Val-de-Meuse — Wikipédia
Val-de-Meuse | |||||
L’église de Lénizeul. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Haute-Marne | ||||
Arrondissement | Langres | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Langres | ||||
Maire Mandat | Romary Didier 2020-2026 | ||||
Code postal | 52140, 52240 | ||||
Code commune | 52332 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montigniers[1] | ||||
Population municipale | 1 813 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 00′ 01″ nord, 5° 29′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 308 m Max. 458 m | ||||
Superficie | 76,76 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bourbonne-les-Bains | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Haute-Marne Géolocalisation sur la carte : Grand Est | |||||
Liens | |||||
Site web | mairie-val-de-meuse.fr | ||||
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Val-de-Meuse est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est. Elle se compose des villages de Montigny-le-Roi (le chef-lieu communal), Épinant, Lécourt, Lénizeul, Maulain, Meuse, Provenchères-sur-Meuse, Ravennefontaines et Récourt.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune du Val-de-Meuse est à 20 km à l'ouest de celle de Bourbonne-les-Bains.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Sur le territoire de la commune se trouve un tripoint hydrographique européen majeur, correspondant au point de rencontre des bassins versants du Rhône (via la Saône), de la Seine (via la Marne) et de la Meuse, rejoignant respectivement la mer Méditerranée, la Manche et la mer du Nord. Il est situé au sud du village de Récourt, au lieu-dit les Marchais, sur le chemin de Falouande. Ses coordonnées sont 47° 56′ 29″ N, 5° 30′ 17″ E[2].
La commune est drainée par la Meuse, le ruisseau de Bochère, le ruisseau de Moutelle, le ruisseau de Rangecourt, le ruisseau du Grand-Étang, le cours d'eau 01 des Longennes, le ru de Haute Voie, le ru d'Ouette, le ruisseau d'Avrecourt, le ruisseau de Joncourt, le ruisseau de l'Étang de Lecourt, le ruisseau de Maulain, le ruisseau de Pre Chatenay, le ruisseau de Quenevaille, le ruisseau de Sirefontaine, le ruisseau des Aimeguenons et le ruisseau le Viau[3],[Carte 1].
La Meuse prend sa source au Châtelet-sur-Meuse, et se jette dans la mer du Nord après un cours long d'approximativement 950 kilomètres traversant la France, la Belgique et les Pays-Bas[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 946 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 917,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,9 | −0,9 | 1,2 | 3,3 | 7,3 | 10,6 | 12,5 | 12 | 8,4 | 6,1 | 2,5 | 0 | 5,2 |
Température moyenne (°C) | 1,8 | 2,7 | 6 | 9,1 | 13 | 16,6 | 18,6 | 18,3 | 14,2 | 10,3 | 5,5 | 2,7 | 9,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,5 | 6,2 | 10,8 | 14,8 | 18,7 | 22,5 | 24,8 | 24,5 | 20 | 14,6 | 8,6 | 5,3 | 14,6 |
Record de froid (°C) date du record | −25 18.01.1966 | −23 05.02.1963 | −18 01.03.05 | −9,5 08.04.03 | −4 02.05.1962 | −0,5 22.06.1964 | 1 06.07.1964 | 1 25.08.1980 | −3 17.09.1971 | −7,5 29.10.12 | −13,5 27.11.1985 | −22 24.12.01 | −25 1966 |
Record de chaleur (°C) date du record | 16,5 31.01.1990 | 22 27.02.19 | 24,3 31.03.21 | 28 21.04.18 | 32,5 18.05.1960 | 37 23.06.1962 | 39,5 25.07.19 | 39 14.08.1962 | 36 01.09.1961 | 29,5 03.10.1971 | 21,2 01.11.1968 | 15,5 16.12.1989 | 39,5 2019 |
Précipitations (mm) | 84,5 | 66,1 | 69,1 | 59,7 | 82,3 | 64,5 | 68,1 | 67,6 | 71,2 | 93,7 | 94 | 96,6 | 917,4 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
4,5 −0,9 84,5 | 6,2 −0,9 66,1 | 10,8 1,2 69,1 | 14,8 3,3 59,7 | 18,7 7,3 82,3 | 22,5 10,6 64,5 | 24,8 12,5 68,1 | 24,5 12 67,6 | 20 8,4 71,2 | 14,6 6,1 93,7 | 8,6 2,5 94 | 5,3 0 96,6 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Val-de-Meuse est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,7 %), terres arables (27,3 %), forêts (11,4 %), zones urbanisées (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Montigny-le-Roi, Montigny-Source-Meuse en 1793, Le Val-de-Meuse en 1972, Val-de-Meuse en 1974[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Il existe tout d'abord une station dans laquelle s'arrêtaient les voyageurs et les pèlerins. C'est à la fin du Xe siècle ou au début du XIe siècle que cette station est transformée en un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, placé sous le vocable de Sainte Marie-Madeleine et dépendant de l'abbaye Saint-Bénigne de Dijon, sous l'impulsion de l'abbé Guillaume qui y envoie douze religieux du consentement de l'évêque de Langres[18],[19].
Au XIIe siècle, l'abbaye de Chézoy, de l'ordre de Saint-Benoît, et l'abbaye de Belfays, de l'ordre de Citeaux, ainsi que la grange d'Issonville ont été implantées près de la commune de Montigny-le-Roi. Elles sont aujourd'hui de simples fermes isolées.
Au début du XIIIe siècle, le comte de Champagne Thibaut IV acquiert Montigny pour y bâtir une forteresse. Ce comte étant également roi de Navarre, celle-ci prend alors le nom de château de Montigny-le-Roi[18],[19].
Le pendant le siège de Paris, Le ballon monté Colonel Charras s'envole de la gare du Nord à Paris alors assiégée par les Prussiens et termine sa course sur la commune après avoir parcouru 308 kilomètres[21].
Lors de la bataille de France, les six chars FCM 2C du 51e BCC sont chargés sur deux convois ferroviaires en gare de Landres le 13 juin 1940 afin d'échapper à l'encerclement par les troupes allemandes qui ont percé la Ligne Weygand. Le 15 juin 1940, les deux convois sont bloqués à la hauteur de Meuse. Les chars sont sabordés avant que les Allemands de la 8. Panzer-Division traversent la région en direction de Vesoul[22].
Fusion et défusion de communes
[modifier | modifier le code]En 1966, la commune de Montigny-le-Roi, alors peuplée de 783 habitants[23], absorbe celle voisine de Meuse elle-même peuplée de 164 habitants[23].
En 1972, la commune, alors peuplée de 932 habitants[24], absorbe les communes d'Avrecourt (180 habitants[24]), Épinant (124 habitants[24]), Lécourt (114 habitants[24]), Maulain (134 habitants[24]), Provenchères-sur-Meuse (302 habitants[24]), Ravennefontaines (84 habitants[24]), Recourt (108 habitants[24]) et Saulxures (158 habitants[24]) et prend le nom de Le Val-de-Meuse[17].
En 1974, la commune de Lénizeul peuplée de 144 habitants[24] est absorbée à son tour et le nom actuel de Val-de-Meuse, sans article, est adopté[17].
Au , les communes d'Avrecourt et de Saulxures défusionnent et reprennent leur autonomie[12].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelage
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2021, la commune comptait 1 813 habitants[Note 3], en évolution de −3,97 % par rapport à 2015 (Haute-Marne : −4,53 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]- Maternelle, primaire et secondaire.
- L'école ménagère sise à Montigny-le-Roi (1912-1973) a reçu en internat les filles du milieu rural haut-marnais pour les former.
Économie
[modifier | modifier le code]- La FEB (fédération des éleveurs du Bassigny) est un groupement d'éleveurs créé par Léon Mougeot en 1907 à Montigny. L'association favorise l'élevage du cheval ardennais et de la race bovine tachetée. Chaque année, fin septembre, la FEB organise encore une foire et un concours d'élevage qui reçoit des milliers de visiteurs.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]- Montigny, dessin du XIXe siècle par Pernot.
- Ancienne carrière de grès à Provenchères.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Sainte-Marie-Madeleine de Montigny-le-Roi, du XIIIe siècle mais entièrement reconstruite après les Guerres de Religion ;
- Église Notre-Dame de l'Assomption d'Épinant, reconstruite entre 1841 et 1842 ;
- Église Notre-Dame de l'Assomption de Lécourt, du XVe siècle ou XVIe siècle ;
- Église Saint-Brice de Lénizeul, du XVe siècle, partiellement inscrite MH par arrêté du [28] ;
- Eglise Saint-Félix de Maulain ;
- Église Saint-Laurent de Meuse ;
- Église Saint-Èvre de Provenchères-sur-Meuse, du XVe siècle, inscrite MH depuis 1925[29] ;
- Église Saint-Pierre et Saint-Paul de Ravennefontaines, dont toute la partie centrale date de la seconde moitié du XIIe siècle;
- Église Saint-Christophe de Récourt, du XVIIIe siècle ;
- La fontaine du Breuil de Montigny-le-Roi , lavoir octogonal construit en 1850 .
- tripoint hydrographique européen majeur.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Voir aussi la catégorie recensant les personnalités nées à Val-de-Meuse.
- Félix Boisselier (Provenchères-sur-Meuse 1776 - Rome 1811) dit Boisselier aîné, dessinateur et peintre d'histoire ;
- Camille Flammarion (Montigny-le-Roi, 1842 - Juvisy-sur-Orge, 1925), astronome français ;
- Ernest Flammarion (Montigny-le-Roi, 1846 - 1936), fondateur de la maison d'édition Flammarion ;
- Charles-Ernest Cornevin (Montigny-le-Roi, 1846 - Lyon 1897), zootechnicien à l'école nationale vétérinaire de Lyon ;
- Aurélie Picard (Montigny-le-Roi, 1849 - Kourdane 1933), aventurière ;
- Léon Mougeot (Montigny-le-Roi, 1857 - Villiers-sur-Suize 1928), avocat et homme politique haut-marnais ;
- Gustave Barlot (Provenchère-sur-Meuse, 1914 - Penne-d'Agenais 1998), résistant, Compagnon de la Libération[30].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Val-de-Meuse se blasonnent ainsi : D'azur, à la muraille mouvant de la pointe, donjonnée et crénelée d'argent, ouverte et maçonnée de sable, portant un écusson parti au premier mi-parti de gueules aux chaînes d'or posées en orle, en croix et en sautoir, chargées en cœur d'une émeraude au naturel et au second d'azur à la bande d'argent côtoyée de deux doubles cotices potencées et contre-potencées d'or. Le premier mi-parti est de Navarre et le second de Champagne. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Val-de-Meuse sur le site de l'Institut géographique national
- Val-de-Meuse sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Val-de-Meuse » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2024).
Références
[modifier | modifier le code]- https://www.habitants.fr/val-de-meuse/services-publics
- « LIGNE DE PARTAGE DES EAUX SUR LE PLATEAU DE LANGRES », sur Chemin de l’eau, (consulté le ).
- « Fiche communale de Val-de-Meuse », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Meuse »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Val-de-Meuse » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Val-de-Meuse » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Val-de-Meuse ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Émile Jolibois, La Haute-Marne Ancienne et Moderne, Chaumont, Imprimerie et lithographie la veuve Miot-Dadant, (lire en ligne), p. 372
- Charles-François Roussel, Le diocèse de Langres : histoire et statistique, t. 2, Langres, Librairie de Jules Dallet, éditeur, (lire en ligne), p. 410
- Martin Zeiller, Topographia Galliæ : Champagne und Brie, t. III, Francfort, Caspar Merian, (lire en ligne), p. 23
- Ballon N° 23 : « Le Colonel-Charras »
- « 51ème Bataillon de Chars de Combat (BCC) », www.3945km.com, (lire en ligne, consulté le ).
- Recensement de 1962.
- Recensement de 1968.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA00079134, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00079193, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération