Saint-Lary-Soulan — Wikipédia
Saint-Lary-Soulan | |||||
Le bourg de Saint-Lary-Soulan dans la vallée d'Aure. | |||||
Blason | Logo | ||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Bagnères-de-Bigorre | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Aure Louron | ||||
Maire Mandat | André Mir 2020-2026 | ||||
Code postal | 65170 | ||||
Code commune | 65388 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Laryens ou Saint-Hilariens | ||||
Population municipale | 839 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 9,2 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 48′ 58″ nord, 0° 19′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 791 m Max. 3 087 m | ||||
Superficie | 90,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Neste, Aure et Louron | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative) | |||||
Liens | |||||
Site web | mairie-saint-lary.fr | ||||
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Saint-Lary-Soulan est une commune française située dans le sud-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Neste, la Neste de Rioumajou, le ruisseau Saint-Jacques et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (« Rioumajou et Moudang » et le « Néouvielle »), un espace protégé (la réserve naturelle nationale du Néouvielle) et onze zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Lary-Soulan est une commune rurale qui compte 839 habitants en 2021. Ses habitants sont appelés les Saint-Laryens ou Saint-Laryennes ou Saint-Hilariens.
Saint-Lary-Soulan a accueilli le tour de France 2024
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Lary-Soulan se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Aragon)[I 1].
En fusionnant avec l'ancienne commune de Saint-Lary, l'ancienne commune de Soulan forme une exclave de la commune actuelle, fondée le . Ainsi le territoire de Saint-Lary-Soulan est formé de deux parties exclavées, séparées d'environ un kilomètre par les communes de Vignec (au nord de la séparation) et Cadeilhan-Trachère (au sud) : à l’ouest de cette séparation et en altitude, l’ancienne commune très rurale de Soulan, où est situé le domaine skiable de la commune ; à l’est et dans la vallée, l'ancienne commune de Saint-Lary où est situé le plus gros village avec ses installations thermales.
Elle se situe à 50 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 31 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 32 km de Capvern[3], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arreau[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Cadeilhan-Trachère (0,7 km), Sailhan (1,0 km), Vignec (1,1 km), Vielle-Aure (1,6 km), Ens (1,8 km), Estensan (1,8 km), Bourisp (1,9 km), Azet (2,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Lary-Soulan fait partie du pays de la vallée d'Aure ou pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau)[5].
- La partie nord-ouest (exclave de Soulan) est limitrophe de six autres communes, dont Vignec et Vielle-Aure en deux endroits chacune :
- La partie sud-est (l'exclave de Saint-Lary) est limitrophe de l'Espagne (Aragon) et de huit autres communes françaises :
Paysages et relief
[modifier | modifier le code]- Le pic de Hèche Castet, au sud du lac d'Aubert.
- Une rue du centre bourg la nuit.
Soulan
[modifier | modifier le code]L'exclave de Soulan s’étend sur une quinzaine de kilomètres d'est en ouest, de part et d'autre du lac de l'Oule, jusqu'à la crête d'Espade. Le lac de l’Oule (qui divise l'exclave de Soulan en deux parties est et ouest bien différentes, l'une dédiée aux sports d'hiver et l'autre à une réserve naturelle), le rivage nord-est du lac d'Orédon, les Laquettes et le rivage sud-ouest du lac d'Aubert font partie du territoire de Soulan.
Cette exclave de Soulan possède par ailleurs une petite excroissance au sud-est (du lieu-dit la Cabane, au Pla d’Adet qui est à l'arrivée des deux téléphériques montant de Saint-Lary et donnant accès au domaine skiable et aux remontées mécaniques) qui coupe Vignec en deux parties exclavées : ces deux parties de Vignec, au nord (le village) et au sud (du lieu-dit de Soum de Matte à l'ancien hameau d’Adet, qui aujourd'hui jouxte la station du Pla d’Adet et de la Cabane à Soulan), résultent également de la fusion des deux anciennes communes au .
Une route montant du village de Saint-Lary à la station du Pla d’Adet (altitude 1 680 m), via les villages de Vignec ou de Vielle-Aure, puis celui de Soulan et son lieu-dit la Cabane, donne également accès (en plus des téléphériques) à plusieurs télécabines et téléskis qui montent jusqu'à 2 350 m sur le domaine skiable commun de Vignec (Soum de Matte), Soulan (lieux-dits du Pla d’Adet, Espiaube et l’Oule) et Vielle-Aure (au sud du pic du Pichaley et des lacs de Bastan et à l'est du refuge de Bastan-Néouvielle). Le Pla d’Adet à Soulan est également un point de départ pour la pratique ou l’initiation au parapente, les zones d'atterrissage se situant dans la vallée autour de Saint-Lary, en évitant toutefois la zone des câbles des téléphériques.
Ce domaine skiable accessible depuis le Pla d’Adet s'étend de la face nord du Pène Male (qui culmine à 2 582 m à la frontière entre Soulan et la commune d'Aragnouet) à la face sud du pic du Pichaley (qui culmine à 2 626 m sur la frontière entre les communes de Vielle-Aure et Aulon) ; il surplombe l’est du lac de l’Oule (presque entièrement inclus dans l’exclave de Soulan, selon le niveau de l’eau retenue par son barrage).
Plus à l'ouest encore, au-delà du lac de l’Oule, le reste de l'exclave de Soulan est entièrement inclus dans la réserve naturelle du Néouvielle (qui s'étend sur plusieurs autres communes) jusqu'à la face est du pic de Néouvielle (qui culmine à 3 091 m), en incluant aussi le pic Ramougn voisin (qui culmine à 3 015 m). La réserve naturelle s'étend vers le nord (sur la commune de Vielle-Aure) jusqu'aux faces sud du pic de Madamète (2 657 m), du pic d'Estibère (2 663 m) et du pic de Gourget (2 619 m), en incluant le lac d'Aubert dont seule la rive sud-ouest est à Soulan) ; elle s'étend vers le sud sur la commune d’Aragnouet jusqu'aux rives nord du lac de Cap-de-Long et du lac d'Orédon (dont seule une petite partie nord-est à Soulan).
Ce dernier lac est accessible par le sud depuis Aragnouet via la route D 929 jusqu’au Chalet-hôtel du lac d'Orédon-Néouvielle (construit près du lac à la frontière d'Aragnouet et de Soulan, et à la frontière sud de la réserve naturelle (la D 929 se prolonge ensuite au sud-ouest vers le barrage du lac de Cap-de-Long).
Depuis le lac d'Orédon, à Soulan, part alors vers le nord la route de montagne D 177 menant, par des lacets serrés sur la face sud du pic d'Anglade (2 511 m, sur la commune de Vielle-Aure), aux Laquettes et au lac d'Aumar (eux aussi sur la commune de Vielle-Aure) et au barrage du lac d'Aubert (essentiellement à Vielle-Aure, seule une petite partie sud-ouest étant à Soulan) : tous ces derniers lacs (et la route qui y mène) sont entièrement inclus dans la réserve naturelle.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Nom du lac | Vallée | Massif | Lieu-dit | Coordonnées | Superficie (ha) | Altitude (m) | Profondeur (m) | Type | Émissaire |
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Lac de Consaterre grand | Vallée d'Aure | Massif de Suelza | Consaterre | 42° 45′ 32″ N, 0° 20′ 06″ E | 2,6 | 2349 | 18 | Naturel | Ruisseau de Bisourte |
Lac de Consaterre petit | Vallée d'Aure | Massif de Suelza | Consaterre | 42° 45′ 26″ N, 0° 20′ 10″ E | 1,3 | 2346 | Naturel | Ruisseau de Bisourte | |
Les Laquettes | Vallée d'Aure | Massif du Néouvielle | Montagne d'Aumar | 42° 50′ 05″ N, 0° 08′ 49″ E | 9 | 2080 | Naturel | Lac d'Orédon | |
Lac de l'Oule | Vallée d'Aure | Massif du Néouvielle | Réservoir de l'Oule | 42° 49′ 52″ N, 0° 12′ 08″ E | 50 | 1819 | 48 | Barrage | l'Oule (ravin) |
Barrage de Rioumajou | Vallée d'Aure | Massif de Suelza | Pont Soubiron | 42° 45′ 14″ N, 0° 18′ 16″ E | 0,9 | 1323 | Barrage | Neste de Rioumajou |
Climat
[modifier | modifier le code]Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Génos », sur la commune de Génos, mise en service en 1969[13] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 7,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 483,6 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 50 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du parc national des Pyrénées[Note 5]. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[22],[23],[24]. Un autre espace protégé est présent sur la commune : la « retenue d'eau de Puydarrieux », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 268,10 ha[25] ;
Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[27] :
- « rioumajou et Moudang », d'une superficie de 9 522 ha, sont un important ensemble forestier, à forte densité d'isards. La végétation est caractéristique de la haute-montagne calcaire et siliceuse[28] ;
- le « Néouvielle », d'une superficie de 6 176 ha, présente une végétation caractéristique de la haute montagne pyrénéenne siliceuse et des milieux humides et tourbeux d'altitude, avec des pineraies de pins à crochets à trés haute altitude, des pineraies sylvestres et introgression des deux pins[29] ;
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Huit ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[30] :
- le « bassin versant du Haut-Louron » (6 872 ha), couvrant 8 communes dont deux dans la Haute-Garonne et six dans les Hautes-Pyrénées[31] ;
- le « bois de la Cabane » (201 ha), couvrant 2 communes du département[32] ;
- la « Haute vallée d´Aure en rive droite, de Barroude au col d'Azet » (16 972 ha), couvrant 10 communes du département[33] ;
- « la Neste, amont » (100 ha), couvrant 18 communes du département[34] ;
- le « massif en rive gauche du Bastan » (8 315 ha), couvrant 10 communes du département[35] ;
- la « montagne d'Eget » (1 734 ha), couvrant 5 communes du département[36] ;
- la « réserve du Néouvielle et vallons de Port-Bielh et du Bastan » (6 427 ha), couvrant 8 communes du département[37] ;
- la « vallée d'Aulon et soulane de Vielle-Aure » (4 377 ha), couvrant 9 communes du département[38] ;
et trois ZNIEFF de type 2[Note 8],[30] :
- la « Haute vallée d'Aure » (43 605 ha), couvrant 38 communes du département[39] ;
- la « vallée du Louron » (16 472 ha), couvrant 30 communes dont six dans la Haute-Garonne et 24 dans les Hautes-Pyrénées[40] ;
- les « vallées de Barèges et de Luz » (22 843 ha), couvrant 24 communes du département[41].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Lary-Soulan est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (50,1 %), forêts (34,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,8 %), zones urbanisées (1,2 %), eaux continentales[Note 9] (1 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Saint-Lary est desservie par la route départementale D 929 et Soulan est desservie par la D 123.
Les deux parties de la commune sont rapidement reliées par deux téléphériques qui montent du bourg de Saint-Lary vers la station du Pla d’Adet, en passant au-dessus de la commune de Cadeilhan-Trachère ; l'autre chemin passe par la longue route tortueuse de montagne D 123, via la commune voisine de Vielle-Aure.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Saint-Lary-Soulan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Neste et le Neste de Rioumajou. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[45]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1998, 1999, 2001, 2009 et 2013[46],[43].
Saint-Lary-Soulan est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[47].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[48].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 4,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 383 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3 sont en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[49],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[50].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999, 2009 et 2013 et par des glissements de terrain en 1992[43].
La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[51],[52].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 10]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[54].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Lary-Soulan est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[55].
Toponymie
[modifier | modifier le code]On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[56] qui rapporte les dénominations historiques des villages :
Saint-Lary
[modifier | modifier le code]Dénominations historiques :
- Enard de Sant Ylari, Ernald de Sancti Hylarii1 (XIIe siècle, cartulaire de Bigorre) ;
- De Sancto Ylario, latin (1387, pouillé du Comminges) ;
- Senlari (1743, registres paroissiaux) ;
- Saint-Lari (1767, cartulaire Comminges).
Étymologie : du gascon Sent Ilari, avec aphérèse (= Saint Hilaire).
Nom occitan : Sent Lari.
Soulan
[modifier | modifier le code]Dénomination historique :
- De Solano, latin (1387, pouillé du Comminges).
Étymologie : mot gascon solan (= lieu ensoleillé).
Nom occitan : Sola.
Histoire
[modifier | modifier le code]Saint-Lary-Soulan résulte de la fusion des communes de Saint-Lary et de Soulan en 1963, entrée en vigueur le , fusion réalisée pour permettre l'extension de la station de ski au Pla d’Adet pour la construction des téléphériques depuis Saint-Lary, les terrains skiables de la commune étant situés dans l'exclave de Soulan.
Une petite partie des communes voisines de Cadeilhan-Trachère et de Vignec est démembrée pour former la station du Pla d’Adet, la commune de Vignec étant alors coupée en deux par l'extension de Soulan, mais conservant dans sa nouvelle exclave du sud la partie orientale du domaine skiable (et de ses remontées mécaniques) les plus proches de la nouvelle station, l'autre partie occidentale du domaine skiable étant essentiellement sur Soulan mais accessible uniquement via ces remontées de Vignec.
La partie nord-ouest du domaine skiable (sur la face sud du pic du Pichaley) est réalisée plus tard sur la commune de Vielle-Aure, mais n'est accessible depuis la station du Pla d’Adet que par les remontées installées sur la nouvelle exclave de Vignec, puis celles de Soulan jusqu'au lieu-dit de la Combe Saboure (séparant Soulan de Vielle-Aure) qui surplombe l'est du lac de l’Oule (formé un demi-siècle avant par la construction de son barrage hydroélectrique).
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Historique administratif
[modifier | modifier le code]Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, vallée d'Aure, canton d'Arreau puis de Vielle-Aure (1790-2014)[58].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Saint-Lary-Soulan fait partie de la communauté de communes Aure Louron, créée au et qui réunit 46 communes.
Services publics
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Lary-Soulan est jumelée avec la commune de :
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[61].
En 2021, la commune comptait 839 habitants[Note 11], en évolution de −1,76 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports
[modifier | modifier le code]- Le Club olympique Saint-Lary-Soulan, engagé en 3e division fédérale pour la saison 2017-2018.
Trail- Running
[modifier | modifier le code]La commune est le théâtre fin juin du Patou Trail depuis 2017[64]. Cette course de trail running se déroule sur 3 jours avec au programme kilomètre vertical, Skyrace & format Marathon, la course phare.
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école depuis 1833[65].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Lary Soulan dispose d'une maison de la Santé depuis [66]. Cette maison regroupe différents corps de métiers (médecin généraliste, kinésithérapeute, ophtalmologue etc.).
Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 337 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 558 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 670 €[I 5] (20 420 € dans le département[I 6]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 7] | 3,8 % | 6 % | 3 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,4 % | 9,8 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 581 personnes, parmi lesquelles on compte 87,1 % d'actifs (84,1 % ayant un emploi et 3 % de chômeurs) et 12,9 % d'inactifs[Note 13],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 10]. Elle compte 1 327 emplois en 2018, contre 1 371 en 2013 et 1 300 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 501, soit un indicateur de concentration d'emploi de 264,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65,6 %[I 11].
Sur ces 501 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 401 travaillent dans la commune, soit 80 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 35,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,7 % les transports en commun, 42,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une piscine extérieure, ouverte uniquement pendant la période estivale. L'établissement dispose d'un bassin de 25m doté de 3 plongeoirs (deux planches de 1 mètre et 3 mètres et une plate-forme de 5 mètres), ainsi que d'une pataugeoire.
Domaine skiable
[modifier | modifier le code]Le domaine skiable de Saint-Lary-Soulan[67] se trouve à 1 700 mètres d'altitude, au Pla d'Adet et à Espiaube. Il est accessible par téléphérique ou par route.
Différentes activités sont aussi disponibles dans cette station : trois kilomètres de promenades à pied, des thermes, un espace ludique Sensoria Rio mais aussi deux musées, celui de l'ours et celui du patrimoine.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Thermes de Saint-Lary-Soulan.
- Tour Hachan, qui abrite la maison du parc national des Pyrénées.
- Station de sports d'hiver de Saint-Lary-Soulan : le Pla d'Adet (1 700 m), Soum de Matte et Espiaube (1 900 m), et Vallon du Portet (2 380 m d'altitude).
- Chapelle Sainte-Marie de Saint-Lary (ou Notre-Dame du Bouchet, ou Notre-Dame du Mont-Carmel), XIXe siècle[68].
- La chapelle du Pla d'Adet.
- Église Saint-Bertrand-de-Comminges de Saint-Lary, XXe siècle[69].
- Église Saint-Pierre de Soulan, XVIIe siècle, avec un tympan roman[70].
- Moulin à eau.
- Le monument aux morts municipal œuvre de Charles-Henri Pourquet.
-
L'église Saint-Bertrand-de-Comminges. -
L'église Saint-Pierre. -
La chapelle Sainte-Marie. -
Le moulin à eau. -
La vierge Notre-Dame-de-Lette.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]- Maison de l'Ours.
- Maison du parc national des Pyrénées dans une ancienne demeure du XVIe siècle lié au siège de Tarbes.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Bertrand Fornier de Saint-Lary, homme politique, natif de Saint-Lary.
- Jacques Godechot (1907-1989), historien[réf. nécessaire].
- Isabelle Mir (1949-), skieuse née à Saint-Lary-Soulan.
- Xavier de Le Rue (1979-), snowboarder[réf. nécessaire].
- Paul-Henri de Le Rue (1984-), snowboarder[réf. nécessaire].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement : D'azur aux cinq burèles d'or[71]. Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie). |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Les sobriquets des villages aurois - Frantz-E. Petiteau - Éditions Lacour - Cercle François Marsan - 3e trimestre 2003
- Les vieilles inscriptions de la vallée d'Aure - Abbé François Marsan - Éditions Lacour
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes des Hautes-Pyrénées
- Saint-Lary-Soulan (station de sports d'hiver)
- Thermalisme
- Liste des stations thermales françaises
- Liste des stations de sports d'hiver
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à l'architecture :
- Mairie de Saint-Lary-Soulan
- Office de tourisme de Saint-Lary-Soulan
- Saint-Lary-Soulan sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Actualité sur Saint-Lary
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[53].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Lary-Soulan ».
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Lary-Soulan » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Lary-Soulan » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Lary-Soulan » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Lary-Soulan et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Lary-Soulan et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Lary-Soulan et Capvern », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Lary-Soulan », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 281-282.
- Carte IGN sous Géoportail
- (es) Ministère espagnol de l'agriculture, pêche et environnement, « GeoPortal », sur sig.mapama.es (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Génos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Lary-Soulan et Génos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Génos - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Lary-Soulan et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
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- « Parc national des Pyrénées - la faune », sur pyrenees-parcnational.fr (consulté le ).
- « Parc national des Pyrénées - le territoire », sur le site du parc national des Pyrénées (consulté le ).
- « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Lary-Soulan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300934 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300929 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Lary-Soulan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « bassin versant du Haut-Louron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « ZNIEFF le « massif en rive gauche du Bastan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « ZNIEFF la « réserve du Néouvielle et vallons de Port-Bielh et du Bastan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée d'Aulon et soulane de Vielle-Aure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
- E. Verdier, « Saint-Lary-Soulan. André Mir, nouveau maire de la commune », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Saint-Lary-Soulan », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- SARL PYREWEB, « Patou Trail Saint Lary soulan », sur PATOU TRAIL (consulté le ).
- « Saint-Lary-Soulan : École élémentaire », sur ecoles.loucrup65.fr (consulté le ).
- « Saint-Lary-Soulan. La Maison de santé a ouvert ses portes », sur ladepeche.fr (consulté le ).
- « Présentation du domaine skiable de Saint-Lary-Soulan », sur ski-planet.com.
- « Chapelle Notre-Dame-du-Bouchet, -Notre-Dame-du-Mont-Carmel, -Sainte-Marie », notice no IA00126607, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 2 août 2010.
- « Église paroissiale Saint-Bertrand-de-Comminges », notice no IA00126608, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 2 août 2010.
- « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00126606, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 2 août 2010.
- « Liste des armoiries des communes », sur passion-bigorrehp.org.