Nibles — Wikipédia
Nibles | |||||
Le village de Nibles. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Forcalquier | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sisteronais-Buëch | ||||
Maire Mandat | Jean-Jacques Lachamp 2020-2026 | ||||
Code postal | 04250 | ||||
Code commune | 04137 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 49 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 4 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 16′ 57″ nord, 6° 01′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 538 m Max. 1 162 m | ||||
Superficie | 12,31 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Seyne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur | |||||
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Nibles est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
[modifier | modifier le code]Le village est situé sur le bord du Sasse, le pont étant à une altitude de 595 m[1]. Sur le territoire, on trouve la gorge du Bastidon. Le point culminant est le Rocher de Hongrie à 1 189 m.
Les communes limitrophes de Nibles sont Vaumeilh, La Motte-du-Caire, Valernes et Châteaufort.
Géologie
[modifier | modifier le code]Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[2] :
- la nappe de Digne à l'est[3], au niveau du lobe de Valavoire[4] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
- la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée ;
- le Plateau de Valensole au sud-est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).
Lors de la glaciation de Riss, une diffluence du glacier de la Durance envahit la vallée du Sasse, et recouvre la quasi-totalité de la commune. Seuls les sommets des rochers de Hongrie émergeaient. Lors de la glaciation de Würm, l’extension du glacier est bien moins importante, et aucune partie de la commune n’est recouverte[5].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 912 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sisteron », sur la commune de Sisteron à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 835,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Aucune commune du département n’est en zone de risque sismique nul. Le canton de la Motte-du-Caire, auquel appartient Nibles, est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[13], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[14]. La commune de Nibles est également exposée à trois autres risques naturels[14] :
- feu de forêt,
- inondation (dans la vallée du Sasse),
- mouvement de terrain.
La commune de Nibles n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensé par la préfecture[15]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[15] et le Dicrim n’existe pas non plus[16].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Nibles est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18] et hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,7 %), terres arables (8,1 %)[21].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La localité apparaît pour la première fois sous ce nom (Nibla) dans les textes vers 1200. Selon Michel de la Torre, ce nom signifie brouillard[22]. Selon Ernest Nègre, le nom est le pluriel de l’occitan nible, épervier[23].
Histoire
[modifier | modifier le code]Dans l’Antiquité, le territoire de Nibles fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii), dont le territoire s’étend du sud des Baronnies à la Durance, et recouvre une partie du massif des Monges. Les Sogiontiques sont fédérés aux Voconces, et après la conquête romaine, ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au IIe siècle, ils sont détachés des Voconces et forment une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron)[24].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes sous le nom d’Umebellus, puis sous la forme Nibla seulement vers 1200[25]. Elle appartient à l’ordre de Malte à partir du XIIe siècle[26]. Les églises du lieu, dont le prieuré d’Ulmebel relevaient de l’abbaye Saint-Victor de Marseille[26]. Le fief est réuni au marquisat d’Oraison en 1588[25], puis passe à la famille André au XVIIe siècle, puis aux Arnaud au XVIIIe siècle[25]. Outre ce fief, il existait un deuxième fief sur le territoire de la commune, à Antraix, orthographié aujourd’hui Entraix (d’après l’état d’afflorinement de 1783[27].)
La communauté relevait de la baillie de Sisteron[26].
Le château est pillé durant la Révolution, en mars 1792[28]. Peu après, il est entièrement démoli[29].
Comme de nombreuses communes du département, Nibles se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en compte une école dispensant une instruction primaire aux garçons[30]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851) qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants[31], ne concernent la commune de Nibles[32]. Si la deuxième loi Duruy (1877) lui permet, grâce aux subventions de l’État, de construire une école neuve au village[33], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Nibles sont scolarisées.
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture, qui s'était maintenue dans l'entre-deux-guerres mondiales[34], a depuis été abandonnée[35].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de neuf membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[36]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Jean-Jacques Lachamp a été réélu conseiller municipal avec le cinquième total de 33 voix, soit 84,61 % des suffrages exprimés. La participation a été de 75,00 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[37].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]L'élection du maire est la grande innovation de la Révolution de 1789. De 1790 à 1795, les maires sont élus au suffrage censitaire pour 2 ans. De 1795 à 1800, il n’y a pas de maires, la commune se contente de désigner un agent municipal qui est délégué à la municipalité de canton.
En 1799-1800, le Consulat revient sur l'élection des maires, qui sont désormais nommés par le pouvoir central. Ce système est conservé par les régimes suivants, à l'exception de la Deuxième République (1848-1851). Après avoir conservé le système autoritaire, la Troisième République libéralise par la loi du 5 avril 1884 l'administration des communes : le conseil municipal, élu au suffrage universel, élit le maire en son sein.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Nibles a fait partie, de 2008 à 2016, de la communauté de communes de La Motte-du-Caire - Turriers, puis depuis le de la communauté de communes du Sisteronais Buëch.
Instances administratives et judiciaires
[modifier | modifier le code]Nibles est une des 34 communes du canton de Seyne depuis 2015, qui totalise 8 377 habitants en 2012. La commune fait partie de l’arrondissement de Sisteron du au , date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier, et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Nibles fait partie du canton de La Motte-du-Caire de 1801 à 2015 (Lamotte de 1793 à 1801)[43]. Nibles fait partie des juridictions d’instance de Forcalquier, de la prud'homale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[44].
Fiscalité locale
[modifier | modifier le code]Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
---|---|---|---|---|
Taxe d'habitation | 3,76 % | 0,64 % | 5,53 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties | 6,97 % | 2,25 % | 14,49 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties | 36,92 % | 6,44 % | 47,16 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle | 10,41 % | 1,28 % | 10,80 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[46]).
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2021, la commune comptait 49 habitants[Note 2], en évolution de +13,95 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L’histoire démographique de Nibles, après l’abandon complet au XVe siècle et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié du XIXe siècle. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1911, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[50]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1970. Depuis, la population a légèrement crû.
Sports
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par le sentier de grande randonnée GR631D de La Motte-du-Caire à Nibles et Châteaufort.
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune ne dispose pas d'école primaire publique[51]. Au niveau secondaire, les élèves sont affectés au collège Marcel-Massot[52]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul-Arène à Sisteron[53],[54].
Santé
[modifier | modifier le code]Il n'y a ni médecin ni infirmier à Nibles. Le plus proche est situé dans la commune de La Motte-du-Caire à environ 5 km[55]. Le centre hospitalier le plus rapproché est localisé à Sisteron.
Économie
[modifier | modifier le code]Aperçu général
[modifier | modifier le code]En 2009, la population active s’élevait à 29 personnes, dont un chômeur[56]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (21 pour 7 indépendants)[57] et travaillent majoritairement hors de la commune (mêmes chiffres)[57].
Agriculture
[modifier | modifier le code]Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait deux établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[58].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est très faible et couvert par le secret statistique depuis 2000[59]. Ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage[59]. Il y avait trois exploitations en 1988, sur une surface agricole utile (SAU) de 127 ha[60].
Les agriculteurs de la commune de Nibles peuvent prétendre à deux labels appellation d'origine contrôlée (AOC) (banon et huile essentielle de lavande de Haute-Provence) et à neuf labels indication géographique protégée (IGP), dont le petit épeautre, le miel de Provence et l’agneau de Sisteron[61]. Parmi ces labels, ceux concernant le vin (alpes-de-haute-provence (IGP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé) ne sont pas utilisés, la vigne n’étant pas cultivée pour une production commerciale dans la commune[35].
- Champ de lavande sur le plateau d'Albion.
- Alambics pour distiller la lavande.
- Petit épeautre.
- Agneau de Sisteron élevé sous sa mère.
- Ruches à la combe du Pommier.
- Plateau d'AOC banon dans un restaurant de Revest-du-Bion.
Industrie
[modifier | modifier le code]Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait deux établissements, employant six salariés[58].
Activités de service
[modifier | modifier le code]Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait six établissements (sans emploi salarié), auxquels s’ajoutent l’unique établissement du secteur administratif, salariant une personne[58].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est d’une importance secondaire pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[62], la capacité d'hébergement étant très faible[63] et ne consiste qu’en quelques meublés labellisés[64]. Les résidences secondaires apportent un petit complément à la capacité d’accueil[65] : au nombre de 12, elles représentent un logement sur trois[66],[67].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Le bâtiment appelé château est une maison seigneuriale, datant de la fin du XVIIIe siècle ou du XIXe siècle. Elle possède un pigeonnier cylindrique, construit devant sa façade[68].
Un autre bâtiment également appelé château est une tour de guet, à la Bâtie, datable de la fin du XIIe siècle ou du XIIIe siècle. Elle est construite sur un piton rocheux, au-dessus de l’ancienne route nationale 551. De forme carrée, elle subsiste sur 6 à 7 m de hauteur[69].
Plusieurs éléments du mobilier de l’église Notre-Dame-de-Bethléem (achevée en 1717[25] avec des matériaux d’une ancienne chapelle Saint-Jean[26]) sont classés monuments historiques au titre objet :
- un ostensoir en argent, de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle[70] ;
- un tableau représentant la sainte Famille avec saint Jean le Baptiste, autour de 1700 pour les Affaires culturelles, de la seconde moitié du XVIIIe siècle pour Raymond Collier[71] ;
- le maître-autel est en bois, sans dorure ; son retable en bois également sans dorure est classé[72].
Héraldique
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Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Nibles sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- [1]
- Maurice Gidon, Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale)
- Carte géologique de la France au 1:1 000 000
- Maurice Gidon, La Nappe de Digne et les structures connexes.
- Maurice Jorda, Cécile Miramont, « Les Hautes Terres : une lecture géomorphologique du paysage et de ses évolutions », in Nicole Michel d’Annoville, Marc de Leeuw (directeurs) (photogr. Gérald Lucas, dessin. Michel Crespin), Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire : Association Les hautes terres de Provence ; Saint-Michel-l'Observatoire : C'est-à-dire, 2008, 223 p. (ISBN 978-2-952756-43-3). p. 33.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Nibles et Sisteron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sisteron », sur la commune de Sisteron - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sisteron », sur la commune de Sisteron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 6 août 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 6 août 2011
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 23757, p 1278
- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 18-19
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 187
- Daniel Thiery, « Nibles », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 6 août 2012
- Édouard Baratier et Ernest Hildesheimer, « Les fiefs provençaux au XVIIIe siècle », carte 111 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 15
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 243
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 18.
- Labadie, op. cit., p. 11.
- Paul Minvielle, « La viticulture dans les Alpes du Sud entre nature et culture », Méditerranée, 107 | 2006, mis en ligne le 1er décembre 2008, consulté le 12 juillet 2013.
- André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
- « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance.
- « Résultats élections municipales 2008 à Nibles », sur linternaute.com.
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 3 avril 2014.
- Jean-Claude Brémond est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Pierre Boussel (MPPT) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, page 4795, consulté le 29 juillet 2010
- Jean-Jacques Lachamp est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Noël Mamère à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010, et Conseil constitutionnel, Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Montfuron à Puimichel (liste 5), consulté le 8 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence », Ministère de la Justice et des Libertés.
- « Impôts locaux à Nibles », taxes.com.
- Loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute- Provence depuis le début du XIXe siècle », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
- « Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence », Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence.
- « Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence », Académie Aix-Marseille, .
- « Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence », Académie Aix-Marseille, .
- « Site de la cité scolaire Paul Arène », Académie Aix-Marseille, .
- Annuaire Pages jaunes [lire en ligne]
- Insee, Dossier local - Commune : Nibles, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
- Insee, Dossier local, p. 7
- Insee, Dossier local, p. 15
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- « Liste des appellations AOC et IGP à Nibles », sur INAO.
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 16
- Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
- Raymond Collier, op. cit., p 271
- Raymond Collier, op. cit., p 312
- Arrêté du 22 février 1979, « Ostensoir », notice no PM04000296, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 novembre 2008
- Arrêté du 14 novembre 1974, « Tableau, cadre : sainte famille avec Jean-Baptiste (la) », notice no PM04000295, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 novembre 2008
- Arrêté du 25 avril 1961, « Retable du maître-autel », notice no PM04000294, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 novembre 2008
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).