Saint-Paul-lès-Durance — Wikipédia
Saint-Paul-lès-Durance | |||||
Mairie de Saint-Paul-lez-Durance. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Bouches-du-Rhône | ||||
Arrondissement | Aix-en-Provence | ||||
Intercommunalité | Métropole d'Aix-Marseille-Provence | ||||
Maire Mandat | Romain Buchaut 2021-2026 | ||||
Code postal | 13115 | ||||
Code commune | 13099 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Paulais | ||||
Population municipale | 887 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 19 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 41′ 16″ nord, 5° 42′ 30″ est | ||||
Altitude | 254 m Min. 230 m Max. 519 m | ||||
Superficie | 45,81 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Marseille - Aix-en-Provence (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Trets | ||||
Législatives | Quatorzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur | |||||
Liens | |||||
Site web | http://stpaul.fr | ||||
modifier |
Saint-Paul-lès-Durance (nom officiel selon l'INSEE[1]) ou Saint-Paul-lez-Durance (selon l'usage sur le site et dans les documents de la municipalité[2]) est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Saint-Paulais.
Sur son territoire se trouve le centre d'études nucléaires de Cadarache et le projet ITER.
Géographie
[modifier | modifier le code]Saint-Paul-lès-Durance se trouve à l'extrême nord-est le département des Bouches-du-Rhône, dans le massif de Concors, à 6 km de Mirabeau, et à 17 km de Pertuis. Le centre d'études nucléaire de Cadarache (CEA) est situé à cinq kilomètres du village. Deux cours d'eau principaux traversent le territoire communal, la Durance du nord-est à l'ouest, et l'Abéou du sud-est au nord-ouest.
La commune couvre un espace de 45,81 km2 dont la majeure partie est boisée ou rattachée au CEA et à ITER.
La situation de la commune de Saint-Paul-lès-Durance la place dans une zone dont le risque sismique est estimé entre faible et moyen, à l'instar des autres communes du nord des Bouches-du-Rhône.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le village est construit sur un promontoire rocheux qui le protège des crues réputées dévastatrices de la Durance.
Les aménagements opérés par l'homme ainsi que la typologie du territoire de la commune font du village une presqu'île, logée entre la Durance au nord et le canal de Provence au sud.
Massifs environnants :
- Massif du Concors. Par décret du 23 août 2013, une majorité du massif est protégée au titre des sites naturels classés. Le classement a été étendu à la commune de Saint-Paul-lez-Durance.
- Bois de la Séouve, intégré au massif de Concors,
- Montagne de Vautubière,
- Colline de Peycal (point culminant de la commune)
- Colline de San Peyre.
- Montagne Sainte-Victoire, Aix-en-Provence
- Montagne de Concors, massif Concors-Sainte-Victoire
- Vallée de l'Abéou entre San Peyre et Peycal, Saint-Paul-lez-Durance
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Cours d'eau sur la commune ou à son aval :
- rivière de la Durance ;
- ruisseaux de l'Abéou.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vinon Sur Verdon », sur la commune de Vinon-sur-Verdon à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 607,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,5 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Paul-lès-Durance est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,9 %), eaux continentales[Note 3] (3,9 %), terres arables (3,1 %), zones urbanisées (1,6 %), prairies (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Son nom en occitan est Sant Pau de Durença. À la Révolution française, la commune est appelée Saint-Paul-le-Fougassier (1791), en raison des deux besaces d'or présentes sur son blason et étant confondues avec des fougasses (pains au levain). Elle est brièvement appelée Port-de-Durance ou encore Paul-en-Durance durant la Terreur dans une volonté de supprimer toute appellation religieuse[15] .
Histoire
[modifier | modifier le code]La localisation du petit village dans un méandre de la rivière Durance pourrait expliquer son origine remontant à l'époque romaine. En effet, il est envisageable qu'un port fluvial ait été établi à cet endroit pour faciliter le transport du bois depuis les Alpes jusqu'aux ports méditerranéens par flottaison. Cette situation offrait une protection contre les crues fréquentes de la rivière.
Même aujourd'hui, quelques vestiges d'une villa romaine subsistent au lieu-dit "Saint-Martin", à proximité d'un ancien couvent, confirmant une occupation continue de la région.
Parallèlement, un oppidum situé au lieu-dit "San Peyre" témoigne également de la présence humaine pendant le Haut Moyen Âge. Des ruines relativement bien préservées et une enceinte murale attestent de son existence. Il semble que la population ait graduellement migré des sommets des collines vers la vallée, en s'établissant au lieu-dit "Capelles", marqué par la présence de chapelles, avant de revenir à l'emplacement du port fluvial, site de l'actuel du village.
Longtemps la commune a reposé principalement sur l'agriculture. Des vestiges de charbonnières du siècle passé subsistent encore de nos jours, ainsi qu'un ancien moulin récemment rénové. Historiquement, l'ensemble des terres était partagé entre deux domaines celui du comte de Cadarache et celui du marquis de Saint-Paul avant d'être réunis à la Révolution pour former la commune. Le château des marquis, au cœur du village, accueille désormais la mairie.
Une motte castrale a été fouillée, au cœur du centre de Cadarache. La plate-forme sommitale faisait 11 m de diamètre, et le château disposait d'une basse-cour située à l'est de la motte principale. Elle date des Xe et XIe siècles[16].
Un bac permettant de traverser la Durance est attesté en 1195[17]. Autre ressource tirée de la Durance : le péage-tonnage qui y était établi, et qui taxait les radeliers qui la descendaient[18]. Au XIIe siècle, l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y a possédé cinq établissements religieux, percevant pour chacun d'entre eux les revenus qui y étaient attachés[19] :
- dès la fin du XIe et jusqu'au XVe siècle, l’église paroissiale Saint-Pierre dans un village fortifié aujourd'hui abandonné, l’oppido Anemare, mais dont le toponyme Saint-Peyre a conservé la trace ;
- du XIIe siècle au XVe, l’église paroissiale Saint-Michel de Cadarache, au château de Cadarache ;
- du XIIe au début du XIVe siècle, les églises Sancti Capitis au domaine de Cadarache, actuellement en ruines, et l'église Sancti Martini Teoleto, également en ruines ;
- et aux XIIIe et XIVe siècles, l'église Saint-Paul d'Anemas, qui est élevée au rang d’église paroissiale.
André Pusole (?-av.1379), viguier de Grasse (1341), damoiseau, fut seigneur principal de Saint-Paul-les-Durance. Il laissa un fils, le chevalier Louis Perisole (?-1379) qui ne lui survécut pas. Georges de Montemalo, noble, originaire de Coni (Piémont) fut seigneur de Cadarache. Le , il obtint de la reine Jeanne exemption de l'albergue pour le village de Cadarache qu'il avait acheté peu de temps avant car ce lieu avait été dévasté par les guerres et les pestes[20]. Il sembla avoir été un proche de la famille d'Agout puisqu'il fut le procureur de l'ancien sénéchal Foulques d'Agout[21] et en , procureur du sénéchal Foulques II d'Agout[22]. Il prêta hommage à Marie de Blois entre août et [23].
Cette ancienne communauté de Cadarache dépeuplé à la fin du XIVe siècle, fut le fief des Valbelle du XVIIe siècle au XVIIIe siècle, à laquelle appartenait Omer de Valbelle (1729-1778), amant attitré de « La Clairon » (1723-1803), célèbre tragédienne.
Puis le domaine de Cadarache passa à la famille de Castellane, avec des personnalités marquantes comme Ernestine de Castellane (1788–1850), seconde épouse du ministre Joseph Fouché (1759-1820)[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]La vie politique saint-paulaise est caractérisée par de rares oppositions électorales car une seule liste se présente habituellement. Ainsi en 1995, Roger Pizot (PS) est élu maire face à une liste adverse avec un score relativement serré. Il est réélu à la majorité absolue des suffrages au premier tour des élections municipales de 2001, 2008 puis 2014 au cours desquelles aucune opposition ne se manifeste.
Cependant l'année 2020 marque un tournant, car une liste d'opposition menée par André Gomez (SE) émerge et remporte les élections au premier tour avec 57,72 % des voix et près de 75% de votants[25]. La volonté de renouvellement politique marque ces élections.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Saint-Paul-lès-Durance est administrée par un conseil municipal de 15 membres. Le maire actuel est Romain Buchaut (SE), depuis le 13 septembre 2021, puisqu'un an après sa prise de fonction André Gomez (SE) annonce sa démission pour des raisons personnelles et de santé.
La commune étant membre de la Métropole Aix-Marseille-Provence, la population désigne au moment des élections municipales un conseiller métropolitain. Ce poste a jusqu'ici toujours été occupé par le Maire de la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Paul-lès-Durance n'est jumelée à aucune municipalité étrangère.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].
En 2021, la commune comptait 887 habitants[Note 4], en évolution de +5,47 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Paul-lèz-Durance compte une école maternelle et primaire, appelée école Paul Caillat du nom d'un des anciens maires de la municipalité.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]L'église catholique de Saint-Pierre-et-Paul de Saint-Paul-lès-Durance dépend de l'Archidiocèse d'Aix-en-Provence et Arles. D'architecture romane, elle a été rebâtie en 1704. Elle comporte un clocher-mur à 3 cloches, de tailles diverses et installées au XIXe siècle. Le patrimoine de l'église est remarquable avec un retable du XVIIème récemment rénové et une Vierge de Pitié du XVIème.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
---|---|---|---|---|
Taxe d'habitation (TH) | 4,55 % | 0,00 % | 9,19 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 10,65 % | 0,00 % | 10,85 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 18,98 % | 0,00 % | 9,80 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 0,00 % | 19,00 % | 7,08 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[31]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Secteur secondaire
[modifier | modifier le code]- Centre d'études nucléaires de Cadarache
Secteur tertiaire
[modifier | modifier le code]- Centre commercial Louis-Philibert.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église paroissiale Saint-Michel ou Saints-Pierre-et-Paul de Saint-Paul-lès-Durance.
- Château de Cadarache, XVe siècle, Inscrit MH (1925)[32].
Tokamak ITER
[modifier | modifier le code]Le réacteur de fusion tokamak ITER se trouve dans la commune de Saint-Paul-lès-Durance. Le site est un des sites sous contrôle du CEA[33]. Il emploie plusieurs milliers de personnes et représente un important pôle économique pour la Provence.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes peuvent se blasonner ainsi : Tranché : au 1er de gueules à un bouc rampant d'argent surmonté d'une fleur de lys d'or, au 2e de sable à six faux renversées d'or posées 1, 2 et 3, une barre d'argent chargée d'un atome de sable brochant sur le tout. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- INSEE : Commune de Saint-Paul-lès-Durance (13099)
- Site de la commune : http://www.stpaul.fr
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Paul-lès-Durance et Vinon-sur-Verdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vinon Sur Verdon », sur la commune de Vinon-sur-Verdon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vinon Sur Verdon », sur la commune de Vinon-sur-Verdon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Histoire », sur stpaul.fr (consulté le ).
- Daniel Mouton, « Les fortifications de terre de la Provence médiévale : l’exemple du bassin de la Durance moyenne », Bastides, bories, hameaux. L’habitat dispersé en Provence, Actes des 2e journées d’histoire régionale de Mouans-Sartoux, 15 et 16 mars 1985, Mouans-Sartoux, Centre régional de documentation occitane, 1986, p. 118
- Catherine Lonchambon, « D’une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux », in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005, (ISBN 2-906162-71-X), p. 55
- Lucien Stouff, « Ports, routes et foires du XIIIe au XVe siècle », carte 86 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p. 228
- AD du 13, série B5f100V.
- AD du 13, série B1524f171v.
- AD du 13, série B1526f71v.
- Xhayet, Partisans et adversaires, p. 412, note 56
- Marie-José Loverini, Cadarache. un château entre Durance et Verdon, Marseille, Editions Jeanne Laffitte, , 208 p. (ISBN 2-86276-411-6, présentation en ligne)
- Ouest-France, « Résultats municipales 2020 Saint-Paul-lès-Durance [13115] : en direct score des listes, taux abstention », sur Ouest-France.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Impôts locaux à Saint-Paul-lès-Durance », taxes.com.
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- « Château de Cadarache », notice no PA00081437, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- AFP, « Iter: un coût toujours plus élevé pour une grande ambition » , sur L'Express, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des monuments historiques des Bouches-du-Rhône
- Liste des communes des Bouches-du-Rhône
- Liste des anciennes communes des Bouches-du-Rhône
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Saint-Paul-lez-Durance sur le site de l'Institut géographique national