Ubraye — Wikipédia
Ubraye | |||||
Ubraye. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Castellane | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière | ||||
Maire Mandat | Claude Roustan 2020-2026 | ||||
Code postal | 04240 | ||||
Code commune | 04224 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 99 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 2,8 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 54′ 33″ nord, 6° 41′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 720 m Max. 1 938 m | ||||
Superficie | 35,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Castellane | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur | |||||
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Ubraye est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le nom de ses habitants est Ubrayens[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est composée de 5 petits villages : Ubraye (à 949 m d'altitude[2]), Rouainette (à 1 230 m d'altitude[2]), Laval, Jaussier et le Touyet (qui est une paroisse à partir de 1807[3]).
Les villages d’Ubraye et de Rouainette sont des villages perchés.
La seule route d'accès au Touyet est construite en 1954, l’électricité n’arrive qu’en 1958[4], le téléphone en 1934 (une cabine financée par le conseil général) et la télévision en 1962 (antenne de Valberg)[5].
Hameaux
[modifier | modifier le code]- Laval,
- Rouainette,
- Le Touyet,
- Jaussiers.
Environnement
[modifier | modifier le code]La commune compte 960 ha de bois et forêts[1].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]- La Bernarde (1 941 m),
- Sommet de la Pène.
- Plateau de La Palud, à l'ouest de la commune.
- Hameau du Touyet et le Picogu (1841 m).
- Hameau de Jaussiers (900m), et le sommet de la Pène, 1364 m.
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la route départementale RD 10.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]La commune d’Ubraye est exposée à trois risques naturels[7] :
- feu de forêt,
- inondation,
- mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[8].
La commune d’Ubraye n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[9] et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[9] ; le Dicrim n’existe pas[10].
Sismicité
[modifier | modifier le code]Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Annot auquel appartient Ubraye est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[11], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[7].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau sur la commune ou à son aval[12] :
- torrent la galange,
- ravins de farney, de chabre mourte, du riou, de la combe garnier, de la fouent, du tuvéras, de chambre fache, des jardins, de la basse, de saint-jean, de paillon,
- ruisseaux de laval, la bernade.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Var, Alpes-Maritimes » et « Alpes du sud »[14].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 072 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Méailles_sapc », sur la commune de Méailles à 14 km à vol d'oiseau[15], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 033,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,2 °C, atteinte le [Note 1],[16],[17].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[18]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1125 (Bertrannus de Ubraia), est issu d’un nom de personne gaulois, Eburos ou Eburus, avec le suffixe -aco, signifiant ainsi terre d’Eburos. C’est un des très rares cas où le suffixe -aco a été féminisé[20],[21],[22].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Patrimoine agricole :
Commerces
[modifier | modifier le code]Patrimoine artisanal et industriel :
Tourisme
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1125[31]. L’église et les revenus qui en dépendaient relevaient des évêques d’Entrevaux[32] et la seigneurie était aux comtes de Provence[32]. Elle passe ensuite aux Pontevès, puis à la branche des Clary-Pontevès (1408-Révolution). La dîme alors perçue était d’un treizième des récoltes (le treizain)[33]. L’abbaye Saint-Eusèbe d'Apt a été propriétaire d’un prieuré à Ubraye[34].
La communauté relève d’abord de la viguerie de Castellane, puis de celle d’Annot quand celle-ci est créée[32],[35].
Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Enchastrayes[36].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1830 que le cadastre dit napoléonien d’Ubraye est achevé[37].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Ubraye a fait partie, de 2004 à 2016, de la communauté de communes Terres de Lumière ; celle-ci a fusionné avec d'autres communautés de communes du sud-est du département pour constituer, le , la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Ubraye est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[42]. Elle est située hors unité urbaine[43] et hors attraction des villes[44],[45].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,5 %), prairies (2,5 %)[46].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]En 2021, Ubraye comptait 99 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Ubraye). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
L’histoire démographique d’Ubraye, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période de 1811 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée, et assez rapide, puisque dès 1911, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1856[50]. Le mouvement de recul se poursuit tardivement, et ne s’interrompt que dans les années 1980. Depuis, la population s’est stabilisée autour d’une centaine d’habitants.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Comme de nombreuses communes du département, Ubraye se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà trois écoles dispensant une instruction primaire aux garçons, au village chef-lieu et aux hameaux du Touyet et de Jaussiers. De plus, en limite communale, une école existe au hameau de Rouaine, appartenant à la commune d’Annot[51]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, et ne concerne pas Ubraye[52]. La première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, n’est pas appliquée[53]. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Ubraye sont scolarisées.
Santé
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Le village, pour se défendre des coups de main et des attaques impromptues, est construit tourné vers la place centrale, les façades extérieures formaient une enceinte défensive[54].
L’église paroissiale, placée sous l’invocation de saint Julien, au village d’Ubraye, est d’architecture romane ; construite dans la seconde moitié du XIIIe siècle, elle a été reprise de nombreuses fois, jusqu’à la dernière restauration dans les années 1970. La nef, formée de trois travées voûtées en berceau, s’achève par une abside en cul-de-four. Le bas-côté nord est voûté d’arêtes. L’église est dotée d’un clocher-tour avec une cloche de 1764[55], de plan carré[56]. Elle a conservé dans son mobilier :
- des éléments de l’apparat dont se revêtaient les membres des confréries, dont les hallebardes[57] ;
- le retable de saint Joseph, en bois sculpté, doré et peint, classé monument historique au titre objet[58] ;
- deux calices en argent, l’un fabriqué à Draguignan en 1753, l’autre fabriqué à Aix en 1779, classés[59],[60] ;
- un buste reliquaire de saint Julien, en argent, cuivre doré et bois sculpté et peint, du XVIIe siècle, classé dès 1909[61].
Enfin, l’église possédait un plat de quête en cuivre repoussé, du XVe ou du XVIe siècle, classé au titre objet, mais qui a disparu[62].
Il y a une autre église, sous la titulature de Saint-Pons, au Touyet[32] : deux bustes-reliquaires, et un Christ naïf figurent dans son mobilier[32] ; l’église Saint-Sébastien de Rouainette, sous le patronage de saint Louis, était une succursale de Rouaine (commune d’Annot)[32].
Il y a de nombreuses chapelles : Saint-Joseph à Rouainette[63] (en ruines, seconde moitié du XVIIe siècle[64])[32], Saint-Barthélemy à Laval[32], Notre-Dame de la Rivière[65] à l'est d’Ubraye, restaurée en 2008[32], Notre-Dame des Neiges[66] dans la montagne (en ruines), le prieuré Saint-Martin à Jaussiers (en ruines ou disparu[32]), romane à Ubraye et au Touyet, la chapelle Sainte-Anne, actuellement maison[67].
- Chapelle Saint-Sébastien de Rouainette.
- Chapelle romane à Ubraye.
- Monuments commémoratifs :
- Monument aux morts de la Première Guerre mondiale,
- Plaque commémorative[68].
- Oratoires (Marie Reine du Monde, au Touyet)[69], calvaire à Rouainette et croix de chemin[70],[71],[72],[73].
- Canal d'irrigation[74].
- Fontaines et lavoirs[75],[76],[77] : Lavoir de Fournas[78], au Touyet, payé lors d'une campagne électorale par le comte Boniface de Castellane (1899), etc.
- Église Saint-Julien d'Ubraye.
- Église Saint-Pons du Touyet.
- Monument aux morts de la Première Guerre mondiale.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Claude Roustan, président de la Fédération nationale de la pêche en France[79], membre du Conseil économique, social et environnemental.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | ||
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Roger Autheman, Le Touyet d'Ubraye : haut village de nos Alpes du Sud, canton d'Annot, Nice, éditions Lou Sourgentin, .
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Études et recherches du Service régional de l'inventaire
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Ubraye sur Archéoprovence
- Ubraye par Daniel Thiéry
- Ubraye sur le site Dignlois
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Inventaire historique des anciens sites industriels et activités de service : Ubraye
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ubraye sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Roger Brunet, « Canton d’Annot », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013.
- Autheman 1991, p. 4.
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
- Autheman 1991, p. 19.
- Autheman 1991, p. 32.
- « pont », notice no IA04001522, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 1er septembre 2012.
- Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
- Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 98.
- Formulaire de recherche « Copie archivée » (version du sur Internet Archive), base Dicrim, consultée le 1er septembre 2012.
- Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (lire en ligne), p.39.
- L'eau dans la commune
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ubraye et Méailles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Méailles_sapc », sur la commune de Méailles - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Méailles_sapc », sur la commune de Méailles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 358
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 3198, p. 204.
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 48.
- « rucher », notice no IA04001345, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « rucher dit lou Rouchas », notice no IA04001344, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Borie du Fontani », notice no PA00081562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « tuilerie », notice no IA04001346, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Moulin à farine
- « moulin à farine lieu-dit Touyet (le) », notice no IA04000812, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « four à pain », notice no IA04001325, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « four à pain lieu-dit Rouainette », notice no IA04001324, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 204.
- Daniel Thiery, « Ubraye - Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence », sur archeoprovence, (consulté le ).
- Autheman 1991, p. 10.
- Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.
- Hubert-Alexis Jaillot, La Provence divisée en ses Vigueries et Terres adjacentes.
- Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113.
- Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
- 1862-1989 :Autheman 1991.
- Claude Roustan est l’un des 500 élus qui ont parrainé François Hollande (PS) à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Sourribes à Volx (liste 8), consulté le 10 mars 2013.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires « Copie archivée » (version du sur Internet Archive) », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècle, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 17.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute- Provence depuis le début du XIXe siècle », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
- Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
- Labadie 2013, p. 16.
- Labadie 2013, p. 18.
- Collier 1986, p. 297.
- Cloche de l'église paroissiale Saint-Julien
- Collier 1986, p. 116.
- Collier 1986, p. 474.
- Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
- Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
- Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
- Arrêté du 1er avril 1909, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
- Arrêté du 23 mars 1937, notice de la Base Palissy, consultée le 3 mars 2009
- « chapelle Saint-Joseph », notice no IA04001338, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- cf. registres paroissiaux de Rouainette, succursale d'Ubraye, aux Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence (réf. 1MI5/0184 BMS1727-1793, p.63), "Mémoire des Messes de fondation de Saint-Sébastien de Rouainette" : la chapelle Saint-Joseph est mentionnée comme construite en application de la volonté testamentaire d'Angelin Goujon dit Mouton (testament de 1669) par ses héritiers Maximin Goujon et Honoré et Jacques Chalvé "à la tête de [la] terre" qu'Angelin Goujon a léguée à l'Eglise.
- « chapelle Notre-Dame de la Rivière », notice no IA04001339, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « chapelle Notre-Dame des Neiges », notice no IA04001337, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « chapelle Sainte-Anne, actuellement maison », notice no IA04001336, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Plaque commémorative
- « oratoire », notice no IA04001332, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « croix de chemin et oratoires d'Ubraye », notice no IA04001376, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « croix monumentale, lieu-dit Touyet (le) », notice no IA04001333, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « croix monumentale, lieu-dit Rouainette », notice no IA04001331, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « croix monumentale, lieu-dit Jaussiers », notice no IA04001330, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « canal d'irrigation », notice no IA04001341, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « fontaine lavoir, lieu-dit Touyet (le) », notice no IA04001328, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « fontaine lavoir », notice no IA04001327, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « lavoir lieu-dit Rouainette », notice no IA04001326, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « lavoir du Fournas », notice no IA04001329, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Fédération Nationale de la Pêche en France
- « Banque du Blason »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Dominique Cureau, « Terres de Lumière : Ubraye », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).