Ollioules — Wikipédia

Ollioules
Ollioules
L'église Saint-Laurent.
Blason de Ollioules
Blason
Ollioules
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Toulon
Intercommunalité Métropole Toulon Provence Méditerranée
Maire
Mandat
Robert Beneventi
2020-2026
Code postal 83190
Code commune 83090
Démographie
Gentilé Ollioulais
Population
municipale
14 011 hab. (2021 en évolution de +4,83 % par rapport à 2015)
Densité 704 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 07′ 59″ nord, 5° 51′ 00″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 520 m
Superficie 19,89 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Toulon
(banlieue)
Aire d'attraction Toulon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ollioules
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Ollioules
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Ollioules
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Ollioules
Liens
Site web ollioules.fr
Robert Beneventi, maire d'Ollioules, le 26 octobre 2024

Ollioules est une commune française située juste à l'ouest de Toulon dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Ollioulais.

Géographie

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Dans le Var à 7 km à l'ouest de Toulon et à l'est de Sanary-sur-Mer (5 km) et de Marseille (57 km).

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Évenos, Sanary-sur-Mer, La Seyne-sur-Mer, Six-Fours-les-Plages et Toulon.

Intercommunalité

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Commune membre de la Métropole Toulon Provence Méditerranée.

Au , Ollioules est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[2],[3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[6]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[7].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (41,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (15 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,7 %), forêts (20,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,5 %), cultures permanentes (1,4 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Géologie et relief

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Comme les a peintes Hubert Robert au XVIIIe siècle (voir Musée des beaux-arts de Nice) et les a décrites avec enthousiasme Victor Hugo, les gorges sont arides, sinueuses, déchirées. Le massif du Gros Cerveau surplombe le centre-ville, avec une magnifique vue panoramique sur la Rade de Toulon d'une part, le Fort de Six Fours, la baie de Sanary et les Embiez d'autres parts.

Hydrographie et eaux souterraines

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Pont sur la Reppe.
  • La Reppe y a creusé une profonde faille avant de se jeter dans la baie de Sanary-sur-Mer[9].
  • Source de la mère des fontaines.
  • La ville bénéficie de la station d'épuration de Toulon Ouest - Cap Sicié, de 500 000 équivalent-habitant[10].

Commune située dans une zone de sismicité faible[11].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 1,3 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulon », sur la commune de Toulon à 7 km à vol d'oiseau[14], est de 16,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −9 °C, atteinte le [Note 4],[15],[16].

Statistiques 1991-2020 et records TOULON (83) - alt : 3m, lat : 43°06'56"N, lon : 5°54'02"E
Records établis sur la période du 01-04-1936 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 6,6 6,3 8,4 10,5 13,9 17,5 19,9 20,2 17,1 14,1 10,1 7,5 12,7
Température moyenne (°C) 9,9 10,1 12,4 14,7 18,3 22,2 24,7 25 21,5 17,8 13,5 10,7 16,7
Température maximale moyenne (°C) 13,2 13,8 16,4 18,8 22,6 26,8 29,5 29,8 25,9 21,4 16,8 13,9 20,7
Record de froid (°C)
date du record
−7,2
12.01.1987
−9
02.02.1956
−4,3
06.03.1971
0,3
03.04.22
4,6
01.05.1960
9
04.06.1984
12,8
17.07.00
12,3
31.08.1986
8,4
27.09.1972
3,2
30.10.1950
−0,9
27.11.1945
−4,5
29.12.1944
−9
1956
Record de chaleur (°C)
date du record
20,9
19.01.07
23,2
17.02.22
26,4
02.03.08
28,1
23.04.09
34,7
27.05.22
36
27.06.19
40,1
07.07.1982
37
03.08.1975
34,9
05.09.16
29,3
11.10.1985
24,2
03.11.1977
21,9
13.12.1961
40,1
1982
Précipitations (mm) 70,5 46,8 39 55,4 40,2 27 6,2 13,4 69,9 105,8 93,4 65,8 633,4
Source : « Fiche 83137001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
13,2
6,6
70,5
 
 
 
13,8
6,3
46,8
 
 
 
16,4
8,4
39
 
 
 
18,8
10,5
55,4
 
 
 
22,6
13,9
40,2
 
 
 
26,8
17,5
27
 
 
 
29,5
19,9
6,2
 
 
 
29,8
20,2
13,4
 
 
 
25,9
17,1
69,9
 
 
 
21,4
14,1
105,8
 
 
 
16,8
10,1
93,4
 
 
 
13,9
7,5
65,8
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[17]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Voies d'accès et transports

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Réseau routier

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La ville est desservie par l'ancienne route nationale, devenue D 8N, qui relie Toulon à Aix-en-Provence.

La ligne U du réseau Mistral, à Portes d'Ollioules et de Toulon.

Réseau ferroviaire

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Des lignes de SNCF traversent la commune, la desservant par la gare d'Ollioules - Sanary.

Transports en commun

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Les lignes de bus du réseau Mistral de la communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée assurent la liaison avec les communes voisines grâce aux lignes U, 1, 11B, 12, 120, et AB122

Depuis 2013, un nouveau pôle d'échanges a été créé celui des Portes d'Ollioules et de Toulon.

Dès 2028, un BHNS (ligne 1a) reliera la Technopole de la Mer à Bir-Hakeim (Toulon) en passant par les Portes d'Ollioules et de Toulon[19]

Ollioules s'écrit Ouliéulo[20] [uˈliwlɔ] en provençal selon la norme mistralienne.

Préhistoire et Antiquité

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Le territoire d'Ollioules est fréquenté par l'homme depuis la Préhistoire, en particulier durant la période néolithique. Plus tard, ce terroir est occupé par la tribu celto-ligure des Camactulici, qui appartiennent à la confédération des Salyens (Salluvii). Ils construisent sur la colline de la Courtine un vaste oppidum, dont subsistent d'importants vestiges partiellement fouillés, et entretiennent des relations commerciales avec le comptoir grec de Tauroeis (le Brusc, commune de Six-Fours-les-Plages). Il n'y a pas de ville gallo-romaine, mais des fermes et villas dispersées sur le terroir agricole.

C'est au Moyen Âge qu'Ollioules apparaît à proprement parler. À partir de la fin du Xe siècle, elle fait partie des possessions des vicomtes de Marseille, qui ne tarderont pas à y établir un château féodal autour duquel se constituera le castrum initial. Aux XIIIe et XIVe siècles, la ville construit des remparts et développe son commerce, le bourg agricole devenant progressivement une opulente ville marchande favorisée par les franchises obtenues des comtes de Provence. C'est également au XIVe siècle que la ville passe en coseigneurie aux Vintimille et aux Simiane, deux puissantes familles de la noblesse provençale.

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le seigneur d’Ollioules, Bertrand de Marseille, également seigneur d’Ollières, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier[21].

Temps modernes

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L'âge d'or d'Ollioules se situe entre le XVe siècle et la fin du règne de Louis XIV. Durant cette période, la superficie de la ville triple et une riche bourgeoisie se développe, ce qui se traduit aujourd'hui encore dans l'architecture du centre ancien. En 1520, les habitants rachètent pour une somme importante l'essentiel des droits seigneuriaux. On y cultive l'olivier, les agrumes (citronniers et orangers), les fruits et légumes, mais aussi le safran, le câprier et déjà les fleurs. Le 22 juin 1568, est approuvée la création des confréries de Saint-Nazaire, saint patron de Sanary, et de Saint-Laurent, saint patron d'Ollioules, cette dernière organisant la fête de Saint-Laurent, encore fêtée de nos jours.

Durement éprouvée par les aléas climatiques et la peste de Marseille, délaissée par ses élites au profit de Toulon et d'Aix-en-Provence, Ollioules est privée de son port par la séparation en 1688 de Saint-Nazaire (aujourd'hui Sanary-sur-Mer).

Révolution française

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La ville est le théâtre en 1793 de violents combats entre coalisés et troupes républicaines venues assiéger Toulon, le lieutenant colonel Elzéar-Auguste Cousin de Dommartin est blessé lors de ces affrontements puis fait général de brigade sur le champ de bataille. La ville est occupée et l'état-major républicain s'y installe en septembre, sous le commandement de Jean-François Carteaux. La ville en sera ravagée par les pillages et les incendies. Par un heureux concours de circonstances, le jeune Napoléon Bonaparte est appelé à diriger l'artillerie et fera à Ollioules la démonstration de son talent militaire. La Ire République verra Ollioules harcelée par la délinquance de soldats et déserteurs de l'armée régulière.

Au XIXe siècle, une nouvelle période de prospérité apparaît avec la culture de la fleur. Considéré un temps comme la capitale des fleurs. D'abord essentiellement constituée d'immortelle commune, la production se diversifie bientôt et, grâce à l'arrivée du chemin de fer en 1852, au début du Second Empire, les fleurs sont expédiées dans toute l'Europe.

Le peintre paysagiste Paul Huet, lors d'un voyage dans la région, réalisa en 1838–1839, une aquarelle Ollioules près de Toulon, route de Marseille aujourd'hui dans une collection privée[22].

En 1922, Cerny-lès-Bucy, ravagée par la guerre, cherchait une ville marraine, qui l'aiderait dans ses efforts de reconstruction : ce fut Ollioules. En effet, par deux fois, en 1922 et 1923, le conseil municipal d'Ollioules a attribué une subvention de 1 500 francs de l'époque à sa filleule, Cerny-lès-Bucy. Ces crédits ont permis l'agrandissement de l'école, prévu depuis 1910 et resté en suspens faute de ressources. Sources : infos Ollioules, n° 109 déc. 2018 - jan. 2019, page 32.

Aujourd'hui, Ollioules est une petite ville de plus de 13 000 habitants. Les labels « village fleuri » (3 fleurs), « ville de métiers d’arts » et « plus beaux détours » lui ont été décernés.

Les anches pour les instruments à vent d’Ollioules sont réputées comme les meilleures par les plus grands musiciens mondiaux[23].

Liste des seigneurs d'Ollioules

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  • Les Marseille
    • Guillaume I de Marseille.
    • Arnulphes, vicomte de Marseille.
    • Foulques, vicomte de Marseille, frère du précédent.
    • Guillaume dit « le gros », vicomte de Marseille, mort en 1047, frère du précédent.
    • Aycard, vicomte de Marseille, fils du précédent.
    • Guillaume dit « le jeune », vicomte de Marseille, frère du précédent.
    • Foulques, vicomte de Marseille, mort en 1069, fils du précédent.
    • Geoffroy, vicomte de Marseille, mort en 1090, oncle du précédent.
    • Hugues-Geoffroy, vicomte de Marseille, mort en 1150, fils du précédent.
    • Raimond-Geoffroy, vicomte de Marseille, mort en 1156, fils du précédent.
    • Geoffroy, vicomte de Marseille, fils du précédent.
    • Hugues de Marseille, vicomte de Marseille, frère du précédent.
    • Raimond-Geoffroy, vicomte de Marseille, fils du précédent.
    • Pons dit « de Peynier », vicomte de Marseille, seigneur de Peynier, fils du vicomte Geoffroy ou Jauffre.
    • Bertrand dit « de Peynier », vicomte de Marseille, seigneur de Peynier, mort en 1180, fils du précédent. Après sa mort, ses terres passent à son gendre.
  • Les Marseille-Signes ou Marseille-Évenos
    • Guillaume Ier de Signes, seigneur d'Ollioules par la dot de son épouse Cécile, fille du précédent.
    • Guillaume II, coseigneur d'Ollioules et d'Évenos, mort en 1253, fils du précédent.
    • Guillaume III, coseigneur d'Ollioules et d'Évenos, fils du précédent.
    • Bertrand III de Marseille-Signes, coseigneur d'Ollioules et d'Évenos, viguier de Marseille en 1286 et d'Avignon en 1300, vice-sénéchal de Provence de 1292 à 1294 et de 1313 à 1315, fils du précédent. Il lègue son nom, titres et seigneurie à son petit-neveu Bertrand de Vintimille[24] (fils de Boniface II et de Philippine de Sabran[25]), petit-fils de par son père de Manuel de Vintimille et de Sibylle de Marseille-Signes (sœur de Bertrand III de Signes) mais à la seule condition qu'il relève le nom de Marseille, ce qu'il fit.
  • Les Marseille-Vintimille
    • Bertrand Ier de Marseille-Vintimille, seigneur d'Ollioules et d'Évenos, petit-neveu du précédent.
    • Bertrand II, seigneur d'Ollioules, d'Évenos, de Saint-Marcel et de Varages, mort en 1352.
    • Bertrand III, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, de Saint-Marcel et de Varages, fils du précédent.
    • Bertrand IV, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, de Saint-Marcel et de Varages, fils du précédent.
    • Bertrand V, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, du Revest, de Cabriès, de Vitrolles, de Ventabren, de Trebillane et de La Val-d'Ardenne, comte de Vintimille et gouverneur de Toulon, fils du précédent.
  • Les Vintimille des comtes de Marseille
    • Bertrand VI, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, du Revest, de Cabriès, de Vitrolles, de Ventabren, de Trebillane et de La Val-d'Ardenne, fils du précédent.
    • Bertrand VII, baron d'Ollioules, seigneur d'Évenos et du Revest, fils du précédent.
    • Gaspard Ier, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, fils du précédent.
    • Philibert, baron d'Ollioules, fils du précédent.
    • Gaspard II, baron d'Ollioules, mort le 19 avril 1585, fils du précédent.
    • Magdelon[26], baron d'Ollioules et de Tourves, viguier de Marseille, Premier Consul d'Aix, fils du précédent.
    • François, baron d'Ollioules, seigneur de Saint-Nazaire, de Roquefeuil et de Seillon, fils du précédent.
    • Pierre-François-Hyacinthe, baron d'Ollioules, seigneur de Saint-Nazaire, de Roquefeuil et de Seillon, mort en 1727, fils du précédent.
  • Les Raousset-Vintimille
    • Anne, baronne d'Ollioules, morte le 20 janvier 1747, sœur du précédent.
    • Simon-Joseph de Raousset-Vintimille, marquis de Seillion, baron d'Olioules et de Saint-Nazaire. Il succède à sa mère jusqu'en 1752, date à laquelle un arrêt du Parlement de Paris met fin à cette succession et remet les titres des dites terres d'Ollioules aux membres de la branche du Luc de la maison Vintimille.
  • Les Vintimille du Luc

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.

(démission)
Marius Trotobas père[29] SFIO Cafetier
Élu en 1945

(décès)
Paul Lemoyne[28] SFIO Expéditeur, conseiller général
Henri Guisti   Maire par intérim
Louis Brémond    
Marius Trotobas fils[30] SFIO Gestionnaire
Réélu en 1965 et 1971
Guy Durbec PS Cadre des travaux publics
Sénateur du Var (1978 → 1981)
Député de la 3e circonscription du Var (1981 → 1986)
Conseiller général du canton d'Ollioules (1979 → 1985)

(démission)
René Arnoux UDF-CDS Artisan plombier
Réélu en 1989 et 1995
En cours Robert Bénéventi DVD puis
UMP-LR
Chef d'entreprise
Conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (2010 → )
Chevalier de l'Ordre national du Mérite (2011)
Réélu en 2001, 2008, 2014[31]et 2020

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32],[Note 5].

En 2021, la commune comptait 14 011 habitants[Note 6], en évolution de +4,83 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8142 5912 8783 0963 1323 0263 0123 1423 258
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 3053 3603 3483 3573 4563 4803 7083 8163 966
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 0064 0604 2014 1734 5734 7495 3265 5625 891
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6 9597 8038 7869 24210 39812 19813 40013 02313 563
2021 - - - - - - - -
14 011--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Naissances et décès

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Évolution des naissances[35]
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
Naissance domicilié à Ollioules 143 129 130 131 127 139 120 128 120 110
Évolution - en diminution - 9,79 % en augmentation + 0,76 % en augmentation + 0,77 % en diminution - 3,05 % en augmentation + 9,45 % en diminution - 13,67 % en augmentation + 6,67 % en diminution - 6,25 % en diminution - 8,33 %
Évolution des décès[36]
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
Décès domicilié à Ollioules 134 115 162 136 116 126 160 130 131 135
Évolution - en diminution - 14,18 % en augmentation + 40,87 % en diminution - 16,05 % en diminution - 14,71 % en augmentation + 8,62 % en augmentation + 21,25 % en diminution - 18,75 % en augmentation + 0,77 % en augmentation + 3,05 %

Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête des Fleurs, corso fleuri (avril-mai)
  • Médiévales d'Ollioules (juillet)
  • Fête de la Saint-Laurent (août)
  • Fête de la Saint-Éloi (août)
  • Fête de Faveyrolles (août)
  • Fête de l'Olivier (premier week-end octobre)
  • Trail de Noël (décembre) / Trail de Noel & Tracé des Lutins

Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • Vers le XIe siècle, le village tire sa richesse de la culture de l'olivier (d'où son nom), ainsi que du raisin, de l'amande, des figues.
  • Au XIXe siècle, elle se spécialise dans la culture florale qu'elle expédie dans toute l'Europe. Elle devient la capitale de l'immortelle jaune. La petite ville vit encore de la culture florale aujourd'hui.
  • Agriculture et horticulture[37].
  • Bâti sur du basalte noir, Ollioules l'exploita dès 1 100 ans av. J.-C. en fabriquant meules, mortiers et auges.
  • Commerces de proximité[40].

Budget et fiscalité 2020

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En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[41] :

  • total des produits de fonctionnement : 14 466 000 , soit 1 035  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 9 817 000 , soit 703  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 11 356 000 , soit 813  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 13 154 000 , soit 941  par habitant.
  • endettement : 4 721 000 , soit 338  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 9,86 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 19,46 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 44 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 990 [42].

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Laurent.
Maison du patrimoine.
Gorges d'Ollioules, par Hubert Robert, Musée des beaux-arts de Nice.

Patrimoine religieux :

  • Église Saint-Laurent[43].
  • Église Évangélique Baptiste[44].
  • Chapelle de Faveyrolles, autrement dite « de la Ruesque »[45]
  • Couvent des Observentins XVIe siècle[46].
  • Chapelle des Oratoriens[47], aujourd'hui Notre-Dame-d'Espérance, XVIe siècle.
  • Chapelle Saint-Honorat, XIIe siècle[48],[49],[50],[51].
  • Couvent des Clarisses XVIe siècle[52],[53].
  • Dalle funéraire du rabbin Jonah Duran, quartier de Martelle[54],[55].
  • L'externat Saint-Joseph et ses chapelles[56].

Patrimoine civil :

  • Hôtel de ville[57], bâti de 1809 à 1811.
  • Le centre ancien d'Ollioules : remparts, fontaines, hôtels particuliers[58],[59],[60],[61]...
  • Le terme de séparation : les bornes armoriées[62].
  • Vestiges du château féodal[63] des Marseille-Vintimille[64].
  • Le château de Castellombre dit villa Marguerite (jardin botanique), siège de la C.R.S. n° 59.
  • Le château de Montauban[65].
  • Le château de la Tourelle comprenant la chapelle Saint-Louis donnant sur le quartier agricole.
  • Le château de Graille[66].
  • Oppidum de la Courtine[67],[68],[69].
  • Oppidum de Sainte-Estèves[70].
  • Oppidum du Garou.
  • Le terme de séparation[71].
  • Le télégraphe optique de Chappe[72].
  • Le kiosque[73].
  • Patrimoine agricole :
    • Le canal des Arrosant[74].
    • Le moulin à huile[75].
    • Coopérative vinicole dite Cave des Vignerons d'Ollioules[76].
  • Les fontaines :
    • La fontaine Saint-Laurent[77].
    • La fontaine du Septem[78].
    • La fontaine du Rentier[79].

Patrimoine naturel :

  • Les gorges
  • « Le trou de Besse », grotte[80] où se serait réfugié le célèbre bandit originaire de Besse-sur-Isole Gaspard de Besse[81].
  • Vue panoramique sur la mer du Gros Cerveau.

Savoir-faire :

  • Les métiers d'arts.
  • Le nougat Jonquier.

Sites touristiques et culturels :

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Ces armes ont été enregistrées au Grand Armorial de France sous Louis XIV. On ignore à quelle époque elles remontent, mais il semble qu'elles étaient déjà en usage au XVe siècle. Ce sont des armes parlantes issues du nom latin de la ville, Oliva.

Les armoiries d'Ollioules se blasonnent ainsi[82] :

D'argent, à un olivier arraché de sinople.
Devise originelle : fidelis Regis semper oliva (l'olivier toujours fidèle au roi)
Devise actuelle, utilisée sous la Révolution et de nouveau depuis la IIIe République : Fidelis legi semper Oliva (« l'olivier toujours fidèle à la loi»)

Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Toulon comprend une ville-centre et 26 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les records sont établis sur la période du au .
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Toulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  6. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  7. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. L'eau dans la commune
  10. Description de la station
  11. Didacticiel de la règlementation parasismique
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Ollioules et Toulon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Toulon », sur la commune de Toulon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Station Météo-France « Toulon », sur la commune de Toulon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  19. Métropole TPM, « Projet BHNS »
  20. Dictionnaire français-provençal de Jules Coupier, page 1513 de l'édition de 2009
  21. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 412 (note 55).
  22. (en) « Ollioules », sur Artnet (consulté le ).
  23. La canne de Provence : Arundo donaxSur le plan industriel, Arundo donax fournit probablement les meilleures anches du monde.
  24. Bertrand de Vintimille
  25. Philippine de Sabran, dame de Montpezat et de Turriers
  26. Magdelon de Vintimille
  27. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques, Draguignan, 1897, p.463-464 « [1]
  28. a et b La fiche biographique de LEMOYNE Paul, Augustin, Simon sur le Maitron en ligne
  29. a et b La fiche biographique de TROTOBAS Marius, Georges, Pierre sur le Maitron en ligne
  30. La fiche biographique de TROTOBAS Marius, Joseph sur le Maitron en ligne
  31. « Robert Bénéventi retrouve son fauteuil de maire », sur Ouest-Var, .
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Naissances d'Ollioules sur l'INSEE
  36. Décès d'Ollioules sur l'INSEE
  37. Agriculture et horticulture
  38. Cafés, Restaurants
  39. Hôtels
  40. commerces de proximité
  41. Les comptes de la commune
  42. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  43. Église paroissiale Saint-Laurent
  44. Patrimoine religieux de la commune
  45. La chapelle de Faveyrolles
  46. Ollioules vous présente son patrimoine
  47. Les Oratoriens à Toulon
  48. Rapport de fouille. 1994. Henri Ribot
  49. Saint-Honorat (baume). II. Saint-Raphaël
  50. PLU Éléments du Patrimoine : Chemin de la Cacoye. chapelle Saint Honorat
  51. Ollioules
  52. Une Assomption de l'église St-Laurent d'Ollioules
  53. L'Assomption d'Ollioules
  54. Notice no PM83000395, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture dalle funéraire du rabbin Jonah Duran
  55. Dalle funéraire, quartier de Martelle
  56. L'externat Saint-Joseph
  57. Hôtel de Ville
  58. La maison Renaissance
  59. Maison médiévale à arcade
  60. Les portègues
  61. Maison du Moyen-Âge
  62. [armoriées Les bornes armoriées d'Ollioules-Six-Fours-Ollioules-Toulon]
  63. Les seigneurs d'un autre temps : Ollioules
  64. Les vestiges du château féodal
  65. e Château de Montauban à Ollioules - Bonaparte, capitaine en septembre, général en décembre
  66. Ollioules-Le château de Graille
  67. « Oppidum celto-ligure de la Courtine.(vestiges) », notice no PA00081686, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  68. Le château d'Ollioules
  69. L'oppidum protohistorique de La Courtine (Ollioules, Var). Les collections anciennes, par Patrice Arcelin, Jacques Bérato, Françoise Brien-Poitevin
  70. L'habitat de hauteur de Saint-Estève (Evenos, Var). Bilan des recherches (1896-1976), par Jean-Pierre Brun, Revue archéologique de Narbonnaise Année 1984 17 pp. 1-26
  71. Le terme de séparation
  72. Le télégraphe optique est né à Ollioules
  73. Le kiosque
  74. Ollioules et son patrimoine
  75. Le moulin à huile
  76. « coopérative vinicole dite Cave des Vignerons d'Ollioules », notice no IA83001356, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  77. La fontaine Saint-Laurent
  78. La fontaine du Septem
  79. La fontaine du rentier
  80. Grotte de Gaspard de Besse (Grotte du Garou)]
  81. Gorges d'Ollioules et du Destel
  82. Toulon Provence Méditerranée Ouest : Ollioules, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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