Éric Di Meco — Wikipédia

Éric Di Meco
Image illustrative de l’article Éric Di Meco
Biographie
Nom Éric Yves Di MecoVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité Français
Naissance (61 ans)
Avignon (France)
Taille 1,82 m (6 0)
Poste Arrière gauche
Pied fort Gauche
Parcours senior1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1980-1994 Drapeau de la France Olympique de Marseille 277 (13)
1986-1987 Drapeau de la France AS Nancy-Lorraine 030 0(1)
1987-1988 Drapeau de la France FC Martigues 032 0(2)
1994-1998 Drapeau de la France AS Monaco 078 0(1)
Sélections en équipe nationale2
AnnéesÉquipe 0M.0(B.)
1988 France A' 001 0(0)
1989-1996 France 0230(0)[1]
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve.
2 Matchs officiels.

Éric Di Meco, né le à Avignon, est un footballeur international français évoluant au poste d’arrière gauche du début des années 1980 jusqu'à la fin des années 1990 et reconverti comme consultant sportif.

Éric Di Meco a passé toute son enfance à Robion (Vaucluse), dont le stade porte aujourd'hui son nom.

Il se reconvertit dans les médias comme spécialiste football dans différents domaines : animateur de radio sur RMC (Super Moscato Show, Team Duga, Les Grandes Gueules du Sport), commentateur de matches à la télévision sur RMC Sport et chroniqueur dans la presse écrite.

Débuts de carrière d’un minot

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Cet Avignonnais d’origine italienne (Abruzzes) est issu du centre de formation de l’Olympique de Marseille. Pur gaucher, Di Meco qui évolue en tant qu’ailier gauche ou milieu gauche débute à l’OM dans les années 1980 qui voient les Phocéens relégués en deuxième division en 1980. Au début des années 80, Éric Di Meco joue en tant que milieu offensif et est surnommé Le petit Cruyff[2].

La saison 1980-1981 est la saison noire du club, placé en liquidation judiciaire en . Tous les joueurs et le personnel sont mis au chômage. En deuxième division, la direction du club décide de mener une politique de promotion des jeunes en intégrant dans l’équipe première les « Minots », vainqueurs de la coupe Gambardella deux ans plus tôt, où figurent notamment Éric Di Meco avec José Anigo, Jean-Charles De Bono, Christian Caminiti ou Marc Lévy. Ces jeunes évitent la relégation en troisième division en ne perdant aucune des six dernières rencontres de la saison, battant même Montpellier nouveau promu (3-1)[3].

Après deux saisons où les Minots frôlent la montée (ils terminent troisièmes puis quatrièmes), le président Jean Carrieu recompose en 1983 une équipe avec les recrues Žarko Olarević, Saar Boubacar et François Bracci, et le club retrouve sa place dans l’élite au terme d'une saison prolifique en buts[4].

Toutefois, Di Meco peine à franchir un palier nécessaire et a du mal à être complètement titulaire. Afin de gagner du temps de jeu, il est prêté à l'AS Nancy-Lorraine puis au FC Martigues. C’est pendant son prêt à l'ASNL qu’il se reconvertit en arrière gauche sur les conseils d’Arsène Wenger, l’entraîneur nancéien de l’époque.

Les belles années marseillaises (1988-1994)

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Après des prêts infructueux, Éric Di Meco est de retour à l'Olympique de Marseille présidée par Bernard Tapie depuis 1986. Il s'installe et s'impose comme un titulaire indiscutable à son nouveau poste de latéral gauche.

Au milieu de stars telles que Jean-Pierre Papin, Chris Waddle, Klaus Allofs, Enzo Francescoli, Abedi Pelé, Didier Deschamps, Basile Boli, Marcel Desailly, Rudi Völler, Jocelyn Angloma, Carlos Mozer, Franck Sauzée, Bernard Casoni, Dragan Stojković, Alen Bokšić, Karl-Heinz Förster, ou Éric Cantona, Éric Di Meco qui est l'un des seuls joueurs issus du centre de formation marseillais (en compagnie, par exemple, de Patrice Eyraud), remporte quatre championnats de France (1989, 1990, 1991, 1992), et une Coupe de France en 1989. Le club phocéen est aussi efficace sur le plan continental en atteignant les demi-finales de la Coupe d'Europe des clubs champions en 1990 face au Benfica Lisbonne ; les Olympiens remportent le match aller de la demi-finale 2-1, et le score du match retour est de 0-0 quand le Lisboète Vata marque un but de la main validé par l'arbitre. En 1991, le club échoue en finale de Coupe d'Europe des clubs champions face à l'Étoile rouge de Belgrade aux tirs au but (5-3), après avoir notamment éliminé en 1/4 de finale le Milan AC, double tenant du titre.

Le même Milan AC de Frank Rijkaard, Marco van Basten ou encore Paolo Maldini est encore défait par l'Olympique de Marseille, cette fois en finale de la Ligue des champions à Munich (1-0), le d'un but de la tête de Basile Boli. Il s'agit de la première victoire d'un club français en Coupe d'Europe[5].

À la suite de l'affaire OM-VA, le conseil fédéral retire le titre de champion de France 1993 à l’OM. L’UEFA exclut Marseille des compétitions européennes de la saison 1993-1994 (Ligue des champions et Supercoupe de l'UEFA), et la FIFA retire à l'OM le droit de jouer la Coupe intercontinentale. Marseille finit deuxième du championnat en 1994, avec l’émergence de Sonny Anderson, mais le conseil fédéral rétrograde l’OM en deuxième division. Éric Di Meco quitte alors son club de cœur en étant l'unique joueur à avoir gagné tous les titres olympiens durant la période Tapie.

Fin de carrière à Monaco (1994-1998)

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En 1994, il rejoint l'AS Monaco avec Sonny Anderson où il retrouve Arsène Wenger. À la suite d'un mauvais départ lors de la saison 1994-1995 et une défaite 0-2 contre l'OGC Nice à domicile, Arsène Wenger est remercié. Wenger est alors remplacé par le duo Jean-Luc Ettori - Jean Petit puis Gérard Banide.

À l'intersaison 1995, Jean Tigana (ancien coéquipier de Di Meco à l'OM), fort d'une 2e place avec Lyon, prend les commandes du club monégasque. Deux autres ex-coéquipiers d'Eric Di Meco à Marseille, Basile Boli et Fabien Barthez, rejoignent aussi Monaco. Après un départ poussif durant les matchs aller et une élimination prématurée en Coupe de l'UEFA contre Leeds, les rouges et blancs, quasiment invincibles lors des matchs retour, terminent à la 3e place du classement 1995-1996.

Lors de sa troisième année, Eric Di Meco se blesse gravement et fera deux saisons blanches avant de mettre un terme à sa carrière. Il remporte toutefois son 5e titre de champion personnel en 1997 avec un effectif de qualité composé de joueurs tels que Sonny Anderson, Franck Dumas, Sylvain Legwinski, Fabien Barthez, Thierry Henry, Victor Ikpeba, Emmanuel Petit, Ali Benarbia, ou encore Enzo Scifo. La saison suivante, Monaco réussit à atteindre les demi-finales de la Ligue des champions battue par la Juventus de Didier Deschamps et Zinédine Zidane après avoir éliminé Manchester United et termine une nouvelle fois sur le podium du championnat (3e) après avoir terminé en tête à mi-championnat.

L'équipe de France (1989-1996)

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Le style caractéristique d'Éric Di Meco basé sur un engagement continu, une agressivité exacerbée lui permettent d'être appelé par Michel Platini en équipe de France dès 1989. Mais son style plus que rugueux, souvent à la limite du carton rouge, ne lui permet pas de s'imposer chez les Bleus. Absent de l'aventure de l'Euro 1992, il est également ignoré par Gérard Houllier sur la période 1992-1993.

À la surprise générale, il est pourtant rappelé par Aimé Jacquet dès sa prise de fonction en 1994. À plus de 30 ans, Di Meco va alors devenir l'un des hommes de base de Jacquet, qui apprécie son engagement physique et sa précieuse expérience du haut niveau. Il se voit même confier le brassard de capitaine à deux reprises, notamment à l'occasion du fameux Roumanie-France d'octobre 1995. Mais à l'Euro 1996 qu'il aborde pourtant en position de titulaire, Di Meco va être détrôné dès le premier tour par sa jeune doublure Bixente Lizarazu, ce qui le conduit à annoncer sa retraite internationale à l'issue du tournoi, avec la satisfaction d'être resté invaincu sous le maillot bleu tout au long de ses 23 sélections (23 fois titulaires. 18 victoires/5 nuls)[6]. Il est même le recordman de matches consécutifs sans défaite avec l'équipe de France[7].

Reconversion

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Directeur sportif de l'Olympique de Marseille

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En , Éric Di Meco revient à l'OM en tant que manager, Marcel Dib étant déjà directeur sportif, en pleine saison 1999-2000 qui se conclut par une piètre 15e place qui sauve Marseille de la relégation pour 2 buts. L'entraîneur Bernard Casoni est écarté, ce dernier se sent alors trahi par Éric Di Meco. À l'intersaison, Di Meco participe à l'arrivée du nouvel entraîneur Abel Braga (après avoir contacté Luis Fernandez et Zdeněk Zeman) et des recrues brésiliennes Marcelinho et Adriano. Mais en novembre 2000, après un début de saison raté, l'actionnaire Robert Louis-Dreyfus décide de limoger Éric Di Meco et Marcel Dib. Abel Braga suivra quelques jours à peine après la démission du président Yves Marchand.

Adjoint aux sports à la mairie de Marseille

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À la suite de l'échec à l'Olympique de Marseille, il s'écarte du monde du football. Lui qui était déjà conseiller municipal depuis 1995, s'investit dans la politique en devenant adjoint aux sports à la mairie de Marseille de 2001 à 2007. Il organise, aide et suit les manifestations à l'attention des jeunes de la ville de Marseille. En 2007, il est également suppléant de Nora Remadnia Préziosi, candidate de l'UMP aux élections législatives dans la septième circonscription des Bouches-du-Rhône.

Consultant sportif

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Depuis octobre 2007, il est chroniqueur dans l'émission Super Moscato Show, animée par Vincent Moscato avec Maryse Éwanjé-Épée, Pierre Dorian et Adrien Aigoin sur RMC[8],[9].

Entre septembre 2009 et février 2010, Éric Di Meco assure l'intérim durant l'absence de Rolland Courbis. Il intervient alors dans les soirées football de RMC (Intégrale Foot, After Foot)[10]. Lors de la Coupe du monde 2010, il co-anime tous les jours avec Luis Fernandez, Jérôme Rothen et Jérôme Sillon, Le Grand Show[11]. De 2011 à 2014, il est un chroniqueur régulier de l'After Foot. Depuis septembre 2012, il fait partie de l'équipe des Grandes Gueules du sport.

Durant la saison 2015-2016, il intervient également dans l'émission Luis attaque de Luis Fernandez. Entre et aout 2020, il participe à l'émission Team Duga animée par Christophe Dugarry. Ses prises de positions et ses discussions très animées avec Christophe Dugarry contribuent au succès de l'émission.

Début 2009, il se fait remarquer par M6 et rejoint l'équipe de 100 % Foot, présentée par Vincent Couëffé, aux côtés de Pierre Ménès et Dominique Grimault puis Vikash Dhorasoo, Julien Cazarre et Vincent Duluc. En décembre 2011, l'émission est supprimée de la grille des programmes de M6.

En août 2012, il devient consultant pour la chaîne sportive beIN Sports[12]. Il commente, avec Christophe Josse, les matchs de Ligue 1 et de Ligue des champions[13]. Durant la Coupe du monde 2014 qui se déroule au Brésil, il commente les grandes rencontres de la compétition en compagnie de son fidèle acolyte Christophe Josse[14].

Il s'engage avec SFR Group à partir du début de l'Euro 2016. Pour cette compétition, il intervient sur RMC en radio mais pas en télévision sur BFM TV car son contrat avec beIN Sports est encore valide. Di Meco collabore ensuite aux chaînes de SFR Sport qui dispose des droits de diffusion en France du championnat anglais[15] puis avec les chaînes RMC Sport qui diffuse également la Ligue des champions et de la Ligue Europa à partir de 2018. Il commente des affiches de ces compétitions au côté de Jérôme Sillon. Le , il commente la finale de la Ligue des champions avec Jean Rességuié sur BFM TV[16].

Éric Di Meco est bassiste au sein d'Osiris Cover Band au côté du batteur Jean Vincent Boetto, des guitaristes Chris Cesari et Alain Battaglia et du chanteur Axel Rancurel. Cette formation, créée en janvier 2019 et basée à Marseille, rend hommage au groupe britannique Oasis et se produit en concerts. En mars 2022, Osiris participe à la saison 11 du télé-crochet The Voice, la plus belle voix sur TF1. Lors des « auditions à l'aveugle », le groupe est éliminé après avoir interprété le titre Supersonic d'Oasis, n'étant pas choisi par aucun des coaches.

Statistiques

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Statistiques de Éric Di Meco [17]
Saison Club Championnat Coupe(s) nationale(s) Compétition(s)
continentale(s)
France Total
Division M. B. M. B. Comp. M. B. M. B. M. B.
1980-1981 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 2 1 0 - - - - - - - 1 0
1981-1982 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 2 8 3 4 0 - - - - - 12 3
1982-1983 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 2 15 3 2 2 - - - - - 17 5
1983-1984 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 2 25 7 - - - - - - - 25 7
1984-1985 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 1 25 2 2 0 - - - - - 27 2
1985-1986 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 1 14 1 7 0 - - - - - 21 1
Sous-total 87 16 15 2 - - - - - 102 18
1986-1987 Drapeau de la France AS Nancy-Lorraine (prêt) Division 1 29 1 1 0 - - - - - 30 1
Sous-total 29 1 1 0 - - - - - 30 1
1987-1988 Drapeau de la France FC Martigues (prêt) Division 2 31 2 1 0 - - - - - 32 2
Sous-total 31 2 1 0 - - - - - 32 2
1988-1989 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 1 33 0 7 0 - - - - - 40 0
1989-1990 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 1 33 0 4 0 C1 8 0 6 0 51 0
1990-1991 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 1 20 0 4 0 C1 7 0 - - 31 0
1991-1992 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 1 4 0 - - - - - - - 4 0
1992-1993 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 1 31 0 3 1 C1 9 0 - - 43 1
1993-1994 Drapeau de la France Olympique de Marseille Division 1 32 1 4 0 - - - 3 0 39 1
Sous-total 153 1 22 1 - 24 0 - - 199 2
1994-1995 Drapeau de la France AS Monaco Division 1 32 1 5 0 - - - 7 0 44 1
1995-1996 Drapeau de la France AS Monaco Division 1 30 0 4 0 C3 1 0 7 0 42 0
1996-1997 Drapeau de la France AS Monaco Division 1 2 0 2 0 - - - - - 4 0
1997-1998 Drapeau de la France AS Monaco Division 1 1 0 1 0 - - - - - 2 0
Sous-total 65 1 12 0 - 1 0 - - 78 1
Total sur la carrière 366 21 51 3 - 25 0 23 0 465 24

En équipe de France

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Distinctions et records

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Décoration

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Filmographie

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Vidéographie

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  • OM : A jamais les premiers, 2008, France Télévisions Distribution
  • Les Minots de l'OM, 2010, France Télévisions Distribution
  • Les Légendes de l'OM, 2011, France Télévisions Distribution

Notes et références

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  1. « Digne met Evra et Clichy au placard assure Di Meco », sur Foot01.com, (consulté le ).
  2. L’avignonnais Eric Di Meco est invaincu avec l’équipe de France ! (84.gfoot.fr)
  3. « Saison 1980-1981 de l'OM », sur om4ever.com (consulté le ).
  4. « Saison 1983-1984 de l'OM », sur om4ever.com (consulté le ).
  5. Giovanni Privitera, 26 mai 1993, chronique enflammée, Marseille, Melmac, , 168 p. (ISBN 978-2492759031)
  6. « Fédération Française de Football », sur fff.fr (consulté le ).
  7. Equipe de France: Pavard poursuit sa série d'invincibilité sous le maillot bleu, www.rmcsport.bfmtv.com, 12 octobre 2018.
  8. Le 21 août 2014 à 07h00, « Moscato monte en première ligne », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  9. RMC SPORT, « Rentrée des shows sport : Luis attaque dès 18h sur RMC ! », sur RMC SPORT (consulté le ).
  10. Di Meco remplace Coach Courbis RMC Sport
  11. Jérôme Rothen rejoint la dream team RMC PureMédias
  12. BeIn Sport annonce Di Meco, Vieira, Papin et Eric Roy dans son « 11″ de consultants foot enpleinelucarne.net
  13. Josse: «Je ne cours pas après la médiatisation L'Équipe
  14. Eric Di Meco : «Notre but est de titiller TF1» Sport24.com
  15. Enguérand Renault, « Emmanuel Petit et Eric di Meco rejoignent SFR Sport », sur lefigaro.fr, Le Figaro, .
  16. « Ligue des champions : Jean Resseguié et Éric Di Meco aux commentaires de la finale sur BFM TV », sur lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le ).
  17. « Fiche d’Éric Di Meco », sur footballdatabase.eu
  18. « OM équipe type des 110 ans », sur footalist.fr, .
  19. « fr.sports.yahoo.com/news/equip… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  20. Décret du 14 novembre 1996 portant promotion et nomination

Liens externes

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