Geneston — Wikipédia
Geneston | |||||
L'église au début du XXe siècle. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Nantes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Grand Lieu | ||||
Maire Mandat | Karine Paviza 2020-2026 | ||||
Code postal | 44140 | ||||
Code commune | 44223 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Genestonnais | ||||
Population municipale | 3 697 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 460 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 03′ 23″ nord, 1° 30′ 41″ ouest | ||||
Altitude | Min. 14 m Max. 39 m | ||||
Superficie | 8,04 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Geneston (ville-centre) | ||||
Aire d'attraction | Nantes (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire | |||||
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Geneston (prononcé [ ʒə.nɛ.tɔ̃]) est une commune française de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Geneston est une commune du canton d'Aigrefeuille située à une quinzaine de kilomètres au sud de Nantes. Ce territoire est uniformément plat tout en faisant partie de la dépression de Grand Lieu.
Les communes limitrophes sont, Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, Pont-Saint-Martin, La Chevrolière, Le Bignon, Montbert, Saint-Colomban en Loire-Atlantique et Saint-Philbert-de-Bouaine en Vendée.
Géographie physique
[modifier | modifier le code]Topographie et hydrographie
[modifier | modifier le code]L'altitude oscille entre 14 et 39 mètres. Geneston est traversée par trois petits ruisseaux dont le ruisseau du Redour[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 823 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Rocheservière à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 831,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Geneston est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Geneston[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (27,9 %), terres arables (24,5 %), zones urbanisées (20,7 %), zones agricoles hétérogènes (19,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), forêts (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune est située sur la limite entre poitevin et gallo. En gallo, le nom de la commune est écrit Jenèstan[14] ou Jenéton selon l'écriture ABCD[15]; Jeneston selon l'écriture ELG[16], ou Jnéton selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [ ʒnetɔ̃], [ ʒnɛtɛ̃] et [ ʒənɛstɑ̃][17],[14].
La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Banaleg-ar-Gevred[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Les origines
[modifier | modifier le code]On retrouve des traces de la présence de l'Homme à Geneston. Les premières traces de sédentarisation remontent probablement au Ve siècle, lors de la fondation d'une maladrerie-léproserie.
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]En l'année 1147, six religieux et deux novices envoyés par Bernard Ier, évêque de Nantes, viennent s'établir à Geneston et créent un monastère sous l'invocation de sainte Marie-Madeleine (sœur de Lazare). Cette terre, gérée par les moines augustins dès 1147, devient ensuite une possession épiscopale. Quinze ans plus tard, le pape Alexandre III approuve les règles de la communauté et lui accorde sa protection.
En 1163, une bulle papale érige le petit monastère religieux en abbaye. L'abbé, seigneur du lieu, a droit de haute justice, de foire et de marché.
Période moderne
[modifier | modifier le code]Les biens de l'abbaye sont vendus à la Révolution. En mars 1793, les habitants de Geneston (Gesnestonnais) se révoltent et entrent ensuite dans l'armée de Charette. Ils prennent part aux combats de Machecoul, Pont-James et Fontenay. En février 1794, on compte 16 tués par les Mayençais sur le territoire de la commune de Geneston.
En 1796, Geneston est rattachée provisoirement à Montbert. C'est grâce aux démarches du premier maire, Georges Gaudet, que Geneston va conquérir définitivement son indépendance. La rivalité entre Geneston et Montbert va durer longtemps en réalité. Plusieurs demandes sont faites, en 1807, en 1870, mais sans résultat.
En 1832, Geneston se retrouve très concerné par une dernière tentative de soulèvement royaliste. Fermement décidée à faire reconnaître les droits estimés légitimes de son fils Henry, futur Comte de Chambord, au trône de France occupé depuis juillet 1831 par Louis-Philippe, Marie-Caroline de Bourbon-Siciles, duchesse de Berry, arrive dans le secteur le 15 mai. Elle séjourne le 17 mai au domaine de Bellecour à Montbert et le 18 et 19 mai au lieu-dit « Chez Marc » à Geneston. De violents combats sporadiques éclatent alors dans les communes environnantes du 24 au 31. La tentative sera un échec. Réfugiée à Nantes à partir du 9 juin Marie-caroline y est arrêtée le 7 novembre, emprisonnée pendant quelques mois à Blaye et définitivement exilée ensuite[19].
XXe siècle
[modifier | modifier le code]En 1900, le projet de séparation est refusé et un accord n'intervient que le 1er juillet 1954. Geneston redevient commune à part entière à partir du 1er janvier 1955 et développe son commerce et ses petites manufactures.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelage, et liens d'amitié
[modifier | modifier le code]La commune de Geneston est jumelée avec :
- Covelo, commune espagnole située dans la province de Pontevedra et la communauté autonome de Galice.
La commune entretient des liens d'amitié avec :
- Fénis, commune francophone italienne située en Vallée d'Aoste
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]Les données concernant 1793 sont perdues. La commune est réunie à Montbert de 1801-1806 à 1954.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].
En 2021, la commune comptait 3 697 habitants[Note 4], en évolution de +1,68 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,0 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 820 hommes pour 1 828 femmes, soit un taux de 50,11 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'un parc d'activités[28] : la ZA de la Croix Danet.
Vie locale
[modifier | modifier le code]Média
[modifier | modifier le code]Stefline Radio est une webradio Associative du Vignoble nantais, régie par une association culturelle créée en juin 2009.
L'émission de divertissement "Les Chacals", diffusée sur Twitch depuis 2020 possède ses studios à Geneston depuis 2023[29],[30].
Santé
[modifier | modifier le code]Écologie et recyclage
[modifier | modifier le code]La communauté de communes de Grand Lieu gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire pour les ordures ménagères ainsi que pour les ordures issues du tri sélectif. La déchèterie dont dépend la commune se situe le site de « l'Hommeau », dans la commune même.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Geneston est rattachée à l'académie de Nantes. La commune possède deux écoles primaires :
- École publique Marcel-Pagnol ;
- École privée Sainte-Marie-Madeleine.
Sports
[modifier | modifier le code]La commune de Geneston est équipée très correctement pour la pratique du sport. Elle possède les équipements suivants :
- une salle des sports ;
- un terrain de football en herbe ;
- un terrain de football synthétique (inaugurée le [31]) ;
- un petit terrain de basket et course à pied ;
- un centre équestre.
Le sport le plus pratiqué à Geneston est le football[32], organisé par le club Espoir Sud Loire qui regroupe les activités de Geneston et du Bignon (commune voisine).
La commune possède une offre sportive attractive et diversifiée. Les sports suivants sont encadrés par des clubs sur la commune de Geneston :
- Basket-ball avec le club MGB Basket (Montbert-Geneston-Le Bignon Basket)
- Badminton avec le club ASBG
- Cyclisme avec le club USG Cyclisme
- Danse, théâtre, zumba, fitness avec l’association Geneston Loisirs
- Équitation
- Football avec le club ASSL
- Gymnastique avec l'association Geneston Loisirs
- Karaté avec le Karaté Club de Geneston
- Tennis de table avec l'Entente Pongiste du Sud-Loire
- Randonnée pédestre avec le club Geneston Randonnée, qui organise notamment la Rando des Huîtres au début du printemps depuis 22 ans
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique
Geneston, rattaché au diocèse de Nantes, fait partie de la paroisse catholique Saint-Gabriel qui comporte d'autres communautés : Aigrefeuille-sur-Maine, Le Bignon, Montbert, La Planche, Remouillé et Vieillevigne.
Patrimoine et culture locale
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]• L'abbaye Sainte-Marie-Madeleine de Geneston, abbaye de chanoines réguliers de l'Ordre de Saint-Augustin, fondée au XIIe siècle et détruite en 1794.
• Église paroissiale Sainte-Marie-Madeleine, édifiée à la fin du XIXe siècle sur l'ancien cimetière de l'abbaye.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement : De sable à l'agneau pascal d'argent portant bannière du même avec une croisette de gueules, accompagné en chef à dextre d'une étoile d'or. Commentaires : Sceau de l'abbaye de Saint-Jean-de-Geneston (Brevet d'Hozier). |
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Sébastien-Joseph du Cambout de Coislin dit « de Pontchâteau » (1634-1690), neveu du cardinal de Richelieu, abbé de Saint-Gildas-des-Bois, de La Vieville et de Geneston, dont il se démit en 1665 « pour mener une vie pénitente et inconnue ».
- Philibert Delorme (1510-1570), architecte du roi sous François Ier et Henri II qui, sur les papiers les plus officiels, mentionnait son titre d'Abbé de Geneston.
- Mgr Rogatien Martin (1849-1912), né à Geneston, évêque des Îles Marquises, qui avait sa résidence à Hiva Oa. Sa tombe voisine celle de Paul Gauguin, peintre dont il a célébré les funérailles, et celle de Jacques Brel.
- Jean-Baptiste Legeay (1897-1943), membre des Frères de l'instruction chrétienne de Ploërmel, né à Geneston, résistant, décapité à la hache à Cologne.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Site de la communauté de communes de Grand Lieu
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Geneston comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Notice du Sandre sur le Redour, consultée le
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Geneston et Rocheservière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rocheservière », sur la commune de Rocheservière - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rocheservière », sur la commune de Rocheservière - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Geneston », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Geneston ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nantes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Gérard Gouraud, Le Glossaire Do Parlanjhe su l'Bassin de Grand-Lieu
- « Liste des communes de Haute-Bretagne », Institut du Galo
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Alainjuno, « La nuit des Pancaliers », http://www.abbatiale-et-decouvertes.fr, .
- [PDF] Geneston 50 ans en 2005 - Hors série n°1
- « M. Léon Jaumouillé, maire de Geneston », Ouest-France, .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Geneston (44223) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- Économie sur www.mairiedegeneston.fr, consulté le 26 août 2009
- (en) Spicevent Association, « Spicevent », sur Spicevent Association (consulté le ).
- « Les Chacals - Talk-show sur Twitch », sur Les Chacals - Talk-show sur Twitch (consulté le ).
- Site du Club de football, « L'Espoir Sud Loire à la fête le samedi avec l'inauguration du terrain de foot synthétique et la remise du label d'argent. »
- Bulletin Municipal juin 2011, Page 7, Troisième subvention associative la plus importante, première subvention la plus importante pour un club unisport