Jules Pascin — Wikipédia

Julius Mordecai Pincas
Jules Pascin au Café du Dôme, Paris, 1910.
Naissance
Décès
(à 45 ans)
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Vue de la sépulture.

Julius Mordecai Pincas dit Jules Pascin (prononcé [pas.kin][1],[2],[3] ou incorrectement [pas.kɛ̃]), né le à Vidin (Bulgarie) et mort le à Paris (18e)[4], est un peintre, dessinateur et graveur américain d'origine bulgare.

Enfance et adolescence

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Huitième enfant d'une fratrie de onze, Jules Mordecai Pincas est issu d'une famille juive sépharade aisée. Son père, Marcus Pincas, est un riche négociant en grains d'origine espagnole, sa mère Sophie Russo est originaire de Trieste. D'abord installée à Zemun (Serbie) la famille se transfère à Vidin, en Bulgarie, avant de s'installer à Bucarest en 1892[5][6].

C'est là que le très jeune Julius, après un bref passage dans l'entreprise familiale, s'émancipe de son milieu. il a ses entrées dans une maison close, où il loge parfois avec l'accord de la tenancière. Il y fait ses premiers dessins, inspirés par son environnement immédiat[5][6].

Premières armes

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Il poursuit sa formation à Vienne (1902) et Munich (1903) où il collabore au journal satirique Simplicissimus. À la demande de son père, qui ne souhaite pas voir le nom de la famille au bas de ses dessins, il abandonne son patronyme pour utiliser l'anagramme Pacsin.

Il arrive à Paris le 24 décembre 1905, année où les « Fauves » triomphent au Salon d'automne. Il s'installe au Grand Hôtel des Écoles, rue Delambre. La colonie artistique allemande du Dôme et de la Rotonde accueille à bras ouverts « l'inquiétant Pascin[7] ». Il s'inscrit à l'académie Matisse, fréquente le Louvre, où il étudie Watteau, Fragonard, Greuze et Boucher. Il continue à travailler pour Simplicissimus, dont les revenus lui permettent de régaler généreusement ses amis[5].

Influencé d'abord par le fauvisme, il s'affirme comme le dessinateur insatiable des nuits parisiennes. Son ami et compagnon de débauche, le dessinateur Henri Bing le décrit comme « un anarchiste déguisé en dandy ». Il affirme n'être que l'admirateur de Boucher et de Fragonard.

« Pourquoi une femme est-elle considérée comme moins obscène de dos que de face, pourquoi une paire de seins, un nombril, un pubis sont-ils de nos jours encore considérés comme impudiques, d’où vient cette censure, cette hypocrisie ? De la religion[8]? »

Hermine au grand chapeau, 1917.
Julius Mordecai Pincas par Albert Weisgerber, 1906.

En 1907, Pascin expose à la galerie Paul Cassirer à Berlin. Trois ans plus tard, Cassirer lui demandera d'illustrer les Mémoires de M. de Schnabelewopski, de Heinrich Heine. De 1908 à 1912, il participe au Salon d'automne avec des dessins ou des aquarelles. En 1911, il présente son travail à la Berliner Secession et un an plus tard il expose à Cologne dans le cadre du Sonderbund. En 1913, il présente une douzaine d'œuvres à New-York dans le cadre de l'Armory Show[6].

Au cours de l'automne 1907, il se lie avec Hermine-Lionette Cartan dite Hermine David, femme peintre de talent, et s'installe no 1, rue Lepic, à l'Hôtel Beauséjour jusqu'au courant de 1909, ou il déménage au no 49, rue Gabrielle. Il occupe un atelier à Montmartre près de celui de Kees van Dongen. En 1909, il rencontre Cécile Vidil (1891-1977) dite « Lucy », modèle de Marquet et de l'atelier Matisse, qui devient sa maîtresse[5].

Séjour aux États-Unis

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Avant la guerre de 1914-1918, il quitte la France pour échapper à la mobilisation dans l'armée bulgare. Après avoir séjourné à Londres, il se rend début octobre 1914 aux États-Unis, où il bénéficie d'une certaine notoriété depuis l'exposition internationale d'art moderne de New York (1913). Hermine David le rejoint fin octobre. Il l'épouse le et obtient la nationalité américaine le 30 septembre 1920, peu avant leur retour en Europe[6].

Pendant son séjour, il fréquente le milieu artistique, retrouve Max Weber et Maurice Sterne, vieilles connaissances du Dôme, et se lie d'amitié avec Yasuo Kuniyoshi, Gaston Lachaise, Guy Pène du Bois et Alfred Stieglitz[5].

En compagnie du graveur américain George Overbury Hart dit « Pop Hart » (1868-1933), il part, début , pour le carnaval de La Nouvelle-Orléans. Il voyage beaucoup dans le sud des États-Unis, et visite Cuba, le Texas, la Floride et la Caroline du Sud[5].

Entre 1915 et 1916, il s'essaye au cubisme, qu'il abandonne rapidement.

Les Petites Américaines (1916), Paris, musée d'art et d'histoire du Judaïsme.
Photographie de Pascin (sans date).

Retour à Paris

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En octobre 1920, Pascin revient à Paris, où il retrouve Lucy Vidil, avec laquelle il n'a jamais cessé de correspondre depuis leur liaison dix ans plus tôt, et qui s'est entretemps mariée avec le peintre norvégien Per Krohg. Il s'installe près d'eux, passage Laurette, au no 3 rue Joseph-Bara, à côté des ateliers de Kisling et de Zborowski[5].

C'est l'époque où Pacsin devient le véritable symbole de la bohème parisienne, le « prince de Montparnasse » et le « prince des trois monts »[9]. Toujours tiré à quatre épingles et coiffé de son chapeau melon, il a sa table au Dôme, au Select et au Jockey-Club. À sa grande surprise, lui qui n'a jamais adhéré à aucun courant artistique, il est parfois considéré comme le fondateur de l'école de Paris. Il fréquente Francis Carco, son compatriote Georges Papazoff, Pierre Mac Orlan, André Salmon, Paul Morand, Foujita et Kiki de Montparnasse, Man Ray, Max Ernst, Soutine et Youki Desnos.

Il a pour modèles les pensionnaires des maisons closes et des lieux mal famés de la jungle montmartroise, et couvre ses carnets de dessins voluptueux et nostalgiques, parfois érotiques et toujours nimbés d'une indicible tristesse. Il fait poser Kiki, Aïcha Goblet, Jacqueline Godard, Zniah Pichard, les sœurs Perlmutter, l'Antillaise Julie Luce (que Pascin appelle Maman) et sa fille Simone (connue au music-hall et au cinéma sous le pseudonyme de D'al-Al) qui l'accompagneront jusqu'à la fin[10], son épouse Hermine David, sa maîtresse Lucy (et son époux Per Krogh), ainsi que leur fils Guy.

Entre 1921 et 1922, Pascin quitte Hermine et emménage au 36 boulevard de Clichy.

Il côtoie sur la butte Montmartre d'autres artistes comme Marcel Leprin, expose chez Berthe Weill, au Salon des indépendants et, retrouve Lucy dans son ancien logement, rue Joseph-Bara. Parmi ses autres modèles figure Henriette Gomès qui deviendra une galeriste internationale. Il loue un atelier au no 15, rue Hégésippe-Moreau.

Il est l'ami de critiques d'art : André Warnod (auquel il fera découvrir les ateliers « les plus désespérément russes »), André Salmon, Georges Charensol, Florent Fels.

En , il se rend en Algérie et en Tunisie où il reviendra en 1924 et en 1926.

En 1922, il reprend l'atelier du peintre Jean Marchand (1883-1940) au no 73, de la rue de Caulaincourt[11]. À partir de 1922, Pascin envoie régulièrement des œuvres au Salon de l'araignée, fondé en 1920 par Gus Bofa[12], et effectue des séjours dans le Midi (Cassis, Marseille). En 1923, il s'installe au no 36, boulevard de Clichy à Paris et, cette même année, il vend plusieurs de ses œuvres à Albert Barnes. Il livre une aquarelle Famille tunisienne pour illustrer le no 8 du Crapouillot ; jusqu'en 1930, il fournira huit autres livraisons à cette revue où écrit son ami le critique et romancier Pierre Mac Orlan et qui édite également des œuvres d'Hermine David.

En 1924, il perfectionne sa technique de gravure chez Jean-Gabriel Daragnès (1886-1950), avec André Warnod[5].

Jules Pascin dans son studio, av. 1930.

Il retourne en Bulgarie en 1923 et 1924.

En 1925, il voyage en Italie. En 1926, il envisage de s'installer en Palestine, mais y renonce une fois arrivé au Caire[5].

Pour ne pas perdre la nationalité américaine, il retourne, en , aux États-Unis et réside un an à New York, où Lucy le rejoint en .

En 1929, il part pour l'Espagne et le Portugal avec Lucy, qui lui loue cette même année un atelier Villa des Camélias à Vanves pour l'éloigner de Montmartre.

Suicide et obsèques

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Rongé par l'alcool, doutant de son art resté figuratif, partagé dans ses affections, il en vient à perdre son équilibre et, le , le jour même du vernissage de son exposition à la galerie Georges Petit, qui devait lui amener de nouveaux succès, il se suicide à 45 ans à Paris dans son atelier du no 36, boulevard de Clichy en s'ouvrant les veines des deux bras, puis il écrit avec son sang « Adieu Lucy » sur les murs de l'atelier et, comme la mort ne vient pas, il se pend à la poignée de sa porte et se brise la nuque. Lucy Krogh découvre le corps trois jours plus tard. Le Paris des arts est consterné et, le jour de ses funérailles, suivies par plusieurs milliers de personnes, un grand nombre de galeries ferment.

Pascin est inhumé au cimetière de Saint-Ouen (il sera transféré plus tard, à la demande de sa famille, au cimetière du Montparnasse, division 28). Sur sa tombe est gravé un poème d’André Salmon :

« Homme libre héros du songe et du désir de ses mains qui saignaient poussant les portes d’or esprit et chair Pascin dédaigna de choisir et maître de la vie il ordonna la mort[13]. »

Son expérience de dessinateur satirique, sa connaissance de l'expressionnisme allemand sont évidentes dans ses premières œuvres où certains portraits rappellent Otto Dix ou George Grosz avec un trait moins incisif et moins cruel. Il évoluera rapidement vers des couleurs pastellisées, presque irréelles qu'il accorde avec justesse au thème du corps féminin, centre de sa production.

Parmi les peintres de l'École de Paris, Pascin occupe une place à part ; son art s'impose par sa vérité expressive et sa douceur mélancolique ; il décrit avec indulgence le monde interlope « des filles », à l'aide d'une touche nacrée, légère aux couleurs irisées, dans les tons de gris, de rose, d'ocre, de bleu-violacé, les corps alanguis aux formes estompées qui dégagent un lourd parfum d'érotisme. Ces femmes saisies dans leur intimité sont en fait le miroir du mal de vivre de Pascin.

Son graphisme vibrant, le trait ne dessinant que vaguement les contours du corps, lui permet de rendre ses modèles baignés dans une lumière qui reflète plus un état d'âme que la réalité d'un corps. À ce titre, il peut apparaître comme un continuateur sans complaisance des maîtres du XVIIIe siècle et de leur goût de la liberté et du libertinage.

Illustrations

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Illustration pour Aus den Mémoiren des Herrn von Schnabelewopski.

Pascin a illustré également de nombreux livres, de Pierre Mac Orlan ou de Paul Morand entre autres.

Réception critique

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Dans son roman A Moveable Feast[16], Ernest Hemingway écrit un chapitre intitulé « Avec Pascin au Dôme », racontant sa rencontre, au printemps 1924, avec le « prince de Montparnasse » accompagné de deux modèles. La description de cet épisode par Hemingway est considérée comme l'une des images typiques du Montparnasse de l'époque. On le voit partout, dans les cabarets de Montmartre et de Montparnasse, il est de tous les bals, déguisements, fêtes et banquets. Hemingway sait reconnaître son talent mais aussi ses défauts et écrit, dans ledit chapitre :

« Pascin était un très bon peintre et il était ivre, constamment, délibérément ivre, et à bon escient. […] Il ressemblait à un personnage de Broadway, vers la fin de siècle, bien plus qu'au peintre charmant qu'il était, et plus tard, quand il se fut pendu, j'aimais me le rappeler tel qu'il était ce soir-là, au Dôme. »

« Pascin le dandy des trois monts (Vénus, Montparnasse et Montmartre), enfant prodigue et clochard, vivant son art à corps perdu, aimé de tous et pourtant peintre maudit… Fervent admirateur de Toulouse-Lautrec, il se voulait et il se voulut toute sa vie grand calife des Mille et Une Nuits qui avaient hanté sa jeunesse et caïd des bordels et de la bohême… À Paris comme à Tokyo, Pascin connut la gloire de son vivant ; son œuvre est éparpillée dans tous les grands musées du monde. Couvert de femmes mais n'en aimant qu'une, il mit fin à ses jours, entraînant avec lui la fin d'une époque qu'il avait incarnée plus que quiconque. »

— André Bay[17]

« Un peintre étranger à toute influence, auteur d'une imagerie lucide, vénéneuse et tendre. Le pinceau nerveux, les tons gris et roses, le crayon d'une extraordinaire rapidité de ce "Montparno", se vouent essentiellement à décrire avec une souveraine impudeur les fêtes et les désespoirs de l'amour vénal. »

— Gérald Schurr[18]

Œuvres dans les collections publiques

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Expositions

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Expositions personnelles

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Expositions collectives

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Notes et références

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  1. « Julius Pincas dit Pascin (prononcé “Pasquine”) est né en 1885 dans l'actuelle Bulgarie. »
    Cf. « Derniers jours : Pascin, “le magicien du réel” », dans Le Journal du Septième (ISSN 1774-4660), no 12, avril 2007, agenda culturel, p. 15 ; en ligne format PDF.
  2. (en) « […] Jules Pascin (pronounced Pass-kin, born Pincas, first name unremembered, in Bulgaria of a Spanish-Jewish father and a Serbo-Italian mother) […] »
    Cf. « Art : Beauty & the Baker », dans Time, lundi 18 juillet 1932.
  3. (en) « He prononced his name ‘Pass-keen’, and so did his friends. »
    Cf. John Ulric Nef (en), « Reminiscences of Jules Pascin » (juin 1966), dans Tom L. Freudenheim, Pascin (catalogue d'exposition), University Art Museum, University of California, Berkeley, 1966.
  4. Son acte de décès (n° 2110) dans les registres de décès du 18e arrondissement de Paris pour l'année 1930.
  5. a b c d e f g h et i (en-US) « Jules PASCIN », sur Bureau d’art Ecole de Paris, (consulté le )
  6. a b c et d « Jules Pascin », sur www.jewishvirtuallibrary.org (consulté le )
  7. Pierre Cabanne, L'Épopée du Cubisme, La Table Ronde, 1963, p. 123.
  8. « Jules Pascin (1885-1930) », sur lemondedesarts.com (consulté le ).
  9. Montparnasse, Montmartre, Mont de Vénus.
  10. (en) Michel Fabre, « Josephine Baker: A Century in the Spotlight - Rediscovering Aïcha, Lucy and D'al-Al, Colored French Stage Artists », sur The Scholar and Feminist Online, published by The Barnard Center for Research on Women - Double Issue 6.1-6.2: Fall 2007/Spring 2008, (consulté le )
  11. A. Roussard, op. cit., 640 p., p. 400-401.
  12. Christian Delporte, « Gus Bofa et le "salon de l’araignée" (1920-1930) », Gavroche, n° 65, septembre-,texte intégral.
  13. Jules Pascin (1885-1930) à la galerie Roussard, Montmartre.
  14. Texte français mais illustrations de Pascin.
  15. (BNF 35284418).
  16. Paris est une fête, Gallimard, 1964, trad. Marc Saporta.
  17. André Bay, Adieu Lucy. Le roman de Pascin, Albin Michel, 1984.
  18. Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Gründ, 1996.
  19. Voir sur catalogue.bnf.fr.
  20. Petite danseuse
  21. André Chamson, Collection Girardin, éditions du Petit Palais, 1954, n° 264-268.
  22. Huile sur toile, 73 x 92 cm.
  23. Huile sur toile, 92 x 73 cm.
  24. Crayon noir et crayons de couleur, 54 x 40,5 cm.
  25. Gouache, 124 x 150 cm.
  26. Huile sur toile.
  27. François Fosca, « Chroniques - Pascin, Galerie Bernheim-Jeune », L'Amour de l'art, n° 4, avril 1929, p. 156.
  28. Water colors, pastels, drawings and monotypes by Hermine David, André Dunoyer de Segonzac, Jean Dufy, Henri Farge, Jean Lurçat, Aristide Maillol, Jules Pascin, Georges Rouault, Paul Signac, Henri Vergé-Sarrat, Maurice de Vlaminck
  29. Pierre Bonnard, Philippe Cara Costea, Jean Commère, Henri-Edmond Cross, Honoré Daumier, André Derain, Charles Despiau, Charles Dufresne, Raoul Dufy, André Dunoyer de Segonzac, Georges Feher, Tsugouharu Foujita, Édouard Goerg, Jean Jansem, Charles Marcon, André Marchand, Henri Matisse, André Minaux, Alain Mongrenier, Roger Mühl, Jules Pascin, Pierre-Auguste Renoir, Georges Seurat, Paul Signac, Maurice de Vlaminck, Jacques Van den Bussche »

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Bibliographie

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Dictionnaires et encyclopédies

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En français
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  • Georges Charensol, Les Grands Maîtres de la peinture moderne, éd. Rencontre, s.d.
  • Les Muses - Encyclopédie des arts, vol. 11, Grange-Batelière, 1972.
  • Patrick-F. Barrer, L'Histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
  • Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
  • André Roussard, Dictionnaire des peintres à Montmartre, Paris, Éditions A. Roussard, 1999, p. 458 (ISBN 9782951360105).
  • Nadine Nieszawer, Peintres juifs à Paris 1905-1939, École de Paris, Denoël, 2000.
  • Nieszawer et Princ, Histoires des artistes Juifs de l'École de Paris, 1905-1939, Denoël, 2000 ; Somogy, 2015 ; Les étoiles éditions, 2020, p. 335-340.
  • Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001.
  • Jean-Paul Crespelle, Montparnasse vivant, Hachette, 1962.
  • André Bay, Adieu Lucy - Le roman de Pascin, Albin Michel, 1984, ill., 426 p. (ISBN 2226019596)
  • Gaston Diehl, Pascin, Flammarion, coll. « Les maîtres de la peinture moderne », 1968, ill., 96 p.
  • Stéphen Lévy-Kuentz, Pascin et le tourment, La Différence, coll. « Les essais », 2001.
  • Stéphen Lévy-Kuentz, Pascin libertin, Adam Biro, 2009.
  • Stéphen Lévy-Kuentz, Pascin, préface de Pascal Quignard, La Différence, coll. « Grandes monographies », 2009.

Catalogues raisonnés

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  • Yves Hemin, Guy Krohg, Klaus Perls et Abel Rambert, Pascin : catalogue raisonné, vol. 1 : Peinture, Aquarelles, Pastels, Dessins, Bibliothèque des Arts, , 456 p., 456 p., 846 ill. (ISBN 978-2-85047-010-3).
  • Yves Hemin, Guy Krohg, Klaus Perls et Abel Rambert, Pascin : catalogue raisonné, vol. 2 : Peinture, Aquarelles, Pastels, Dessins, Bibliothèque des Arts, , 508 p., 1185 ill. (ISBN 978-2-85047-011-0).
  • Yves Hemin, Guy Krohg, Klaus Perls et Abel Rambert, Pascin : catalogue raisonné, vol. 3 : Simplicissimus, Gravures, Lithographies, Illustrations, Sculptures, Objets, Bibliothèque des Arts, , 264 p., plus de 1000 ill. (ISBN 978-2-906565-02-9).
  • Yves Hemin, Guy Krohg, Klaus Perls et Abel Rambert, Pascin : catalogue raisonné, vol. 4 : Dessins, Aquarelles, Pastels, Peintures, Dessins érotiques, Bibliothèque des Arts, , 432 p., 1420 ill. (ISBN 978-2-906565-05-0).
  • Abel Rambert et Gérard Rambert, Pascin : catalogue raisonné, vol. 5 : Peinture, Aquarelles, Pastels, Dessins, Bibliothèque des Arts, , 640 p., 1167 ill. (ISBN 978-2-88453-158-0).

Articles de presse

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Dans la littérature

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Roman graphique

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Filmographie

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