Seychelles — Wikipédia
(fr) République des Seychelles
(crs) Repiblik Sesel
(en) Republic of Seychelles
Drapeau des Seychelles | Armoiries des Seychelles |
Devise | en latin : Finis coronat opus (« La fin couronne l’œuvre ») |
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Hymne | en créole seychellois : Koste Seselwa (« Unissons-nous Seychellois ») |
Fête nationale | |
· Événement commémoré | Indépendance vis-à-vis du Royaume-Uni () |
Plus grande ville | Victoria |
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Superficie totale | 455 km2 (classé 179e) |
Superficie en eau | Négligeable |
Fuseau horaire | UTC +4 |
| |
Indépendance | Royaume-Uni |
Date |
Gentilé | Seychellois |
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Population totale (2021[1]) | 96 387 hab. (classé 198e) |
Densité | 212 hab./km2 |
PIB nominal (2013) | 1,4 milliard de dollars[2] |
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PIB (PPA) | 2,3 milliards de dollars[2] |
PIB nominal par hab. (2013) | 14 918 dollars[3] (49e) |
PIB (PPA) par hab. (2013) | 23 532 dollars[3] (46e) |
Monnaie | Roupie seychelloise (SCR ) |
IDH (2021) | 0,785[4] (élevé ; 72e) |
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IDHI (2021) | 0,661[4] (65e) |
Coefficient de Gini (2018) | 32,1 %[5] |
Indice de performance environnementale (2022) | 55,6[6] (32e) |
Code ISO 3166-1 | SYC, SC |
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Domaine Internet | .sc |
Indicatif téléphonique | +248 |
Organisations internationales | Commonwealth OIF ONU SADCCOMESABAD Union africaine |
Les Seychelles, en forme longue la république des Seychelles (en créole seychellois : Sesel et Repiblik Sesel ; en anglais : Seychelles et Republic of Seychelles) est un archipel de cent quinze îles (dont une artificielle), situé en Afrique de l'Est, dans l'Ouest de l'océan Indien. Toutes ces îles sont regroupées en un État dont la capitale est la ville de Victoria sur l'île principale de Mahé.
Histoire
[modifier | modifier le code]Découverte
[modifier | modifier le code]Les premiers à visiter l'archipel furent probablement des marchands arabes[7], mais les premiers comptes rendus écrits furent réalisés en 1501 par l'explorateur portugais Vasco de Gama[7]. Ce dernier donna à l'archipel le nom d'Amirantes (qui désigne au XXIe siècle la partie comprenant les îles granitiques des Seychelles). La même année, pour la première fois, les Seychelles étaient dessinées sur une carte tracée par l'italien Alberto Cantino. La première description des rivages seychellois, avant tout établissement humain, fut écrite sur place du 19 au [7] par le marin John Jourdan du bateau britannique Ascension. Ce dernier, après avoir franchi le cap de Bonne-Espérance, avait remonté la côte orientale de l'Afrique avant de mettre le cap au NNE, ce qui l'amena à la pointe nord de l'archipel granitique : il y décrit sommairement les îles actuelles de Mahé, North, Silhouette, Praslin et ses îles voisines et relève un total de plus de trente îles grandes et petites et proches les unes des autres. Enfin, le 3e jour, le bateau mouilla l'ancre à l'abri de l'île Sainte Anne (face au futur port de Victoria), sur laquelle l'équipage trouve sur les hauteurs verdoyantes de l'eau en abondance (l'île est au XXIe siècle déboisée et aride).
Entre l'Afrique et l'Asie, les îles furent utilisées par des pirates avant l'arrivée des Français. En , le gouverneur de l'Isle de France (l'île Maurice actuelle) Bertrand-François Mahé de La Bourdonnais envoie les capitaines Lazare Picault et Jean Grossen prendre possession de l'archipel au nom de la France. Ils nommèrent l'île principale de l'archipel « Mahé » en l'honneur du gouverneur de l'Isle de France.
Le , Corneille Nicolas Morphey (en), commandant de l'expédition des découvertes et capitaine de la frégate le Cerf, a pris possession des îles au nom du roi de France[8], sur l'ordre de René Magon de La Villebague, gouverneur et commandant général des îles de France et de Bourbon. Les principales îles de l'archipel qu'ils baptisèrent « Séchelles » en honneur à Jean Moreau de Séchelles, alors contrôleur général des finances de Louis XV[7]. Les commandants et agents civils des îles sous l'autorité des intendants des îles de France et de Bourbon ont été Jean François Brayer du Barré en 1770, Jean-Charles de Launay de La Perrière commandant de 1772 à 1775, Joseph François Eugène Benjamin Anselme de 1775 à 1777, Jean-Baptiste Le Roux de Kermeseven de 1777 à 1781, Charles Routier de Romainville (1739-1808) de 1781 à 1783, Louis François Claude Berthelot de la Coste (1750-1822) de 1783 à 1786, puis, Gillot, de Caradec, Louis Jean Baptiste Philogène de Malavois (vers 1757-1825) de 1792 à 1793, Charles Joseph Esnouf commandant en 1793, Jean-Baptiste Quéau de Quinssy gouverneur de 1793 à 1811[9],[10]. Les vingt premiers français venant de l'île Bourbon s'installent à l’île Mahé et à l’île Sainte-Anne en 1770, envoyés par Brayer du Barré[11]. Cette première implantation n'est pas un succès et doit se justifier en 1772[12].
En 1781, le Français Mathurin Barbaron, corsaire du Roi, né le à Lorient, fils de Jean Barbaron chirurgien de marine (né à Fajolles, en Gascogne) et Louise Lorans (2e épouse), aborde l'île de Mahé par l'anse qui porte désormais son nom. Les jardins du grand domaine Barbaron en sont aussi une référence.
Le , le commandant de vaisseau britannique Henry Newcome, commandant d'une escadre jette l'ancre dans la rade de Mahé pour ravitailler les vaisseaux l’Orpheus qu'il monte, le Centurion du capitaine Osborne, et le Resistance du capitaine Packenham. Le commandant Quéau de Qinssy refuse de ravitailler les bâtiments britanniques qui sont en guerre contre la République française. Le capitaine Newcome envoie une sommation de se rendre. Le commandant Quéau de Qinssy n'ayant pas de moyens à lui opposer doit céder les îles Seychelles en signant une capitulation honorable qu'il a rédigée avec les principaux habitants des îles[9]. C'est la première capitulation des îles, mais il y en eu d'autres, peut-être 16, en fonction du passage des vaisseaux anglais et français, jusqu'au débarquement du Nisus de Bartholomew Sullivan, officier des troupes royales de marine de Sa Majesté britannique, agent civil et commandant des îles Seychelles pour le gouvernement britannique[13].
Les îles, perdues par la France en 1811, pendant les guerres napoléoniennes, passèrent officiellement sous le contrôle du Royaume-Uni en 1814[7].
À partir de 1916, lors de la Première Guerre mondiale, l'armée des Seychelles s'engage aux côtés des Britanniques par l'envoi d'un corps expéditionnaire de 796 hommes, dont 358 ne reverront jamais leur pays (cimetière militaire du Mont-Fleuri à Victoria). Ce corps expéditionnaire représente le plus gros effort de toutes les colonies britanniques, en proportion des hommes valides engagés sous le drapeau britannique (près de 6 %).
Indépendance
[modifier | modifier le code]Depuis le [14], les Seychelles forment un État indépendant, membre du Commonwealth et de la Francophonie.
En 1977, un avocat, France-Albert René, alors Premier ministre, prend le pouvoir. Devenu président (de 1977 à 2004), il instaure un parti unique, socialiste à tendance marxiste. Depuis lors, les Seychelles se définissent comme révolutionnaires et tiers-mondistes. Toujours en place en 1991, le président René a, sous les pressions (discours de La Baule, ), accepté d'engager son pays sur la voie du multipartisme et d'un certain libéralisme, autorisant notamment davantage de privatisations. Il quitte la présidence en 2004, à 69 ans, cédant sa place à James Michel, qui est réélu le .
L'élection présidentielle de voit la réélection du président Michel qui remporte 55,4 % des suffrages exprimés, contre 41,4 % à Wavel Ramkalawan[15]. Il se présente une troisième et dernière fois à l'élection présidentielle de 2015, remportant le scrutin avec 50,15 % des suffrages exprimés contre 49,85 % à son adversaire, Wavel Ramkalawan. Mais il est contraint d'attendre le second tour de l'élection, alors qu'il avait été élu dès le premier tour aux élections précédentes[16].
À la suite de la défaite de son parti Lepep (issu de l'ancien parti unique) aux élections législatives de septembre 2016, James Michel annonce sa démission de son poste de président de la République en [17]. Le suivant, il est remplacé par son vice-président, Danny Faure[18]. Une période de cohabitation commence entre ce nouveau président et un Parlement contrôlé par l'opposition à l'ex-parti unique (qui était au pouvoir depuis 1977)[18].
Géographie
[modifier | modifier le code]L'archipel des Seychelles se situe au nord-est de l'île de Madagascar, celle-ci étant séparée de la capitale Victoria, sur l'île de Mahé, par une distance de 1 059 km.
Les îles qui forment le cœur de l'archipel (Mahé, Praslin, La Digue) reposent sur le plateau des Seychelles, un microcontinent de type ni corallien ni volcanique, son soubassement étant granitique. On peut en voir des affleurements à la plage Anse Source d'Argent dans l'île de la Digue. D'autres îles (Aldabra, la plus grande des îles de l'archipel) sont de type corallien.
Le point culminant des Seychelles est le morne Seychellois (906 mètres) situé sur l'île principale de Mahé.
Les Seychelles sont composées de 115 îles et îlots dont 40 sont granitiques et le reste coralliens.
À cent kilomètres au nord de Mahé se trouve l'île aux Oiseaux, une zone protégée qui est le refuge des oiseaux de mer. Elle n'abrite que quelques bungalows, insérés dans des cocoteraies, et un belvédère, aménagé pour observer le ballet des 112 espèces recensées sur l'île.
Politique
[modifier | modifier le code]Les Seychelles sont une république présidentielle. Le président actuel est Wavel Ramkalawan depuis le . Les Seychelles sont membres du Commonwealth[19].
Économie
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Le tourisme est la principale ressource des Seychelles. La pêche thonière industrielle est développée, Port-Victoria est le premier port de transbordement de thon de l'océan Indien. Une conserverie existe sur place. Plusieurs programmes immobiliers apportent des devises au pays, le plus important et le plus surprenant est certainement Eden Island (île artificielle construite sur des comblements).
Les secteurs de l'offshore et de la zone franche se sont beaucoup développés[réf. nécessaire] ces dix dernières années[Lesquelles ?] ; la juridiction n'est pas inscrite sur les listes de l'OCDE[pas clair]. La SIBA (Seychelles International Business Authority) a pour mission de réguler les différentes dispositions gouvernementales[pas clair] et de contrôler les professionnels de l'offshore[réf. nécessaire].
En , les Seychelles sont touchées par la crise financière internationale au point de se trouver dans une situation économique de quasi-faillite[20].
Le , le Club de Paris et la république des Seychelles sont convenus d'une annulation nominale de 45 % du stock de dette. Les Seychelles se sont engagées à mettre en œuvre les réformes économiques requises au titre du programme soutenu par le Fonds monétaire international (FMI)[21].
Considéré en 2017 comme un paradis fiscal par l'Union européenne, l'archipel a été retiré en 2021 de sa liste des pays non coopératifs à des fins fiscales[22]. En octobre 2023, le Conseil de l'Union européenne décide de l'inscrire à nouveau[23].
Tourisme durable
[modifier | modifier le code]Le rachat d'une partie de la dette publique par des organisations de défense de l'environnement soucieuses de promouvoir le tourisme durable[24] s'est effectué en échange d'un engagement du pays : que le territoire marin — plus de 1 300 000 km2 — soit protégé à 30% à partir de 2020[24], dans le cadre d'un programme spécifique[24]. La plage de Beau Vallon sur Mahé et celle d'Anse Source d'Argent sur La Digue, sont citées comme parmi les plus belles du monde mais leur protection n'est pas assurée. Deux sites naturels sont classés au patrimoine mondial de l'Unesco, la vallée de Mai, pour ses cocos de mer, ainsi que l'atoll d'Aldabra pour ses tortues[24] tandis qu'environ la moitié des 455 km2 du pays est classée zone protégée[24]. La marge de progression vers un tourisme durable est cependant jugée "encore importante"[24] et rendue difficile par le fait que le territoire est "essentiellement montagneux". Le pays doit importer plus de 90% de ses biens[24] faute de zones agricoles suffisantes[24].
Le gouvernement a décrété en 2015 un moratoire sur la construction de grands hôtels sur les trois îles principales, Mahé, Praslin et La Digue[24], dans le but de promouvoir des établissements plus petits tenus par des Seychellois et ainsi une forme de tourisme durable[24]. Malgré cela, en dix ans la fréquentation a doublé : considérées comme un simple "paradis du tourisme de luxe", les Seychelles ont accueilli plus de 360 000 visiteurs en 2018, principalement européens, soit près de quatre fois la population de cet archipel de 115 îles[24]. Le réchauffement climatique a de plus relancé la nécessité d'un tourisme respectueux de l'environnement et posé la question du nombre de visiteurs que le pays est en mesure d'accueillir[24]. En 2020, le nombre de chambres d'hôtel s'élevait à 6 000[24] et la construction de 3 000 chambres supplémentaires était prévue dans le cadre de projets approuvés avant l'entrée en vigueur du moratoire décidé en 2015[24].
Démographie
[modifier | modifier le code]Avec une population estimée à 96 387 habitants en 2021[1], les Seychelles ont une croissance démographique positive (0,8 %), tirée par l'immigration et une natalité dynamique.
À l'exception de pêcheurs venant des îles alentour, les Seychelles n'avaient pas de population indigène lors de l'arrivée des premiers Européens, entre 1580 et 1750.
98 % des Seychellois sont donc des descendants d'immigrés : Européens (Français, Portugais, Anglais), Africains, Indiens et Chinois sont les plus représentés.
Aujourd'hui, les Seychellois sont dans leur grande majorité métis d'origine européenne et africaine[25] et principalement catholiques.
Langues
[modifier | modifier le code]Les Seychelles ont trois langues officielles (selon l'article 4 de la constitution) :
- le créole seychellois, langue courante à base lexicale française, langue maternelle de 95 % de la population et parlée par 97 %[26] de la population. On dit qu'il tient sa base du créole mascarin et est très proche du créole mauricien ;
- l'anglais, langue du second colonisateur pendant plus d'un siècle et demi, il est parlé par 60 %[26] de la population et est principalement utilisé dans l'administration et les affaires ;
- le français, langue du premier colonisateur pendant sept décennies, parlé par 30 %[26] de la population (53 % en incluant les francophones partiels[27]), est utilisé principalement dans la presse écrite, l'affichage commercial et les cérémonies religieuses dominicales.
Francophonie
[modifier | modifier le code]Les Seychelles sont membres de l’Organisation internationale de la Francophonie et de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie[28],[29].
La ville de Victoria est également membre de l’Association internationale des maires francophones[30].
Les Seychelles participent de plus aux différentes éditions des Jeux de la Francophonie[31].
Religions
[modifier | modifier le code]Selon le recensement de 2010[32], 76,2 % de la population est catholique, 6,1 % est anglicane, 2,4 % est hindouiste et 1,6 % est musulmane.
Le diocèse de Port-Victoria, érigé en 1892, relève directement du Saint-Siège.
Culture
[modifier | modifier le code]Date | Nom français | Nom local | Remarques |
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5 juin | Fête de la Libération | ||
29 juin | Indépendance | ||
18 juin | Fête nationale | ||
15 août | Fête de l'Assomption | Festival à La Digue |
Dernière semaine d'octobre : Festival du créole
Monuments et lieux touristiques
[modifier | modifier le code]La capitale Victoria dispose de plusieurs monuments remarquables, comme la cathédrale catholique de l'Immaculée-Conception et la cathédrale anglicane Saint-Paul, la tour de l'Horloge (Clock Tower)[33], le musée national d'histoire de Victoria (Victoria National Museum of History), le jardin botanique de Victoria (Victoria Botanical Gardens (en)).
À Praslin, le principal lieu touristique est la vallée de Mai, classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en 1983. C'est une forêt préhistorique abritant le cocotier de mer qui produit le célèbre fruit : le coco-fesse.
À La Digue, la principale attraction se trouve au sud de l'île avec les tortues géantes des Seychelles, les plus grosses tortues terrestres du monde. L'île est célèbre pour sa plage d'Anse Source d'Argent. Sur cette île, les moyens de transports à moteur sont limités, le vélo reste donc le moyen privilégié pour s'y déplacer. On accède à La Digue principalement par bateau depuis la baie de Sainte-Anne à Praslin.
Éducation
[modifier | modifier le code]Environnement
[modifier | modifier le code]Le désir de sauvegarder la biodiversité seychelloise a conduit le pays à créer de nombreuses zones protégées.
- Liste des îles des Seychelles
- Liste des aires protégées des Seychelles
- Liste des oiseaux des Seychelles
Les Seychelles relèvent de deux écorégions terrestres: forêts des Seychelles granitiques et broussailles xérophiles de l'île d'Aldabra[34]. En 2019, le pays avait un score moyen d'Indice d'intégrité du paysage forestier de 10/10, le classant premier sur 172 pays[35].
Le recyclage industriel n’est possible aux Seychelles que pour les plastiques PET, le verre, le papier et l’aluminium. Les États insulaires pâtissent de l’absence de technologies adaptées[36].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) « Seychelles - The World Factbook », sur www.cia.gov (consulté le )
- PIB à parité de pouvoir d'achat, d'après le Fonds monétaire international (FMI).
- Fonds monétaire international, World Economic Outlook Database - Données pour l'année 2013.
- Rapport sur le développement humain 2021/2022 : Temps incertains, vies bouleversées : façonner notre avenir dans un monde en mutation, New York, Programme des Nations unies pour le développement, , 337 p. (ISBN 978-92-1-126452-4, lire en ligne).
- (en) « Gini index », sur Banque mondiale (consulté le ).
- (en) Martin J. Wolf, John W. Emerson, Daniel C. Esty, Alex de Sherbinin, Zachary A. Wendling et al., 2022 Environmental Performance Index, New Haven, Connecticut, États-Unis, Yale Center for Environmental Law & Policy, , 192 p. (lire en ligne [PDF]).
- Thomas Saintourens, « L'histoire des Seychelles en 11 dates clés », Géo, (lire en ligne)
- « Acte de possession des îlkes Seychelles du 1er novembre 1756 », Revue historique et littéraire de l'île Maurice, t. 1, 1887-1888, p. 470-471 (lire en ligne)
- Huet de Froberville 1891-1892.
- Joël Eymeret, « Population et vie quotidienne aux Seychelles sous le Premier Empire », Outre-Mers. Revue d'histoire, nos 262-263, , p. 5-29 (lire en ligne)
- Le 12 août 1770. Autorisation à M. Brayer du Barré
- Brayer du Barré au ministre : au sujet de son établissement aux Seychelles
- Jean-Michel Filliot, « Un duel maritime oublié : Français et Anglais aux Seychelles sous la Révolution et l'Empire », Études Océan Indien, , p. 167-173 (lire en ligne)
- Jean-Louis Guébourg, Les Seychelles, Paris, Karthala Éditions, , 192 p. (ISBN 2-84586-358-6, BNF 40014230, lire en ligne), p. 75, consulté le .
- (en) « May 2011 », sur rulers.org (consulté le )
- « Seychelles : le président James Michel réélu pour la troisième fois », Le Monde, (lire en ligne)
- « Seychelles : le président James Michel démissionne après sa défaite aux législatives », Le Monde, (lire en ligne)
- Bruno Meyerfeld, « Aux Seychelles, fin de règne du parti au pouvoir, sur fond de corruption et de sociétés offshore », Le Monde, (lire en ligne)
- (en) Site designed and built by Hydrant (http://www.hydrant.co.uk), « Member countries », sur thecommonwealth.org (consulté le ).
- « Les Seychelles au bord de la faillite », sur www.lejdd.fr, (consulté le ) : « Le pays a été incapable d'assurer ce mois-ci le service de sa dette de 800 millions de dollars - soit 175 % du PIB, selon les statistiques officielles -, contraignant le gouvernement à solliciter d'urgence le Fonds monétaire international. La hausse des prix pétroliers et la tourmente sur les marchés financiers ont eu un effet dévastateur sur le tourisme, principale source de devises du pays. ».
- Club de Paris : Seychelles.
- « Paradis fiscaux : les Seychelles, la Dominique et Anguilla bientôt retirés de la liste noire de l'UE », sur lesechos.fr, (consulté le )
- « Fiscalité: Antigua-et-Barbuda, le Belize et les Seychelles ont été ajoutés à la liste de l'UE des pays et territoires non coopératifs à des fins fiscales », sur consilium.europa.eu, (consulté le )
- Nicolas Delaunay/ AFP, « Aux Seychelles, préserver un paradis du tourisme de masse », Le Point, (lire en ligne, consulté le ).
- « Seychelles - Ethnic Groups », sur countrystudies.us (consulté le )
- http://www.francophonie.org/IMG/pdf/synthese_pacte__seychelles.pdf Organisation internationale de la francophonie.
- « La langue française dans le monde, Édition 2014. », p. 225.
- « Les membres », sur Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) (consulté le ).
- « 84 États et gouvernements - Organisation internationale de la Francophonie », sur francophonie.org via Wikiwix (consulté le ).
- « Association internationale des Maires francophones », sur asso.fr (consulté le ).
- « Les États invités / Jeux de la francophonie », sur francophonie.org (consulté le ).
- [PDF] Population and Housing Census 2010 Report, p. 37.
- La tour de l’horloge.
- (en) Eric Dinerstein, David Olson, Anup Joshi, Carly Vynne, Neil D. Burgess, Eric Wikramanayake, Nathan Hahn, Suzanne Palminteri, Prashant Hedao, Reed Noss, Matt Hansen, Harvey Locke, Erle C Ellis, Benjamin Jones, Charles Victor Barber, Randy Hayes, Cyril Kormos, Vance Martin, Eileen Crist, Wes Sechrest, Lori Price, Jonathan E. M. Baillie, Don Weeden, Kierán Suckling, Crystal Davis, Nigel Sizer, Rebecca Moore, David Thau, Tanya Birch, Peter Potapov, Svetlana Turubanova, Alexandra Tyukavina, Nadia de Souza, Lilian Pintea, José C. Brito, Othman A. Llewellyn, Anthony G. Miller, Annette Patzelt, Shahina A. Ghazanfar, Jonathan Timberlake, Heinz Klöser, Yara Shennan-Farpón, Roeland Kindt, Jens-Peter Barnekow Lillesø, Paulo van Breugel, Lars Graudal, Maianna Voge, Khalaf F. Al-Shammari et Muhammad Saleem, « An Ecoregion-Based Approach to Protecting Half the Terrestrial Realm », BioScience, vol. 67, no 6, , p. 534–545 (ISSN 0006-3568, DOI 10.1093/biosci/bix014)
- (en) H. S. Grantham, A. Duncan, T. D. Evans, K. R. Jones, H. L. Beyer, R. Schuster, J. Walston, J. C. Ray, J. G. Robinson, M. Callow, T. Clements, H. M. Costa, A. DeGemmis, P. R. Elsen, J. Ervin, P. Franco, E. Goldman, S. Goetz, A. Hansen, E. Hofsvang, P. Jantz, S. Jupiter, A. Kang, P. Langhammer, W. F. Laurance, S. Lieberman, M. Linkie, Y. Malhi, S. Maxwell, M. Mendez, R. Mittermeier, N. J. Murray, H. Possingham, J. Radachowsky, S. Saatchi, C. Samper, J. Silverman, A. Shapiro, B. Strassburg, T. Stevens, E. Stokes, R. Taylor, T. Tear, R. Tizard, O. Venter, P. Visconti, S. Wang et J. E. M. Watson, « Anthropogenic modification of forests means only 40% of remaining forests have high ecosystem integrity - Supplementary material », Nature Communications, vol. 11, no 1, (ISSN 2041-1723, DOI 10.1038/s41467-020-19493-3)
- « Pollution. Comment 60 000 tongs se sont retrouvées sur une île isolée », sur Courrier international, (consulté le )
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- [Fauvel 1893] Albert-Auguste Fauvel, « Archipel des Seychelles. Étude de cartographie », Revue française de l'étranger et des colonies, t. 17, no 166, , p. 433-447 (lire en ligne [sur gallica]).
- [Fauvel 1915] Albert-Auguste Fauvel, « Le cocotier de mer des îles Seychelles », Annales du musée colonial de Marseille, vol. 23e année, 3e série, 1er vol., , p. 169-307 (lire en ligne [sur biodiversitylibrary.org]).
- Léon Huet de Froberville, « Capitulation des iles Seychelles », Revue historique et littéraire de l'île Maurice, vol. 5, no 11, , p. 114-116 (lire en ligne)
- Jean-Christophe Gay, « Tourisme, politique et environnement aux Seychelles », Revue Tiers Monde, 2004/2, no 178.
- « Seychelles. La métamorphose », dossier Jeune Afrique, no 2 563, du 21 au , p. 65-80.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Dezil'
- Championnat des Seychelles de football
- Cuisine des Seychelles
- Petits États insulaires en développement (PEID)
- Droits LGBT aux Seychelles
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- (en) Site officiel
- Ressource relative à la vie publique :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :