Saint-Cyr (Manche) — Wikipédia

Saint-Cyr
Saint-Cyr (Manche)
L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité CA du Cotentin
Maire
Mandat
Christèle Castelein
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50461
Démographie
Gentilé Saint-Cyriens
Population
municipale
211 hab. (2022 en évolution de +14,05 % par rapport à 2016)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 17″ nord, 1° 25′ 10″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 84 m
Superficie 5,70 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives 1re circonscription de la Manche
Localisation
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Saint-Cyr
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Saint-Cyr

Saint-Cyr (officieusement Saint-Cyr-Bocage) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie.

Géographie

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Localisation

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Le bourg et l'église.

La commune est en Nord-Cotentin. Son bourg est à 3,5 km à l'ouest de Montebourg et à 4,5 km au sud-est de Valognes[1].

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin et dans sa zone d'emploi, et dans le bassin de vie de Montebourg[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Huberville, Hémevez, Le Ham, Montebourg, Saint-Germain-de-Tournebut, Sortosville et Éroudeville.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 5,70 km²[3].

Le point culminant (84 m) se situe en limite nord-ouest au lieu-dit les Trois Maisons. Le point le plus bas (7 m) correspond à la sortie de la Sinope du territoire, au sud.

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

La commune est drainée par la Sinope, un affluent du Merderet et donc un sous-affluent du fleuve côtier la Douve.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 971 mm, avec 14,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gonneville-Le Theil à 17 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

La commune est bocagère.

Milieux naturels et biodiversité

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Les habitants ont planté en novembre 2024 à l'initiative de la commune et avec l'aide de l'association Danub’, qui a notamment pour objectif de créer des îlots de résistance écosystémique, une « forêt-jardin » sur un terrain de 6 000 m² situé à l'arrière de la mairie. Cent arbres d'essences différentes (noyer, osier, mûrier, houx…) ont ainsi été plantés, suivis, au printemps 2025, de la plantation d'un jardin de légumes perpétuels devant la mairie, puis celle d'arbres fruitiers sur le triangle devant le cimetière, protégées par l'instauration d'une obligation réelle environnementale de 99 ans[11],[12].

Au , Saint-Cyr est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,4 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37 %), terres arables (35,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,5 %), forêts (3,7 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 96, alors qu'il était de 92 en 2016 et de 90 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 87,5 % étaient des résidences principales, 6,3 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants. Ces logements étaient tous des maisons individuelles[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Cyr en 2021 en comparaison avec celle de la Manche et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (6,3 %) par rapport au département (14,9 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Saint-Cyr en 2021.
Typologie Saint-Cyr[I 3] Manche[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,5 77,1 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,3 14,9 9,7
Logements vacants (en %) 6,3 8 8,1

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la route nationale 13, qui lui donne un accès aisé à Cherbourg.

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Sancto Ciro en 1093, maisnillum Sancti Cirici au XIIe siècle[17], Sanctus Cyricus sans date.

La paroisse est dédiée à saint Cyr, jeune martyr chrétien du IVe siècle.

Le locatif Bocage, très utilisé en Nord-Cotentin, permet souvent d'éviter l'homonymie avec les autres Saint-Cyr.

En 2024, la commune a demandé officiellement à être renommée Saint-Cyr-Bocage"[18].

On a retrouvé à Saint-Cyr, lors de fouilles archéologiques (vers 1805), trois torques d'or ou hausses-cols, qu'Arcisse de Caumont date de l'ère celtique[19].

Saint-Cyr est le premier village placé sur la voie romaine allant de Alauna (Valognes) à Cosedia (Coutances) et le site d'un probable camp romain[20].

Lors de la fondation de l'abbaye de Montebourg vers 1082, Guillaume le Conquérant offrit aux moines de l'abbaye « le Mesnil de Saint-Cyr et son église »[21]. Saint-Cyr dépend donc avant cette donation du domaine ducal. Depuis cette donation, jusque la Révolution, Saint-Cyr dépend de l'abbaye de Montebourg[22].

Époque moderne

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Charles-Claude de Bréauté (1665-1711), chevalier, est seigneur de Saint-Cyr ainsi que de Sortosville, gouverneur de Valognes et bailli du Cotentin de 1692 à 1700[23].

Époque contemporaine

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En 1866, le château de Saint-Cyr appartient au vicomte d'Auxois[24].

Politique et administration

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La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Cherbourg du département de la Manche[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Montebourg[3]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Valognes[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Manche.

Intercommunalité

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Saint-Cyr était membre de la petite communauté de communes de la région de Montebourg, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération du Cotentin, dont est désormais membre la commune[I 1].

Administration municipale

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Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et ses adjoints[25].

Liste des maires

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Liste des maires[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1938 1962 Raphaël Dossier    
1962 1965 Henri Lecacheux    
1965 1983 Léon Duchemin    
1983 1988 Louis Lepigoche    
1988 mars 2008 Adrien Thiphaigne    
mars 2008[26] août 2011[27] Virginie Guéret SE Secrétaire
Démissionnaire
octobre 2011[28] En cours
(au 13 mars 2025)
Christelle Castelein DVD Agent technique
Suppléante du député LR Philippe Gosselin
Conseillère départementale de Valognes (2015 → )
Présidente de la CA du Cotentin (2025[29] → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[30],[31]

Équipements et services publics

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Population et société

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Le gentilé est Saint-Cyrien.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2022, la commune comptait 211 habitants[Note 3], en évolution de +14,05 % par rapport à 2016 (Manche : −0,31 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
311370405351381357333331330
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
264291256215241222205223204
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
219211204205182207185188189
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
170138139164166178196192210
2015 2020 2022 - - - - - -
189206211------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Saint-Cyr a compté jusqu'à 405 habitants en 1806.

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[35].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte (XIIe – XVIIe siècles) qui a conservé son plan roman en forme de croix, avec à l'intérieur une voûte et nef lambrissée, chœur et transept gothique.
    Elle abrite un groupe sculpté saint Cyr et sainte Julitte du XVe en pierre calcaire polychrome classée au titre objet aux monuments historiques[36], ainsi que huit verrières de Marcelle Lecamp du XXe figurant la vie de saint Cyr et sainte Julitte et trois verrières du XXe saint Cyr et sainte Julitte, saint Paul et sainte Thérèse[37], une Vierge à l'Enfant du XVIe, saint Antoine le Grand du XVe, des fonts baptismaux du XVIIIe et un tableau du martyre de saint Cyr et sainte Julitte[23].
  • La Cornurie (XVIe siècle).
  • Le Mesnil (XVIe – XVIIe siècles).
  • Ferme-manoir de Martinvast.
  • Manoir d'Armanville.
  • La Duvallerie.
  • La Cour de Saint-Cyr.
  • Puits face à l'église supportant une statue mutilée et restaurée.


Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 192.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 511.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  7. « Orthodromie entre Saint-Cyr et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. Corinne Gallier, « Près de Montebourg, cette petite commune va créer une forêt-jardin », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dans le Cotentin, la commune de Saint-Cyr (Montebourg, Manche) innove avec un projet de création de forêt-jardin. Elle a recours à l’expertise de l’association Danub’ ».
  12. « À Saint-Cyr-Bocage, cent arbres ont été plantés par des habitants », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  17. Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1537, (ISBN 2600028846).
  18. « Cette commune de la Manche veut changer de nom : un dossier déposé en préfecture », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « depuis 1945, juste après la Seconde Guerre mondiale. « Dans une délibération, la commune portait déjà ce nom. » Cependant, le nom n’a jamais été acté officiellement de façon administrative, bien que tous les habitants soient attachés au Bocage et l’appellent ainsi ».
  19. Arcisse de Caumont, Cours d'antiquités monumentales : histoire de l'art dans l'Ouest de la France, depuis les temps les plus reculés jusqu'au XVIIe siècle, Paris-Caen-Rouen, , p. 243-244.
  20. Delattre, 2002, p. 192.
  21. BnF, ms. lat. 10087, no 5, 16.
  22. M. Dubosc, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, Manche, série A, t. 1, Saint-Lô, , p. 401, A 3738.
  23. a b et c Gautier 2014, p. 511.
  24. Antoine Bachelin, État présent de la noblesse française, Paris, , p. 131.
  25. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  26. « Premier mandat pour Virginie Guéret », Ouest-France,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Virginie Guéret a été élue maire, au troisième tour, au bénéfice de l'âge avec 5 voix, Noam Lequertier 5 voix et Régis Pouppeville une voix ».
  27. « Saint-Cyr : démission du maire et de ses deux adjoints », Ouest-France par MaVille,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Ouest-france.fr - Élection : Christelle Castelein élue maire - Saint-Cyr »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  29. Corinne Gallier, « Christèle Castelein succède à David Margueritte à la présidence de l'Agglo du Cotentin », La Presse de la Manche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est finalement Christèle Castelein qui l’emporte (93 voix) devant Jacques Coquelin (88 voix). Elle sera donc la présidente de l’Agglo pendant un an ».
  30. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Christelle Castelein est élue maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Christelle Castelein, maire sortante, comptable, 46 ans, est à nouveau candidate pour le siège de maire. Elle est élue avec 10 voix ».
  31. Réélue pour le mandat 2020-2026 : « Municipales à Saint-Cyr. Christèle Castelein retrouve sa fonction de maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Christèle Castelein, maire sortante qui se présentait pour un nouveau mandat de maire, a été élue avec dix voix ».
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  35. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
  36. « Groupe sculpté : Saint Cyr et sainte Juliette », notice no PM50001375, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture (la référence à Sainte-Juli[e]tte est erronée, car c'est sainte Julitte qui est associée à saint Cyr de Tarse).
  37. « Saint-Cyr. Deux vitraux rénovés de l’église remis en place », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).