Villiers-le-Mahieu — Wikipédia

Villiers-le-Mahieu
Villiers-le-Mahieu
La mairie
Image illustrative de l’article Villiers-le-Mahieu
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CC Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Patrick Bourdeaux
2023-2026
Code postal 78770
Code commune 78681
Démographie
Gentilé Mahieutins, Mahieutines
Population
municipale
856 hab. (2021 en augmentation de 17,58 % par rapport à 2015)
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 38″ nord, 1° 46′ 24″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 169 m
Superficie 6,77 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives 12e circonscription des Yvelines
Localisation
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Liens
Site web https://villiers-le-mahieu.fr/

Villiers-le-Mahieu est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Villiers-le-Mahieu dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

Villiers-le-Mahieu est une commune périurbaine résidentielle des Yvelines, située à 11 km à vol d'oiseau au sud d'Épône, 24 km à l'ouest de Saint-Germain-en-Laye, 19 km au nord-ouest de Trappes, 24 km au nord de Rambouillet et 32 km au nord-est de Dreux.

Le tracé de l'aqueduc de l'Avre est suivi par le sentier de grande randonnée GR 11.

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Paris, dans la zone d'emploi de Versailles-Saint-Quentin et dans le bassin de vie d'Épône[I 1].

Vue générale.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Villiers-le-Mahieu
Goupillières Thoiry
Flexanville Villiers-le-Mahieu
Garancières Autouillet

Géographie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 6,77 km2 ; son altitude varie de 94 à 169 mètres[1].

Le territoire communal, sans relief très marqué est en pente légère vers le sud.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

Le territoire communal est drainé par le ru d'Heudelimay, sous affluent du Lieutel.

La commune est traversée dans le sens ouest-est, entre le bourg et le hameau de Boulaincourt, par l'aqueduc de l'Avre.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 674 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune a un territoire essentiellement rural (à près de 90 %) consacré principalement à l'agriculture et en partie boisé. Plusieurs bois dispersés dans la commune recouvrent environ 25 % du territoire. Il englobe une partie du parc animalier de Thoiry.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Au , Villiers-le-Mahieu est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 84.59 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 9.36 % d'espaces ouverts artificialisés et 6.06 % d'espaces construits artificialisés[12].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

L'habitat est concentré dans le bourg, proche du château et dans le hameau de Boulaincourt plus au sud.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 332, alors qu'il était de 284 en 2016 et de 274 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 95,2 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 2,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villiers-le-Mahieu en 2021 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) par rapport au département (2,6 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Villiers-le-Mahieu en 2021.
Typologie Villiers-le-Mahieu[I 3] Yvelines[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 95,2 91,1 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,4 2,6 9,7
Logements vacants (en %) 2,4 6,3 8,1

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

La desserte routière est assurée par la route départementale 45, qui relie Orgeval à Richebourg via Thoiry, et par la voirie locale.

La commune est desservie par les lignes 35, 40, 41 et 55 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Garancières - La Queue, située à 5 km de la commune et qui est desservie par des trains de la ligne N du Transilien (branche Paris - Dreux),

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les premiers écrits mentionnant l'existence du village datent de l'an 768 (Villare) . Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Villiers le Voltaire en 1789[1]. En 1793, le nom de la commune était Villers le Maheu, Villiers-le-Mahieu en 1801[1].

Villiers du bas-latin villare dérivé de villa entré en composition, nous le savons, avec des noms de personnes antéposés, indice de formation du haut Moyen-Âge[13]. Mahieu est un ancien prénom du Moyen Âge, représentant la forme populaire de Mathieu.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Les premiers Mahieutins ont été des hommes du Néolithique comme en témoignent les différents silex taillés et polis retrouvés sur le territoire de la commune.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

À partir de cette époque, on peut suivre son évolution à travers l'histoire des différentes familles des seigneurs des lieux (familles de Maselant, de Mesnil-Simon, de Bullion, de la Haye, de Vaultier...).

Les archives des différentes abbayes qui ont possédé des propriétés à Villiers (les abbayes de Saint-Germain des Prés, de Saint-Denis ou de Neauphle-le-Vieux) fournissent aussi de précieux renseignements.

L'agriculture a longtemps été la principale activité du village.

La campagne était couverte de vignes et les vignerons étaient nombreux, comme en témoignent les registres d'état-civil.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[14], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet[I 1] après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Montfort-l'Amaury de Seine-et-Oise puis des Yvelines[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton d'Aubergenville[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la douzième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, Villiers-le-Mahieu est membre depuis 2014 de la communauté de communes Cœur d'Yvelines, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[15]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mai 1925   M. Barbe    
         
1984 1989 Édith Voutier   Chevalière du mérite agricole
         
avant 1995[16]   Michel Hervé    
         
2001 2007[17] Michel Charleux   Démissionnaire
2008[18] mai 2020 Frédéric Faré[19],[20]    
mai 2020[21] décembre 2022[22] Robert Rivoire   Cadre retraité
Démissionnaire
mars 2023[23] En cours
(au 30 novembre 2023)
Patrick Bourdeaux   Artisan

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune possède[24] une école élémentaire publique (Les Gaudines).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 856 habitants[Note 2], en augmentation de 17,58 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
256273279304283283272251240
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
219218240235206213226223224
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
237197201194188195168180212
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
205209260569601615692703695
2017 2021 - - - - - - -
794856-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,7 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 394 hommes pour 418 femmes, soit un taux de 51,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,0 
4,7 
75-89 ans
4,7 
16,9 
60-74 ans
14,2 
21,3 
45-59 ans
17,6 
21,6 
30-44 ans
23,5 
14,0 
15-29 ans
16,1 
21,5 
0-14 ans
22,9 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Économie[modifier | modifier le code]

  • Agriculture
  • Tourisme
  • Commune résidentielle

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Launay Logo monument historique Inscrit MH (1964, Façades et toitures ; douves et sol de la cour ; allée axiale avec ses plantations et parc)[30] :
    Il aurait été, d'après la légende, construit par les Anglais au Moyen Âge. Modifié à de nombreuses reprises, il prend son aspect actuel en 1642 sous la houlette de Claude de Bullion. Après avoir été la propriété de la famille Caruel de Saint-Martin tout au long du XIXe siècle, il devient la propriété de Bernard Buffet avant d'être transformé en un établissement hôtelier de prestige. C'est aujourd'hui un hôtel 4 étoiles relativement réputé.
  • L'église Saint-Martin date du XIIe siècle.
    On peut y voir encore des morceaux de vitraux de l'époque, divers tableaux et une statue en bois de son saint patron.
    Elle abrite la pierre tombale d'Antoine de Mesnil-Simon, décédé en 1584.
    Une première cloche a été baptisée en 1762. La cloche actuelle a été bénite en 1826[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Bernard Buffet (1928-1999), peintre français expressionniste, a séjourné au château de Launay de 1971 à 1979[31].
  • Bruno Gollnisch (1950), homme politique et juriste, habite à Villiers[32].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Villiers-le-Mahieu », p. 619–621

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Commune de Villiers-le-Mahieu », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur https://www.insee.fr (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Villiers-le-Mahieu - Section LOG T1 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Villiers-le-Mahieu - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans le Yvelines - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Villiers-le-Mahieu et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Villiers-le-Mahieu ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  13. Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997
  14. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  15. « Les maires de Villiers-le-Mahieu », sur https://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
  16. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5747.
  17. « La gauche se déchire Le zoo de Thoiry fait démissionner le maire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jeudi soir, le maire de la petite commune de Villiers-le-Mahieu, un village proche de Thoiry, a démissionné. Son conseil municipal s'est prononcé en faveur de poursuites à l'encontre de Paul de la Panouse ».
  18. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
  19. Mandat 2008-2014 écourté par la démission d'une partie du conseil municipal : « Villiers-le-Mahieu : le maire ne démissionnera pas », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Selon lui, les remous au sein du conseil municipal, que 7 des 15 conseillers municipaux ont décidé de quitter, sont le fruit « d'un problème personnel avec un élu qui a provoqué un engrenage ».
  20. Timothée Petitjean, « Manif des gilets jaunes : Le maire de Villiers-le-Mahieu manifestera », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Frédéric faré, le maire de Villiers-le-Mahieu (Yvelines), appelle à un blocage symbolique de la commune le 17 novembre. Il proteste contre le manque de transports en commun ».
  21. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Élection municipale partielle – 12 et 19 mars 2023 », sur https://villiers-le-mahieu.fr/, (consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villiers-le-Mahieu (78681) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  30. « Château (ancien) », notice no PA00087785, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Le Patrimoine des communes des Yvelines, Paris, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), t. II, p. 619-620.
  32. Jean-Louis Beaucarnot, Frédéric Dumoulin, Catherine Aubier, Marie-Françoise Barbot et al., Le tout politique, Paris, L'Archipel, , 330 p. (ISBN 978-2-8098-0566-6, BNF 42548636), « Bruno Gollnisch : un prussien contre les Prussiens ! », p. 127-128.