Saint-Mard (Seine-et-Marne) — Wikipédia

Saint-Mard
Saint-Mard (Seine-et-Marne)
La mairie.
Blason de Saint-Mard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Roissy Pays de France
Maire
Mandat
Daniel Dometz
2020-2026
Code postal 77230
Code commune 77420
Démographie
Gentilé Mardochiens
Population
municipale
3 853 hab. (2022 en évolution de +0,39 % par rapport à 2016)
Densité 615 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 12″ nord, 2° 41′ 38″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 166 m
Superficie 6,26 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Dammartin-en-Goële
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mitry-Mory
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Mard
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Mard
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Saint-Mard
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Saint-Mard
Liens
Site web saint-mard77.fr

Saint-Mard est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France dans la région naturelle de la Goële.

La commune est proche du parc naturel régional Oise-Pays de France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Saint-Mard est rattachée au canton de Mitry-Mory, dans l'arrondissement de Meaux. La commune est située à environ 45 km au nord de Paris, 9 km de l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle.

Localisation de la commune de Saint-Mard dans le département de Seine-et-Marne.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 626 hectares ; son altitude varie entre 93 et 166 mètres[1].

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

Sur la commune, la présence de l’eau de surface est discrète.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

  • le ru du Rossignol (ou ru de l'Arzillère), long de 5,40 km[3], affluent de la Beuvronne ;
    • le ru de la Maquerelle, long de 2,25 km[4], conflue avec le ru du Rossignol.
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Saint-Mard.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 2,18 km[5]. Ces cours d'eau ont modelé le relief de façon très douce.

Il faut signaler aussi la présence d’une mare située rue du Moutiers et d’une seconde au cœur du village, qui est l’élément principal d’un square aménagé rue Curie[6].

Gestion des cours d'eau

[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

La commune fait partie du SAGE « Nonette », approuvé le . Le territoire de ce SAGE concerne le bassin versant de la Nonette et de ses deux principaux affluents, la Launette et l’Aunette. Il inclut totalement ou partiellement 53 communes, dont 47 sur le département de l’Oise et 6 sur celui de le département de Seine-et-Marne, pour une superficie de 413 km2[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Interdépartemental du SAGE de la Nonette, qualifié de « structure porteuse », un syndicat créé en 1968[9].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 8 km à vol d'oiseau[12], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Au , Saint-Mard est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dammartin-en-Goële[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[20],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

Lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

La commune compte 65 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[23] (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51% ), zones urbanisées (26,3% ), forêts (9,5% ), mines, décharges et chantiers (6% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,4% ), prairies (2,7 %)[24].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification

[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Roissy Pays de France, approuvé le et porté par la communauté d’agglomération Roissy Pays de France[27].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[28]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 1 428, alors qu'il était de 1 260 en 1999[I 2].

Parmi ces logements, 95,2 % étaient des résidences principales, 0,4 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 17,1 % des appartements[I 3].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 80,0 %, en légère hausse par rapport à 1999 (78,4 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était en baisse : 4,8 % contre 5,5 % en 1999[I 4].

Projets d'aménagements

[modifier | modifier le code]

Saint-Mard a participé au projet intercommunal qui consiste à bâtir une grande zone industrielle. Celle-ci comprendra différents types de commerce, tels que des restaurants, des magasins de vêtements, etc. Cette zone ce situera à la sortie de Saint-Mard près de la N 2.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune, il se prolonge vers Dammartin-en-Goële au nord-ouest et Juilly à l'est.

Voies routières

[modifier | modifier le code]

Saint-Mard est traversée par plusieurs routes départementales : D 41 , D 41E , D 404 . La route nationale 2 est proche de la commune.

Voies ferroviaires

[modifier | modifier le code]
La gare ferroviaire.

La commune est desservie par la gare de Dammartin - Juilly - Saint-Mard, située sur la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière) et desservie par les trains de la ligne K du Transilien (Paris-Nord - Crépy-en-Valois) ainsi que par ceux du TER Picardie (Paris - Laon).

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

Saint-Mard est desservie par plusieurs lignes du réseau de bus Roissy Est : 22, 703, 707, 708, 709, 710, 711 et 716.

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Sanctus Medardus en 1221[29] ; Saint Maart en 1303[30] ; Saint Mardz en 1406[31] ; La ville de Saint Mard en 1443[31] ; Saint Marc en 1470[32] ; Saint Marc soubs Dompmartin au XVe siècle[33] ; Saint Marc soubz Dampmartin en 1500[34] ; Saint Marcq en 1605[34].

L'hagiotoponyme Saint-Mard (anciennement Saint-Marc ou Saint-Marcq) tire l’origine de son nom de Saint Médard, patron de la paroisse[35].

En 1080, le gouverneur et châtelain d’Étampes, Eudes de Saint-Mard qui était serviteur du roi Philippe I, fit le pèlerinage à Jérusalem à sa place. C'est à Dammartin-en-Goële que se rencontre la Seigneurie initiale de Saint Mard qui fit construire un château et une église dédiée à saint Médart.

De 1519 jusqu’à 1628, la terre appartenait à la célèbre famille des financiers Vivien.

En 1577 elle fut partagée entre Pierre Vivien, conseiller du roi et général en sa Cour des aides, et Louis Vivien, écuyer et coseigneur de Saint-Mard.

En 1628 la seigneurie fut acquise par un autre financier parisien, Étienne de Fieux, conseiller du roi et contrôleur général de la gabelle.

En 1634, le secrétaire du cardinal de Richelieu Denis Charpentier[36] devient propriétaire de la seigneurie de Saint-Mard. Il se constitua un vaste domaine centré sur le château seigneurial et le parc qui l’entourait[37] .

Après la mort de Denis Charpentier en son fils Armand (1628-1709) récupéra la seigneurie. Par lettres patentes de Louis XIV, la terre de Saint-Mard fut érigée en baronnie en .

En 1716, les neveux et héritiers d'Armand Charpentier décidèrent de vendre la seigneurie à Toussaint Rémond, écuyer et écrivain.

En 1840, le baron Alexandre de Montbrun fit détruire le château puis, le nom du lieu changea au fil des années et des abréviations[38].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27[39].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[40]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1829 Claude Rolland    
1830 1844 Benoît Rolland    
1848 1855 Claude Rolland    
1855 1859 Jean-François Pasquier    
1859 1862 Charles Demoncy    
1863 1867 Charles Mouton    
1868 1869 Édouard Fouilleaux    
1869 1871 Eugène Honoré Vérin    
1871 1888 Jacques Leduc    
1888 1893 Charles-Hyacinthe Sainte-Beuve    
1893 1895 Armand Dubois    
1895 1908 Charles-Hyacinthe Saint Beuve    
1908 1912 Eugène Vérin    
1912 1919 Charles-Hyacinthe Sainte-Beuve    
1919 1925 Alfred Fourie    
1925 1939 Claude Chevaugeon   Négociant
Conseiller général de Dammartin-en-Goële (1926 → 1934)
1939 1940 M. Simon    
1940 1943 M. Courton    
1943 1944 M. Vandenabelle    
1944 1947 Henri Louche    
octobre 1947 mars 1977 Émile Cacheux    
mars 1977 mars 1983[41] Paul Gautier PCF  
mars 1983[41] mars 2008 Roger Boullonnois UDF puis UMP Artisan plombier
Député de la 6e circonscription de Seine-et-Marne (2002 → 2007)
Conseiller général de Dammartin-en-Goële (1994 → 2008)
Vice-président du conseil général de Seine-et-Marne (1998 → 2004)
mars 2008 En cours
(au juin 2020)
Daniel Dometz UMP-LR[42] Retraité

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Lors des élections départementales de 2015, le binôme Corinne Adamski-Caekaert et Daniel Dometz s'est présenté en tant que candidats UMP-UDI pour le canton de Mitry-Mory. Lors du premier tour de ces élections, bien qu'ayant recueilli 55,98 % des votes dans la commune, ils n'ont pas été retenu pour participer au second tour, n'ayant recueilli que 25,57 % des suffrages exprimés au sein du canton et arrivés en troisième position[43].

Élections nationales

[modifier | modifier le code]

Équipements et services

[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement

[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [45],[46].

Assainissement des eaux usées

[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Saint-Mard est assurée par la Communauté d'agglomération Roissy Pays de France pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [47],[48],[49].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[50]. La Communauté d'agglomération Roissy Pays de France assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[47],[51].

Eau potable

[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de la Goële qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [47],[52],[53].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[55].

En 2022, la commune comptait 3 853 habitants[Note 5], en évolution de +0,39 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
432465472428446420401425447
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
364582449426444433507513602
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
656685784764857988880868984
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0731 0902 0212 3752 9593 4453 6103 6253 798
2015 2020 2022 - - - - - -
3 8273 8463 853------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]
École primaire Jacques Prévert de Saint-Mard.

Saint-Mard est située dans l'académie de Créteil.

Elle administre[58] une école maternelle de 158 élèves en 2014-2015[59] et une école élémentaire de 318 élèves en 2014-2015[60] communales, ces deux établissements disposant d'une restauration scolaire[59],[60].

Le département gère un collège : le collège Georges-Brassens[61]. Cet établissement a été ouvert en 1973. Il est desservi par plusieurs lignes de cars du réseau Roissy Est, et se trouve à proximité de la gare SNCF de Dammartin - Juilly - Saint-Mard[62].

La plupart des lycéens de Saint-Mard vont à Longperrier (Charles-de-Gaulle), Mitry-Mory (Honoré-de-Balzac), Mortefontaine (Saint-Dominique), Claye-Souilly (le Champs de Claye), Dammartin-en-Goële, Meaux (Pierre-de-Coubertin, Henri-de-Moissan, Jean-Rose, Bossuet, Jean-Vilar), Thorigny-sur-Marne (Auguste-Perdonnet).

Un centre de loisirs dédié aux primaires, ainsi qu'un autre dédié aux maternelles, ont été construits au XXe siècle en raison de la forte croissance démographique de Saint-Mard.

En 2010, un premier parc a été construit, à proximité de la mairie. Par la suite, un second parc est créé en 2013, près de l'église. Tous deux sont réservés aux enfants de 3 à 12 ans.

On compte 37 assistantes maternelles à Saint-Mard en 2014. Cependant, la commune ne dispose pas de Relais d'assistantes maternelles qui est un lieu d'informations, d'échanges et de rencontres avec les parents, les RAM se situant dans les communes alentour. Néanmoins, Saint-Mard a à sa disposition un atelier d'éveil (musique, activités manuelles, etc.) pour les enfants accueillis par des assistantes maternelles.

La création d'une crèche à Saint-Mard est à l'étude[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]
  • Brocante et vide-greniers en septembre,
  • Bourse aux jouets en novembre,
  • Repas des Anciens en avril,
  • Kermesse en juin,
  • Grande récré (structure gonflable, karting, etc.) en juin,
  • Fête de la musique en juin.

Saint-Mard dispose de nombreuses enseignes médicales comme un médecin, un dentiste, une pharmacie ou un kinésithérapeute.

Associations

[modifier | modifier le code]

De nombreux sports sont pratiqués à Saint-Mard. Tout d'abord, une association s'est créée en 1970 : l’Association Sportive de Saint-Mard (A.S.S.M.). Celle-ci regroupe différents sports, tels que le football, la pétanque, le tir à l'arc, ou encore le handball. Par la suite, une seconde association s'est fondée, la S.E.L. (sport éducation et loisir) qui regroupe, quant à elle, le judo et le karaté, le vélo, la randonnée, le yoga, la peinture, ou de la vannerie.

La commune est notamment dotée d'un gymnase spécifique pour le volley-ball (Les Pailleux) où évolue le club de l'Alliance Nord 77, l'un des clubs les plus performants en volley-ball féminin de Seine-et-Marne, évoluant en Nationale 3 durant la saison 2012-2013.

Voici un tableau récapitulant les associations présentes à Saint-Mard

Types d'associations Noms Pratiques
Sportives A.S.S.M. Handball
Football
Tir à l'arc
Pétanque
Sport éducation loisir Cyclotourisme
Judo
Jujitsu
Karaté
Gymnastique volontaire
Yoga
Couture
Peinture sur soie
Vannerie
Boxe américaine
Street-Self-Défense
U.N.S.S (collège) N.C., réservé au collégiens de Saint-Mard
Associations Sportives ST Mard et Extérieures
Saint-Mard Tennis Tennis
Club Kangourous Multi-sports
Racing Club Volley de la Goële Volley-ball
Socioculturelles Art en Goële Arts plastiques
Et si on sortait Sorties spectacles
Club du Bel Automne N.C.
Atelier Théâtre de Saint-Mard Théâtre
École de musique de Saint-Mard et de la Goële Musique
École de danse de Saint-Mard et de la Goële Danse
Ensembles et Chœurs de Saint-Mard Orchestres, harmonie et chorales
Entrez dans la danse Danse de salon
Goële photo Photographie
Modèle Club Michel Jacques Modélisme
S'Mardville Country Danse Country
Autres Arago Radioamateur
Billard Club Billard
L'Arbre Association généalogique
La Mémoire des Pierres Mise en valeur du patrimoine du canton Dammartin en Goële,

et apprentissage de son histoire

Arc en Ciel Se mettre à disposition des habitants du canton
Les p'tits coups de mains N.C.
Millénium informatique Informatique
Souvenir Français Comité
Sté d'Histoire et d'Archéologies de La Goële N.C.
Unions des Anciens Combattants N.C.
F.N.A.T.H. N.C.
Restos du Cœurs Aider les démunies en leur offrant des repas gratuits
Accueil Jeunesse Tournelles N.C.
FCPE N.C.

Saint-Mard possède un lieu de culte l'église Saint-Médard qui date du milieu du XIIIe siècle, elle a été plusieurs fois remaniée. À l’intérieur de l'église se trouve la statue en bois de saint Médard.

Plusieurs magasins se trouvent à Saint-Mard. On peut citer une boulangerie, deux boucheries, deux café-tabacs, trois coiffeurs, une pizzeria, deux agences immobilières, un toiletteur, un restaurant kebab, un point de « restauration rapide », une banque, une auto-école, une quincaillerie, deux garages automobiles, un hôtel et deux supérettes.

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 43 638 , ce qui plaçait Saint-Mard au 1 503e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[63].

En 2009, 26,32 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 5].

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 2 584 personnes, parmi lesquelles on comptait 77,2 % d'actifs dont 71,0 % ayant un emploi et 6,2 % de chômeurs[I 6].

On comptait 551 emplois dans la zone d'emploi, contre 543 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 1 841, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 6] est de 29,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins d'un emploi pour trois habitants actifs[I 7].

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

Au , Saint-Mard comptait 188 établissements : 4 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 8 dans l'industrie, 28 dans la construction, 124 dans le commerce-transports-services divers et 24 relatifs au secteur administratif[I 8].

En 2011, 26 entreprises ont été créées à Saint-Mard[I 9], dont 17 par des autoentrepreneurs[I 10].

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Saint-Mard est dans la petite région agricole dénommée la « Butte de Damartin », constituée de deux petites enclaves à l'intérieur de la « Goële et Multien », au nord du département[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[64].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[65]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 133 ha en 1988 à 231 ha en 2010[64]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Mard, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Saint-Mard entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[64],[Note 8]
Nombre d’exploitations (u) 3 2 3
Travail (UTA) 11 6 7
Surface agricole utilisée (ha) 398 618 693
Cultures[66]
Terres labourables (ha) 384 s 655
Céréales (ha) 239 s 333
dont blé tendre (ha) 163 s 259
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 56 s 40
Tournesol (ha) 0
Colza et navette (ha) s s s
Élevage[64]
Cheptel (UGBTA[Note 9]) 180 77 136

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Monuments et lieux remarquables

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Médard.

La commune ne compte aucun monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques[67] ni à l'inventaire général du patrimoine culturel[68]. Elle compte toutefois un objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques : la statue en bois polychrome de saint Mard, datée des XVIe et XVIIe siècles[69]. Cette sculpture est dans l'église Saint-Médard, d'origine XIIIe siècle mais reconstruite en 1826[35].

Autres lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Saint-Mard », p. 427–428
  • Jean-Claude Corvisier, Dammartin-en-Goële et environs, Vol. I : Longperrier - Othis - Rouvres, Coll. Mémoire en Images, Éd. Alan Sutton, Saint-Cyr-sur-Loire 2001, (ISBN 2-84253-592-8).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Dammartin-en-Goële comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  6. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
  7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Saint-Mard - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Mard ».
  2. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  3. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  4. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  5. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
  6. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  7. EMP T5 - Emploi et activité.
  8. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  9. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  10. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  2. « Plan séisme consulté le 13 septembre 2016 ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Rossignol (F6611000) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Maquerelle (F6611500) ».
  5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 7 avril 2019
  6. /Plan Local d’Urbanisme, page37
  7. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  8. « SAGE Nonette - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. site officiel du Syndicat Interdépartemental du SAGE de la Nonette
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. « Orthodromie entre Saint-Mard et Le Plessis-Belleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Mard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Mard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Mard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « Unité urbaine 2020 de Dammartin-en-Goële », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  25. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
  26. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  27. « Le SCOT Roissy Pays de France », sur roissypaysdefrance.fr (consulté le ).
  28. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  29. Archives nationales, S 5186, fol. 28 v°.
  30. Archives de l'Oise, H 323.
  31. a et b Archives de l'Oise,, H 252.
  32. Archives de l'Oise, H 255.
  33. Archives de l'Oise, H 295.
  34. a et b Archives nationales, S 1001.
  35. a et b « Église Saint-Médard - Saint-Mard », sur le site commercial topic-topos.com de Jean-Luc Flohic (consulté le ).
  36. Maxim Boyko, « Premier secrétaire, informateur et intime serviteur. Denis Charpentier à la tête du cabinet privé du cardinal de Richelieu », Histoire, économie & société,‎ 2020/2 (39e année), p. 4-22 (lire en ligne).
  37. Maxim Boyko, « Denis Charpentier (v. 1580-1647). Étude sociale du premier secrétaire du cardinal de Richelieu », Dix-septième siècle, vol. n°284, no 3,‎ , p. 423 (ISSN 0012-4273 et 1969-6965, DOI 10.3917/dss.193.0423, lire en ligne, consulté le ).
  38. Site officiel de la Saint-Mard - La Seignerie de Saint-Mard,des années 1000 à 1900
  39. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  40. Les Maires de Saint-Mard de 1900 à nos jours, sur saint-mard77.fr
  41. a et b G.C., « Roger Boullonnois : le besogneux », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
    « En 1983, il prend Saint-Mard aux communistes et ne la lâchera plus. ».
  42. Isabelle Rey-Lefebvre, « Migrants : comment les maires récalcitrants deviennent accueillants », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  43. « Rappel des Résultats du canton au 1er tour », sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
  44. Résultats de l’élection présidentielle 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur
  45. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  46. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
  47. a b et c « Commune de Saint-Mard - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  48. « CA Roissy Pays de France - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  49. « CA Roissy Pays de France - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  50. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
  51. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  52. « SMAEP de la Goële - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  53. « SMAEP de la Goële - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  55. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  56. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  57. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  58. « Seine-et-Marne (77), Saint-Mard, écoles »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  59. a et b « École maternelle publique Émile Cacheux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  60. a et b « École élémentaire publique Jacques Prévert », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  61. « Seine-et-Marne (77), Saint-Mard, collège »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  62. « Mairie de Saint-Mard (77230)] : 3 - Collège Georges Brassens »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la mairie (consulté le ).
  63. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  64. a b c et d « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Mard. », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  65. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  66. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Mard. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  67. « Liste des monuments historiques de la commune de Saint-Mard », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  68. « Liste des lieux et monuments de la commune de Saint-Mard à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  69. « Liste des objets historiques de la commune de Saint-Mard », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.