L'Éguille — Wikipédia
L'Éguille | |||||
Le port ostréicole de L'Éguille. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente-Maritime | ||||
Arrondissement | Rochefort | ||||
Intercommunalité | CA Royan Atlantique | ||||
Maire Mandat | Myriam Portier 2022-2026 | ||||
Code postal | 17600 | ||||
Code commune | 17151 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Éguillais | ||||
Population municipale | 898 hab. (2021 en évolution de +2,16 % par rapport à 2015) | ||||
Densité | 164 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 42′ 28″ nord, 0° 58′ 34″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 11 m | ||||
Superficie | 5,49 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Royan (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saujon | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Charente-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine | |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.leguille.fr/ | ||||
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L'Éguille [leɡij] — couramment désigné sous le nom de L'Éguille-sur-Seudre — est une commune française, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont appelés les Éguillais et les Éguillaises[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Située au confluent de la Seudre et du Liman, sur l'axe routier menant de Royan à Rochefort, L'Éguille est une commune semi-rurale et conchylicole appartenant au secteur Est de la Communauté d'agglomération Royan Atlantique.
Le village est construit sur un petit plateau calcaire crétacé. L'altitude de la commune varie de 0 m à 11 m. Les rives de la Seudre sont occupées par les marais et le plateau calcaire à vocation agricole. L'Éguille forme une petite presqu'île séparée au nord par la Seudre et au sud par le Liman.
La commune de L'Éguille est traversée par la RD733 qui lui donne un accès direct à Royan et à Rochefort. L'Éguille est séparée du Gua par la Seudre. En 1909, un pont tournant fut construit pour remplacer le bac qui effectuait la liaison entre Le Gua et L'Éguille. Le pont tournant fut détruit et remplacé en 1964 par un pont construit plus en amont et une route contournant le bourg.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La commune est séparée du Gua par la Seudre et de Mornac-sur-Seudre par le Liman.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]L'Éguille est le point de confluence entre le fleuve côtier la Seudre et le Liman.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , L'Éguille est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Royan, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[3],[4].
La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[5]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[6].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (32,5 %), zones humides côtières (30 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), zones urbanisées (11,9 %), forêts (4,5 %), eaux continentales[Note 2] (2,3 %)[7]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 539, alors qu'il était de 514 en 2013 et de 494 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 76,2 % étaient des résidences principales, 16,5 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,9 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à l'L'Éguille en 2018 en comparaison avec celle de la Charente-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,5 %) inférieure à celle du département (22,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,9 % en 2013), contre 65,2 % pour la Charente-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | L'Éguille[I 2] | Charente-Maritime[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 76,2 | 70,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 16,5 | 22,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7,3 | 7,1 | 8,2 |
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de l'Éguille est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[8]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[9].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernées par un risque de submersion marine de la zone côtière, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmé en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulé en 2020[10]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antérieures à 2019 sont celles liées à la tempête du , à la tempête du , aux tempêtes Lothar et Martin des 26 et et à la tempête Xynthia des 27 et . D’une violence exceptionnelle, la tempête Xynthia a fortement endommagé le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dû être relogées, et, sur un linéaire de l’ordre de 400 km de côte et de 225 km de défenses contre la mer, environ la moitié de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. C’est environ 5 000 à 6 000 bâtiments qui ont été submergés et 40 000 ha de terres agricoles[11]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[12],[8].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[13].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 507 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 507 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[15].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[8].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune viendrait du mot latin « Acus » qui signifie pointe, aiguille.
Histoire
[modifier | modifier le code]Des restes de fortifications datant de la civilisation de Peu-Richard[17] ont été découverts au lieu-dit les Flottes sur le point culminant de la commune[18]. L'Éguille fut mentionnée pour la première fois en 1219, à cette époque, l'économie était basée sur l'exploitation du sel. Le sel de Saintonge est réputé et en particulier le Blanc de Liman qui est récolté entre Mornac-sur-Seudre et L'Éguille[19]. L’Éguille, Acus et Agulhe dans les textes du Moyen Âge puis l’Aiguille, doit son nom à la pointe de calcaire crétacé sur laquelle elle est construite. Au XVIIe siècle, un château avec une façade encadrée de deux tours carrées, une cour et des communs furent construits. En 1710, L'Éguille est vendue au navigateur Michel Froger (1668-1728), père de Michel Joseph Froger de l'Éguille. Au XIXe siècle, les habitants abandonnent l'exploitation du sel au profit de l'ostréiculture.
Avec le développement du tourisme à Royan au XXe siècle, on bâtit un pont tournant métallique sur la Seudre pour relier Rochefort à Royan. Durant la Seconde Guerre mondiale, ce pont tournant revêt une grande importance lors de l'encerclement des forces allemandes dans la poche de Royan. En effet, durant les combats, il était pour les habitants de L'Éguille l'unique passage vers la zone libérée. Sa destruction isolant les habitants des troupes de la France libre ayant atteint la rive droite de la Seudre, les maquisards du groupe Phiphi reconstruiront une passerelle afin de permettre le passage des habitants[20]. Cette passerelle restera en service deux ans. En 1964, un nouveau pont sera construit plus en amont ainsi qu'une route contournant le bourg.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Rochefort du département de la Charente-Maritime.
Elle faisait partie de 1802 à 1973 du canton de Royan, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Royan-Ouest[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saujon
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Charente-Maritime.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]L'Éguille est membre fondateur de la communauté d'agglomération Royan Atlantique, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 comme communauté de communes du Pays royannais et transformée en communauté d'agglomération fin 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelage
[modifier | modifier le code]L'Éguille est jumelée depuis 1985 avec la commune d’Aiguilhe (Haute-Loire)[28],[29].
Canton
[modifier | modifier le code]L'Éguille est une des neuf communes formant le canton de Saujon. Jusqu'au mois de , elle appartenait au canton de Royan-Ouest.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]L'Éguille est une des 33 communes de la communauté d'agglomération Royan Atlantique.
Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]De par ses contraintes géographiques (marais, axe routier...), le développement démographique de la commune reste modéré comparé aux communes voisines de l'aire royannaise[30].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2021, la commune comptait 898 habitants[Note 4], en évolution de +2,16 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,9 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 423 hommes pour 455 femmes, soit un taux de 51,82 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,15 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Cultes
[modifier | modifier le code]Le culte protestant est célébré au temple certains dimanches à 10 heures 30, en alternance avec d'autres temples du secteur paroissial (Arvert, Chaillevette, Étaules, La Tremblade, Marennes, Mornac, Nieulle sur Seudre, St Pierre d'Oléron)[36].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Martin :
Les travaux de l'église Saint-Martin, conduits par l'architecte Pierre-Adolphe Viaud, débutent en 1845, après la démolition de l'ancienne église romane, jugée vétuste. Le nouvel édifice est de plan simple, comprenant une nef avec voûte de plâtre, terminée par une abside semi-circulaire un peu plus étroite. Les vitraux qui éclairent l'église sont l'œuvre d'un maître-verrier auvergnat nommé Baratte. La façade est couronnée par un fronton triangulaire, où est insérée une horloge. Le clocher, surmonté d'une flèche en ardoise, surmonte l'ensemble. Après s'être effondré au cours de la tempête de 1999, il a finalement été restauré quelques mois plus tard.
- Le temple de l'Église Protestante Unie[37] de L’Éguille a été construit en 1820. Son porche est daté de 1819, il est inscrit « Temple de Dieu fait en 1819 à l'usage du culte réformé ».
- Le rond-point représentant deux mains ouvrant une huître est dû à Jean-Luc Plé (2003)[38].
- Le monument aux morts.
- Le port ostréicole de l'Éguille.
- La Seudre à l'Éguille.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Famille Froger de l'Éguille, seigneurs de l'Éguille et officiers de marine français, parmi lesquels :
- Michel Froger (1668-1728), seigneur de l'Éguille, officier de marine et navigateur français aux Amériques, en Afrique et en Extrême-Orient, anobli par Louis XIV ;
- Michel-Joseph Froger de l'Éguille (1702-1772), seigneur de l'Éguille, chef d'escadre puis lieutenant général des armées navales ;
- Michel-Henry Froger de l'Éguille (1747-1795), combattant de la guerre d'indépendance des États-Unis, capitaine de vaisseau, chevalier de Saint-Louis.
- Pierre Beuffeuil, coureur cycliste professionnel de 1956 à 1967, y est né le .
Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de L'Éguille (17151) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « L'Éguille » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Premier maire adjoint de Jean Russo lors du mandat précédent[23]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à l'L'Éguille - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à l'L'Éguille - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Charente-Maritime - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Les gentilés de Charente-Maritime
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Royan », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de l'Éguille », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de l'Éguille », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- La civilisation de Peu-Richard (IIIe millénaire) est caractérisée par une céramique décorée de cannelures horizontales et ocelées et par des « camps » entourés de doubles fossés. Elle doit son nom au hameau de Peu-Richard, situé à Thénac, commune voisine de Barzan
- Archeologia, mars/av. 1970, p 86, 87.
- G. Binot, Histoire de Royan et de la presqu’île d’Arvert, p 25 - Paris, 1984
- Philippe PAPON, Mémoires d'un Maquisard, Le Groupe Phiphi, Référence, Éditions Sud-Ouest, 2014, p. 144
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française, , p. 5737.
- Paul Ghézi, « Il était une fois… trois maires », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ) .
- https://www.lemonde.fr/aquitaine-limousin-poitou-charentes/charente-maritime,17/l-eguille,17151/
- Paul Ghézi, « L’Éguille (17) : Jonathan Malagnoux succède à Roger Guillaud : Après 25 années à la tête du conseil municipal de L'Éguille, Roger Guillaud a transmis le flambeau à Jonathan Malagnoux, 33 ans », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ) « Il est d'ailleurs à souligner que le nouveau maire, élu à l'unanimité, a tenu à ce que son prédécesseur garde en souvenir son écharpe ».
- Ronan Chérel, « Charente-Maritime : le maire de L’Éguille-sur-Seudre a démissionné : Jonathan Malagnoux a informé la semaine dernière le conseil municipal et la sous-préfecture de sa décision. Il reste néanmoins simple conseiller municipal, pour l’heure », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- Paul Ghézi, « Charente-Maritime : Myriam Portier élue maire de l’Éguille-sur-Seudre : Le précédent maire Jonathan Malagnoux avait démissionné. L’élection a eu lieu en conseil municipal extraordinaire, mardi 4 octobre », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- « La commune - Jumelage - Site officiel de la mairie d'Aiguilhe, en Haute-Loire (43) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aiguilhe.fr (consulté le ).
- « Quand les « Aiguilles » se rencontrent », sur SudOuest.fr (consulté le ).
- « Scot Royan Atlantique, État initial de l'environnement, p 110 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de l'Éguille (17151) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
- Cultes en presqu'île d'Arvert
- « Église Protestante Unie ».
- Paul Ghézi, « La sculpture du rond-point vandalisée », sudouest, (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le )