Buxières-sous-Montaigut — Wikipédia

Buxières-sous-Montaigut
Buxières-sous-Montaigut
Chevet de l'église Saint-Pardoux.
Blason de Buxières-sous-Montaigut
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Éloy
Maire
Mandat
Roger Ollier
2020-2026
Code postal 63700
Code commune 63062
Démographie
Gentilé Buxiérois[1]
Population
municipale
237 hab. (2021 en évolution de −0,42 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 12′ 14″ nord, 2° 50′ 55″ est
Altitude Min. 491 m
Max. 631 m
Superficie 10,88 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Éloy-les-Mines
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Éloy-les-Mines
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Buxières-sous-Montaigut
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Buxières-sous-Montaigut
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Buxières-sous-Montaigut

Buxières-sous-Montaigut est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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Buxières-sous-Montaigut est située au nord-ouest du département du Puy-de-Dôme.

Cinq communes sont limitrophes, dont une dans le département limitrophe de l'Allier[2] :

Communes limitrophes de Buxières-sous-Montaigut
La Celle (Allier) Lapeyrouse
Buxières-sous-Montaigut Durmignat
Montaigut Saint-Éloy-les-Mines

Voies de communication et transports

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La commune est traversée par les routes départementales 13 (reliant Lapeyrouse à Montaigut), 92 (vers Les Quatre Routes et Le Monteix, commune de Lapeyrouse, et Saint-Éloy-les-Mines) et 518 (vers Durmignat)[2].

À l'est du territoire communal, il existait une halte sur la ligne de Lapeyrouse à Volvic, à Lannet. Tout trafic ferroviaire est suspendu sur cette ligne ; la gare la plus proche ouverte au trafic voyageurs est située à Lapeyrouse.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 819 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Echassières_sapc », sur la commune d'Échassières à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Buxières-sous-Montaigut est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Éloy-les-Mines, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (63,1 %), zones agricoles hétérogènes (31,6 %), forêts (5,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
  • (la) Domus hospitalis de Buxeria et villa de Buxeria (1280)[14]
  • (fr1835) Bussiere Hierusalem (1678)[15]
  • Buxieres (1793)[16].
  • Bussière-sous-Montaigu / Buxières-sous-Montaigut (1801)[16]

Le village est nommé Bussiére ou Jerusalem en bourbonnais du Croissant, zone de transition entre occitan et langue d'oïl, dont fait partie la commune[17].

Avant 1789, bien que située dans le département du Puy-de-Dôme, la commune faisait partie de la province du Bourbonnais[18].

Les Hospitaliers

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L'existence d'une maison de l'Hôpital dite de « Buxière-Jérusalem » est attestée depuis 1280[19]. On retrouve ensuite cette maison parmi les membres de la commanderie de Lavaufranche au sein du grand prieuré d'Auvergne[20]. Le commandeur des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem nommait la cure, détenait de nombreux immeubles, il y percevait des rentes et prélevait la moitié de la dîme. Cette paroisse hospitalière faisait alors partie du diocèse de Bourges[21]. La commanderie de Buxières-Jérusalem fut démantelée et ses biens vendus aux enchères en l'an II pour la somme de 72520 livres[22].

Héraldique

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Blason de Buxières-sous-Montaigut Blason
Coupé : au 1er d'or à la branche de buis de sinople posée en fasce, au 2e de gueules à la croix potencée d'argent cantonnée de quatre croisettes du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Buxières-sous-Montaigut est membre de la communauté de communes du Pays de Saint-Éloy[10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Éloy-les-Mines[23]. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24]. De 2013 à 2016, elle était membre de la communauté de communes du Pays de Saint-Éloy-les-Mines[25].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[10]. Elle faisait partie du canton de Montaigut jusqu'en [26].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Éloy-les-Mines pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[10], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[26].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Le conseil municipal de Buxières-sous-Montaigut, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[27] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[28]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des candidats en lice est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 68,68 %[29].

Chronologie des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1953 1993 Roger Masle SFIO puis PS Agriculteur, délégué à l'Education nationale
Résistant, Chevalier de la Légion d'honneur
suppléant du député Edmond Vacant
1993 2014 Paul Buvat DVG élu au conseil municipal depuis 1977
2014
(réélu le [30])
En cours
(au )
Roger Ollier DVG  

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 237 habitants[Note 2], en évolution de −0,42 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
440409365409425486514482535
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
422378401454429486501485518
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
507494463411399405371370355
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
376329288261243243246248239
2015 2020 2021 - - - - - -
238235237------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Buxières-sous-Montaigut dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

Les élèves de la commune commencent leur scolarité à l'école élémentaire publique de la commune[34]. Ils poursuivent au collège Alexandre-Varenne de Saint-Éloy-les-Mines[35] puis au lycée Virlogeux de Riom pour les filières générales et STMG, ou au lycée Pierre-Joël-Bonté, à Riom, pour la filière STI2D[36]. Ces derniers bénéficient d'une double sectorisation dans la commune : ils peuvent aussi fréquenter les lycées du bassin de Montluçon[37].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Buxières sous Montaigut possède un château datant du XIVe siècle.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • André-Georges Manry, Histoire des communes du Puy-de-Dôme : arrondissement de Riom, t. II, Editions Horvath, , 479 p. (ISBN 978-2-7171-0449-3, présentation en ligne)
  • J. Semonsous, « Entre Cher et Sioule, la Révolution de 1789 a-t-elle donné la terre aux paysans ? D'après les ventes de biens nationaux dans le district de Montaigut (Puy-de-Dôme) », Revue d'Auvergne, t. 73,‎ , p. 176-... (présentation en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Buxières-sous-Montaigut (63700) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
  2. a et b Géoportail (consulté le 20 avril 2017).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Buxières-sous-Montaigut et Échassières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Echassières_sapc », sur la commune d'Échassières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Echassières_sapc », sur la commune d'Échassières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Buxières-sous-Montaigut ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Éloy-les-Mines », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  14. Jean-Bernard de Vaivre, « Les six premiers prieurs d'Auvergne de l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres, vol. 141, no 4,‎ , p. 991-992 (lire en ligne).
  15. Guillaume Sanson, « Carte de la partie du diocèse de Bourges où sont les archidiaconés de Bourbon, de Bruère et de Narzene », sur Gallica, .
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, .
  18. Didier Robert de Vaugondy (cartographe) et Elisabeth Haussard (graveur), Gouvernemens généraux de la Marche, du Limousin, et de l'Auvergne (carte), Paris, Robert de Vaugondy fils, , lire en ligne sur Gallica
    Buxières-sous-Montaigut figure sur cette carte avec le nom « Jerusalem ».
    .
  19. Pierre-Frédéric Philippon, « Implantations et réseaux hospitaliers en Bourbonnais (XIIIe – XVe siècle) », dans Damien Carraz (dir.) et al., Les établissements hospitaliers dans le massif central et ses périphéries au Moyen Âge : des territoires aux réseaux, Presses universitaires Blaise Pascal, (ISBN 978-2-8451-6668-4, lire en ligne), p. 36.
  20. Philippon 2014, p. 38.
  21. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 148, lire en ligne sur Gallica
    Voir également la carte de Guillaume Sanson, Partie du diocèse de Bourges où sont les archidiaconés de Bourbon, de Bruère et de Narzene, 1678,lire en ligne sur Gallica.
    .
  22. Semonsous 1959, p. 183-184.
  23. Arrêté no 16-02964 du 19 décembre 2016 « prononçant la fusion des communautés de communes « Saint-Eloy Communauté », « de Pionsat » et « Cœur de Combrailles » étendue aux communes de Servant, Menat, Teilhet, Neuf-Eglise et Virlet […] à compter du  », et arrêté rectificatif no 16-02981 du 22 décembre 2016, parus au recueil des actes administratifs no 63-2016-065 [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, 23 décembre 2016 (consulté le 23 décembre 2016), p. 114-126 et 140-142.
  24. « CC du Pays de Saint-Eloy (No SIREN : 200072080) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  25. « CC du Pays de Saint-Eloy (No SIREN : 200035178) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  26. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  27. Article L. 252 du Code électoral.
  28. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. « Roger Ollier a été réélu maire de Buxières-sous-Montaigut (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur education.gouv.fr, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  35. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ) ; taper « BUXIERES-SOUS-MONTAIGUT » dans le formulaire de saisie.
  36. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  37. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme - Communes limitrophes de l'Allier bénéficiant d'une double sectorisation pour le lycée » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).