source gouvernementale[34].

Liens internes

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Notes et références

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  1. Les statistiques d'accidents recensent les accidents s'étant produits sur les réseaux publics (autoroutes, routes nationales, routes départementales et voies communales) mais aussi hors réseau public, sur les parkings publics et sur les autres voies.
  1. a et b Ministère de la transition écologique et solidaire, « Mémento des transports urbains et routiers 2017 », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  2. Ministère de la transition écologique et solidaire, « Les accidents corporels de la circulation 2017 - Recueil de données brutes », sur securite-routiere.gouv.fr (consulté le ).
  3. Anthony Assemat, « Baisse de la vitesse à 80 km/h. À Toulouse, nos routes secondaires sont-elles en bon état ? », sur Actu.fr, (consulté le ).
  4. Pour la zone de Toulouse et pour la zone de Saint-Gaudens sur Gallica
  5. Carte Levasseur du département de la Haute-Garonne sur Wikimedia Commons
  6. Jacques Borredon, Code de la voirie routière et textes annexes : explicitations et commentaires, Editions du Papyrus, , 645 p. (lire en ligne), p. 22-23-87
  7. Fac-simile du décret signé par le Président de la République Gaston Doumergue, publié au Journal officiel en date du , classant une partie du réseau routier national dans le domaine public routier départemental, sur le site de Wikisara
  8. « Projet de loi relatif aux libertés et aux responsabilités locales - Chapitre 1 - la voirie », sur le site du Sénat (consulté le ).
  9. Rapport sur le transfert du réseau de la voirie nationale secondaire dans la voirie départementale, Conseil général du Loiret, séance du 6 décembre 1972
  10. Fac-simile de l'arrêté interministériel publié au Journal officiel en date du , déclassant une partie du réseau routier national dans le domaine public routier départemental, sur le site de Wikisara
  11. « La décentralisation : acte II », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  12. Décret no 2005-1499 du 5 décembre 2005 relatif à la consistance du réseau routier national
  13. « Rapport d'information sur la mise en application de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales. », sur le site de l'Assemblée nationale, (consulté le ) p. 42
  14. Fac-simile de l'arrêté préfectoral signé le , déclassant une partie du réseau routier national dans le domaine public routier départemental, sur le site du Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire
  15. Cy.B., « À quoi servent ces nouveaux panneaux routiers bleus marqués de la lettre M ? », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. Art. 123-1 du Code de la voirie routière
  17. Art. 131-1 du Code de la voirie routière
  18. Art. 141-1 du Code de la voirie routière
  19. Art. 161-1 du Code de la voirie routière
  20. « Mémento de statistiques des transports, Chapitre 3 : Transports urbains et routiers, 1re partie : 3.3 Réseaux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire / Économie et statistiques. (consulté le ).
  21. « Toulouse. Un projet pour prolonger la rocade Arc-en-Ciel mais pas par l'endroit qui était attendu », sur actu.fr (consulté le ).
  22. Aubin Laratte, « Fini le 110 km/h, la vitesse définitivement abaissée sur la rocade Arc-en-Ciel, à Toulouse », sur Actu.fr, (consulté le ).
  23. a et b https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000419947
  24. ttps://www.ladepeche.fr/2023/04/22/carte-autoroute-a69-voici-le-trace-de-la-future-liaison-entre-castres-et-toulouse-11147670.php
  25. a et b Sébastien Marti, « Toulouse. Routes à 90 km/h : en Haute-Garonne, l’impossible retour », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Réseau routier www.haute-garonne.fr/fr/nos-missions/deplacements/reseau-routier.html
  27. a et b « Visites exceptionnelles du tunnel de Saint-Béat, ce samedi », sur France 3 Occitanie (consulté le ).
  28. « Fin du creusement du tunnel de Saint-Béat (31) », sur Centre d'Études des Tunnels (consulté le ).
  29. « Saint Béat. début de creusement du tunnel début 2013 », sur Toulouse7.com, (consulté le ).
  30. « vinci-construction.com/es/news… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  31. a et b « Baromètres mensuels de l'accidentalité en Haute-Garonne en 2017 / Etat mensuel de l'accidentologie / Accidentologie en Haute-Garonne / Sécurité routière / Transport, déplacements et sécurité routière et fluviale / Politiques publiques / Accueil - Les services de l'État en Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Baromètres mensuels de l'accidentologie routière en Haute-Garonne, en 2019. / Etat mensuel de l'accidentologie / Accidentologie en Haute-Garonne / Sécurité routière / Transport, déplacements et sécurité routière et fluviale / Politiques publiques / Accueil - Les services de l'État en Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ).
  33. a b c et d La sécurité routière en France - bilan de l’année 2020 - ONISR 2021
  34. a b c d e et f http://www.haute-garonne.gouv.fr/content/download/14444/100054/file/Bilan%20S%C3%A9curit%C3%A9%20Routi%C3%A8re%202014.pdf
  35. a b et c http://www.haute-garonne.gouv.fr/content/download/32573/215336/file/Barom%C3%A8tre%20de%20l'accidentalit%C3%A9%20routi%C3%A8re%20en%20Haute-Garonne%20-%20D%C3%A9cembre%202019.pdf
  36. « Une femme ».
  37. « Un homme ».
  38. « Auterive ».