Castillon-du-Gard — Wikipédia
Castillon-du-Gard | |||||
Le village vu depuis le pont du Gard. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Nîmes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays d'Uzès | ||||
Maire Mandat | Muriel Dherbecourt 2020-2026 | ||||
Code postal | 30210 | ||||
Code commune | 30073 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Castillonnais | ||||
Population municipale | 1 676 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 96 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 58′ 15″ nord, 4° 33′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 194 m | ||||
Superficie | 17,38 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Redessan | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Gard Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative) | |||||
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Castillon-du-Gard est une commune française située dans l'est du département du Gard, en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Valliguière et par deux autres cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (« le Gardon et ses gorges » et les « gorges du Gardon »)
Castillon-du-Gard est une commune rurale qui compte 1 676 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Ses habitants sont appelés les Castillonais ou Castillonaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : la chapelle Saint-Caprais de Castillon-du-Gard, inscrite en 1945, deux immeubles, inscrits en 1972, et l'ancienne forge de Castillon-du-Gard, inscrite en 1985.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située à 25 km de Nîmes et 27 km d'Avignon. Elle est desservie par l'autoroute A9 (sortie 23 Remoulins).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le Bassin Rhône-Méditerranée-Corse.
Le territoire de la commune est traversé par la Valiguière, le ruisseau de Font Grasse et le ruisseau de la fontaine du Cérier[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 749 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 2,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzès à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].
La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[10],[11].
Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[13] :
- « le Gardon et ses gorges », d'une superficie de 7 009 ha, présentant une importante diversité des habitats et des espèces. Les nombreuses grottes permettent d'accueillir une bonne diversité de Chiroptères. Dans les gorges, se trouvent des formations de Chênes verts peu perturbées avec des espèces particulièrement rares (Cyclamen des Baléares)[14]
et un au titre de la directive oiseaux[13] :
- les « gorges du Gardon », d'une superficie de 7 024 ha, abritant trois espèces de rapaces remarquables, l'Aigle de Bonelli, le Circaète Jean-le-Blanc et le Vautour percnoptère[15].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Castillon-du-Gard est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40 %), cultures permanentes (29,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,8 %), zones urbanisées (10 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), mines, décharges et chantiers (1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Axes ferroviaires
[modifier | modifier le code]Axes routiers
[modifier | modifier le code]Transports en commun
[modifier | modifier le code]Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Castillon-du-Gard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Valliguière. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1988, 1990, 1998, 2002, 2003, 2004 et 2005[19],[17].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 51,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 820 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 547 sont en aléa moyen ou fort, soit 67 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe A[Note 2] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[24].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations anciennes
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Castilio en 1207 ; C. de Castellione en 1211 ; Castillo en 1265 ; Castrum Castilionis en 1307 ; Castillio en 1384 ; Locus Castilhonis en 1495 ; Castilhon en 1551 ; Le prieuré Saint-Cristofle de Castilhon en 1620 ; Castilion-du-Gard en 1694[25], Castillon du Gard en 1793 ; Castillon et Castillon-du-Gard depuis 1801[26].
Occitan Castihoun, Castilhou, du roman Castilhon, Castelhon, Castelhoo, du bas latin Castillio, Castillo, Castilio, Castellio[27].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Époque moderne
[modifier | modifier le code]Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Castillonnais[28].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2021, la commune comptait 1 676 habitants[Note 3], en évolution de +2,01 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Le village accueille pour la première fois Le Grand Festival International des Mecs qui Jouent sur un Tabouret les 31 mai et 1er juin 2014 sur le site communal des anciennes carrières de la SNET. Le festival se tient sous un chapiteau de cirque de 700 m2.
Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 656 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 1 612 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 100 €[I 5] (20 020 € dans le département[I 6]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 6,2 % | 11,6 % | 8,2 % |
Département[I 8] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 006 personnes, parmi lesquelles on compte 78,6 % d'actifs (70,4 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs) et 21,4 % d'inactifs[Note 5],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 10]. Elle compte 357 emplois en 2018, contre 319 en 2013 et 337 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 717, soit un indicateur de concentration d'emploi de 49,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,3 %[I 11].
Sur ces 717 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 143 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 89,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]208 établissements[Note 6] sont implantés à Castillon-du-Gard au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 208 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 14 | 6,7 % | (7,9 %) |
Construction | 32 | 15,4 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 78 | 37,5 % | (30 %) |
Information et communication | 5 | 2,4 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 5 | 2,4 % | (3 %) |
Activités immobilières | 7 | 3,4 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 27 | 13 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 18 | 8,7 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 22 | 10,6 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (78 sur les 208 entreprises implantées à Castillon-du-Gard), contre 30 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[32] :
- Jad Groupe, activités des sociétés holding (2 240 k€) ;
- Société Hôtelière De Castillon Du Gard, hôtels et hébergement similaire (1 359 k€) ;
- Isobox, fabrication de structures métalliques et de parties de structures (749 k€) ;
- L'amphitryon, restauration traditionnelle (321 k€) ;
- Fadilec Consulting, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (192 k€).
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 39 | 23 | 21 | 22 |
SAU[Note 9] (ha) | 433 | 390 | 323 | 353 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 23 en 2000 puis à 21 en 2010[35] et enfin à 22 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[36],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 433 ha en 1988 à 353 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 11 à 16 ha[35].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments historiques
[modifier | modifier le code]La commune est riche de quatre monuments historiques :
- la chapelle Saint-Caprais. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [37] ;
- l'immeuble, références cadastrales E 81, début de construction du Xe siècle. Les façades et les toitures sur rue font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [38] ;
- l'immeuble, références cadastrales E 120, 124, 438, début de construction du Xe siècle. Les façades et les toitures sur rue font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [39] ;
- l'immeuble dit ancienne forge, également appelée « ancien presbytère », rue du Presbytère, début de construction du XIIIe siècle. Les éléments du décor architectural de la façade sur rue, ainsi que de l'ancien balcon sur la cour font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [40].
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Christophe de Castillon-du-Gard.
- La chapelle dite chapelle romane de Castillon-du-Gard.
- La chapelle Saint-Christophe de Castillon-du-Gard.
- Villa gallo-romaine de la Gramière
- La fontaine Castelione
- Moulin à vent
- Une ruelle et le clocher de l'église Saint-Christophe.
- Église Saint-Christophe.
- Chapelle dite chapelle romane de Castillon-du-Gard.
- Chapelle Saint-Christophe de Castillon-du-Gard.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Chabanon (1801-1878), député du Gard, né dans la commune.
- Pierre Parsus (1921-2022), artiste-peintre, a habité dans la commune.
La commune dans les arts
[modifier | modifier le code]Le village a servi de cadre à l'émission télévisée Coup de foudre au prochain village, diffusée sur TF1 en janvier 2013[réf. souhaitée].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Castillon-du-Gard se blasonnent ainsi : D'argent à la bande losangée d'or et d'azur[41]. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Castillon-du-Gard sur le site de l'Office de Tourisme du Pont du Gard »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ot-pontdugard.com (consulté le )
- « Castillon-du-Gard sur le site de l'Institut géographique national », sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Castillon-du-Gard », sur insee.fr (consulté le )
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Castillon-du-Gard ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Castillon-du-Gard » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Castillon-du-Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Castillon-du-Gard » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Castillon-du-Gard » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Cours d'eau de la commune », sur le site du Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Castillon-du-Gard et Uzès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Uzes » (commune d'Uzès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Uzes » (commune d'Uzès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Réserve de biosphère des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le ).
- « Gorges du Gardon - zone tampon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Castillon-du-Gard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101395 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9110081 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Castillon-du-Gard », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Castillon-du-Gard », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 493, t.1
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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