Monchecourt — Wikipédia
Monchecourt | |||||
Mairie. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Ostrevent | ||||
Maire Mandat | Jean Savary 2020-2026 | ||||
Code postal | 59234 | ||||
Code commune | 59409 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 2 501 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 369 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 18′ 16″ nord, 3° 12′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 66 m | ||||
Superficie | 6,77 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Monchecourt (ville isolée) | ||||
Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | Dix-septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Nord Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
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Monchecourt est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Située à 16 km de Douai (sous-préfecture), 19 km de Cambrai, 20 km de Valenciennes.
Sur la D47 (Arleux, chef-lieu de canton ; Bugnicourt, Auberchicourt, Marchiennes)
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par[1],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[2].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Monchecourt est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Monchecourt[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,8 %), zones urbanisées (17,2 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les lignes 19, 20 et 115 du réseau urbain Évéole ainsi que par la ligne 828 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 3.
Toponymie
[modifier | modifier le code]- 965 Mosterolcurt : titre de l'Abbaye de St-Ghilain. 1147 Monasterrioli curia: cartulaire de l'Abbaye de Saint-Vaast. 1169 Monsterelli curia : cartulaire de l'Abbaye de Saint-Vaast. 1171 Manicurt : charte de Robert de Béthune (Brequigny). 1184 Manchicourt : charte d'Hugo d'Oisy. 1232 : titre de l'Abbaye de Saint-Aubert. 1247 Mauchicourt : titre de Saint-Amé. 1296 Manchicourt : titre de Saint-Amé. 1349 Monstrencourt : pouillé du diocèse de Cambrai[15]
Histoire
[modifier | modifier le code]L'apparition du village de Monchecourt fait suite au défrichement des forêts qui bordent la Sensée. Son nom est cité pour la première fois en 1048 dans les archives de l'abbaye de Marchiennes[16].
D'après les cartes de Cassini, qui sont la référence des noms de communes françaises au XVIIIe siècle, Monchecourt portait alors le nom de Monchicourt.
Les premiers seigneurs appartiennent à la maison de Mancicurt (1048) puis passe aux maisons de Blondel (XVe siècle), de Lallaing (1425) et de Sainte-Aldegonde Noircarmes (1557). Au XVIIIe siècle, elles deviennent propriété du roi d'Espagne[16].
Avant la Révolution française, Monchecourt est le siège d'une seigneurie[17].
Au moment de la Révolution, l'église de Monchecourt est vendue comme bien national. Charles Henne, qui deviendra maire de la commune en décembre 1791, l'achète. Au lieu de chercher à tirer un bénéfice quelconque de son achat, (ex : en démolissant l'église pour vendre des matériaux), il maintient le bâtiment en bon état. À la suite de la signature en 1801 du régime concordataire français, la religion catholique peut de nouveau être exercée librement en France. Charles Henne donne alors l'église à la commune et le bâtiment retrouve sa destination initiale[18].
Au XIXe siècle, le village se consacre à l'exploitation minière après la création de la compagnie d'Azincourt en 1840. Il s'agit de la seule commune de l'Arleusis à s'orienter vers l'industrie minière[16].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune de Monchecourt se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Jean Savary devient maire à la suite des élections municipales de mars 1977[20].
Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-trois sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 823 inscrits, dont 841 votants (46,13 %), 10 votes blancs (1,19 %) et 821 suffrages exprimés (97,62 %). La liste Bien vivre à Monchecourt menée par le maire sortant Jean Savary recueille 476 voix (57,98 %) et remporte ainsi dix-huit sièges au conseil municipal, contre trois pour la liste Monchecourt et vous de Pascale Bodart avec 206 voix (25,09 %) et deux pour la liste À l'écoute et au service de tous menée par Philippe Moine avec 139 voix (16,93 %)[21],[22]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[23]. Le 23 mai, Jean Savary est élu pour un huitième mandat avec dix-huit voix sur vingt-trois, deux vont à Philippe Moine qui s'était également présenté. Il y a trois bulletins blancs[20].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]La mairie de Monchecourt dresse ainsi la liste des maires :
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
François Mathieu Houriez (d) | 1 an et 3 jours | |||
Charles Henne (d) | 21 ans, 4 mois et 12 jours | |||
Henry Tréca (d) | 12 ans, 10 mois et 6 jours | |||
Léopold Héroguez (d) | 5 ans, 8 mois et 25 jours | |||
Jean-Baptiste Momal (d) | 8 ans, 8 mois et 12 jours | |||
Auguste Momal (d) | 15 ans | |||
Antoine Parent (d) | 4 ans | |||
Louis Darthenay père (d) (années 1810 - ) | 21 ans, 4 mois et 16 jours | |||
Augustin Dujardin (d) | 6 ans, 10 mois et 28 jours | |||
Louis Darthenay fils (d) (années 1840 - ) | 23 ans, 7 mois et 28 jours | |||
Charles Darthenay (d) | 8 ans et 10 jours | |||
Jules Després (d) | 5 ans, 5 mois et 6 jours | |||
Henri Masclet (d) (mort le ) | 3 ans, 11 mois et 2 jours | |||
Louis Chantreau (d) | 6 ans et 19 jours | |||
Pierre Vaillant (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 2 ans, 1 mois et 27 jours | ||
Henri Masclet (d) (mort le ) | (mort en cours de mandat) | 5 mois et 8 jours | ||
Jules Cambray (d) | 7 ans | |||
Julien Reco (d) | 8 ans | |||
Auguste Bulté (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 1 an | ||
Auguste Dransart (d) ( - ) | 22 ans et 2 mois | |||
Jean Savary (d)[24],[25],[26],[27],[28],[29],[30] (né le ) | (démission) | 46 ans et 4 jours | Parti socialiste Parti de gauche indépendant | |
Jeanne Roman (d)[31],[32] (née le ) | En cours | 1 an, 8 mois et 18 jours |
- Tombe de Louis Darthenay père et fils.
- Tombe de Pierre Vaillant.
- Tombe d'Auguste Bulté.
- Jean Savary à Pecquencourt en octobre 2019.
- Jeanne Roman élue maire le 31 mars 2023 succède à Jean Savary.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2021, la commune comptait 2 501 habitants[Note 4], en évolution de +0,44 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 243 hommes pour 1 269 femmes, soit un taux de 50,52 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Nicolas aurait été bâtie à la fin du XVIIe siècle et comporte alors trois nefs. Entièrement détruite par la Première Guerre Mondiale, elle est déplacée et reconstruite au centre du village en 1932 dans le style gothique. Seuls les fonts baptismaux de 1685 proviennent de l'ancienne église[16].
- Le cavalier d'Azincourt est une ancienne voie ferrée de sept kilomètres ayant appartenu à la Compagnie des mines d'Azincourt, reliant la cokerie de Monchecourt à Usinor-Denain. Elle passe par Monchecourt, Auberchicourt, Aniche, Émerchicourt, Abscon et Escaudain[39].
- Un important terril est constitué de roches stériles issues de l'exploitation de la fosse Saint-Roch. En 1928, 150.000 tonnes de charbon y étaient produites et une centaine de four à coke fonctionnent en permanence. Le terril et la cokerie sont les derniers vestiges du passé minier de la commune[16].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Seigneurs de Monchecourt
[modifier | modifier le code]- Antoine Blondel, fils de Jacques Blondel seigneur de Cuinchy-le-Prévôt (Cuincy), est seigneur de Monchecourt, Sanssoy, Verquineul (Verquigneul?). Il bénéficie le de l'érection de la terre et seigneurie de Cuinchy-le-Prévôt en baronnie, par lettres données à Monçon en Aragon. Il combat lors des guerres d'Italie et a participé au Grand siège de Malte[17].
Autres personnalité
[modifier | modifier le code]- Roger Facon, né à Monchecourt le
Folklore
[modifier | modifier le code]La commune possède un géant qui se nomme Arthur le Baudet[40],[41].
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Nord
- Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais
- Fosse de Monchecourt de la Compagnie des mines d'Aniche
- Fosses no 1 Saint Roch et no 3 de la Compagnie des mines d'Azincourt
Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Monchecourt » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale de Monchecourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Monchecourt et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Monchecourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Monchecourt ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- page 195 - Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes par Eugène Mannier - 1861- éditeur Auguste Aubry 16 rue Dauphine à Paris- archive de l'université d'Oxford bibloteca Bodletana - numérisé par Google Books le 14 septembre 2006
- Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 76-77
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 165, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 228, lire en ligne.
- http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59409 « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
- « À 82 ans, Jean Savary repart pour un nouveau mandat », L'Observateur du Douaisis, no 907, , p. 20.
- « Élections municipales, Monchecourt », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 34.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Monchecourt », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 10.
- « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
- « Municipales à Monchecourt : Jean Savary, trente-sept ans de mandat, encore et toujours candidat », La Voix du Nord, : « Et une septième candidature pour Jean Savary, maire depuis 1977… « J’ai reçu beaucoup de sollicitations explique-t-il. [...] M. Savary est entré en politique sous la bannière du Parti socialiste (PS), qu’il a quitté au moment de la création du Front de gauche, menant des listes d’Union de la gauche. »
- Bruno Place, « Monchecourt : à 80 ans, Jean Savary brigue à nouveau le poste de maire », L'Observateur du Douaisis, : « Né le 30 janvier 1939, maire depuis mars 1977, à 80 ans Jean Savary se remet donc en campagne électorale. »
- Joël Venel, « Monchecourt : Jean Savary élu maire pour la huitième fois », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Sans surprise Jean Savary fut élu avec 18 voix sur 23, deux voix allant à Philippe Moine. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Monchecourt : sans étiquette »
- Bruno Place, « Cœur d’Ostrevent : le président Frédéric Delannoy s’entoure de 14 vice-présidents », L'Observateur du Douaisis, (ISSN 0183-8415 et 1639-2221, lire en ligne) :
.« 7e vice-président, Jean Savary, maire de Monchecourt, délégué à la gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations (GEMAPI) et au cycle de l’eau »
- « Monchecourt : doyen des maires du Douaisis, Jean Savary devrait passer la main en mars », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne).
- « Monchecourt : élu depuis 1977, Jean Savary quitte son fauteuil de maire ce vendredi », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne).
- « Monchecourt : Jeanne Roman est la nouvelle maire de la commune », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne).
- « À Monchecourt, Jeanne Roman succède à Jean Savary, maire depuis 1977 », La Voix du Nord, Lille, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Monchecourt (59409) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Requalification du cavalier d'Azincourt » (consulté le ).
- « Auberchicourt : Aubert le loup entre officiellement dans la cour des géants », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, : « Tous ses amis géants des communes alentour étaient là : le Baudet, de Monchecourt, Fraisinou, d'Écaillon, Floris de Montmorency, de Montigny-en-Ostrevent, Philipotte de Lannoy, d'Hordain et Kopierre, d'Aniche. ».
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15