Saint-Jurs — Wikipédia

Saint-Jurs
Saint-Jurs
Saint-Jurs.
Blason de Saint-Jurs
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Danielle Urquizar
2020-2026
Code postal 04410
Code commune 04184
Démographie
Population
municipale
137 hab. (2022 en évolution de −0,72 % par rapport à 2016)
Densité 4,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 58″ nord, 6° 12′ 02″ est
Altitude Min. 619 m
Max. 1 726 m
Superficie 33,59 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Riez
Localisation
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Saint-Jurs
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Saint-Jurs
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Saint-Jurs

Saint-Jurs est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Saint-Jursiens[1].

Géographie

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Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Saint-Jurs et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Le village est situé à 925 m d’altitude[1], dans le massif du Montdenier.

Sommets et cols

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  • Sommet de l’Huby (1285 m)
  • Mont-Denier (1750 m)
  • col de Saint-Jurs (1318 m)

Environnement

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Le village, vue d'ensemble.

La commune compte 1 001 ha de bois et forêts, soit 30 % de sa superficie[1].

Risques majeurs

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Aucune des 200 communes du département n’est en zone de risque sismique nul. Le canton de Moustiers-Sainte-Marie, auquel appartient Saint-Jurs est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[2], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[3]. La commune de Saint-Jurs est également exposée à trois autres risques naturels[3] :

  • feu de forêt ;
  • inondation ;
  • mouvement de terrain : des secteurs importants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[4].

La commune de Saint-Jurs n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 876 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 828,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Statistiques 1991-2020 et records ST JURS (04) - alt : 867m, lat : 43°54'02"N, lon : 6°12'01"E
Records établis sur la période du 01-02-2010 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,5 0 2,8 6 8,6 13 15,4 15,4 12 8,5 4,4 1,6 7,4
Température moyenne (°C) 4,5 4,7 8,1 11,7 14,3 19 21,8 21,9 17,7 13,5 8,4 5,4 12,6
Température maximale moyenne (°C) 8,4 9,4 13,4 17,3 20,1 24,9 28,3 28,4 23,5 18,4 12,4 9,1 17,8
Record de froid (°C)
date du record
−9
17.01.17
−16,5
13.02.10
−5,5
15.03.13
−3
03.04.22
0
01.05.17
5
01.06.11
8
14.07.16
7,5
31.08.10
1,1
27.09.20
−3
28.10.12
−7,5
27.11.10
−10
18.12.10
−16,5
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
19
01.01.22
21
27.02.19
23,5
17.03.14
27,5
08.04.11
29,8
22.05.22
38
28.06.19
36
08.07.17
38
03.08.17
31
04.09.16
28,5
08.10.23
22
08.11.15
21
31.12.21
38
2019
Précipitations (mm) 50,4 41,4 50,6 78,6 84,9 71,4 47,2 51,3 86,5 96,3 108 62,3 828,9
Source : « Fiche 4184001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
8,4
0,5
50,4
 
 
 
9,4
0
41,4
 
 
 
13,4
2,8
50,6
 
 
 
17,3
6
78,6
 
 
 
20,1
8,6
84,9
 
 
 
24,9
13
71,4
 
 
 
28,3
15,4
47,2
 
 
 
28,4
15,4
51,3
 
 
 
23,5
12
86,5
 
 
 
18,4
8,5
96,3
 
 
 
12,4
4,4
108
 
 
 
9,1
1,6
62,3
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Saint-Jurs est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,4 %), terres arables (27,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,3 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Planification de l'aménagement

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La commune de Saint-Jurs a approuvé son plan local d'urbanisme (PLU) en 2014. La révision de ce PLU, décidée en 2016 par la commune[17], est arrêtée en [18]. Cette révision intègre des modifications de zonage, la création d'une OAP pour la création de cinq villas et de logements mitoyens à l'entrée du village et la possibilité de construire dans les ruines du château. Une enquête publique s'est tenue entre le et le . Une vive opposition au projet a eu lieu au sein du village. Deux pétitions ont recueilli plusieurs centaines de signatures.[réf. nécessaire][19],[20] Dans ce contexte, le commissaire enquêteur rend un avis défavorable au projet, tant sur la forme, que sur le fond[21].

Le , la commune approuve ce PLU révisé.[réf. nécessaire] Plusieurs recours au Tribunal Administratif de Marseille ont été déposés par des associations et des citoyens contre l'approbation de ce PLU.

Plusieurs secteurs économiques sont présents sur la commune de Saint-Jurs.

Un snack-bar est présent sur la place Bellevue du village.

Le nom du village apparaît pour la première fois en 1096 (castrum Sancti Georgii) ; il est nommé d’après saint Georgius sous sa forme occitane, qui a été déformée par la suite[22]. Cette évolution est confirmée par Robert Bailly[23]. La commune se nomme Sant Jurs en occitan provençal.

Un cimetière gallo-romain a été découvert, jouxtant le cimetière actuel. La localité, dont le nom est une déformation de Saint Georges, est citée en 1259 dans les chartes pour la première fois (Sanctus Georgius)[24]. Un château y était construit sur le sommet de l’Huby (1285 m)[25]. La baronnie appartient aux Castellane du XIVe siècle à la Révolution française[24], la communauté relève de la viguerie de Moustiers[26] et la paroisse dépend d’abord de l’évêque de Riez Augier, qui donne un quart des dîmes à l’abbaye de Montmajour en 1096. Puis un de ses successeurs, Foulque II de Caille, donne la paroisse à une de ses fondations, à Sorps (établie en 1255 à Bauduen), composée d’une communauté de chanoines augustiniens, d’un couvent de moniales et d’un hospice. Ce monastère crée une prévôté à Saint-Jurs[26].

Mathieu de Lenenao (Levens), noble, originaire de Saint-Jurs et coseigneur de ce lieu, acheta en 1323, une terre à Saint-Jurs. En 1340, il échangea avec Isnard de Sancto-Martino, coseigneur de Saint-Jurs, des biens situés dan ce même endroit[27].

Alors que la crise des XIVe et XVe siècles décime la communauté villageoise (près de 90 % de perte entre 1315 et 1471[24]), le monastère de Sorps n’est pas épargné, et les derniers chanoines viennent se réfugier à Saint-Jurs en 1433, jusqu’à la suppression de la prévôté en 1499[26].

Les reliques de saint Nicaise et Restitut ont été découvertes en 1640 lors de travaux dans l’église, avant d’être à nouveau enfermées dans le mur.

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[28]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Bellevue[29].

Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 18 habitants de Saint-Jurs sont traduits devant la commission mixte, la majorité étant condamnés à la déportation en Algérie[30].

Comme de nombreuses communes du département, Saint-Jurs se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[31]. La même instruction n’est donnée aux filles, bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[32]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[33].

Héraldique

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Blason de Saint-Jurs Blason
D'azur à un saint Georges d'or perçant de sa lance un dragon abattu au pied de son cheval du même[34],[35].
Détails
Armes parlantes. Saint-Jurs signifie Saint-Georges en dialecte local.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  Jean Chauvet[36]    
  Albert Escudier DVG [37],[38]  
avant 2005 2014 Michel Favre[39] DVG[40],[41],[42]  
En cours Danielle Urquizar[43] sans étiquette  

L'école est construite en 1885. Dans les années 1980, elle fonctionnait en classe unique[44].

Budget et fiscalité 2015

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En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[45] :

  • total des produits de fonctionnement : 227 000 , soit 1 516  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 193 000 , soit 1 288  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 506 000 , soit 3 375  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 189 000 , soit 1 259  par habitant.
  • endettement : 357 000 , soit 2 382  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 5,47 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 15,69 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 59,68 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Intercommunalité

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Saint-Jurs était, en 2011, l'une des treize communes du département à n'être rattachée à aucun établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre. À la suite du schéma départemental de coopération intercommunale de 2011 établi par la préfecture, prévoyant « la couverture intégrale du territoire par des EPCI à fiscalité propre »[46], la commune fait partie, depuis 2013 et jusqu'en 2016, de la communauté de communes Asse Bléone Verdon ; et depuis le , de la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[48].

En 2022, la commune comptait 137 habitants[Note 2], en évolution de −0,72 % par rapport à 2016 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
431452496427514564535490475
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
457430451427382402412403317
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
358309287275217192178170120
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008
1051028586115121151155156
2013 2018 2022 - - - - - -
144138137------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
1315 1471
121 feux18 feux

L’histoire démographique de Saint-Jurs, après la grande saignée du XIVe siècle et la lente croissance allant de la fin du XVe siècle aux années 1830, est marquée par une période d’« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1841. L’exode rural provoque un mouvement de diminution de longue durée. En 1921, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population de 1831[51]. Le petit pic de population en 1896 est contemporain des travaux de construction de la ligne de chemin de fer de Nice à Digne.

La baisse continue jusqu’aux années 1970, période où le mouvement s’inverse.

Lieux et monuments

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Ruines monumentales à Saint-Jurs.

L’église paroissiale Saint-Georges domine le village et le plateau de Valensole. Son chœur est construit sous une coupole, datant du milieu du XIIe siècle, et revoûté au XIVe siècle. La nef est construite à une date plus récente (XIIIe siècle) : elle est plus large, n’est pas située dans le même axe que le chœur. Elle est réparée en 1640[52]. Dans son mobilier se trouve un tableau représentant saint Joseph, de la première moitié du XVIIIe siècle, est classé monument historique au titre objet[53],[54].

Chapelle Saint-Georges.

La chapelle Saint-Georges dans le cimetière[55], avec une nef de trois travées voûtées d’un faux berceau au XVIIIe siècle et une abside voûtée en cul-de-four. Originellement, l’entrée se faisait par le portail sud, aujourd’hui bouché. Le mur sud et l’abside, en petit appareil régulier et en galets, datent du début du XIIe siècle. Outre la reconstruction de la voûte, la chapelle a été restaurée en 1978[56] puis à nouveau en 1989[26].

  • Le château d’Allès date des XVIe et XVIIe siècles[24].
  • château en ruines
  • village médiéval d’Alès, en ruines

Personnalités liées à la commune

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  • Robert Bouvier (né en 1941), auteur du Parler marseillais : dictionnaire, du Parler marseillais : dictionnaire argotique, d’Origine des quartiers de Marseille et de "Tresse d'aïet, ma mère"[57].

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c Roger Brunet, « Canton de Moustiers-Sainte-Marie », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013
  2. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  3. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
  4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
  5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St Jurs » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « St Jurs » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Extrait du registre des délibérations du conseil municipal - Séance du 08 décembre 2016 » [PDF], sur alpes-de-haute-provence.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Extrait du registre des délibérations du conseil municipal - Séance du 19 septembre 2019 » [PDF], sur alpes-de-haute-provence.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Pétition habitants de Saint Jurs ».
  20. « Commentaires de signataires · Mairie de Saint-Jurs: Pétition contre les projets de construction prévus par le PLU de St Jurs · Change.org », sur change.org (consulté le ).
  21. « Commune de Saint-Jurs. Enquête publique sur la révision du Plan local d'urbanisme de la commune de Saint-Jurs. 14 septembre - 15 octobre 2020 » [PDF], sur alpes-de-haute-provence.gouv.fr (consulté le ).
  22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28446, p 1624
  23. Robert Bailly, Chapelles de Provence : Bouches-du-Rhône, Alpes-Maritimes, Alpes-de-Haute-Provence, Var, Vaucluse : Origines, Architecture, Croyances, Le-Coteau, Horvath, 1988, (ISBN 2-7171-0565-4), p. 12
  24. a b c et d Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 196
  25. Jacques Cru, « Petra Castellana », Verdon no 1, estieu 1999, p. 35.
  26. a b c et d Daniel Thiery, « Saint-Jurs », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012
  27. B1984f320
  28. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
  29. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113.
  30. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 69.
  31. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  32. Labadie, op. cit., p. 16.
  33. Labadie, op. cit., p. 11.
  34. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866), p. 143.
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  37. Albert Escudier est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Arlette Laguiller (LO) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, page 4801, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  38. Albert Escudier est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Arlette Laguiller (LO) à l’élection présidentielle de 1995, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  39. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013
  40. Michel Favre est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Olivier Besancenot à l’élection présidentielle de 2002, Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
  41. Michel Favre est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Olivier Besancenot à celle de 2007, Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
  42. Michel Favre est l’un des 500 élus qui ont parrainé Nathalie Arthaud (LO) à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012
  43. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
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  50. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
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