Aubussargues — Wikipédia
Aubussargues | |||||
Le château. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Nîmes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays d'Uzès | ||||
Maire Mandat | Christian Chabalier 2020-2026 | ||||
Code postal | 30190 | ||||
Code commune | 30021 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 318 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 00′ 28″ nord, 4° 19′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 213 m | ||||
Superficie | 8,52 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Uzès (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Uzès | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Gard Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative) | |||||
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Aubussargues est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Bourdic et par un autre cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Aubussargues est une commune rurale qui compte 318 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès. Ses habitants sont appelés les Aubussargois ou Aubussargoises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Hydrographie et relief
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 3,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzès à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].
La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[9],[10].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[11] : la « forêt de Massargues » (268 ha), couvrant 2 communes du département[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Aubussargues est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (33,5 %), forêts (33,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4 %), terres arables (7,3 %), zones urbanisées (4,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune d'Aubussargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Bourdic. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1994, 1995, 2002, 2005 et 2014[16],[14].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 206 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 206 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1983[14].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Époque moderne
[modifier | modifier le code]Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2021, la commune comptait 318 habitants[Note 3], en évolution de −5,64 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 136 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 318 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 890 €[I 5] (20 020 € dans le département[I 6]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 7] | 9,3 % | 7,7 % | 5,5 % |
Département[I 8] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 201 personnes, parmi lesquelles on compte 71,1 % d'actifs (65,7 % ayant un emploi et 5,5 % de chômeurs) et 28,9 % d'inactifs[Note 5],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Uzès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 35 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 41 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 136, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,8 %[I 11].
Sur ces 136 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 90,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 1,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]25 établissements[Note 6] sont implantés à Aubussargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 25 entreprises implantées à Aubussargues), contre 30 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
[modifier | modifier le code]Domaine Clos Galant : domaine viticole, vente de vins.
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 20 | 17 | 11 | 8 |
SAU[Note 8] (ha) | 420 | 272 | 227 | 247 |
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[24]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 10] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 247 ha[26],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Édifices civils
[modifier | modifier le code]- Le château a été remanié au XXe siècle. Seules les pièces du rez-de-chaussée, voûtées en arêtes, datent du bâtiment primitif, érigé au début du XVIIe siècle, par la famille de Vergèze d'Aubussargues. En 1804, il passe, par héritage, à la famille Boileau de Castelnau, puis en 1860, au marquis Camille Mathéi de Valfons, qui le transmet à sa fille Marie Valérie, épouse d'Alfred d'André. Détruit par un incendie en 1897, le château est reconstruit et surélevé d'un étage (toit en ardoises, poivrières sur les tours, aménagements intérieurs, sol, cheminée). En 1921, le château passe au baron Félix d'André, époux de Maria de Althaus. Il est ensuite la propriété de Joseph d'André, époux de Denise Bailhache, puis de son fils Emmanuel. Les fermes à l’arrière du château, constituent en partie les bâtiments composant le château médiéval. Il reste de belles voûtes et des encadrements en quart de rond, datant du XIIIe siècle. La rue menant au temple passe par l'ancienne cour du château primitif.
- La co-seigneurie d'Aubussargues, 1 rue de la Mairie (XVe et XVIe siècles) appartient à noble Jean Milon, co-seigneur d'Aubussargues, régent de la Vicomté d'Uzès, au XVe siècle. C'est un bien noble, comme le château, qui n'est pas soumis alors à l'impôt royal, appelé la taille. En 1547, elle passe à la famille de Morel, par héritage des Milon, puis aux de Brueys. Début XVIIe, elle est achetée par Nicolas de Vergèze. En 1676, elle est vendue par Madelaine de Gasc, épouse de noble Claude de Vergèze, à la famille Nouet, dont ses membres sont maîtres cardeurs et consuls d'Aubussargues. Elle appartient toujours à leurs descendants. Le décor et la fenêtre à meneau sont de style Renaissance, l'écu armorié sculpté sur le linteau de la cheminée, du XVe siècle, et la porte ogivale, du XIVe siècle. Une pièce du 1er étage conserve une fenêtre au décor exceptionnel, datant de la fin du XVe siècle, décorée de moulures croisées, composées de tores, lisses et torsadés et de gorges. Les pièces voûtées en arêtes ou en berceau du rez-de-chaussée, remontent au Moyen Âge. Le puits banal, dit du seigneur, taillé dans la roche, est encore plus ancien.
- Le petit patrimoine est important :
- puits ;
- vieilles bâtisses ;
- lavoir ;
- capitelles ;
- moulins à eau et à vent ;
- moulin à huile dans le village.
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul se situe sur la place. Dans la deuxième moitié du XVIe siècle, elle devient le temple des réformés, le village étant entièrement protestant. Elle n'est rendue au culte catholique qu'en 1685, lors de la révocation de l'édit de Nantes.
- Le temple protestant a été construit en 1845.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Voir Livre de JC Galant, Histoire des demeures historiques d'Aubussargues XIIIe – XXe siècles, éditions La Fenestrelle, 2022.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De sinople au pal losangé d'or et de sable[27]. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[25].
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Uzès », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Aubussargues » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Aubussargues » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Aubussargues » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Aubussargues » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aubussargues et Uzès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Uzes » (commune d'Uzès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Uzes » (commune d'Uzès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Réserve de biosphère des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le ).
- « Gorges du Gardon - zone tampon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aubussargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt de Massargues » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune d'Aubussargues », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Aubussargues », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Aubussargues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Le blason de la commune sur « Gaso »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur labanquedublason2.com (consulté le ).