Solliès-Ville — Wikipédia

Solliès-Ville
Solliès-Ville
Le château de La Castille.
Blason de Solliès-Ville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Toulon
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée du Gapeau
Maire
Mandat
Nicolas Gérardin
2020-2026
Code postal 83210
Code commune 83132
Démographie
Gentilé Solliès-Villain(e)s
Population
municipale
2 529 hab. (2021 en évolution de +5,77 % par rapport à 2015)
Densité 179 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 10′ 59″ nord, 6° 02′ 20″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 680 m
Superficie 14,10 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Toulon
(banlieue)
Aire d'attraction Toulon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Solliès-Pont
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Solliès-Ville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Solliès-Ville
Géolocalisation sur la carte : Var
Voir sur la carte topographique du Var
Solliès-Ville
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Solliès-Ville
Liens
Site web solliesville.fr

Solliès-Ville [sɔljɛs vil] est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Solliès-Villains.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Commune située à 2,2 km de La Farlède et 16,1 km d'Hyères[1].

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Le village de Solliès-Ville est accroché à une colline qui domine la riche plaine du Gapeau. Le point culminant (500 m) de la commune est à l'est, sur les contreforts du « Bau Rouge ».

Commune située dans une zone 2 de sismicité faible[2].

Hydrographie et les eaux souterraines

[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune :

  • le fleuve Gapeau.
  • Les ruisseaux de Sainte-Christine, de la Jonquière, de Lambert, des Anduès, de Réganas.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Var, Alpes-Maritimes »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 1,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cuers », sur la commune de Cuers à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 778,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −9,3 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communications et transports

[modifier | modifier le code]

Voies routières

[modifier | modifier le code]

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![10]. Le village est desservi par plusieurs lignes de bus départementales :

Lignes SNCF

[modifier | modifier le code]

Transports aériens

[modifier | modifier le code]

Les aéroports les plus proches sont :

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté de communes de la Vallée du Gapeau.

Au , Solliès-Ville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[17]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,3 %), zones urbanisées (15,2 %), cultures permanentes (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), terres arables (0,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,2 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de Solliès-ville provient de sa forme moyenâgeuse en ancien provençal Soliers, Solliers (qui évolua en Souliés dans la graphie mistralienne du provençal), lui-même du bas-latin Solaria, Soleria, Solarium « lieu où l'on prend le soleil, terrasse »[21]. On trouve aussi « de Solario » en 1020[22]. Ce qui donne l'évolution suivante : Solarium > de Solario > Soliers > Souliés > Solliès.

En provençal, le nom moderne est écrit « Soliès-Vila » en écriture classique (écriture traditionnelle basée sur l'écriture moyenâgeuse en ancien provençal de Soliers et modernisée en tenant compte de certains apports de l'écriture mistralienne) et « Souliés-Vilo » en écriture mistralienne (écriture phonétique développée par les rhodaniens et basé sur leur système graphique local). Qu'importe l'écriture, la prononciation reste la même.

Il y a également plusieurs hameaux :

  • Les Sauvans ;
  • Les Daix ;
  • La Tour ;
  • les Aiguiers ;
  • les Combes ;
  • les Collés ;
  • le Pont-Neuf ;
  • le logis Neuf.

Le territoire était habité dans l'Antiquité par les Celto-Ligures qui avaient déjà commencé à défricher les forêts, cultiver la terre et assécher les marais. Selon Étienne Garcin[23], la vallée du Gapeau était peuplée par le peuple celto-ligure des Bormani et avaient le village de Solliès-ville comme emplacement de leur chef-lieu. Sous l'occupation romaine, la ville de Solliès était nommée Sollinensis civitas. L'utilisation du terme civitas montre qu'elle fut autrefois la ville dominante de son territoire. Son importance se poursuivra jusqu'au Moyen Age où elle était l'une des principales communes de la Basse-Provence et elle finit par décroître à la suite de la séparation de la commune en quatre : Solliès-ville, Solliès-Pont, Solliès-Toucas et Solliès-Farlède (devenue La Farlède).

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2021

[modifier | modifier le code]

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 975 000 , soit 780  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 572 000 , soit 621  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 363 000 , soit 143  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 807 000 , soit 318  par habitant ;
  • endettement : 190 000 , soit 75  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 11,72 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 35,53 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 92,89 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 550 [25].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs à partir de 1919
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.

(décès)
Jean Aicard   Poète romancier, académicien
Paul Maurel[28] (1883-1975) SFIO Instituteur, président de la délégation municipale
Élu en 1945, réélu en 1947 et 1953
Gabriel Grisolle (1913-1989)   Réélu en 1965, 1971 et 1977
André Geoffroy UDF-PR puis DL
puis UMP
Chirurgien gynécologue obstétricien
Sénateur du Var (2002 → 2004)
Président de la CC de la Vallée du Gapeau (1995 → 2014)
Réélu en 1989, 1995, 2001 et 2008[29]
Roger Castel (1949- ) UMP-LR Chef de service de la DGA retraité
4e vice-président de la CC de la Vallée du Gapeau (2014 → 2020)
En cours
(au 25 mai 2020)
Nicolas Gérardin[30] (1949- ) DVC Chargé de mission retraité
4e vice-président de la CC de la Vallée du Gapeau (2020 → )

Politique environnementale

[modifier | modifier le code]

Les communes de Solliès-Pont et Solliès-Toucas sont raccordées à la station d’épuration à boues activées située sur la commune de La Crau. La STEP, située à plus de 5 km au Sud-Est du site de Solliès-Ville[31] a une capacité de 50 000 équivalent-habitants[32].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 2 529 habitants[Note 5], en évolution de +5,77 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
833890981884844841814804802
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
759763739712653610536575486
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
492488376479523557585650710
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
8018501 1931 8952 2472 2222 4182 4612 391
2019 2021 - - - - - - -
2 5262 529-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Agriculture

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone de production de l'huile d'olive de Provence AOC et de la figue de Solliès AOC.

  • L'hébergement touristique est composé d'un hôtel, de six chambres[37].
  • Six restaurants proposent leurs services sur la commune[38].
  • Ferme Auberge[39].
  • Solliès-Ville compte deux musées :

Commerces et services

[modifier | modifier le code]
  • Commerces et services de proximité.

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Solliès-Ville fait partie de l'académie de Nice. Les élèves commencent leurs études dans la commune, qui dispose d'une école maternelle (67 enfants[42]) et d'une école primaire (117 élèves[43])[44].

Professionnels et établissements de santé[45] :

Sports et équipements sportifs

[modifier | modifier le code]
  • Équipements sportifs[48] :
    • Plateau EPS/Multisports/city-stades,
    • Salle de musculation/cardiotraining,
    • Boucle de randonnée.

Équipements culturels

[modifier | modifier le code]
  • Médiathèque Marcel Marlier[49].
  • Musée Jean Aicard[50].

Festivités

[modifier | modifier le code]

Chaque année depuis 1989, aux derniers jours du mois d'août, Solliès-Ville accueille le Festival international de la bande dessinée qui invite des dessinateurs prestigieux comme Enki Bilal, Cosey, Jean Giraud, Frank Margerin... et reçoit de nombreux visiteurs.

Sans oublier la fête annuelle de la Saint-Loup durant laquelle se succèdent aïoli géant, bal, concours de boules etc. durant cinq jours.

Cérémonie des Apôtres, le , où le maire distribue aux familles les plus nombreuses ou défavorisées un panier garni. Une grande distribution de pain est organisée à la fin de cette cérémonie.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Michel : Intéressant édifice roman[51]. À l'intérieur, on voit, à gauche, un beau retable du XVIIe siècle et, entre ce retable et la chaire, un autre retable du XIVe siècle[52]. Au maître-autel, remarquer le ciborium (monument où l'on déposait les hosties) datant du XVe siècle, monolithe de six mètres de haut. La façade des orgues, de 1499, en noyer sculpté, est l'œuvre du frère Antoine Millani du couvent des Augustins de Nice et compte parmi les plus anciennes de France[53],[54],[55],[56], la cloche date de 1531[57]. Dans la crypte se trouve la sépulture des seigneurs de Solliès.
  • Le domaine diocésain de La Castille[58] comporte un château et le séminaire du diocèse de Fréjus-Toulon. La cloche d'appel du château de la Castille date de 1776[59].
  • Monument aux morts[60] : Conflits commémorés : Guerre franco-allemande 1939-1945.
  • Lavoir[61].
  • Le château de Forbin (ruines)[62].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Plusieurs membres de la famille de Forbin, dont Louis de Forbin de Solliès, Auguste de Forbin de Solliès et Palamède de Forbin.
  • Antonius Arena : né à Solliès-Ville dans 1500, juriste et poète.
  • Jean Aicard : la maison du poète et écrivain Jean Aicard, aménagée en petit musée, constitue un lieu de rencontre pour les fervents de l'auteur de Maurin des Maures. Le poète fut maire de la ville de 1919 à sa mort en 1921.
  • Léon Vérane : écrivain du mouvement des Fantaisistes. Chaque année, l'association des amis de Léon Vérane célèbre sa mémoire le , lors de la Saint-Léon, et également date de sa disparition, le .
  • André Filippi : peintre, imagier santonnier. Le village de Sollies-Ville, où il vécut quelques années, fut une source importante de son inspiration et il apparait dans bon nombre de ses tableaux, il y créa ses premiers santons. Un hommage lui est rendu au musée Jean-Aicard dans lequel est exposée une de ses crèches miniatures.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Solliès-Ville Blason
D'azur à la bande d'or chargée du mot « SOLLIES-VILLE » en lettres capitales de gueules et accompagnée de deux soleils d'or (site de la mairie).
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Solliès-Ville
Alias du blason de Solliès-Ville

D'azur à la bande d'argent accompagnée de deux soleils d'or (d'Hozier)

[63].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Toulon comprend une ville-centre et 26 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Itinéraires
  2. Information Acquéreurs Locataires
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Solliès-Ville et Cuers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cuers », sur la commune de Cuers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cuers », sur la commune de Cuers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. Réseau régional de transports en commun
  11. Ligne de bus 2801
  12. Ligne de bus 4801
  13. Ligne de bus 4802
  14. ligne de bus 8810
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Toulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Solliès-Ville ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Frédéric Mistral, Tresor dòu Felibrige dictionnaire provençal-français, 1878
  22. Fabien Régnier, Jean-Pierre Drouin, Les peuples fondateurs à l'origine de la Gaule, p.273
  23. Dictionnaire historique et topographique de la Provence ancienne et moderne. Deux tomes - Draguignan 1835. http://www.cieldoc.com/libre/integral/libr0396.pdf
  24. Les comptes de la commune
  25. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  26. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.477-478 [1]
  27. Registre des naissances, mariages, décès de la commune de Solliès-Ville (1792-1805), 7 E 139/5, pp.266-359, Archives départementales du Var [2]
  28. La fiche biographique de MAUREL Paul, Eugène, Jean, Marie sur le Maitron en ligne
  29. « Solliès-Ville : André Geoffroy réélu maire pour un cinquième mandat », Nice-Matin,‎ (lire en ligne).
  30. M.M., « Nicolas Gérardin installé dans le fauteuil de maire à Solliès-Ville », Var-Matin,‎ (lire en ligne)
  31. IV.3.2 Rejets d’assainissement
  32. Station d'épuration communautaire de la vallée du Gapeau
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. hotel à Solliès Ville
  38. .restaurants à Solliès Ville
  39. Ferme auberge
  40. musée du vêtement provençl
  41. musée Jean Aicard
  42. école maternelle
  43. école primire)
  44. écoles à Solliès Ville
  45. Professionnels et établissements de santé
  46. Cliniques à Solliès-Toucas
  47. Paroisse Saint Michel
  48. Équipements sportifs
  49. Médiathèque Marcel Marlier
  50. Musée Jean Aicard
  51. « Eglise Saint-Michel l'Archange », notice no PA00081745, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. " Les objets mobiliers sur POP culture.gouv.fr
  53. Collectif. Sous la direction de Michel Foussard avec la collaboration de Jean-Loup Fontana, L’orgue italien, Guide pratique pour le Comté de Nice, Nice, Art et Culture des Alpes-Maritimes (ACAM), , 100 p. (ISBN 2-906700-08-8)
    Cahier des Alpes-Maritimes no 7 réalisé par le Conseil Général des Alpes-Maritimes (ACAM). Presses d’Imprimix Nice. pp. 152-153 L’orgue du Frère Millani des Augustins de Nice, dans l’église de Sollies-Ville, avec une reconstitution de l’orgue de 1499 par Pierre Rochas
  54. La Provence avait été abondamment pourvue d’orgues depuis la fin du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle, mais peu d’éléments sont parvenus jusqu’à nous : L’orgue du Frère Millani des Augustins de Nice, dans l’église de Solliès-Ville, Le grand orgue de Basilique Sainte-Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Les grandes orgues de la Cathédrale Notre-Dame d'Embrun
  55. Notice no PM83001468, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de tribune de l'église Saint-Michel
  56. Notice no PM83000592, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue
  57. Notice no PM83000596, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Michel
  58. Domaine diocésain de La Castille
  59. Notice no PA00107323, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche d'appel de 1776 du château de la Castille
  60. Monument aux morts
  61. Lqvoir
  62. « Château de Forbin (ruines) », notice no PM83000595, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. Vexillologie et Héraldique provençale. La Vallée du Gapeau : Solliès-Ville, sur le site personnel de Dominique Cureau |consulté le=24 décembre 2021

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]