Thivars — Wikipédia

Thivars
Thivars
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Olivier Soufflet
2020-2026
Code postal 28630
Code commune 28388
Démographie
Population
municipale
1 047 hab. (2021 en évolution de −2,88 % par rapport à 2015)
Densité 114 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 22′ 46″ nord, 1° 27′ 05″ est
Altitude Min. 131 m
Max. 161 m
Superficie 9,22 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chartres-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Thivars
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Thivars
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Thivars
Liens
Site web www.thivars.fr

Thivars est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

C'est un village situé à 7 km de Chartres, sa population est d'environ 1 100 habitants. Il est traversé par la rivière l'Eure.

Géographie

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Situé dans la vallée de l'Eure à 7 km au sud de Chartres, le village de Thivars est desservi par la D 910 (ex-route nationale 10) et l'autoroute A11 qui le place à 50 minutes de Paris. Ayant intégré la communauté d'agglomération Chartres Métropole depuis 2012, le village de Thivars se développe en gardant son côté rural.

Position de Thivars (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Position de Thivars (en rose) dans l'arrondissement de Chartres (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
Carte de la commune de Thivars et des communes limitrophes
Carte

Communes limitrophes

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  • Bluet ;
  • Goindreville ;
  • Tachainville.

Hydrographie

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Coulant du nord-ouest entre les communes de Nogent-sur-Eure et Fontenay-sur-Eure, la rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, borde le sud de la commune, traverse ensuite le village et se dirige vers le nord-est et Ver-lès-Chartres.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 625 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Thivars est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,1 %), forêts (9,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), zones urbanisées (5,3 %), prairies (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Thivars est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Thivars.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 44 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 503 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 387 sont en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Theuvasium vers 954, Teubas vers 996, Theivasium en 1056[17].

Époque moderne

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Le village devient un bourg influent sous le règne de Louis XIV, car l'ancienne nationale a été construite quelques années auparavant pour faciliter le commerce entre Paris et le port de Bordeaux. Cette route facilite le développement de la ville qui voit sa population passer de 100 à presque 300.

Époque contemporaine

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XXe siècle

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Pendant la Seconde Guerre mondiale, Thivars fait partie, comme toutes les communes boisées de la vallée de l'Eure, des hauts lieux de la Résistance à l'occupation allemande. Le village est à cette époque un lieu stratégique majeur avec la nationale qui le traverse, reliant Paris à Bordeaux. Elle était donc un lieu de passage important de troupes allemandes.

Politique et administration

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Élections municipales du 15 mars 2020

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  • Maire sortant : Annick Marcetteau (ne se représente pas)
  • Aucun des quinze sièges du conseil municipal, ni celui du conseil communautaire n'est pourvu lors de ce scrutin[18]

Liste des maires

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Les maires successifs de Thivars depuis 1800
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1817 Pierre Lemoine    
1817 1829 Lubin Peigne    
1829 1831 Jean Lejards    
1831 1832 Louis Perrier    
1832 1834 Jean Paragot    
1834 1835 Jean Joisneau    
1835 1840 Louis Perrier    
1840 1848 Nicolas Guillard    
1848 1851 François Saucie    
1851 1871 Louis Bouchard    
1871 1872 Pierre Petit    
1872 1878 Pierre Tachot    
1878 1881 Joseph Guillaume    
1881 1884 Pierre Petit    
1884 1887 Joseph Guillaume    
1887 1888 Adrien Deschamps    
1888 1903 Adrien Tachot    
1903 1904 Désiré Rivet    
1904 1908 Gustave Carré    
1908 1925 Bernard Jousselin    
1925 1955 Hector Boudon DVD Agriculteur
1955 1995 Yves de Saint-Laumer DVD Retraité
1995 juillet 2020 Annick Marcetteau[19]   Retraitée
juillet 2020 En cours Olivier Soufflet[19],[20]   Adjudant-chef de gendarmerie à la retraite
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 1 047 habitants[Note 2], en évolution de −2,88 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
366453465505591638626664653
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
718713675627610595626660643
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
590601523526536519536526501
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
527533835859975959986981959
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0641 0441 047------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Tous les commerces du village se trouvent sur la RD 910, et notamment :

  • une boulangerie
  • deux banques
  • trois restaurants
  • un bar
  • deux garages
  • trois salons de coiffure
  • un salon d'esthétique
  • une pharmacie
  • un magasin de proximité

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Ce petit village de la Beauce est traversé par la route nationale 10, déclassée en route départementale 910. Sa relative célébrité est à moitié due à cette nationale. L'autre moitié est due à sa proximité avec la ville de Chartres et sa cathédrale.

Le village est un bourg important pour les villages voisins à cause de son bureau de poste, mais aussi grâce à sa gendarmerie, tout juste rénovée et qui dessert les communes voisines. Le village est entouré de champs de blé, de bras de l'Eure et d'étangs. Malgré sa proximité avec Chartres, Thivars fait partie d'une région très campagnarde et verdoyante de la vallée de l'Eure.

Le village possède deux silos, dont un non utilisé, pour stocker le blé, le colza ou le maïs des champs aux alentours. Il y a aussi en bordure du village un stade de football situé au bord de l'Eure.

Église Saint-Hilaire

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Visible depuis tout le village, l'église, dédiée à saint Hilaire de Poitiers, date du XVIe siècle, comme le témoigne la date de 1545 gravée sur un angelot de la tourelle du clocher.

Elle est située au cœur du village, place de la Mairie. Grâce à cette église, le village possède aujourd'hui le rattachement administratif de plusieurs hameaux ne possédant pas de lieu de culte et se trouvant à proximité du bourg, comme Tachainville, Goindreville et Bluet.

Le vitrail de sainte Radegonde est posé en 1900, à la suite d'une souscription ouverte auprès des paroissiens. En 1940, deux bombes soufflent les vitraux du mur sud qui sont remplacés par des verres cathédrale. En 1955, Bernard Campin réalise un vitrail représentant la Nativité. En 1987, Michel Petit crée un vitrail de saint Hilaire[25].

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Thivars et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chartres », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Thivars », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Droz, , p. 860.
  18. Ministère de l'Intérieur, « Résultats du 1er tour - Thivars », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  19. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Églises ouvertes en Eure-et-Loir, « Église Saint-Hilaire de Thivars », sur eglises-ouvertes-eure-et-loir (consulté le ) [PDF].