Val-de-Meuse — Wikipédia

Val-de-Meuse
Val-de-Meuse
L’église de Lénizeul.
Blason de Val-de-Meuse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Haute-Marne
Arrondissement Langres
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Langres
Maire
Mandat
Romary Didier
2020-2026
Code postal 52140, 52240
Code commune 52332
Démographie
Gentilé Montigniers[1]
Population
municipale
1 813 hab. (2021 en évolution de −3,97 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 00′ 01″ nord, 5° 29′ 48″ est
Altitude Min. 308 m
Max. 458 m
Superficie 76,76 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bourbonne-les-Bains
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Val-de-Meuse
Géolocalisation sur la carte : France
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Val-de-Meuse
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Val-de-Meuse
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Val-de-Meuse
Liens
Site web mairie-val-de-meuse.fr

Val-de-Meuse est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est. Elle se compose des villages de Montigny-le-Roi (le chef-lieu communal), Épinant, Lécourt, Lénizeul, Maulain, Meuse, Provenchères-sur-Meuse, Ravennefontaines et Récourt.

Géographie

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Localisation

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La commune du Val-de-Meuse est à 20 km à l'ouest de celle de Bourbonne-les-Bains.

Communes limitrophes

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Carte de la commune de Val-de-Meuse et des proches communes.

Hydrographie

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Sur le territoire de la commune se trouve un tripoint hydrographique européen majeur, correspondant au point de rencontre des bassins versants du Rhône (via la Saône), de la Seine (via la Marne) et de la Meuse, rejoignant respectivement la mer Méditerranée, la Manche et la mer du Nord. Il est situé au sud du village de Récourt, au lieu-dit les Marchais, sur le chemin de Falouande. Ses coordonnées sont 47° 56′ 29″ N, 5° 30′ 17″ E[2].

La commune est drainée par la Meuse, le ruisseau de Bochère, le ruisseau de Moutelle, le ruisseau de Rangecourt, le ruisseau du Grand-Étang, le cours d'eau 01 des Longennes, le ru de Haute Voie, le ru d'Ouette, le ruisseau d'Avrecourt, le ruisseau de Joncourt, le ruisseau de l'Étang de Lecourt, le ruisseau de Maulain, le ruisseau de Pre Chatenay, le ruisseau de Quenevaille, le ruisseau de Sirefontaine, le ruisseau des Aimeguenons et le ruisseau le Viau[3],[Carte 1].

La Meuse prend sa source au Châtelet-sur-Meuse, et se jette dans la mer du Nord après un cours long d'approximativement 950 kilomètres traversant la France, la Belgique et les Pays-Bas[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Val-de-Meuse[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 946 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 917,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Statistiques 1991-2020 et records VAL-DE-MEUSE (52) - alt : 380m, lat : 48°01'17"N, lon : 5°35'12"E
Records établis sur la période du 01-01-1959 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,9 −0,9 1,2 3,3 7,3 10,6 12,5 12 8,4 6,1 2,5 0 5,2
Température moyenne (°C) 1,8 2,7 6 9,1 13 16,6 18,6 18,3 14,2 10,3 5,5 2,7 9,9
Température maximale moyenne (°C) 4,5 6,2 10,8 14,8 18,7 22,5 24,8 24,5 20 14,6 8,6 5,3 14,6
Record de froid (°C)
date du record
−25
18.01.1966
−23
05.02.1963
−18
01.03.05
−9,5
08.04.03
−4
02.05.1962
−0,5
22.06.1964
1
06.07.1964
1
25.08.1980
−3
17.09.1971
−7,5
29.10.12
−13,5
27.11.1985
−22
24.12.01
−25
1966
Record de chaleur (°C)
date du record
16,5
31.01.1990
22
27.02.19
24,3
31.03.21
28
21.04.18
32,5
18.05.1960
37
23.06.1962
39,5
25.07.19
39
14.08.1962
36
01.09.1961
29,5
03.10.1971
21,2
01.11.1968
15,5
16.12.1989
39,5
2019
Précipitations (mm) 84,5 66,1 69,1 59,7 82,3 64,5 68,1 67,6 71,2 93,7 94 96,6 917,4
Source : « Fiche 52332001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,5
−0,9
84,5
 
 
 
6,2
−0,9
66,1
 
 
 
10,8
1,2
69,1
 
 
 
14,8
3,3
59,7
 
 
 
18,7
7,3
82,3
 
 
 
22,5
10,6
64,5
 
 
 
24,8
12,5
68,1
 
 
 
24,5
12
67,6
 
 
 
20
8,4
71,2
 
 
 
14,6
6,1
93,7
 
 
 
8,6
2,5
94
 
 
 
5,3
0
96,6
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Val-de-Meuse est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,7 %), terres arables (27,3 %), forêts (11,4 %), zones urbanisées (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

Montigny-le-Roi, Montigny-Source-Meuse en 1793, Le Val-de-Meuse en 1972, Val-de-Meuse en 1974[17].

Il existe tout d'abord une station dans laquelle s'arrêtaient les voyageurs et les pèlerins. C'est à la fin du Xe siècle ou au début du XIe siècle que cette station est transformée en un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, placé sous le vocable de Sainte Marie-Madeleine et dépendant de l'abbaye Saint-Bénigne de Dijon, sous l'impulsion de l'abbé Guillaume qui y envoie douze religieux du consentement de l'évêque de Langres[18],[19].

Au XIIe siècle, l'abbaye de Chézoy, de l'ordre de Saint-Benoît, et l'abbaye de Belfays, de l'ordre de Citeaux, ainsi que la grange d'Issonville ont été implantées près de la commune de Montigny-le-Roi. Elles sont aujourd'hui de simples fermes isolées.

Au début du XIIIe siècle, le comte de Champagne Thibaut IV acquiert Montigny pour y bâtir une forteresse. Ce comte étant également roi de Navarre, celle-ci prend alors le nom de château de Montigny-le-Roi[18],[19].

Le château de Montigny-le-Roi, dessin extrait du Topographia Galliæ datant du milieu du XVIIe siècle[20].

Le pendant le siège de Paris, Le ballon monté Colonel Charras s'envole de la gare du Nord à Paris alors assiégée par les Prussiens et termine sa course sur la commune après avoir parcouru 308 kilomètres[21].

Le Président Wilson à Montigny le Roi (25.12.1918) (source Musée de la Tour Biesles 52).

Lors de la bataille de France, les six chars FCM 2C du 51e BCC sont chargés sur deux convois ferroviaires en gare de Landres le 13 juin 1940 afin d'échapper à l'encerclement par les troupes allemandes qui ont percé la Ligne Weygand. Le 15 juin 1940, les deux convois sont bloqués à la hauteur de Meuse. Les chars sont sabordés avant que les Allemands de la 8. Panzer-Division traversent la région en direction de Vesoul[22].

Fusion et défusion de communes

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En 1966, la commune de Montigny-le-Roi, alors peuplée de 783 habitants[23], absorbe celle voisine de Meuse elle-même peuplée de 164 habitants[23].

En 1972, la commune, alors peuplée de 932 habitants[24], absorbe les communes d'Avrecourt (180 habitants[24]), Épinant (124 habitants[24]), Lécourt (114 habitants[24]), Maulain (134 habitants[24]), Provenchères-sur-Meuse (302 habitants[24]), Ravennefontaines (84 habitants[24]), Recourt (108 habitants[24]) et Saulxures (158 habitants[24]) et prend le nom de Le Val-de-Meuse[17].

En 1974, la commune de Lénizeul peuplée de 144 habitants[24] est absorbée à son tour et le nom actuel de Val-de-Meuse, sans article, est adopté[17].

Au , les communes d'Avrecourt et de Saulxures défusionnent et reprennent leur autonomie[12].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? 1977 Ange Etienne   Pharmacien
1977 mars 2001 Jean-Pierre Bernard UDF-DL Médecin
mars 2001 mars 2008 Maryse Wanham-Fäh SE Secrétaire
2008 2012 Gérard Didier DVD Agriculteur, conseiller général de 2001 à 2008
2012 En cours
(au 23 janvier 2024)
Romary Didier DVD Professeur

Drapeau de la Belgique Lierneux (Belgique).

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 1 813 habitants[Note 3], en évolution de −3,97 % par rapport à 2015 (Haute-Marne : −4,53 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0211 0611 0961 1031 2781 2831 2671 3051 338
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2031 1991 1801 1421 1551 1101 1051 0911 036
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9879761 019830909901955890757
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
7839322 2002 1482 1672 2112 1792 1731 941
2017 2021 - - - - - - -
1 8611 813-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Collège Camille Flammarion.
  • Maternelle, primaire et secondaire.
  • L'école ménagère sise à Montigny-le-Roi (1912-1973) a reçu en internat les filles du milieu rural haut-marnais pour les former.
  • La FEB (fédération des éleveurs du Bassigny) est un groupement d'éleveurs créé par Léon Mougeot en 1907 à Montigny. L'association favorise l'élevage du cheval ardennais et de la race bovine tachetée. Chaque année, fin septembre, la FEB organise encore une foire et un concours d'élevage qui reçoit des milliers de visiteurs.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La fontaine du Breuil.
  • Église Sainte-Marie-Madeleine de Montigny-le-Roi, du XIIIe siècle mais entièrement reconstruite après les Guerres de Religion ;
  • Église Notre-Dame de l'Assomption d'Épinant, reconstruite entre 1841 et 1842 ;
  • Église Notre-Dame de l'Assomption de Lécourt, du XVe siècle ou XVIe siècle ;
  • Église Saint-Brice de Lénizeul, du XVe siècle, partiellement inscrite MH par arrêté du [28] ;
  • Eglise Saint-Félix de Maulain ;
  • Église Saint-Laurent de Meuse ;
  • Église Saint-Èvre de Provenchères-sur-Meuse, du XVe siècle, inscrite MH depuis 1925[29] ;
  • Église Saint-Pierre et Saint-Paul de Ravennefontaines, dont toute la partie centrale date de la seconde moitié du XIIe siècle;
  • Église Saint-Christophe de Récourt, du XVIIIe siècle ;
  • La fontaine du Breuil de Montigny-le-Roi , lavoir octogonal construit en 1850 .
  • tripoint hydrographique européen majeur.

Personnalités liées à la commune

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Camille et Ernest Flammarion et leur famille.

Héraldique

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Armes de Val-de-Meuse

Les armes de Val-de-Meuse se blasonnent ainsi :

D'azur, à la muraille mouvant de la pointe, donjonnée et crénelée d'argent, ouverte et maçonnée de sable, portant un écusson parti au premier mi-parti de gueules aux chaînes d'or posées en orle, en croix et en sautoir, chargées en cœur d'une émeraude au naturel et au second d'azur à la bande d'argent côtoyée de deux doubles cotices potencées et contre-potencées d'or. Le premier mi-parti est de Navarre et le second de Champagne.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Val-de-Meuse » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2024).

Références

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  1. https://www.habitants.fr/val-de-meuse/services-publics
  2. « LIGNE DE PARTAGE DES EAUX SUR LE PLATEAU DE LANGRES », sur Chemin de l’eau, (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Val-de-Meuse », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  4. Sandre, « la Meuse »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Val-de-Meuse » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Val-de-Meuse » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Val-de-Meuse ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  17. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. a et b Émile Jolibois, La Haute-Marne Ancienne et Moderne, Chaumont, Imprimerie et lithographie la veuve Miot-Dadant, (lire en ligne), p. 372
  19. a et b Charles-François Roussel, Le diocèse de Langres : histoire et statistique, t. 2, Langres, Librairie de Jules Dallet, éditeur, (lire en ligne), p. 410
  20. Martin Zeiller, Topographia Galliæ : Champagne und Brie, t. III, Francfort, Caspar Merian, (lire en ligne), p. 23
  21. Ballon N° 23 : « Le Colonel-Charras »
  22. « 51ème Bataillon de Chars de Combat (BCC) », www.3945km.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. a et b Recensement de 1962.
  24. a b c d e f g h i et j Recensement de 1968.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Notice no PA00079134, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. Notice no PA00079193, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération