Denis Castellas — Wikipédia
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Mouvement | situé entre Supports/Surfaces et Nouvelle figuration |
Denis Castellas est un artiste peintre, dessinateur, graveur et sculpteur français né le à Marseille. Il vit et travaille à Nice et à New York.
Biographie
[modifier | modifier le code]Présentant dans sa première exposition de 1974 des tableaux de petits formats constitués de croix monochromes qu'il évoque lui-même comme « traversés par des références à l'art de l'époque »[1] (il percevra rétrospectivement ces premiers travaux comme proches de Roman Opalka[2]), Denis Castellas n'en est pas moins totalement figuratif dans sa deuxième exposition, chez Anne et Jean-Pierre Roger à Nice en 1976. Il est ainsi remarqué comme appartenant à la génération française située entre Supports/Surfaces et la Nouvelle figuration des années 1980[3]. Dans son approche de ce dernier mouvement, en 1982, Pierre Cabanne souligne « les perceptions plus sensibles de Denis Castellas » qu'il oppose ainsi, en même temps que Patrick Lanneau, « à la violence d'expression insolente et braillarde de Robert Combas, de Rémi Blanchard, d'Hervé di Rosa ou du groupe "En Avant comme Avant" »[4].
Il fait partie en 1980, avec notamment Henri Fabregat, Frédéric Fenollabbate, Claude Goiran, Patrick Lanneau, Gérard Serée (en) et Gérald Thupinier, du collectif de jeunes artistes qui fonde au n°8 de la rue Saint-Vincent, à Nice, le groupe dit « l'Atelier »[5].
C'est pour sa part dès 1983 que Gérard Xuriguera positionne Denis Castellas, avec notamment Pierre Buraglio, Dominique Thiolat, Lionel Godart, Tony Soulié, Marcel Alocco, Christian Sorg, Christian Bonnefoi, Pierrette Bloch, Patrick Lanneau, Jean Mazeaufroid, Jean-Paul Huftier et Laura Lamiel, parmi les artistes émergents qui s'inscrivent dans le renouveau de l'art abstrait en obéissant « à des pulsions et à des savoirs qui ne sont plus symboliques, puisqu'ils entendent démonter les mécanismes de la peinture, où l'idéologie n'interfère peut-être plus, où les sentiers tortueux de la théorie ne sont peut-être plus aussi contraignants, mais tous ont conscience d'appartenir à une génération qui a eu le mérite de poser des questions nécessaires et essentielles à l'objet de leur représentation »[6].
L'exposition que lui consacre en 2009 le Musée d'Art moderne et contemporain de Genève restitue que, des années 1980 à la fin des années 1990, « il utilise toutes sortes de supports et de matériaux (feuilles, toiles, panneaux en bois, objets récupérés…) pour produire des constructions fragiles, bricolées, des pièces bien souvent fragmentaires marquées du sceau de l'inachèvement, voire de la destruction »[1]. Il se recentre ensuite exclusivement vers la peinture.
À partir de 2010 où il passe une année entière à New York avec le soutien de la Triangle Arts Association et de l'ambassade de France et où il connaît sa première exposition personnelle aux États-Unis[7],[8], sa vie se partage entre deux ateliers situés à Nice et à Brooklyn[9].
Si une large période de son œuvre s'étend jusqu'en 2012 sur le thème des personnages et de l'effacement, Denis Castellas propose ensuite un travail plus abstrait qui lui offre de confirmer à Clément Coutelle : « j'ai éliminé les personnages de mes œuvres. Je souhaitais enlever cet aspect psychologique. Quand on regarde les personnages, on oublie de regarder la peinture »[10].
Contributions bibliophiliques
[modifier | modifier le code]- Le théorème décalé, portfolio 6 pages rehaussées à l'aquarelle comprenant 34 gravures et 17 textes, 30 exemplaires numérotés et signés, atelier Pascal Paradis, Nice, 1971.
- 1, 2, 3 Rimbaud (avec Jacques Demarcq), portfolio d'estampes, 40 exemplaires numérotés, 2009.
Expositions
[modifier | modifier le code]Expositions personnelles
[modifier | modifier le code]- Musée d'art moderne et d'art contemporain de Nice, 1980.
- Galerie Anne Roger, Nice, 1981[11].
- Galleria del Academia, Bologne, 1981.
- Galerie Françoise Palluel, Paris, 1982[11].
- Galerie communale San Pietro Terme, Bologne, 1986[11].
- Galerie Latitude, Nice, décembre 1988 - janvier 1989[11].
- Villa Arson, Nice, mai-juin 1989, mai-juin 1995[12].
- Galerie Jean-François Dumont, Bordeaux, 1989, 1995, 1997[11].
- Galerie Charles Cartwright, Gand, 1989, 2003.
- Galerie Christiane Chassay, Montréal, 1992.
- Denis Castellas - Retour de rêves, La Criée, Rennes, 1993.
- Musée Picasso, Antibes, avril-juin 1999[13].
- Fonds régional d'art contemporain de Bourgogne, Dijon, septembre-octobre 1999.
- Galerie du Carrousel, Paris, 2000.
- Galerie Vasistas, Montpellier, 2002[14].
- La Chaufferie, galerie de l'École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg, novembre 2003 - janvier 2004[15].
- Galerie Éric Mircher, Paris, juin-juillet 2007[16], mai-juillet 2008[17].
- Denis Castellas - The Trouble with bubbles, Musée d'Art moderne et contemporain, Genève, juin-septembre 2009[1].
- Parker's Box Gallery, Brooklyn, New York, octobre-décembre 2010[8].
- Galerie Ceysson et Bénétière, Saint-Étienne, février-mars 2012[18], juin-juillet 2021.
- Galerie Bernard Ceysson, Genève, mars 2013[19].
- Galerie Cesson et Bénétière, Genève, 2013[20].
- Musée national Marc-Chagall, Nice, juin-octobre 2014[21],[22],[23].
- Galerie Bernard Ceysson, Saint-Étienne, janvier-mars 2015[10].
- École supérieure d'art et design de Valence, novembre 2015[24].
- Théâtre des 13 vents, Montpellier, décembre 2018.
- Galerie Porte avion, Marseille, 2018, août-octobre 2019[25].
- Vitrine régionale d'art contemporain, Millau, septembre-novembre 2019[26],[27].
- Galerie Cesson et Bénétière, New York, décembre 2019 - janvier 2020[20].
- Galerie Cesson et Bénétière, Saint-Étienne, juin-juillet 2021[28].
Expositions collectives
[modifier | modifier le code]- Chez Malabar et Cunégonde, Nice, 1974[29].
- Grands formats, Galerie Anne Roger, Nice, 1976.
- Dessin'Nice, Galerie Calibre 33, Nice, 1980.
- Galerie Françoise Palluel, Paris, 1981.
- Biennale de Tours, 1985.
- Denis Castellas, Vivien Isnard, Galerie des Beaux-Arts, Nantes, 1986.
- Jean Azemard, Denis Castellas, Galerie Carreton-Laune, Nîmes, 1988.
- Lointains imaginaires, Galerie Latitude, Nice, 1990.
- Biennale de Lyon, 1991.
- Denis Castellas, Fabrice Hybert, Jean Laube, ateliers Lorette, Marseille, 1993.
- Un siècle d'arpenteurs - Les figures de la marche de Warhol à Naumann, Musée Picasso, Antibes, 2000.
- Voici - Cent ans d'art contemporain, palais des Beaux-Arts de Bruxelles, 2001.
- Tableaux-écrans, Galerie des Filles du calvaire, Paris, mars-[30].
- Présences contemporaines 2 - Œuvres de la collection du FRAC Provence-Alpes-Côte d'Azur Bibliothèque universitaire de Nice, - [3].
- Silhouettes, Musée régional d'Art contemporain Occitanie, Sérignan, janvier-[31],[32].
- Le travail de rivière, Crédac, centre d'art contemporain d'Ivry-sur-Seine, février-[33].
- La sculpture autrement, Eco'Parc, Mougins, juin-[34].
- Collectionneurs en situation, Espace de l'art concret, château de Mouans, Mouans-Sartoux, juin-[35].
- L'art contemporain et la Côte d'Azur - La peinture en avant, Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice, juin-[36].
- Les collections du Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice, Galerie des Ponchettes, Nice, [37].
- E-motion : le regard d'un collectionneur : Bernard Massini, Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence, janvier - [38],[39].
- Seize artistes, années 89, CirCa, Arles, avril-[40].
- Un regard sur la collection du musée d'art contemporain, École supérieure des beaux-arts de Nîmes, juin-[41],[42].
- Un mural, des tableaux, Le Plateau (FRAC Île-de-France), Paris, janvier-[43].
- 5/5 - Œuvres de la collection du FRAC Île-de-France, Le Carré, Vincennes, [44].
- Exposition de l'UNAM, galerie d'art contemporain de palais de l'Europe, Menton (Alpes-Maritimes), [45].
- Non figuratif - Un regain d'intérêt ?, abbaye Saint-André de Meymac, .
- Impressions d'ateliers - La création contemporaine sur la Côte d'Azur, château Grimaldi, Cagnes-sur-Mer, - [46].
- La peinture à l'huile, c'est bien difficile, FRAC Occitanie, Montpellier, .
- Le palais Lascaris revisité, palais Lascaris, Nice, - [47].
- Galerie Catherine Issert, Saint-Paul-de-Vence, - (Collection de dessins), - (La possibilité d'une collection), juin- (Figures).
- Denis Castellas, Joe Fyfe, Sherman Sam, Galerie Ceysson et Bénétière, Koerich, février-[48],[49].
- L'esprit d'une collection, les donateurs, Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence, - [50].
- Inépuisable bestiaire - Œuvres de la collection du FRAC, Centre culturel de Saint-Raphaël (Var), janvier-[51].
- Collection Nina et Jean-Claude Mosconi - Une affaire de passion, Maison Zervos, Vézelay, juin-[52].
- Provence - Côte d'Azur, Maison des Arts de Créteil, 2020.
- La partie reversée - Œuvres de la collection du FRAC Bourgogne, Halle 38, ateliers de la ville de Dijon, juin-[53].
Citations
[modifier | modifier le code]Dits de Denis Castellas
[modifier | modifier le code]- « Les tâches peuvent être des fleurs, des planètes ou des masques. Les choses ne sont pas forcément ce que l'on croit. L'inconscient joue beaucoup. Je ne peins pas la peinture, l'important c'est ce que l'on est. Ces points sont comme une ponctuation dans l'espace. J'aime l'idée de hasard. Je me laisse porter par les sentiments, les sensations, sans aucune théorisation. » - Denis Castellas[10]
- « Les sujets n'ont pas d'importance, ils ne donnent pas de sens, ce sont des vecteurs. Picasso disait : "un tableau, c'est de la poésie non avec des mots, mais avec des signes". Comme les ombres chinoises qui creusent la toile, que ce soit le propre profil de l'artiste ou celui de Cézanne, ils donnent un point d'accroche à l'aventure créative. » - Denis Castellas[28]
Réception critique
[modifier | modifier le code]- « De tous temps, le travail de Castellas a contenu des provocations : "je peins des petits dessins figuratifs parce que vous n'en voulez pas". Mais je crois que son propos se situe plus entre David Hockney et Martial Raysse que vers Rainer Fetting et Julian Schnabel. Depuis 1979, le travail de Castellas s'est affirmé tout en gardant son esprit de provocation et sa veine romantique. Ses grandes toiles romantiques dont, par exemple, Françoise assise dans un fauteuil, me semblent très personnelles. » - Ben[54]
- « Un artiste qui a de l'or dans les doigts et des fantômes dans la tête. » - Thierry de Duve[55]
- « L'œuvre de Castellas est protéiforme : de petites constructions de métal et de papier voisinent avec de grandes feuilles de papier kraft et de grands panneaux de bois. L'extrême dénuement, la fragilité et le peu de moyens sont une constante des travaux, parfois éclairés du visage d'artistes comme Proust, Mapplethorpe ou Mozart. » - Dictionnaire Bénézit[11]
- « Il y a du fantôme en Denis Castellas et du fantomatique dans sa peinture. Né en 1951 à Marseille, vivant à Nice, il expose de temps en temps, sans souci de stratégie. Même liberté dans ses toiles. Les dernières ont pour sujet les jambes des femmes, des buveurs ou le Songe d'une nuit d'été. Cette œuvre semble en effet écrite pour lui : joueuse étrange, elle pirouette du pathétique au burlesque, et Shakespeare y revêt de costumes de fantaisie des vérités de moraliste. Castellas sait aussi se montrer léger et pénétrant. Ses buveurs, au premier regard, n'évoquent que la mondanité, mais se révèlent les tristes incarnations de l'hébétude et de l'ennui. Ils sont tout juste esquissés et cela suffit. Les jambes des belles ne s'attachent à aucun corps : elles passent comme dans un rêve érotique fragile. Quant aux toiles d'après le Songe, Castellas s'y délecte de figures en costumes d'époque, de cuirasses et de draperies qui n'enveloppent que le vide. » - Philippe Dagen[16]
- « Son iconographie éclectique résonne d'images faussement anodines et de souvenirs d'enfance parfois travestis par des références à l'histoire de l'art. Un humour nonchalant masque le tragique, sans une note de cynisme et d'ironie. Chez Castellas, l'œuvre est fragile, incongrue, ni achevée, ni inachevée. Travailler comme un peintre abstrait - ce qu'il n'est pas - est sa méthode. La peinture se morcelle jusqu'à sa déstructuration et son effacement, métamorphosée au cours d'un processus faisant naître de nouvelles figures. Placées sous le signe de l'étrange, le dénuement de ses constructions sur d'immenses toiles reflète la profondeur vide d'un désœuvrement. » - Stéphanie Delpeuch[32]
- « Denis Castellas qui, par ailleurs, reproduit des motifs de papiers peints ou de couvertures, de manière à toujours en revenir à la trame - trame des jours, trame où s'inscrivent les motifs, les lettres -, s'entend à capter l'attention tout en réduisant ses moyens, jusqu'à une expression particulièrement ténue. De la figure, il ne subsiste plus que quelques ombres, la forme ajourée d'une théière très British, une vague allusion à une carriole immobilisée derrière un cheval à l'arrêt. Et les lettres, ces lettres dont la présence sur la toile crée un dialogue entre l'écrit et l'image, la lettre et l'esprit, la poésie et la peinture. » - Laurence Chauvy[19]
- « C'est à la fois ample et turbulent. Il y a aussi comme une certaine douceur des choses. La peinture de Denis Castellas dégage une énergie singulière et c'est en cela qu'elle n'en finit pas de s'imposer au regard. D'émouvoir, en un mot… À la surface de ses tableaux persiste l'effervescence d'un monde d'images, reflets de l'air du temps, entre cinéma, BD, photo, univers du sport… Denis Castellas vit et travaille entre Nice et New York. Ceci explique peut-être cela. Un grand écart entre des polarités picturales contrastées et fondues en une matière qui est sa signature esthétique. » - Frank Davit[56]
Collections publiques
[modifier | modifier le code]- Musée Picasso, Antibes :
- Fonds régional d'art contemporain d'Aquitaine, Bordeaux Sans titre, photocopie, peinture, zinc, bois, 61x61x3cm, 1990[56].
- Fonds régional d'art contemporain des Pays de la Loire, Carquefou.
- Fonds régional d'art contemporain de Bourgogne, Dijon[61] :
- Sans titre, huit éléments, stylo feutre, glycéro, acier galvanisé, photographie, 21x31cm chacun, 1984-1991.
- Sans titre, bois, carton, enduit, polaroïd, 30x42cm, 1985.
- Sans titre, carton, laiton, 7x10x6cm, 1986.
- Sans titre, bois, mastic et polyester, 11x165x4cm, 1987.
- Sans titre, quatre éléments béton, zinc, fil de fer, 12x23cm ; 9x23cm ; 8x24cm ; 10x25cm, 1987.
- Sans titre, résine, cuir, 51x16x8cm, 1991.
- Sans titre, néon, coton enduit, 35x78cm, 1992.
- Sans titre, goudron, pâte à papier, 18x15x3cm, 1993.
- Base aérienne 125 Istres-Le Tubé, Istres.
- Fonds régional d'art contemporain de Provence-Alpes-Côte d'Azur, Marseille[56] :
- Sans titre, bois, techniques mixtes, verre, papier calque, 90x81cm ; 143x110cm ; 57x198x11cm.
- Personnage évoluant dans une sphère, fusain sur toile, 220x220cm, 1995.
- Personnage coiffé d'un chapeau, fusain sur papier, 49x37cm, 1995.
- Fonds régional d'art contemporain Occitanie, Montpellier :
- Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice :
- Sans titre, huile sur toile 180x250cm, 2005.
- Sans titre, huile sur toile 200x150cm, 2006[37].
- Grand K - Ou bien, ou bien (portrait de Søren Kierkegaard), huile sur toile 200x180cml, 2008[63].
- Carré d'art, Nîmes[41],[42].
- Sans titre, tôle, laque, vis, 1985.
- Sans titre, métal, carton ondulé, 1986.
- Sans titre, aluminium, kraft, fusain, 1987.
- Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France.
- Fonds régional d'art contemporain d'Île-de-France, Paris.
- Musée d'Art moderne de la ville de Paris, Dîneurs n°2, huile sur toile 130x230cm, 2006.
- Fonds national d'art contemporain, Puteaux, Sans titre, huile sur toile 220x220cm, 1990[64].
- Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg, Sans titre, huile sur toile 200x240cm, 2000[65].
Collections privées
[modifier | modifier le code]- Ben.
- Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence[50].
- Bernard Massini[39],[66].
- Nina et Jean-Claude Mosconi[52].
- Anne Roger, Nice[67].
Références
[modifier | modifier le code]- Musée d'Art moderne et contemporain de Genène, Denis Castellas - The Trouble with bubbles, présentation de l'exposition, 2009
- Thierry Davila et Denis Castellas (entretien), Denis Castellas, éditions Del'art, 2015.
- Bibliothèque universitaire de Nice, Présences contemporaines 2 - Œuvres de la collection du FRAC Provence-Alpes-Côte d'Azur, dossier de presse, août 2006
- Pierre Cabanne, « Les années 80 », L'art du vingtième siècle, éditions Aimery Somogy, p. 287.
- Xavier Girard, « L'Atelier », Art Press, n°52, octobre 1981.
- Gérard Xuriguera, Regard sur la peinture contemporaine - La création picturale de 1945 à nos jours, Arted, 1983, p. 230.
- « Denis Castellas », Impressions d'ateliers
- « Some of this year's paintings : Denis Castellas », Parker's Box Gallery, 2010
- Michel Lunardelli, Visite de l'atelier de Denis Castellas, Brooklyn, New York, 2019
- Clément Coutelle, « Denis Castellas : "L'art hollandais du XVIIe siècle a influencé ma peinture" », Le Progrès, 31 janvier 2015
- Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.3, p. 345.
- Jean-Philippe Vienne, Exposition Denis Castellas - Communiqué de presse, villa Arson, 1995
- Musée Picasso, Denis Castellas, présentation de l'exposition, 1999
- Galerie Vasistas, Denis Castellas, présentation de l'exposition, 2002
- « La Chaufferie - Exposition Denis Catellas », Art Aujourd'hui Info, 2003
- Philippe Dagen, « Denis Castellas - Galerie Éric Mircher », 'Le Monde, 16 juin 2007.
- Hugues Jacquet, « Denis Castellas - Nouvelles peintures », La Critique, 31 mai 2008
- Alix Forgeot, « Denis Castellas - Œuvres récentes », Art absolument, février 2012
- .Laurence Chauvy, « Peinture aérée de Denis Castellas », Le Temps, 27 mars 2013
- Zelda Suzu de Linarès, Denis Castellas - Galerie Cesson et Bénétière, New York, présentation de l'exposition, 2019
- Musée national Marc-Chagall, Denis Castellas, présentation de l'exposition, 2014
- « Denis Castellas au musée Chagall », Cimiez.com, 11 juin 2014
- Frank Davit, « Expos à Nice : Chagall, Calder et Denis Castellas », Riviera Magazine, 12 septembre 2014
- É.S.A.D. Valence, Denis Castellas, présentation de l'exposition, novembre 2015
- Galerie Porte avion, Denis Castellas, présentation de l'exposition, 2019
- V.R.A.C., Denis Castellas, 2019
- « Denis Castellas - Un grand format à la V.R.A.C. », Millavois, 24 septembre 2019
- Daniel Brignon : « Denis Castellas : "Un tableau est un petit miracle" », L'Essor 42, 22 juillet 2021
- Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001, p. 221.
- Catherine Perret, Tableaux-écrans - Galerie des Filles du calvaire, présentation de l'exposition, 2005
- Musée régional d'art contemporain Occitanie, Silhouettes, présentation de l'exposition, 2008
- Stéphanie Delpeuch, Silhouettes, dossier de presse de l'exposition, Musée régional d'Art contemporain Occitanie, janvier 2008
- Crédac, Le travail de rivière, présentation de l'exposition, 2009
- Eco'Parc, La sculpture autrement, présentation de l'exposition, 2011
- Espace de l'art concret, Collectionneurs en situation, présentation de l'exposition, 2011
- Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice, L'art contemporain et la Côte d'Azur - La peinture en avant, présentation de l'exposition, 23 juin 2011
- Renato Ferrari, « Les collections du MAMAC à la Galerie des Ponchettes, Nice Premium, 7 novembre 2011
- « Fondation Maeght : exposition E-motion, le regard d'un collectionneur à Saint-Paul-de-Vence », Nice Rendez-vous, 11 mars 2013
- Véronique Bouruet-Aubertot, « La famille d'artistes de Bernard Massini », Connaissance des arts, 4 mars 2013
- CirCa, Seize artistes, années 80, présentation de l'exposition, 2013
- Catté d'art, La collection du Musée d'art contemporain dans la ville, dossier de presse, 2013
- École supérieure des beaux-arts de Nîmes, Un regard sur la collection du musée d'art contemporain, présentation de l'exposition, 2013
- Xavier Franceschi, « Un mural, des tableaux », FRAC Île-de-France, janvier 2015
- Le Carré, Vincennes, 5/5, présentation de l'exposition, février 2016
- Galerie d'art contemporain du palais de l'Europe, Exposition de l'UNAM, présentation de l'exposition, mai 2016
- Château-musée Grimaldi, Impressions d'ateliers - La création contemporaine sur la Côte d'Azur, dossier de presse, septembre 2016
- Palais Lascaris, Le palais Lascaris revisité, présentation de l'exposition, 2017
- Mireille Petitgenêt, « Un "bris-collage" d'émotions », Luxembourg Wort, 12 février 2018
- Mylène Carrière, « Trois fois New York », Le Quotidien, février 2018
- « Exposition : l'esprit d'une collection, les donations », Presse Agence, la lettre économique et politique de PACA, 30 décembre 2018
- Centre culturel de Saint-Raphaël / Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur, Inépuisable Bestiaire, présentation de l'exposition, 2019
- Maison Zervos, Collection Nina et Jean-Claude Mosconi - Une affaire de passion, présentation de l'exposition, 25 juin 2019
- Siloé Pétillat, « La partie renversée », Dijon Art, juin 2020
- Ben (interview par Andy Warhol), L'air du temps - Figuration libre en France, éditions de la Galerie d'art contemporain des musées de Nice, février 1982.
- Thierry de Duve, Maurice Fréchuret, Emmanuel Latreille et Joseph Mouton, Denis Castellas, coédition Musée Picasso / FRAC Bourgogne, 1999.
- Les collections des FRAC, Denis Castellas.
- Musée Picasso, Sans titre 1984-1991 dans les collections
- Musée Picasso, Sans titre (sculpture, 1995) dans les collections
- Musée Picasso, Sans titre (huile sur toile, 1998) dans les collections
- Musée Picasso, Sans titre, 1998-1999, dépôt du Fonds national d'art contemporain
- FRAC Bourgogne, Denis Castellas dans les collections
- FRAC Occitanie, Sans titre (autoportrait de Rembrandt), dépôt du Fonds national d'art contemporain
- Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice, "Grand K - Ou bien, ou bien" dans les collections
- Fonds national d'art contemporain, Denis Castellas dans les collections
- Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg, Denis Castellas dans les collections
- « Bernard Massini, une collection émotion », Art Côte d'Azur
- De Baecque et Associés, catalogue de la collection Anne Roger, Marseille, 19 novembre 2014.
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pierre Cabanne, L'art du vingtième siècle, éditions Aimery Somogy, Paris, 1982.
- Gérard Xuriguera, Regard sur la peinture contemporaine - La création picturale de 1945 à nos jours, Arted, 1983.
- Jacques Sauvageot, Denis Castellas, éditions de la Galerie des Beaux-Arts, Nantes, 1986.
- Sylvie Couderc, Latitude - Trace dans la trace, éditions de la Villa Arson, Nice, 1989.
- Christian Bernard (préface), Sylvie Couderc, Denis Castellas, coédition Villa Arson / Galerie Latitude, Nice, 1991.
- Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol.3, Gründ, 1999.
- Thierry de Duve, Maurice Fréchuret, Emmanuel Latreille, Joseph Mouton, Denis Castellas, coédition Musée Picasso (Antibes) / FRAC Bourgogne, 1999.
- Thierry de Duve, Voici - Cent ans d'art contemporain, Ludion, Gand, 2001.
- Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001.
- Philippe Dagen, Emmanuel Latreille, Dominique Thévenot, Denis Castellas, éditions du Carré Sainte-Anne, Montpellier, 2008.
- Christian Estrosi (préface), Gilbert Perlein, Michèle Brun, Pierre Padovani, Le chemin de la peinture - Gérard Gasiorowski, Denis Castellas, Valérie Favre, Stéphane Pencréac'h, Alun Williams, éditions du Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice, 2008.
- Thierry Davila et Denis Castellas (entretien), Denis Castellas, éditions Del'art, Nice, 2015 (lire en ligne).
- Denis Castellas et Thierry de Duve, Denis Castellas, Les Musées nationaux du XXe siècle, 2015.
- Jean-Luc Chalumeau, Collection Nina et Jean-Claude Mosconi, Fondation Christian et Yvonne Zervos, Vézelay, 2019.
Articles de presse (sélection)
[modifier | modifier le code]- Xavier Girard, « Denis Castellas », Artpress, n°56, février 1982.
- Claire Bernsteil, « Denis Castellas : une simple présence », Artpress, n°141, novembre 1989.
- Denis Arnaudet, « Denis Castellas », Artpress, n°224, mai 1997.
- Joseph Mouton, « La vie sauvée de Denis Castellas », Artpress, n°244, mars 1999.
- Philippe Piguet, « Denis Castellas - L'art du peu », L'Œil, ,°505, avril 1999.
- Philippe Dagen, « Au-delà des images, la peinture secrète de Denis Castellas », Le Monde, 8 mai 1999.
- Laurie Attias, « Denis Castellas », Artnews, mai 2001.
- Philippe Dagen, « Les hybridations et les greffes picturales de Denis Castellas » Le Monde, 5 décembre 2003.
Liens externes
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- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire, Denis Castellas.