Anhiers — Wikipédia
Anhiers | |||||
Le cimetière, et en arrière-plan, la fosse no 2 de la Compagnie des mines de Flines. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Douaisis Agglo | ||||
Maire Mandat | Nadine Mortelette Vahe 2020-2026 | ||||
Code postal | 59194 | ||||
Code commune | 59007 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Anhiersois | ||||
Population municipale | 895 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 523 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 24′ 27″ nord, 3° 09′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 22 m | ||||
Superficie | 1,71 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Orchies | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Nord Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | anhiers.fr | ||||
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Anhiers est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Scarpe canalisée, la Raches Aval, le Bouchard, le Godion, le Marais des Six Villes, la dérivation de la Raches[1], la dérivation du Bouchard Dans le Godion[2] et le Marais des Six Villes[3],[4],[Carte 1].
La Scarpe canalisée et une section canalisée de la Scarpe, d'une longueur de 67 km, prend sa source dans la commune de Arras et se jette dans l'Escaut canalisée à Mortagne-du-Nord, après avoir traversé 34 communes[5].
Le Raches Aval, d'une longueur de 13 km, prend sa source dans la commune de Roost-Warendin et se jette dans la Scarpe canalisée à Marchiennes, après avoir traversé cinq communes[6].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[7].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 687 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Anhiers est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[16]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,7 %), zones urbanisées (22,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les lignes 16, 17 et 118 du réseau de transport Évéole. Ces lignes de bus sont accessibles gratuitement depuis le .
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Mentionné pour la première fois en 1076, sous le nom de Anherium, le village appartient à la collégiale de Saint Amé de Douai de 1094 jusqu'à la Révolution. Le village tire également profit de la fondation de l'abbaye de Flines toute proche et bénéficie de la protection des châtelains de Raches.
À la fin du XIXe siècle, la découverte de charbon dans le sous-sol entraîne, en 1893, la constitution de la Société Houillère de Flines-lez-Raches dont une partie de la concession se trouve sur le territoire de la commune. Le village connaît alors une poussée démographique et une période de prospérité qui voit la construction de la mairie, de l'école et d'une église.
Après la fermeture des installations houillères, la construction d'un lotissement sur les friches industrielles a permis le maintien sur la place de la population de la commune. Anhiers conserve aujourd'hui un caractère rural tout en bénéficiant de l'implantation des zones industrielles toutes proches.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Situation administrative
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors du premier tour des élections municipales le , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 618 inscrits, dont 313 votants (50,65 %), 9 votes blancs (2,88 %) et 302 suffrages exprimés (96,49 %). Tous les sièges sont pourvus dès le premier tour, ce qui inclut également la maire sortante Nadine Vahé-Mortelette. Celle-ci récolte 292 voix, tous les autres candidats en ont obtenu plus[20],[21].
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Maire de 1802 à 1807 : Deregnaucourt[22],[23].
Maire en 1808 : Guilmot[24].
Identité | Période | Durée | Étiquette | Fonction | |
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Début | Fin | ||||
Constant Larose (d) (années 1830 - ) | années 1870 | (mort en cours de mandat) | |||
François Caby (d) | (démission) | 5 ans et 10 mois | |||
François Cuisinier (d) | (démission) | 7 mois | Maire par intérim (d) | ||
Louis Broutin (d) | 1 mois | Maire par intérim (d) | |||
Nicolas Jeanbaptiste Delmer (d) | 2 ans et 1 mois | ||||
François Caby (d) | 3 ans et 3 mois | ||||
Augustin Coulmont (d) | 8 ans | ||||
Henri Wacquez (d) | 4 ans | ||||
Paul Cuisinier (d) | XXe siècle | ||||
Robert Dujardin (d)[25] ( - ) | (révocation (en)) | 2 ans | Parti communiste français | ||
Louis Noé (d)[26] | Président de la délégation spéciale (d) | ||||
Robert Dujardin (d) ( - ) | 32 ans | Parti communiste français | |||
Christiane Leblanc (d)[27] | 18 ans et 3 mois | ||||
Achille Delporte (d)[28],[29],[30] ( - ) | 18 ans et 9 mois | Parti communiste français | |||
Nadine Vahé-Mortelette (d)[31],[32],[33] (née le ) | En cours | 10 ans et 9 mois | Parti communiste français |
Instances judiciaires et administratives
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2022, la commune comptait 895 habitants[Note 5], en évolution de −1 % par rapport à 2016 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 447 hommes pour 447 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Santé
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Anhiers fait partie de l'académie de Lille.
Sports
[modifier | modifier le code]Média
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Jean-Baptiste reconstruite dans les années 1980.
- La fosse no 2 des mines de Flines puis d'Aniche a été classée le au patrimoine mondial de l'Unesco[40].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes d'Anhiers se blasonnent ainsi : « Coupé d'or sur azur, à trois fleurs de lis de l'un en l'autre. » |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Anhiers » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « la dérivation de la Raches »
- Sandre, « la dérivation du Bouchard Dans le Godion »
- Sandre, « le Marais des Six Villes »
- « Fiche communale d'Anhiers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Scarpe canalisée »
- Sandre, « le Raches Aval »
- « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Anhiers et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Élections municipales, Anhiers », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 30.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Anhiers », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 8.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 118-119, lire en ligne.
- « Annuaire du département du Nord pour l'année 1809. », sur lillonum.univ-lille.fr/, p. 160. Image 179.
- « Notice Dujardin Robert », Le Maitron,
- Patrick Oddone, Les autorités municipales du Nord-Pas-de-Calais au Journal Officiel (septembre 1939 - août 1944), vol. 76, Université Lille-I, , 79 p. (ISSN 0035-2624 et 2271-7005, OCLC 436643484), chap. 306, p. 573.
- A. DÉ., « À Anhiers, les électeurs ont choisi une femme pour succéder à Achille Delporte », La Voix du Nord, : « À 54 ans, cette mère de trois enfants qui milite au Parti communiste « depuis une dizaine d’années » va donc présider aux destinées du village comme Christiane Leblanc avant elle de 1977 à 1995. Cette dernière avait siégé en tant que maire durant trois mandats. »
- « Quel avenir pour la fosse d’Anhiers et son chevalet centenaire en béton ? », La Voix du Nord, : « Achille Delporte, le maire, estime que la commune n’a pas les moyens de se lancer dans une telle entreprise… et tourne ses regards vers la communauté d’agglomération. »
- Nicolas Foissel, « Anhiers : la commune dit adieu à Achille Delporte, son ancien maire », L'Observateur du Douaisis, : « Nombreux sont les sourires qui ont accompagné le souvenir de celui qui fut le premier magistrat de la commune de 1995 à 2004, dans la petite église Saint-Jean-Baptiste. »
- B. D., « Achille Delporte, ancien maire d’Anhiers, est décédé », La Voix du Nord, : « Achille Delporte, ancien maire d’Anhiers est décédé ce jeudi à l’âge de 83 ans. Ses obsèques seront célébrées lundi après-midi. Il a été le premier magistrat de la commune durant dix-neuf ans, de 1995 à 2014. »
- Q. V., « Anhiers : un ancien site minier, classé à l'Unesco, menace de s'effondrer », France 3 Hauts-de-France, : « « Dans deux ans, l'Unesco va revoir tous ses sites, donc s'il est toujours dans cet état, je pense que l'Unesco l'enlèvera de son patrimoine » déplore Nadine Vahé-Mortelette, maire sans étiquette d'Anhiers. »
- Marie-Caroline Debaene, « Orchésis : à un an des municipales, votre maire se représente-t-il ? », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428) :
.« Anhiers. Nadine Mortelette, 59 ans, est aide-soignante et maire depuis 2014. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Anhiers : Parti communiste »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Anhiers (59007) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Bassin Minier Nord-Pas de Calais », sur whc.unesco.org, Unesco .