Garentreville — Wikipédia
Garentreville | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Fontainebleau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays de Nemours | ||||
Maire Mandat | Jean-Luc Racinet 2020-2026 | ||||
Code postal | 77890 | ||||
Code commune | 77200 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Garentrevillois | ||||
Population municipale | 122 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 19 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 14′ 12″ nord, 2° 32′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 107 m Max. 144 m | ||||
Superficie | 6,35 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Nemours | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne Géolocalisation sur la carte : Île-de-France | |||||
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Garentreville est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
En 2021, elle compte 122 habitants.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Garentreville se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1]. Elle est située dans le parc naturel régional du Gâtinais français[2].
Elle se situe à 41,57 km par la route[Note 1] de Melun[3], préfecture du département, à 28,28 km de Fontainebleau[4], sous-préfecture et à 12,40 km de Nemours[5], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Puiseaux[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Burcy (2,1 km), Obsonville (2,3 km), Guercheville (2,6 km), Ichy (3,8 km), Fromont (4,0 km), Desmonts (4,1 km), Chevrainvilliers (4,9 km), Rumont (5,0 km).
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]L'altitude varie de 107 mètres à 144 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 112 mètres d'altitude (mairie)[Carte 1].
Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[7],[8].
-
Carte du relief de Garentreville. -
Carte géologique vectorisée et harmonisée de Garentreville.
Ères | Périodes géologiques | Époques géologiques | Nature des sols | ||||
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Cénozoïque | Quaternaire | Holocène |
| ||||
Pléistocène | |||||||
Néogène | Pliocène | non présent. | |||||
Miocène |
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Paléogène | Oligocène |
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Éocène | non présent. |
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[9].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune n’est traversée par aucun cours d'eau[10].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Pierre-lès-Nemours à 10 km à vol d'oiseau[13], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 697,6 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[19],[20].
Un autre espace protégé est présent sur la commune : la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[21],[22].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Garentreville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (100 %)[26].
Type d’occupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
---|---|---|---|---|---|
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) | 0 ha | 0,00 % | 0 ha | 0,00 % | 0 ha |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes) | 645,82 ha | 100,00 % | 645,82 ha | 100,00 % | 0 ha |
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation) | 0 ha | 0,00 % | 0 ha | 0,00 % | 0 ha |
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27],[28],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune. -
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
[modifier | modifier le code]La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[29].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]La commune compte 32 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[31] dont Fargeville.
Logement
[modifier | modifier le code]En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 53 dont 100 % de maisons[Note 5].
Parmi ces logements, 83,5 % étaient des résidences principales, 8,3 % des résidences secondaires et 8,3 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 84,8 % contre 10,9 % de locataires et 4,3 % logés gratuitement[32].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]Deux routes départementales relient Garentreville aux communes voisines :
- la D 98, à Chevrainvilliers, à l'est ;
- la D 103, à Burcy, à l'ouest ; et à Obsonville, au sud.
Transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par deux lignes d'autocars :
- la ligne no 4006 du réseau de bus Vallée du Loing - Nemours, reliant La Chapelle-la-Reine à Garentreville ;
- la ligne no 4008 du réseau de bus Fontainebleau - Moret, reliant La Chapelle-la-Reine à Ury.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est mentionné sous les formes Guasantreville en 1192[33] ; Gasentreville en 1198[34] ; Gasentrevilla en 1203[35] ; Guesantreville en 1319[36] ; Guarantreville vers 1330[37] ; Guesentreville en 1340[36] ; Gaisentreville en 1346[36] ; Guezantreville en 1384[38] ; Guerantreville en 1386[36] ; Guesanteville en 1403[39] ; Guerentreville en 1412[36],[40].
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Équipements et services
[modifier | modifier le code]Eau et assainissement
[modifier | modifier le code]L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [43],[44].
Assainissement des eaux usées
[modifier | modifier le code]En 2020, la commune de Garentreville ne dispose pas d'assainissement collectif[45],[46].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[47]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[45],[48].
Eau potable
[modifier | modifier le code]En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[45],[49],[50].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Beauce[51].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].
En 2021, la commune comptait 122 habitants[Note 6], en évolution de +10,91 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune ne dispose pas d’école primaire publique (maternelle ou élémentaire)[56].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 42, représentant 102 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 180 euros[57].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 15, occupant 58 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 76,6 % contre un taux de chômage de 2,6 %.
Les 20,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 9,1 % de retraités ou préretraités et 2,6 % pour les autres inactifs[58].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 17 dont 7 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 1 dans la construction, 8 dans le commerce-transports-services divers et 1 étaient relatifs au secteur administratif[59].
Ces établissements ont pourvu 16 postes salariés.
Secteurs d'activité
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Garentreville est dans la petite région agricole dénommée le « Gâtinais », à l'extrême sud-ouest du département, s'étendant sur un large territoire entre la Seine et la Loire sur les départements du Loiret, de Seine-et-Marne, de l'Essonne et de l'Yonne[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[60].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[61]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 14 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 47 ha en 1988 à 118 ha en 2010[60]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Garentreville, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[60],[Note 8] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 14 | 9 | 7 |
Travail (UTA) | 21 | 11 | 9 |
Surface agricole utilisée (ha) | 655 | 836 | 827 |
Cultures[62] | |||
Terres labourables (ha) | 635 | 836 | 827 |
Céréales (ha) | 434 | 538 | 518 |
dont blé tendre (ha) | 223 | 331 | 270 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 36 | s | |
Tournesol (ha) | 40 | ||
Colza et navette (ha) | s | 40 | 55 |
Élevage[60] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 9]) | 72 | 30 | 0 |
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Martin, reconstruite au XVIe siècle après la guerre de Cent Ans.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Jorge Semprún, écrivain et homme politique, y possédait une maison de campagne. Il est inhumé au cimetière de Garentreville, au côté de sa femme[63].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Garentreville », p. 1140–1141
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Garentreville » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- « Garentreville - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Garentreville ».
- Site officiel du Parc Gatinais français.
- « Distance entre Garentreville et Melun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Distance entre Garentreville et Fontainebleau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Distance entre Garentreville et Nemours », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Garentreville », sur villorama.com (consulté le ).
- « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- « Plan séisme consulté le 30 octobre 2020 ».
- Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 2 juillet 2018
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Garentreville et Saint-Pierre-lès-Nemours », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Pierre-lès-Nemours » (commune de Saint-Pierre-lès-Nemours) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Pierre-lès-Nemours » (commune de Saint-Pierre-lès-Nemours) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les différents espaces protégés. », sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « le Parc naturel régional du Gâtinais français - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Archives nationales, S 5169.
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- Site francegenweb.
- « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Écoles Primaires, portail indépendant sur l'école primaire, consulté le 30 octobre 2020
- Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 30 octobre 2020
- Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017 », consulté le 30 octobre 2020
- Statistiques officielles de l'Insee, section « Caractéristiques des établissements en 2015 », consulté le 30 octobre 2020
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Garentreville », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- Le Point.fr, « Semprún reposera en Seine-et-Marne », sur lepoint.fr, (consulté le ).