5e régiment d'infanterie (France) — Wikipédia

5e régiment d'infanterie
Image illustrative de l’article 5e régiment d'infanterie (France)
Insigne régimentaire du 5e RI, type 1

Création 1558
Dissolution
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Régiment d'infanterie
Rôle Infanterie
Ancienne dénomination Régiment de Navarre
Devise "Navarre sans peur"
Inscriptions
sur l’emblème
Valmy 1792
Fleurus 1794
Castiglione 1796
Wagram 1809
Anvers 1832
L'Aisne 1914-1918
Verdun 1916
L'Ourcq 1918
La Lys 1918
AFN 1952-1962
Anniversaire Saint-Maurice
Guerres Guerre de 1870
Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Algérie
Batailles Valmy
Jemmapes
Bataille d'Hondschoote
Bataille de Fleurus
bataille de Lonato
Bataille de Castiglione
Bataille de Magnano
bataille de La Trébie
Bataille de Wagram
Bataille de Lützen
Bataille de Dresde
Bataille de Leipzig
Bataille de Sedan
Bataille de la Marne
Bataille d'Artois
Bataille de Verdun
Fourragères Aux couleurs du ruban de la croix guerre 1914-1918
Décorations Croix de guerre 1914-1918 avec trois palmes et une étoile de vermeil
Croix de guerre 1939-1945 avec une palme

Le 5e régiment d'infanterie (5e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir du régiment de Navarre, un régiment français d'Ancien Régime, l'un des Six Grands Vieux.

Création et différentes dénominations

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Chefs de corps

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Ancien Régime
  • 1562 : Antoine de Bourbon, roi de Navarre,
  • 1569 : Henry IV
  • 1573 : colonel de Pauliac,
  • 1576 : colonel de Beaumanoir, marquis de Lavardin (***),
  • 1588 : colonel de Vignolles-La Hire,
  • 1589 : colonel de Valirault,
  • 1594 : colonel Pierre d'Escodeca baron de Boesse-Pardaillan,
  • 1617 : colonel de Themines,
  • 1621 : colonel de Frontenac,
  • 1622 : colonel de Bury,
  • 1628 : colonel de Tavannes,
  • 1630 : colonel de Saint Simon,
  • 1635 : colonel d'Avaugour,
  • 1639 : colonel de Fors,
  • 1640 : colonel de Saint Georges de Montglat,
  • 1643 : colonel de Themines,
  • 1647 : colonel d'Estrées (***),
  • 1651 : colonel de Broutay,
  • 1666 : colonel de Lavardin,
  • 1670 : colonel de Caraman,
  • 1673 : colonel d'Albert,
  • 1677 : colonel de La Vieuville,
  • 1680 : colonel de Souvre,
  • 1683 : colonel de La Rochefoucauld, duc de La Rocheguyon,
  • 1696 : colonel de Maulevrier,
  • 1706 : colonel de Pionsac,
  • 1709 : colonel de Gassion,
  • 1714 : colonel de Montesson (**),
  • 1719 : colonel de Rambure,
  • 1740 : colonel de Mortemart,
  • 1745 : colonel de Choiseul-Stainville,
  • 1749 : colonel de Boufflers,
  • 1751 : colonel de Choiseul-Beaupre,
  • 1753 : colonel de Lomont, duc du Châtelet (**),
  • 1761 : colonel de Bonnières, comte puis duc de Guines (**),
  • 1768 : colonel de Rochechouart,
  • 1784 : colonel de Jerninghan,
  • 1785 : colonel de Mortemart (**),
Révolution et Empire
Restauration et monarchie (1815 à 1848)
  • 1815 : colonel Leopold, baron von Leopold.
  • 1815 : colonel de Capdeville,
  • 1817 : colonel Foullon de Doue,
  • 1820 : colonel Broussier (*),
  • 1824 : colonel de Barbay,
  • 1827 : colonel Mathieu de Boissac,
  • 1828 : colonel Verdier,
  • 1829 : colonel Colavier d'Albicy,
  • 1830 : colonel Greard,
  • 1840 : colonel Devaux,
  • 1842 : colonel Roche,
Deuxième République et Second Empire
  •  : colonel Adolphe de Monet (**),
  • 1853 : colonel de Chambarlhac,
  • 1858 : colonel Caubert,
  • 1864 : colonel Boyer.
1871 à 1913
  • 1872 : colonel Desandre,
  • 1877 : colonel Brassery,
  • 1879 : colonel Tramond,
  • 1883 : colonel Livet,
  • 1889 : colonel Guasco,
  • 1891 : colonel Demasur,
  • 1895 : colonel Villers,
  • 1904 : colonel Paul Jean Foucart (*),
  • 1906 : colonel Fumet,
  • 1910 : colonel Guillaumat (**).
Première Guerre mondiale
  • 1913- : colonel Ernest Lucien Doury[1] (†)
  • - : lieutenant-colonel Marie Maurice de Lardemelle[2] (†)
  • - : lieutenant-colonel Emile Nicolas Adolphe Bouteloupt[3] (†)
  • 1917 : colonel Roustic,
  • 1918 : colonel Boge.
Entre-deux-guerres
  • 1919 : colonel Renie,
  • 1921 : colonel Maurier,
  • 1922 : colonel Vary,
  • 1927 : colonel Durrmeyer,
  • 1930 : colonel Jamet,
  • 1932 : colonel Lestien (**),
  • 1934 : colonel Vernillat,
  • 1936 : colonel Vallet,
  • 1938 : colonel Besse.
Seconde Guerre mondiale
  • 1940 : lieutenant colonel Berger,
  • 1940 : colonel Lorand,
  • 1941 : colonel Peragallo,
  • 1941 : colonel Bel,
  • 1942 : colonel de Foville,
  • 1944 : colonel Emblanc,
  • 1940[Comment ?] : colonel Le Bideau.
De 1945 à nos jours
  • 1946 : colonel Appolinaire-Esteux,
  • 1947 : colonel Andoleko,
  • 1948 : colonel Raguenet,
  • 1949 : colonel Thomazo,
  • 1950 : colonel Pellissier,
  • 1951 : colonel Busquet de Caumont,
  • 1953 : colonel Gombeaud,
  • 1955 : colonel Fayard,
  • 1957 : colonel Legourd,
  • 1959 : colonel Gaudeul,
  • 1960 : colonel Berbain,
  • 1962 : colonel Mariot,
  • 1962 : colonel Jezequel,
  • 1963 : colonel Martinelli,
  • 1963 : colonel Couget,
  • 1964 : colonel Beck,
  • 1966 : colonel Leuba,
  • 1968 : colonel Mordacq,
  • 1970 : colonel Malbert,
  • 1972 : colonel Rodallec,
  • 1974 : colonel Gaillard (**),
  • 1976 : colonel Douceret (*),
  • 1978 : colonel Pons,
  • 1980 : colonel Tardy,
  • 1982 : colonel de Castet,
  • 1984 : colonel Hanotaux,
  • 1986 : colonel de Lanlay,
  • 1988 : colonel Baudoin,
  • 1990 : colonel Gauthier,
  • 1992 : colonel Dequen,
  • 1995 : colonel Roques.

(*) Ces officiers sont devenus par la suite généraux de brigade ou équivalent.
(**) Ces officiers sont devenus par la suite général de division ou équivalent.
(***) Ces officiers sont devenus Maréchal de France

Historique des garnisons, campagnes et batailles

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Ancien Régime

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Stèle au 5e régiment d'infanterie de ligne à Waterloo.
  • 1804 : stationné dans le Piémont.
  • 1805 : bataille de Caldiero.
  • 1806 : campagnes de Dalmatie, Monténégro et Bergato. Stationné en Dalmatie
  • 1809 : Sicile, Malghiera, Ervenich, Gospic, Wagram, Znaim, Lavacca et Meran. Stationné en Allemagne.
  • 1810 : envoyé en Espagne.
  • 1811 : Figueras et Moncado.
  • 1812 : Olot, Saint-Vincent, Carriga et Vich.
  • 1813 : Bisbal et Barcelone.
  • 1813 : Lützen, Wurschen, Dresde, Torau et Leipzig.
  • 1814 : Belfort, Saint-Julien et Villeseneuse. Garnison à Grenoble.

1815 à 1848

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Au début de l'année 1870 il est en garnison à Toulon puis, lors de la guerre franco-allemande de 1870, le régiment est présent à la bataille de Sedan ou il est fait prisonnier.

Le dépôt du 5e de ligne, resté à Toulon, forme de nombreux détachements qui partent former des régiments de marche[7] :

  • le 4e bataillon, qui part le former le 22e de marche,
  • la 8e compagnie du 2e bataillon, qui part fin août former le 34e de marche,
  • la 8e compagnie du 3e bataillon, qui part en septembre former le 30e de marche,
  • la 1re compagnie de dépôt, qui part en octobre former le 39e de marche,
  • les 2e et 3e compagnies de dépôt, qui partent en octobre former le 42e de marche,
  • la 4e compagnie de dépôt, qui part en novembre former le 59e de marche (régiment qui sera renforcé par un détachement de 500 hommes du 5e de ligne en décembre),
  • les 5e et 6e compagnies de dépôt, qui partent en décembre former le 62e de marche,
  • la 7e compagnie de dépôt, qui part en décembre former le 70e de marche,
  • la 8e compagnie de dépôt, qui part en décembre former le 71e de marche,
  • la 9e compagnie de dépôt, qui part en janvier 1871 former le 82e de marche,
  • la 10e compagnie de dépôt, qui part en janvier 1871 former le 87e de marche.

1871 à 1914

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Un groupe d'officiers du 5e RI ou du 5e Dragons au début du siècle.

En 1871, deux bataillons du régiment participent à la reprise de Paris tenue par la Commune de Paris lors de la Semaine sanglante[8].
Après ces évènements il est envoyé en garnison au Havre.

  • De 1874 à 1900 : le régiment tourne entre 2 garnisons principales : Caen (7 fois) et Paris avec 1 bataillon de dépôt à Falaise (9).

Lors de la réorganisation des corps d'infanterie de 1887, le régiment fourni un bataillon pour former le 162e régiment d'infanterie.

Uniforme de 1914 du 5e RI

Affectation

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  • 1914 ; casernement : en garnison à Paris, compagnie de dépôt stationnée à Falaise
  • secteur de l'Aisne.
Campagne de 1939-1940

En 1939, le 5e RI est un régiment d'active de type nord-est aux ordres du lieutenant colonel Berger. Concentré à la Caserne Charras à Courbevoie, il appartient à la 10e DI et est mis sur pied par le centre mobilisateur d'infanterie no 211 de Paris-Coulommiers. Il vient se battre glorieusement sur l'Aisne, à Vieux-lès-Asfeld, et est cité à l'ordre de l'Armée.

Armée d'armistice
Garde du drapeau du 5e RI sous Vichy.

De 1941 à fin 1942 il reste l'un des rares régiments à ne pas être dissous. Ses effectifs sont répartis en 2 garnisons à Saint-Étienne et Roanne. Lors de l'invasion de la zone libre, il sauve son drapeau et une partie des effectifs rejoint la résistance dans le Massif central.

Campagne de libération

L'unité se reforme à partir du sous le nom de 5e demi-brigade d'infanterie puis redevient le le 5e RI. À nouveau en garnison à Paris, le régiment qui comprend quatre bataillons est constitué avec des unités FFI et des FTP ayant participé à la libération de Paris[9] :

  • bataillon de commandement : ex bataillon 2/22, constitué des groupes Foch et Lyautey (Paris XIXe et Alfortville),
  • 1er bataillon : ex-bataillon 3/22, provenant du bataillon Médéric constitué d'effectifs de Vengeance,
  • 2e bataillon : ex-bataillon 24/22, issu des XVIIIe et XIVe arrondissement et d'un bataillon de cheminots,
  • 3e bataillon : ex-bataillon 13/22, de provenance diverses (Pierrefite, Saint-Denis, Hôtel de Ville, maquis de la Loire, groupe libération).

Ses effectifs sont alors de 3 500 hommes (125 officiers, 515 sous officiers et 2 860 hommes de troupe). Il est rattaché à la 10e DI du général Billotte.

Dès janvier, le régiment se bat dans les Vosges au sein de la 1re armée française et notamment lors des opérations de réduction de la poche de Colmar. Affecté au Détachement d'armée de l'Atlantique, le régiment fait ensuite mouvement vers l'ouest mais l'armistice ne lui permet pas d'intervenir sur les poches de l'Atlantique.

De 1945 à nos jours

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  • Entre 1945 et 1955 : le régiment fait partie de l'armée d'occupation en Allemagne et est stationné à Coblence.
  • Entre 1955 et 1962 : il participe aux opérations de maintien de l'ordre en Afrique du Nord, d'abord au Maroc (1955-1958) puis en Algérie (1958-1962).
  • 1964 : il rejoint sa garnison définitive à Beynes dans les Yvelines.
  • 1979 : il intègre la 2e DB et devient un régiment mécanisé sur AMX-13 VCI puis sur AMX-10 P.
  • 1994 : le régiment reçoit la mission de mettre sur pied le bataillon d'infanterie-escorte de Bihać (BIB4) en ex-Yougoslavie. A ce titre, le régiment envoie 3 compagnies, dont la CCS et la 1re Cie (à Coralici) et la 2e Cie (à Bihac), en mai et octobre 1994.
  • Le 5e RI, commandé par le colonel Pierre Roques, a été dissous le et son drapeau a été reversé à l'hôtel des Invalides, au musée de l'Armée. Ses compagnies ont été réparties entre le 16e bataillon de chasseurs, le 110e RI (compagnies mécanisées), le régiment de marche du Tchad (compagnie antichar située à Noyon dans l'Oise). Son souvenir est véhiculé par l'association Navarre Sans Peur, présidée par le lieutenant-colonel de la Réserve Citoyenne Jean-Thierry Guilleré-Delangre depuis 2011.
  • En 2013, il est étudié sérieusement la recréation du 5e en tant qu'unité de réserve d'Île-de-France, mais c'est finalement le 24e bataillon d'infanterie qui est recréé à Vincennes.
  • En 2017, il est envisagé le transfert de son drapeau et de ses traditions à l'un des Centres de formation initiale des militaires du rang, ainsi qu'au Groupement de soutien de base de défense de Versailles. Cette fois encore, l'opération échoue et le 5e RI ne fait pas partie des unités finalement sélectionnées.
  • En 2018, le 5e RI est un candidat sérieux pour la double appellation du Groupement de recrutement et de sélection de Vincennes (GRS-IDF). Le 5e RI est une nouvelle fois écarté, cette fois-ci au profit de la recréation du 8e groupe de chasseurs (car ce dernier fut créé à Vincennes).

"Navarre sans peur"

Inscriptions

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Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[10],[11] :

Uniformes et drapeaux sous l'ancien régime

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Décorations

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Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918.

Sa cravate est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 avec trois citations à l'ordre de l'armée et une citation à l'ordre du corps d'armée et de la Croix de guerre 1939-1945 avec une citation à l'ordre de l'armée .

Il est titulaire de la fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918.

Refrain du régiment :

"Allons prenez vos rangs, allons vite en avant !" (bis)

Cri de guerre du régiment

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"Quid Regimentum ? Navaricum ! Diabolicum !"
("Quel régiment ? Celui de Navarre ! Ils sont diaboliques !")

Son origine vient d'un échange verbal entre l'aumônier du régiment et un officier hessois recevant les derniers sacrements alors que son régiment a été détruit « à la baïonnette » par Navarre au combat de Speyerbach, en 1703.

Régiments étrangers jumelés

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Personnalités ayant servi au sein du 5e régiment d'infanterie

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Portrait de Charles Hoffbauer en soldat par Henri Evenepoel, 1897.
Trois maréchaux
Cinq écrivains de renom
Deux ministres
Deux héros de la Résistance
Autres

Notes et références

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  1. Ernest Lucien Doury sur Mémoire des Hommes
  2. Marie Maurice de Lardemelle
  3. Emile Nicolas Adolphe Bouteloupt
  4. Il s'agit bien de la 11e demi-brigade légère de deuxième formation qui a été dissous en 1798
  5. Histoire de l'infanterie en France de Victor Louis Jean François Belhomme Vol 5 page 151
  6. Abbé Jobin : La Syrie en 1860 et 1861. Lettres et documents formant une histoire complète et suivie de massacres du Liban et de Damas, des secours envoyés aux chrétiens et de l'expédition française , recueillis et coordonnés
  7. Aristide Martinien, La mobilisation de l'armée, mouvement des dépôts (armée active) du 15 juillet 1870 au  : guerre de 1870-1871, Paris, L. Fournier, , 463 p. (lire en ligne), « Infanterie de ligne : 5e régiment - dépôt », p. 34-35.
  8. Michaël Bourlet, « L’armée de Versailles pendant la Semaine sanglante et les combats de rues (21-28 mai 1871) », Revue historique des armées, no 238, année 2005, disponible en ligne servicehistorique.sga.defense.gouv.fr, consulté le 10 novembre 2008
  9. Les groupes FFI parisiens sont organisés en bataillon dont le numéro d'ordre est suivi du nombre 22 correspondant au numéro de la région militaire
  10. Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
  11. Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie
  12. 2e bureau de recrutement de la Seine, classe 1895, cote D4R1 840, Numéro de matricule : 2711

Sources et bibliographie

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  • CNE C. Barbié de Préaudeau, Navarre, 1494 - 1594 - 1994, des collines de Guyenne aux montagnes de Bosnie-Herzégovine, 1994.
  • GAL Craplet, 5 Siècles d'Infanterie française, 1967.
  • Citations collectives des régiments d'infanterie 1914-1918.
  • André LETAC, Souvenirs de guerre- 1914-1918, (adjudant et sous-lieutenant au 5e RI) introduction et notes par Marie-Josèphe Bonnet, Ed. Corlet, 2010.
  • Historiques des corps de troupe de l'armée française (1569-1900), Berger-Levrault (Paris), , 52 p. (lire en ligne)

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Articles connexes

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Liens externes

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